A Traverne'Ciel : La taverne aux multiples glaces qui vous feront monter au 7ème ciel !

[Alexas]

« En effet, ce doit être notre dernière rencontre en date ! Je vois qu'elle est toujours aussi impétueuse par ailleurs.

- Moi-même je reviens d'un assez grand voyage, entamé peu après le couronnement; dans les terres au sud. Je me suis dit que le voyage de retour serait l'occasion de découvrir ce lieu qui fait tant parler de lui. »

 

L'individu barbu scrutait à travers la fenêtre.

[DomFulmen]

 

En vrai, Ciel, dis-nous comment ça se passe, à quel point ces trucs sont résistants, s'ils ont des forces/faiblesses, combien de temps ça dure (est-ce qu'on doit tenir jusqu'à ce que ça se résorbe, est-ce que y'en a un certain nombre à péter, est-ce que y'a une autre condition de victoire ?), ce genre de choses, histoire qu'on puisse exploiter ça. ^^ Je compte faire un petit pavé anyway, mais si je sais ça ça m'évite de juste tous les dépop dès qu'ils viennent quoi. ^^'
(Du coup Alexas, suite de la discussion en même temps que ce fameux pavé ^^)

 

[CielNoir]

 

Alors quelques détails pour commencer :
- C'est rapide
- C'est plutot puissant (genre le truc ca te décapite avec le petit doight)
- Certain ont des pouvoirs plus hardcore (décharge d'énergie, résurection des autres mort à porter, onde sonore à faire peter les vitres et c'est à peu près tout)
- Point faible ? théoriquement si tu leurs transperce le coeur c'est bon
- Le temps que ca dure ? jusqu'à épuisement des stocks d'ennemies.
- Nombre d'ennemie ... entre 1 milliard et 1,5 milliards.
- Condition de victoire ? Faut arreter de croire au père noel.

- Good Luck and enjoy

 

[Alexas]

 

Tu animes les monstres ? Genre tu vas donner le signal de départ là et les manoeuvres ?

 

[spat63]

 

hrp:je pense qu'on ma oublié dans cette hisoire :,( ou c'est moi qui m'a oublié X).

 

 

Après quelque instant dans mes pensés, J'avais oublié que j'avais reentré dans la taverne. Je me dirigea vers maxi et lui demanda ce qui se passe.

[CielNoir]

 

Alexas : lors d'event avec des ennemies, bah en gros c'est un peu ce qui les combattent qui décrivent un peu les actions.
Pendant l'attaque du pingouin (qui a bien duré plus d'un mois) genre si Maxi l'attaquait, il pouvait en même temps dire qu'il frappait glandu ou ce genre de chose.
Après faut pas abuser en disant "Les bebetes arrivé, elle entrèrent dans la glacerie est bouffèrent tout le monde"
Faut laisser sa chance au autre, pas trop les entteré sous dix tonnes de merdes.
Voila en gros chacun décide un peu ce qu'elle font, sans abusé.
Et pis GO hein, là vous vous faite bouffer dans trente seconde si vous fait rien.

 

 

Narrateur : Elles approchaient, les plus proches étaient déjà plus qu'à une dizaine mêtres de la glacerie ... Certaine restaient plus en arrière semblait avoir compris le genre de barrière qui se dressaient là ... et choisirent donc une approche plus magique ... Une centaine se mirent à pousser des cris qui vinrent se heurter aux barrières, les endommageant grandement ... Quand d'autre créature encore se mirent à lancer simultanément des immenses décharges d'énergie ... les barrières cédèrent immédiatement ... Quoi que les clients décident de faire il fallait le faire vite : Les créatures s'était élancer telles des bêtes ... Un seul objectif, les tuer tous.

[Valeeryah]

Le narrateur ne semblait plus faire attention à ma présence et s'énerver contre ceux qui avaient créé cette anomalie. Je soupirais longuement avant de baisser la main et d'annuler mon sort. Rapidement, je sortis une craie blanche de ma poche et dessinais un cercle de magie protectrice sur le sol, un mélange entre de la magie antique, elfique et runique. Apposant rapidement mes mains sur celui-ci, j'assurais la protection des personnes étant uniquement dans la taverne. D'un geste las, je m'enveloppais dans ma propre bulle et je m'asseyais proche du comptoir dans l'unique but de regarder ce qu'il pourra bien se passer.

[maximawiti]

[hrP]Je vais faire ce que je peux mais je suis pas sensé avoir un portable dans cet internat, donc c'est assez tendu[/hrP]

[DomFulmen]

 

Voici une petite liste de musiques d'ambiances pour vous, si ça vous amuse (et ça vous fait découvrir de bonnes OST si vous les connaissez pas, tant qu'à faire) :

 

 

 

 

 https://youtu.be/bZz74yFLkvg

Have fun !

