GloryFlix Posté(e) le 7 mars 2016 Partager Posté(e) le 7 mars 2016 Spécialisation : Fermier Nom de l'échoppe : Un air de campagne Localisation : Quartier fermier de Stendel Bonjour à tous, Bienvenue sur cette page qui a pour but de faire évoluer ma spécialité actuelle de maçon en fermier. Etant donné que ma dernière candidature remonte à Mai 2011, je pense qu’il est nécessaire de refaire un tour complet de mon personnage et mettre quelques infos à jour ! Cependant, si vous n’avez pas peur, vous pouvez aller voir mes précédentes candidatures, mais munissez-vous d’une bonne pelle et d’une lampe-torche : Candidature paysan Candidature citoyen Candidature commerçant Je suis étudiant en école d’ingénieur, en apprentissage, alternant donc entre mes cours et mon entreprise dans le but de devenir ingénieur motoriste aérodynamicien. Je travaille déjà sur les futurs moteurs d’avions de ligne, sujet avec lequel je peux parler pendant des heures mais cela risque d’être vite barbant pour vous. Je suis GloryFlix, joueur sur Minefield depuis 2011 (cela fera 5 ans dans une dizaine de jours). Je me considère donc comme un vieux du serveur, ayant vu celui-ci évoluer au fil des années. Voici d’ailleurs un petit récapitulatif de ce que j’ai fait sur Minefield : Après mon passage paysan, j’ai rejoint la toute petite communauté de Boréalis, qui à l’époque ne dépassait pas les 4 à 5 joueurs plus ou moins actifs. Le village est devenu peu après un réel projet, lui donnant une petite visibilité. Par la suite, j’ai pris la gouvernance de la ville qui n’a alors cessé de grossir jusqu’à atteindre une quinzaine d’habitants actifs. Entre temps, j’ai évolué en devenant citoyen puis commerçant, commerce qui à l’époque était beaucoup moins restrictif, en effet, les métiers n’existaient pas, chacun pouvait donc vendre ce qu’il voulait. Oui, ça date ! Lorsque la map de Stendel fut accessible, nous avons lancé avec la communauté de Boréalis la ville de Cérule, qui eut un succès immédiat, à ma plus grande surprise. Nous avions une population importante (une quarantaine de joueur), ce qui a facilité l’expansion de la ville. Par la suite, le poste de modérateur me fut proposé, poste que j’accepta. Je dois avouer que je suis un commerçant maçon moyennement actif. J’essaye de remplir mes panneaux dès que je le peux mais il y a souvent deux ou trois semaines entre deux ravitaillements, ce qui laisse bien souvent place à des ventes dans les premiers jours et des panneaux vides les semaines qui suivent. Mon commerce maçon en capitale est donc peu efficace à la vue des débits de marchandises que j’effectue. C’est un premier point. Deuxième point, je pense avoir fait le tour de cette spécialité. Elle fut très pratique par le passé, avec les nombreux toits céruléeens et fut un bon gagne-pain mais aujourd’hui, l’argent n’est plus un facteur clé dans ma vie de joueur. De plus, Cérule est aujourd’hui une belle ville mais peu peuplée, la demande d’ardoise est donc beaucoup plus faible : En conclusion, ce métier ne me correspond plus. Être fermier, c’est pour moi avoir une spécialité plus sereine, où la concurrence est moindre. C’est être moins contraint à faire du volume mais sans pour autant ne plus rien vendre du tout. C’est peut-être aussi revenir aux bases du jeu, que j’ai débuté il y a 5 ans ! La boucle est bouclée. Voici les premiers prix que j’afficherai dans ma boutique. Ils sont bien sûr sujet à évoluer au fil du temps. Tout d’abord, il faut savoir que j’aimerai vraiment que le quartier fermier soit un modèle pour la capitale en terme de cohérence architecturale. Je pense vraiment que celui-ci à un réel potentiel. En partant de ce principe, j’ai donc construit mon shop en m’inspirant de celui de Carlyto, que je trouve très réussi. J’y ai évidemment ajouté des touches personnelles mais le but premier et de créer comme dit plus haut une réelle cohérence dans le quartier, déjà bien entamée avec la restauration du shop admin. La façade : La façade : La face arrière : L'intérieur : Je n’ai pour l’instant pas construit en solo la partie souterraine du shop car il m’est difficile d’appréhender cette construction troglodyte sans être sur place. Le « Cerulia Ardenti » naviguait sur une eau calme, se dirigeant à vive allure vers la capitale Stendel. Ce fier bateau emmenait avec lui une belle cargaison d'ardoises, de briques et