edajima Posté(e) le 7 mars 2011 Partager Posté(e) le 7 mars 2011 Bonjour chers Minecraftiens ! Présentation IRL : Je me présente, je m'appelle Stefan, j'ai 16 ans et je vis en Rhône Alpes. Je suis Lycéen en 1ère BAC Pro Comptabilité. J'aime le sport et les jeux vidéo, je pratique le tennis depuis presque 7 ans. Je ne suis pas quelqu'un qui cherche l'attention, je suis bien comme je suis. Encore au bahut, je passe beaucoup trop de temps sur mon PC (c'est mal, très mal). Peut-être encore un peu jeune, mais déjà très mature et créatif, le pourquoi de mon attachement avec Minecraft. J'ai connue Minecraft, grâce au site JV.com et à mes 2 frères qui jouent depuis 3 mois. Scène RP : Le jour n'était pas encore levé et le ciel ne laissait voir à l'horizon qu'un rectangle de lune. Les premiers rayons de soleil ne tarderaient pas. Tout était calme. Les êtres qui peuplaient les environs dormaient profondément. Il faut dire que leur sommeil se trouvait d'autant plus profond que la nuit finissante n'avait pas pu leur fournir un repos complet, perturbé quelques heures plus tôt par une tempête d'envergure. Les plages, dont le sable fin permettait à l'accoutumée de dessiner un paysage radieux, étaient jonchées des résidus divers et variés que les vents orageux avaient rabattu sur les côtes au gré des vagues . Parmi ceux-ci se trouvaient les restes d'une embarcation réduite en lambeaux par les courants impétueux qui avaient sévi toute la nuit. Sous un amoncellement de sable et de bois fendu gisait là un individu dont la silhouette malingre laissait penser sans peine qu'il avait enduré un certain tourment. Daweed est son nom. C'est mon nom. Il s'agit de mon histoire. Non loin de là, un fermier et sa femme savouraient les quelques minutes de sommeil qui leur restaient avant que le devoir agricole ne les appelle. L'homme, prénommé Robert, semblait fait pour ce métier, à en juger par sa silhouette robuste et son air bourru. Il n'allait pas apprécier qu'on le tire du lit brusquement, alors qu'il se devait d'être en forme pour attaquer sa journée de travail. Ce fût des cris qui attirèrent son attention : " AU SECOUuUuuUR !... Si quelqu'un m'entend, je vous en suppliiiie ! Venez m'aideeeer !" "Grrrrunt" fut la seule réaction de Robert. "Robert... Tu dors ? Ch'crois qu'ch'ai entendu que'que chose..." sussura Paulette, sa femme. " ... ROBEEERT ! Ch'ais qu't'es réveillé, ch't'ai entendu grogner !" ajouta-t'elle. "Ouai cré-nom-di-diou... c'est bon Paulette, ch'vais voir !" répliqua Robert. Pendant ce temps, les cris ne cessaient pas. Cependant, celui qui les émettait semblait se fatiguer car l'intervalle entre chaque appel s'allongeait. Robert enfila quelques vêtements et se hâta hors de chez lui. Il suivit la direction de la plage, se guidant au son de la voix qui criait : "VENeeEeEEZ m'aideeEEr !". C'était ma voix. Robert ne mit pas longtemps pour retirer des décombres mon corps tuméfié, bloqué au niveau des jambes par une poutre qui composait naguère la charpente de la petite embarcation. Il ne fallut guère plus de temps pour me conduire à sa demeure, bras dessus, bras dessous, me permettant de progresser malgré quelques blessures. Arrivé au lieu-dit, il me fallut quelques jours pour retrouver mes esprits. Ce qui fut bien plus facile avec l'aide d'un lit et de repas chauds préparés par Paulette. Après quoi le couple d'agriculteurs fut ravi de me voir recouvrer mes forces. Robert était un homme un peu rustre, jamais sorti de sa campagne et peu enclin aux visites impromptues. Il me fallut lui narrer mon histoire. "Alors, comment ce fait-y donc qu'vous soyez attiri là près de chez moi, mon gars ?" lança Robert. "C'est une une drôle d'aventure, je vous assure !" et je commençai mon récit : "Je viens d'un continent lointain, au vu des cartes que vous m'avez montré, et j'ai vécu là-bas un véritable apocalypse. Je crois que peu de gens y ont survécu. Il s'agit en fait d'une sorte de virus. Il a touché subitement une grande partie de la population et s'est étendu très rapidement à l'ensemble du territoire." Le regard du fermier était impassible et il semblait dans l'attente, je poursuivis : "Il faut que je vous explique de quoi il retourne : Ce virus a pour effet de faire verdir la peau des individus le contractant. Puis ils se mettent à marcher à quatre pattes. Enfin, et c'est là que le bât blesse, les infectés explosent littéralement au contact d'individus sains et répandent à leur tour le virus. C'est pourquoi le chaos s'est vite installé... Imaginez ! En plus d'avoir à gérer une épidémie sans précédent, il fallait faire face aux dégâts provoqués par des explosions intempestives. Les hôpitaux furent vite réduits en cendre puisque les malades y explosaient. On peut dire que je reviens de loin." "Cré-nom-di-diou, vous'me parlez-t'y pas d'une chacrée histoire que vous m'raccontez là ! Mais ch'qui passe par chez vous, cha me dit pas ce que vous machiniez sur vot'bateau ?" s'interrogea Robert. "Effectivement, j'y viens. Voyant la situation catastrophique dans laquelle était plongé mon pays, j'ai rapidement décidé de prendre le large pour tenter d'échapper à la contamination. Mais après quelques jours de navigation, je me suis rendu compte que ma peau devenait progressivement verte. La panique m'a envahi et je me suis laissé dériver au gré des courants et des vents, bientôt à court de provision et ayant perdu tout espoir de salut. Je suis resté inconscient un moment, étendu au fond de mon bateau, baignant dans quelques centimètres d'eau de mer. Je ne sais pas si c'est le sel contenu dans cette eau, ou bien le temps resté à l'humidité, mais ce qui est sûr, c'est que j'étais guéri. Pourtant, j'ai senti une seconde fois le souffle de la mort quand la tempête a éclaté, me ballottant dans tous les sens. C'est alors que je me suis finalement retrouvé sur la plage et que vous êtes venu me sauver." Je ne sais pas si l'homme avait douté ou non de mon histoire, mais il répondit ainsi : "Et béh, toi mon gaillard, ch'est qu't'as l'air chacrément solide tout ben réfléchi ! Voila ! ch'te présente New Stendel, une très jolie ville, ch'est qu'tu pourrais même te construire ton prop' chez toi..." C'est ainsi que je fis mes premiers pas dans la ville de New Stendel. Cordialement Edajima. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thorgrin Posté(e) le 12 mars 2011 Partager Posté(e) le 12 mars 2011 Je valide. Bienvenue sur minefield. Thorgrin Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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