 

 

Deuxième spoiler pour ceux qui veulent combattre : je prends la liberté de commencer et finir le combat, mais je laisse plusieurs moments de mous où je vous laisse détaille votre point de vue de la bataille à ces moments-là. Logiquement ça devrait être assez large pour que vous ayez des points de repère temporels avec mon truc, mais assez libre et avec laaaaaaaargement assez de bestiaux (1.5 milliard quoi, lol) pour que vous vous amusiez sans que mes destructions de masse soient amoindries ou vous enlève tous le fun pour autant.
En conclusion, je me permet de faire ça d'une traite pour que ça dure pas des plombes (et vu que pas mal de gens sont pas super motivés et/ou peuvent pas), mais je laisse largement assez de mou pour que vous puissiez amplement participer et faire des trucs largement aussi craqués de votre côté sans que ça remette en question vos versions comme la mienne, dans un sens comme dans l'autre. C'pas comme si on manquait d'ennemis. Du coup je scénarise juste un peu le truc.

 

 

Cent ? Cinq-cent ? Mille ? Davantage ?

Sept directement sur moi, une horde noire, mouvante et hurlante derrière eux. Je soulevai ma tasse au-dessus de ma tête et la relâchai.

Les mains furent coupées d'un moulinet. Deux derrière moi. Un cercle, et ils furent tous tranchés. Sauf un, sur moi. J'avais toujours de l'élan, l'éjectai d'un coup de talon, tendis ma main. Une lame invisible le transperça, puis s'écarta, le déchirant de tous côtés. Je me rassis et rattrapai la tasse.

Les corps se décomposèrent en une fumée nauséabonde. Faibles. Bien trop faibles ; mais bien trop nombreux. Et presque intelligents : une horde ignorait désormais toutes les autres cibles et se précipitait sur moi, tandis que le reste accumulait de l'énergie dans gueules et paumes. Une myriade d'étoiles violacées prêtes à me transpercer. Je soupirai et vidai ma tasse d'un trait. Je me levai et fit quelques tours de poignets, inspirai et jetai un regard assassin à la horde, parfaitement calme. J'aperçus quelques unes des créatures les plus proches tressaillir, et comme hésiter l'espace d'un instant.

 

—————

 

Je considérai le nain avec un sourire et soupirai. « Ma foi, comme tu vois, ce repère de fous n'a pas chapardé sa réputations. » Je jetai un rapide coup d'œil derrière-moi. « Ce genre de choses arrive un peu trop souvent à mon goût. » Je me concentrai quelques instants, tendis la paume face à la table. Une chope pleine apparut, et je souris. « Je t'invite à savourer cette bière de mon pays, elle devrait te plaire, je pense. En attendant, si tu veux bien m'excuser... » Je me levai et repoussai paisiblement la chaise. « ... ça ne devrait pas prendre bien plus que le temps que tu la finisse. »*

 

—————

 

« Depuis quand es-tu devenue une démone toi-même, ma fille ? »

Je sursautai presque, et considérai le sourire crispé de mon visage, les dents découvertes, aussi serrées que mes mâchoires, les yeux écarquillés et lançant presque des flammes. Je me retournai vers lui. « Tu peux parler, mon père. » Il me rendit mon sourire, dégaina, et fusilla la marrée à son tour. Un vent spectral, froid comme la mort, se dégagea de nos corps inondés par la magie, puis une seconde, puissante comme un ouragan, qui souffla toute la première vague. Mon père était mis en jambe. Toutes les créatures s'arrêtèrent l'espace d'un instant. Dom écarta les bras d'un air de provocation et éclata de rire. « Alors ? Venez ! Non, personne ? »

Rien.

Rien, à part mon père, cent mètres plus loin, l'épée dans la tête d'une créature, au milieu de la horde. Un tour sur lui-même. Une explosion de fumée de tous les cadavres, vite soufflée par l'aura de magie qui l'enveloppait. Il regarda lentement toutes les créatures autour de lui, sur les bords de l'énorme cercle à présent créé dans l'armée de monstres, l'air plus furieux que jamais. « Des anomalies pour avoir contrarié "l'histoire" ? Faites-moi rire. Les Fulmen n'ont que faire de l'histoire. Vous continuez d'apparaître ? Parfait ! Venez encore, parce que je vais briser l'histoire en vous tuant tous. » Aucune réaction. « VENEZ ! »

Il resserra le poing, et ainsi comprima avec une multitude de cris d'horreur et de terreur toutes les créatures présentes vers l’inexistence, aussitôt remplacées par des centaines, des milliers d'autres, prêts à éliminer ce nuisible. Je vins près de lui. Les créatures apprenaient, et j'en trouvais ça adorable. Nous fûmes dos à dos, entourés de la plus grande armée que, je crois, aucun monde n'ait connu, tandis qu'une multitude de projectiles fusèrent sur nous, sans le moindre scrupule pour les alliés sur lesquels ils étaient aussi tirés.

Plus loin, j'aperçus le dragon et le dragonnier se battre. Sa lame s'approcha d'une tête pour la trancher.

