[Accepté][Candidature] Pshoen

[Pshoen]

Salut à tous.

 

Mon ID est Pshoen, 17ans et lycéen.

 

Je joue à minecraft depuis pas mal de temps, au départ en version crackée (Oui je sais c'est mal, mais j'allais pas acheter un jeu que je ne connaissais pas, surtout à cause du côté assez surprenant de Minecraft)

 

Enfin bref, j'ai vagabondé de serveurs en serveurs, pour voir lequel allait me plaire... Je n'ai malheureusement pas trouvé mon bonheur.

 

J'ai beaucoup entendu parlé de MineField, beaucoup en mal, parfois en bon, j'ai vu pas mal de vidéos, visité le forum, j'ai vraiment bien apprécié la mentalité de ce forum. Il donne une image de Minefield complètement décalé avec ce que j'ai entendu dire.

 

Par la suite j'ai vu des vidéos, j'ai lu les règles, le petit côté RP... Franchement, tout ça m'a donné envie de venir, et certainement, de rester.

 

Ça c'était la partie : Pourquoi vous. Maintenant, pourquoi moi?

 

Honnêtement, sur ce point je vais avoir du mal à convaincre. Pas une très grosse expérience, architecte assez médiocre (manque de pratique), j'aurais du mal à travailler sur le côté esthétique de Minefield. Par contre, je suis toujours disponible, prêt à aider à n'importe quel moment, toujours là en cas de coup dur. De plus j'aime pratiquement tout les aspect de Minecraft (Agriculture, chasse, minage ect...), je suis donc assez polyvalent et ça peut toujours servir.

Je respecte toujours les constructions des autres, je ne suis pas un chieur.

 

 

Oookay, let's go to the RolePlay.

 

D'abord, précisons quelque trucs. J'adore le côté RolePlay dans un jeu, je trouve ça d'autant plus indispensable dans un jeu comme Minecraft.

Maintenant, concernant l'écrit, je manque cruellement d'imagination, je suis vraiment très mauvais écrivain, aucune inspiration pour le moment. Mais vu que c'est obligatoire, je vais me forcer, mais autant que vous le sachiez, ça va être purement et simplement à chier (Désolé)

 

EDIT : Je rase complètement mon ancien RP. Par respect pour vos yeux et vos cerveaux, j'en ai fait un autre, qui est toujours pourri, mais qui sonne mieux.

 

Bon je me lance (Assez classique, mais je ne pourrais pas faire mieux)

 

 

 

Ma vie était jusque là parfaite. J'habitais dans une petite maison éloignée, dans un petit village ou tout le monde se connaissait, il y regnait une harmonie aussi belle qu'une chanson de Daron Malakian (Comment ça ma comparaison est pourrie?)

 

J'étais un enfant tout ce qu'il y a de plus normal, j'adorais passer du temps avec ma famille, dans mon petit nid douillet. La routine de la vie ne m'atteignait pas et je vivais dans une béatitude agréable, optimiste et toujours là pour les autres, je me faisais du monde une image si belle et si innocente...

 

Je fêtais mes 17ans, dans la joie et la bonne humeur. Tout ceux à qui je tenais étaient là, devant moi, pour moi. Il faisait nuit, éclairée par quelques petites torches par-ci par-là, on riait, on chantait, on s'amusait sans se rendre compte de l'inévitable tragédie qui se préparaient.

 

Comme si nous avions un sixième sens, nous nous arrêtâmes tous de parler, plus un son ne sortait, nous avions entendu quelque chose, un chuchotement, un murmure malsain, j'avais froid dans le dos, mais rien à l'horizon.

En quelque secondes, ce fut l'invasion, des hordes de cavaliers, tenant à la main un objet que je n'avait jamais vu. C'était une sorte de lame comme avec celle qu'on égorgeait nos cochons, mais beaucoup plus grande, elle faisait presque un mètre!

Même dans l'ombre, je distinguais leur visages, un sourire aux lèvres, j'avais une sensation étrange dans le bas ventre.

La violence, la peur, je ne connaissais pas, je ne savais pas ce que c'était. Comme je le disais je vivans dans la béatitude la plus totale, la théorie de la philosophie optimiste s'appliquait parfaitement à moi. Nous étions dans le meilleur des mondes, rien n'était à améliorer dans ma vie et je n'avais rien à envier à quiconque.