de tuiles, le tout en provenance de Cérule. GloryFlix était accoudé à la rambarde et regardait l'horizon comme il le faisait à chacun de ses voyages. Cette vue depuis le navire l'impressionnait toujours durant la traversée, comme s’il découvrait un nouveau paysage à chaque instant. La capitale n'était plus très loin et il décida d'aller rapidement faire ses comptes dans les quartiers de l'équipage. S'étant installé, il prit un parchemin et une plume d’oie et commença à énumérer chacune des ressources qu'il avait vendu dans la semaine. Son carnet de voyage regorgeait de notes de compte où il avait inscrit les ventes hebdomadaires de ses commerces. Caisses d’ardoises, vases et de nombreux blocs d'argile étaient les ressources les plus cités dans ses carnets. Il commença ses comptes et remarqua rapidement qu'il était de plus en plus riche et que ses ressources se vendaient très rapidement, trop rapidement sans doute car il n'arrivait pas à approvisionner chacune de ces boutiques convenablement mais surtout il était frustré de ne pouvoir subvenir à la demande de ses clients. Les premières ardoises étaient vendues le premier jour et le stock restant partait les cinq jours qui suivaient. Cela n’était qu’un exemple parmi la panoplie d'articles vendus mais il montre bien la difficulté avec laquelle GloryFlix devait approvisionner ses boutiques. Ce problème était d'autant plus important que les trajets entre Cérule et Stendel par bateau n’étaient effectués qu'une fois par semaine, ne laissant pas le temps à ce pauvre marchand de revenir à Cérule fabriquer ses marchandises et les transporter à nouveau vers ses magasins. Le premier réflexe qu'il eut fut d'augmenter ses prix se basant sur le principe d'offre et de demande que chaque commerçant connaissait sur le bout des doigts. Cependant les effets attendus n'arrivèrent pas et malgré une légère hausse des prix, les ventes continuaient toujours avec acharnement. GloryFlix dût encore et toujours approvisionner ses magasins et de plus en plus vite. Cette vie, bien que palpitante, commença au bout d'un certain temps à fatiguer notre protagoniste. Un jour même, ce rythme métro-boulot-dodo failli causer sa perte car dans la précipitation de la réception et de l'installation de sa livraison, il se fit une blessure importante au dos alors qu’il entreposait de lourdes caisses. Cela devenait trop dur pour cette personne, qui décida donc de fermer temporairement sa boutique afin de reprendre des forces et de s'occuper de tâches ne nécessitant pas de porter de lourdes charges au moins jusqu'à ce que son dos se rétablisse complètement. Afin de ne pas être totalement au chômage, il continuait à s'occuper cependant des toits de ses clients, qui venaient souvent se plaindre d'une quantité importante de mousse. GloryFlix fut comme toujours assez perplexe face à certaines toitures, remarquant que celles-ci étaient exposées plein nord, facilitant la prolifération de ces végétaux. Le traitement requis était simple : se baisser pour arracher une à une les plaques de mousse, qui plus est, sur d’importantes hauteurs. Cela était certes un travail physique mais celui-ci ne nécessitait pas de porter de lourdes charges. Le seul risque était une chute du toit, chose presque impossible avec l'agilité dont il faisait preuve. Les jours passèrent et GloryFlix remarqua qu'il avait de plus en plus de demandes pour nettoyer les toits, non pas que le travail final était bien fait, mais que les ardoises qu'il avait vendu étaient souvent propices à la prolifération des végétaux de type lichen et mousse. Les clients venaient quotidiennement demander un service pour le nettoyage du toit alors que celui-ci n'avait qu'une vingtaine de jours. La demande grandissante, notre personnage commença à se poser des questions. Quelle est la cause de la pousse de ses végétaux ? Comment se fait-il qu'un toit plein sud, qui d'habitude ne nécessite aucun entretien, soit aujourd'hui le terrain idéal pour la plantation de blé ? L’image était un peu forte mais c’était presque le cas ! GloryFlix était perdu... Plus rien ne se passait comme prévu. Sur son temps libre, il commença à enquêter dans les quartiers de ses clients, se demandant même si un enfant ne jouait pas avec ses nerfs en mettant de engrais et des graines sur les toits des Stendeliens. Il entama une ronde quotidienne de chacune des