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[Accepté]candidature de leleb


leleb
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Presentation:

 

pseudo/prénom: leleb/Léo

 

Age:14ans

pseudo INgame:leleb

ville:Auxerre Bourgogne (France)

 

Sur moi:

je m'appelle Léo,j'ai connu Minecraft par un journal de jeux vidéo,cela fais 3 mois que je joue à se jeux.J'ai donc eu l'idée de m'inscrire sur un serveur.Sinon mes loisirs son la ps3 et la 3ds(qui vient de sortir^^).J'ai connu se serveur grâce aux séries de boblennon et fantasio.

 

Mon RP:

A la quiétude caractéristique de la Comté venait maintenant s’ajouter la douce chaleur du Printemps. Aussi les Hobbits se réchauffait peu à peu, le temps des soirées au coin d’un feu avait laissé place à l’entrain des beaux jours, à la fête. Leur quotidien s’égayait, les chants et les danses hobbits résonnaient à présent hors de leurs trous et partout dans la plaine.

 

Guibol Took aussi se plaisait à ces moments festifs, mais son véritable plaisir n'était pas là. Il préférait souvent laisser danseuses et danseurs pour aller marcher seul de longues heures durant dans la paisible Comté. Marcher sur le rythme du chant des oiseaux de la forêt.

 

Or, en ce Printemps là, il y eu un évènement qui marqua pour toujours le souvenir du jeune Guibol. Alors qu’il se promenait dans la forêt après avoir évité une fête qui ne l’attirait pas, il entendit un chant qu’il n’avait jamais perçu jusque là. Etait-ce un rossignol ? Quelqu’un de peu habitué l’aurait sans doute cru, et n’aurait pas fait attention. Mais notre Hobbit aimait particulièrement les sons de la forêt et il savait reconnaître le chant de n’importe quel oiseau.

 

Non. Ce ne pouvait être l’un de ceux qu’il avait déjà entendu, la sensation n’était pas tout à fait la même. Ce chant semblait tout aussi naturel, mais une magie encore différente en émanait. Il chercha alors à trouver la source de cette sensation. De ce chant si magique. Au fur et à mesure qu’il se rapprochait, la beauté de cette mélodie lui remplissait le cœur. Puis le son d’un instrument parvint à ses oreilles, des cordes que l’on pince. Ses doutes étaient donc fondés, ce n’était pas un animal. Il s’étonnait alors qu’un être pourvu d’un tel talent puisse exister, on ne rivalise pas ainsi avec le chant de la nature.

 

Il parvint enfin à une petite clairière. Là, caché dans un buisson il fut subjugué par ce qu’il vit : au pied d’un arbre était assis une Grande Personne tenant une lyre, sa peau était pâle, son visage parfait. Ses yeux étaient fermés. Ce ne fut que lorsque qu’il distingua la pointe de ses oreilles qu’il se souvint des contes qu’il avait maintes et maintes fois entendus auparavant. C’était une Elfe.

 

Guibol essaya de se mettre à l’aise derrière le buisson qui le cachait. Et ce sans faire de bruit car il craignait d’interrompre le chant de cet être si charmant. Au moment où son petit postérieur toucha le sol, il se figea: l’Elfe venait d’interrompre son chant. Après un court instant elle sourit, et ouvrant les yeux elle entonna une autre chanson. Son regard se perdait loin derrière le petit Guibol qui fut émerveillé par la beauté et la profondeur de ses yeux. Dans ce regard on lisait une sagesse et une pureté infinie, témoignant de beaucoup de souvenirs et d’expérience. Pourtant elle avait un visage d’enfant, empli de fraîcheur et de sérénité. Ses doigts se promenaient entre les cordes de la lyre d’une façon précise et fluide, Guibol fut comme hypnotisé par leurs mouvements.

 

Il resta ainsi jusqu’à ce que le jour ne commence à faiblir. L’Elfe n’avait pas bougé, elle chantait encore, maintenant accompagnée par les oiseaux de la forêt qui s’était posés sur les branches de l’arbre auquel elle était adossée. Eux aussi étaient attendris par le chant de la belle, un rossignol vint même se poser sur son épaule.

 

La fête qu’avait évité Guibol battait son plein quand celui-ci s’endormit sans s’en apercevoir, souriant, dans le buisson qui le couvrait. La musique continua de le bercer quelque temps. Pour lui, parmi ses songes, elle était encore là, il voyait encore l’Elfe, sans oser s’en approcher. Il voulait lui demander son nom. Il aurait tant aimé savoir son nom. Il devait être aussi beau qu’elle était belle.

 

Une forte lumière le tira du sommeil. Il se redressa soudainement, se demandant comment il avait pu se laisser aller à dormir! Portant son regard vers la clairière, il fut chagriné car l’Elfe n’était plus là, pas plus que son doux chant. Il avait laissé place à celui des oiseaux. Il s’aperçut qu’une couverture reposait sur ses jambes, dans son réveil précipité il n’avait pas fait attention mais il avait dormi blotti dedans. Il n’avait pourtant pas pris de couverture, pensa-t-il. Il l’a prit dans ses mains. Il n’en avait même jamais vu de pareille, elle était si douce et de si parfaite facture. Elle était fine et légère, pourtant elle lui avait réchauffé le corps pendant toute la nuit. Dans un coin de la couverture était brodé un nom avec du fil vert. C’était le nom qu’il avait rêvé de connaître. Le nom de l’Elfe que le petit Guibol avait rencontré, Celebrindal.

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