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[Accepté]Demande de grade: paysan------>Zerda


zerda
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Hi everibody

 

 

You want to now my name, you want to see my face !? :

 

 

Je m’appelle guillaume, j’ai 18 ans, je suis étudiants, je suis petit, con, énervant, trapu, lent d’esprits, dislexique … et j’en passe. J’ai (beaucoup) joué à Warcraft , World of Warcraft (serveur RP) , Starcraft, et là je suis sur Minecraft.

Sur Minecraft, je joue sur la beta en solo depuis deux mois, bien sûr, Le solo de Minecraft

N’étant qu’un prélude des possibilités du jeu, j’ai décidé de m’attaquer à la branche « Rôleplay » du jeu.

Cela fait plus d’une semaine que je suis inscrit

 

Why minefield ? :

 

Car ce serveur est le plus abouti et la plus sérieuse question Rôleplay : la carte est très bien construite, la capitale m’a littéralement bluffée, les décors sont relativement cohérents ( ça reste des gros pixels qui tâche ), bref, les possibilités Rp sont immenses .

Le site est très bien construit, clair, précis et ultra complet (j’ai entretenu le site de ma guilde wow, donc je sais à quel point c’est dur d’entretenir un site).Chapeau à l’équipe qui s’en occupe

Le peuple de minefield est super, très actif, mature mais qui n’oublie pas que Minecraft est avant tout un jeu. Je pense sincèrement que ce profil de jeu se rapproche beaucoup du mien, j’espère donc bien m’intégrer.

 

By the way…

 

C’est chiant un vieux, c’est tout ridé, ça pue, c’est pas mignon du tout sa râle tout le temps et ça ment à longueur de journée, exemple : « de mon temps, les jeunes il faisait le ménage, la cuisine, la vaisselle, il ne sortait pas, il était respectueux envers leurs parents, mais ça c’est fini ». En plus ça prend de la place, ça nous ruine nos retraites, ça nous fait travailler plus tard, enfin bref : les vieux sont mauvais.

 

C’est lourd un gosse, c’est tout petit, ça parle pas, par contre braille tout le temps. Ca chie, ça bouffe, ça chiale, puis ça rechie, ça rebouffe, ça rechiale, puis ça rerechie… Et ça tout le temps. En plus, on impression qu’un gosse, c’est le centre du monde, quand il chie, on dit « bravo, beau caca » quand il bouffe on dit « C’est bien, mange bien ». Et quand il chiale on dit « Mais qu’est que ce-que ce ponpon de choupinet veut il ?» bien, il veut te faire chier ! Enfin bref : les gosses sont mauvais.

 

Les adultes, ça on en a dire des adulte, c’est ni vieux ni jeune, c’est au milieu ( aucune personnalité ), ça ne perd pas une occasion pour râler : « on travaille trop, Le président est mauvais, on va faire tous la grève pour des meilleurs salaires, Ils font chier les fonctionnaires à toujours faire grève. Tout de façon les politiques sont tous pourrit, je veux être payé au black. » Ça veut faire des marmos mais ça veut pas s’en occuper, ça critique les présidents mais ça vote pas, ça rêve d’amour mais ça bats sa femme. Enfin bref : les adultes sont mauvais.

ET MOI ? Moi je suis bon !

 

And my RP :

 

Zerda était heureux, oh, il n’était pas riche, pas beau, mais il était heureux. De toute sa vie, il n’avait vu que sa mère, sa mère et les moines du monastère dans lequel il vivait. Il en était scribe, cela le passionnait, lui prenait tout son temps, toute sa vie se résumait à sa bibliothèque. Il était le moine le plus érudit, ça c’est sur, mais de loin le moins pieu. Il ne croyait pas en dieu à vrai dire. Mais vivant sur une île désertique ou la seule habitation était le seul bâtiment, du moins à sa connaissance. Il lui était très dur de changer de vie. Ici il était nourri, logé, sa réputation et sa place dans l’équilibre monastique n’était plus à démontrer. Malgré ça, Zerda, trouvant que le monastère n’était pas assez puissant pour son ambition démesurée, envisageait de quitter l’île des moines, il se construit même une barque en bois, mais la peur de l’inconnu rendait impossible le passage à l’acte.

 

Mais un jour, ou plus tôt une nuit, le moine Arcam, un moine inconscient du danger la nuit, se prit un creeper en pleine figure et fit un trou dans la muraille, laissant au squelette et autre zombie l’opportunité de massacrer tous les moines. Cette nuit fut la dernière du monastère, en ruine. Zerda, bouleversé prit son épée, et sa tunique, et sans le dire à personne, s’en alla vers l’inconnu avec son radeau, le cœur lourd…

La traversée dans l’océan fut un calvaire pour Zerda. Il subit, les tempêtes, la faim, la soif, la peur, le froid. Mais un jour, enfin, il vit un continent. Affamé, mort de soif mais serein, Zerda avança vers la terre nouvelle, pour lui, une nouvelle vie commence…

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