habitations de ses clients afin de suivre l'évolution des toitures et en définir ainsi la cause de l'apparition d'une telle vie végétale. Cependant cet effort fut vain car malgré les observations minutieuses, les toits se retrouvaient, chaque semaine, de nouveau verdâtres. C'était devenu inconcevable pour GloryFlix qui malgré tous ses efforts ne parvenait pas à découvrir l'origine du mystère ni à en atténuer les effets. Un soir d'hiver, à la taverne de Cérule, un inconnu entra. Il commanda une pinte de bière, venant par la suite s'installer à côté de GloryFlix, lui-même accoudé au bar. L'étranger commença à discuter avec le tavernier, parlant de la pluie et du beau temps. Notre protagoniste entra dans la discussion lorsque les métiers de chacun furent évoqué. L’inconnu était fermier dans les plaines de Bou’dumonde et se trouvait dans la région de Cérule pour découvrir des semences qu'il n'avait pas l'habitude d'utiliser. Il était en effet muni d'une sacoche remplie de graines de houblon, denrées que son village ne possédait pas encore. De bière en bière, la discussion continua sur le métier de GloryFlix, lui-même expliquant qu'il ne comprenait pas les problèmes qu'il devait surpasser. En finissant sa pinte, l'étranger lui annonça en plaisantant qu'il avait sans doute la main verte. Sur cette phrase, il quittait la taverne en jetant quelques pièces sur le bar. GloryFlix ne tarda pas à lui-même quitter ce lieu et alla se coucher dans son manoir non loin d'ici. La journée suivante commença, comme les précédentes, avec un tour quotidien des maisons et comme d'habitude, les toits s'étaient reverdis. Rien n'y faisait, c'était inéluctable. La déprime commençait à envahir le pauvre homme et les jours qui suivirent n'arrangeaient en rien la situation. Après une journée à s'en arracher les cheveux, GloryFlix se dirigea vers son lit, pensant une nouvelle fois à la situation qu'il vivait : de nombreux clients se plaignaient, les travaux de toiture s'accumulaient, le tout commençant à entamer la santé mentale de notre commerçant. Il se remit alors à penser à la rencontre qu'il avait fait dans cette taverne. Blague à part, avait-t-il réellement la main verte au point de faire pousser les végétaux sur des surfaces qui ne ssont pas du tout adaptées ? C'était un peu gros comme justification, limite irréel. Mais au stade où GloryFlix était, qu’avait-il à perdre ? Le lendemain, il se rendit dans les plaines agricoles de Cérule, choisissant un lieu peu cultivable pour la pousse du blé. Un sol sablonneux, peu irrigué, beaucoup plus adapté aux carottes. Il se donna un délai de quelques jours pour faire pousser ses plants. Il revint chaque matinée, plus par curiosité que par un réel intérêt et ne pu que constater qu'effectivement, ses plantations prenaient vie. Cela était presque incroyable, lorsqu'on sait qu'il n'avait pas prêté attention particulièrement à ces plantes. Cependant, GloryFlix était plutôt du genre scientifique et cette découverte ne suffisait pas à le convaincre d'un quelconque don. Il fit alors d'autres essais, dans d'autres circonstances, lieux, etc... Rien n'y faisait, en faisant le minimum vital, ses plantations trouvaient toujours le chemin de la vie. Le constat était là, GloryFlix était sans doute fait depuis le début de sa vie de travailleur pour être fermier. En tant que maçon, ses toits avaient certes toujours tendance à verdir mais ce phénomène s'était amplifié depuis plusieurs mois. Peut-être que la solution était toute simple : il n'était plus destiné à être maçon mais agriculteur dans les plaines de Cérule. Conservant la tête sur les épaules, il voulut tout de même faire une étude de marché pour voir ce que provoquerait un changement de métier sur son économie personnelle, mais aussi sur son potentiel santé, qui avait tendance à se réduire avec la dureté des travaux physiques effectués pour la gestion des marchandises de ses magasins et l'entretien des toits. Il fit un constat clair : être fermier est un moins bon gagne-pain qu'être maçon. Malgré ce désavantage, cette idée continua son chemin dans l'esprit de GloryFlix et commença à devenir entêtante pour lui. Il décida donc de faire le pas, de fermer ses boutiques temporairement et de se lancer dans cette nouvelle aventure qui semble pour lui beaucoup plus paisible que son actuel métier. Réussira-t-il à se distinguer dans cette nouvelle spécialité ? [/RP] ------------------------------------------------------------------- Voilà pour moi ce soir ! Merci beaucoup pour votre attention. En espérant vous voir en jeu ! GloryFlix. 