 

Repassons donc à mon histoire. Des sourires effrayants, des regards perçants, ils avaient une certaine allure. J'étais vraiment anxieux. Je ne savais pas pourquoi ils étaient là, mais je me sentais mal, très mal, comme si quelque chose allait arriver, quelque chose qui allait bouleverser ma vie... Mon grand frère, quelqu'un que je respectais pour sa force et son courage, s'avança. Il en savait plus que moi sur cette histoire, et me chuchota à l'oreille "Prend cette lame. N'hésite pas à t'en servir".

A m'en servir? Pourquoi? Comment? Je le savais. Oui, en un instant, par la simple venu d'étrangers, j'ai appris les plus basses pensées. Je la serrais discrètement, le coeur battant.

 

Tout se passa en un éclair. Une épée, une tête, un cri, du sang... Une autre épée, un corps, un cri, du sang... Ainsi de suite. Je n'avais plus peur, j'étais complètement tétanisé. Je ne savais pas quoi faire. Je voyais mon frère, mon père, ma mère, toute ma famille se faire assassiner! Et moi? Je n'avais pas bouger le petit doigt...

Une épée, un cri, mon corp, du sang...

 

Du feu... beaucoup de feu... sur ma maison, celle de mes rares voisins. Ma vue se troublait, j'avais les mains plein de sang, et j'avais mal. Pire, je souffrais, autant pshysiquement que moralement. Je pleurais.

 

J'étais a terre, laissé pour mort. Grosse erreur. J'aurais préféré l'être. Je n'avais encore jamais perdu personne. Et là, il ne me restait plus rien. Rien? Si en fait. Une autre émotion, totalement inconnue me submergeait. La colère, l'envie de vengeance. En une nuit, la théorie du meilleur des mondes s'effondra. En une nuit, j'étais devenu un autre homme. Je frappa du poing sur le sol, je hurla, de toute mes forces. C'était un cri de douleur, de colère, de tristesse. Ma lame à la main, je me leva et couru, dans la direction de mes agresseurs qui étaient pourtant déjà loin.

 

Dans la foret, à toute vitesse, je ne m'essoufflais pas, je n'en avais pas le droit. Ils étaient partis à cheval, mais je m'en fichais. Devant moi se dressait une énorme porte violette, des bruits étranges en provenait. Je trébucha, la tête la première dans cette porte de l'enfer.

 

J'errais pendant trois long moi dans ce monde parallèle. Me battant, fuyant, j'appris plusieurs arts de combat, j'étais mutilé mais envahi par un besoin de vengeance. Des cicatrices se formaient sur mon visage.

 

Puis, ces trois long mois passés, je trouva une autre porte, la même, exactement la même. J'y entrais, d'un air sur et méprisant pour ce monde que j'avais quitté, et où je retournais. Epée à la main, je ne risquais plus rien, et je n'avais rien à perdre.

 

La porte m'emmena dans un endroit complétement inconnue. Une cité, une magnifique cité. Une émotion que je n'avais pas ressenti depuis longtemps : L'excitation, la joie. J'avais une rancune pour les hommes. Mais pas ici. Un surplus d'empathie peut etre. Ils avaient tous l'air heureux. Pioches à la mains, certains discutant, riant. Je ne savais pas quoi faire. Quelqu'un arriva devant moi, voyant mon état, me tendis la main, et tout les deux, nous allions dans une mairie.

J'étais à New Stendel et j'allais devenir Paysan

 

 

 

 

Fin du RP.

 

Je m'arrête là car ça va partir en sucette. Au moins, j'ai essayé. J'espère pouvoir vous rejoindre bientôt

 

 

 

 

EDIT : Alors là je suis vraiment désolé, j'ai mal lu le passage stipulant la période entre laquelle on s'inscrit sur le forum et laquelle on devient paysan... Je croyais que cela voulais dire notre première visite sur Minefield... S'il le faut, j'en referais une, encore désolé, attendre ne me dérange pas (Enfin...) et je n'avais qu'à mieux lire.

[Thorgrin]

Je valide.

 

Bienvenue sur minefield.

 

Thorgrin