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Nafiros Posté(e) le 11 mars 2016 Partager Posté(e) le 11 mars 2016 Coucou ! Je suis ici en cette fabuleuse soirée ou j'ai enfin déménagé pour soutenir mon cher Glory En effet cela fait déjà bien plusieurs mois que je fréquente la Team Cérule et que j'ai eu la possibilité de faire sa connaissance. Je peux donc affirmer que même si personnes n'en doutera Glory est un gars bien , honnête, et du moins que je sache actif. Il a su assurer en tant que maçon, je pense qu'il aura et qu'il a d'ailleurs toutes les qualités pour devenir un bon fermier ! Donc oui, pour moi c'est un +1 massif et bonne nuit x) amicalement, Nafiros. ps: je suis premier, y a du préstige. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Antenio Posté(e) le 11 mars 2016 Partager Posté(e) le 11 mars 2016 [justify]Bonsoir,Candidature acceptée, félicitations.…………Bon, voilà, c’était drôle, on s’est bien marré. « lol ».J’ai rencontré GloryFlix dès mes premiers pas sur le serveur en tant que vagabond, fin 2011. Il était alors jeune citoyen commerçant, dirigeant d’un sublime petit archipel new-stendelien ; il était encore tout mignon, insoucieux, innocent, adorable… Un jeune homme charmant, dirais-je donc. Nous voilà aujourd’hui, près de 4 années et demi plus tard. Force est de constater que nous nous sommes, a priori, plutôt bien entendus, au point même de se côtoyer toujours aussi régulièrement après tout ce temps.GloryFlix, ou Glory, ou Gloglo, ou Flifli, ou GF, comme tous ses amis les plus intimes l’appellent, est, avant d’être un homme d’exception, une personnalité exceptionnelle, un être de cœur. Qui, de nos jours, ne connaîtrait pas le fier GloryFlix, ne serait-ce que de nom ? Ce personnage extravagant, toujours vêtu de son fameux pyjama cyan et de sa crinière la plus blonde, a su faire tourner des têtes : il paraîtrait même qu’on se coiffant un matin, il se serait surpris à s’admirer dans le miroir, évènement qui aurait presque pu entraîner la formation d’un trou noir en plein milieu de sa salle de bain. Mais je m’égare, je ne suis pas là pour brosser un portrait de Mr. Flix, sa notoriété étant déjà suffisamment suffisante.Je ne vais pas m’éterniser sur les raisons du soutien que j’apporte à ce cher GloryFlix. Il exerce depuis déjà plusieurs années le commerce avec une grande attention, et sa retraite au plus profond des campagnes céruléennes sera marquée par des récoltes fructueuses, qui seront bien plus utiles pour des ventes que pour sa consommation personnelle. Après tout, la cité consulaire de Cérule a besoin de beaucoup de pognon pour ses futurs projets (envoyez CERULE au 82121 pour faire vos dons), et un bon commerce prolifique serait particulièrement utile pour ce financement.Ce bon vieux Glory est une personne de confiance, et lui accorder ce changement de métier lui permettrait de s’investir davantage sur le serveur, à travers les ficelles de la licence commerçante dans une spécialisation qu’il ne connait pas encore. Il n’y a aucun doute qu’il exercera avec merveille les arts du fermier. J’en appelle donc à ces chers gouverneurs pour l’acceptation de sieur Flix, avec mon plus grand soutien.Afin de conclure, je vais, à l’instar de mon collègue et ami qui ne s’empêche jamais de sortir fréquemment des citations de films, me contenter de citer un grand philosophe de la cinématographie française, qui, dans ses paroles, décrit tout à fait GloryFlix : quelqu’un qui est « au service de la communauté » et qui a fait un véritable « don de soi ».[/justify] Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ankorkibil Posté(e) le 11 mars 2016 Partager Posté(e) le 11 mars 2016 +1 parce que bloup. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Yann291 Posté(e) le 17 juillet 2016 Partager Posté(e) le 17 juillet 2016 Bonsoir, Changement de spé accepté, félicitat... Comment ça déjà accepté par un autre modo ? C'est une manière de me mettre à la porte en fait hein ? Hein ? Hein ? On me remplace par un jeunot ? ... Puisque c'est comme ça, je boude. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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