Je projetai mon esprit, et englobai toute la zone de mes pensées. Ces créatures ne vivaient pas. Elles étaient intelligentes, certes, mais n'avaient ni espoirs, ni sentiments. Ni rêves. Je souris davantage. Je saisis toutes les sources magiques, chaque projectiles. L'espace d'un instant, je sus leur nombre, lors de cet éclair fugace. Je levai la rapière au ciel et, telle la chef d'un gigantesque orchestre destructeur, l'abaissai d'un lent et souple mouvement, signe du départ de la symphonie destructrice de l'apocalypse. Chaque projectile sortit de sa trajectoire et retomba telle une pluie de mort sur l'armée, visant un cœur ou une tête. Tout explosa. Mon père leva la main, et protégea le bâtiment et tous les occupants, ainsi que le dragon et le dragonnier.

Ce dernier trancha la tête disparue d'une créature partie en fumée.

Une énorme volée de projectiles volèrent vers moi. Rapides. Plus que les précédents. Presque aussi rapides que moi.

Presque.

J'écarquillai des yeux grands ouverts, appelant à tout le savoir de mon sang ryalkan, et brandis ma lame devant mon père accroupi. Le premier arriva, aussitôt dévié, suivi du deuxième. Trois, quatre, sept. Il m'apparut bien vite que poursuivre mon élan était plus rapide que faire un mouvement inverse. Je parai un tir à l'épaule gauche, sautai de côté en esquivant un tir qui vint se briser sur le bouclier de l'auberge, puis parai un autre qui visait ma jambe droite à l'issue de ma rotation. Je tournai dans un sens, dans l'autre, voletai de haut et de bas, d'avant en arrière. Le manche d'Hexalon, envoyée par mon père, passa près de moi, et je m'en saisis, tournoyant de plus belle en une tornade impénétrable, en un ballet de lames volubiles sur lesquels la magie glissait, se brisait, ou repartait vers la masse grouillante qui semblait ne jamais se tarir.

Dans une dernière action, je fis un arc de cercle d'Hexalon devant moi, de celle qui tranche même le vent ; chargée de magie, vive et spectaculaire comme elle l'était, elle faucha la horde, nous laissant quelques centaines de mètres et quelques secondes de répit. Je reculai d'un pas en faisant sauter Hexalon de ma paume, qui fut rattrapée dans un nouveau fauchage par mon père, et je me rassis pour me servir une nouvelle tasse de thé, dont je pris une prudente gorgée.

Il était bouillonnant de magie, les yeux entièrement blancs et semblant émaner une lumière céleste. Ses longs cheveux attachés en queue voletaient, soulevés par le dégagement surréel de pouvoir qui s'épanchait de lui.

 

La Magie des Rêves est la plus puissante, la difficile, mais aussi la plus dangereuse qui existe.  Dans un rêve, tout peut arriver, et certains utilisateurs instinctifs de cette magie peuvent contrôler leurs rêves, et ce principe est reporté à notre monde. le monde des rêves dont on tire la puissance de modification nécessaire est un monde fugace, ce qui explique la difficulté et le long temps d'apprentissage pour y accéder. Mais, une fois atteint, il permet tout, et sans aucune dépense d'énergie, sans nécessiter de signe, de geste, de rune, de support ou d'incantation. Néanmoins, cette magie nécessite une gigantesque concentration, car si elle pourrait mener à la disparition du monde lui-même, l'utilisateur devrait pour cela imaginer toutes les conséquences de la disparition du monde, imaginer tout ce qui disparaîtrait, comment, et quels impacts cela aurait. Ainsi, il est jugé presque impossible d'en arriver à de telles extrémités.

 

Néanmoins...

 

C'est chargé de toute cette puissance et après avoir passé les instants que je lui avait offert à imaginer ceci que mon père s'avança, l'épée tendue vers la masse hésitante. il se concentra quelques instants encore, et relâcha toute la puissance destructrice de sa magie à travers sa lame, en un faisceau de lumière qui traversa toute la horde et pénétra le brouillard duquel ils sortaient. D'ombres mouvantes, les monstres touchés s'illuminèrent d'un blanc plus pur que la neige qu'ils foulaient à leurs pieds, et s'évaporèrent en transmettant leur virus mortel et flamboyant à leurs voisins. Alors que l'apocalypse se désintégrait, le brouillard s'illumina à son tour, et le ciel fut bientôt plus blanc qu'un ciel nuageux lors d'un jour de neige, et presque éblouissant.

Puis, plus rien.

Le brouillard et le monde des créatures derrière lui, quel qu'il soit, avait brûlé dans les flammes de la magie de mon père.

 

Je soupirai en appréciant le calme, et retournai à l'intérieur, la table et le fauteuil flottant derrière moi. Je m'installai et pris une nouvelle gorgée de thé.

Non loin, Alexas finit la choppe, et mon père le rejoint à sa table.

[CielNoir]

HRP : je reprend post war, je n'ai rien à ajouter sur cette épisode.

 

Narrateur : Le Narrateur trainà sa chase jusqu'à la table de Seïra pour lui resservir du thé : "Très belle démonstration madame ... Nous ne sommes jamais décu par un Fulmen" Toute fois le Narrateur savait que tout n'était pas encore regler : l'anomalie était toujours présente. Se Tournant ves Dom qui revenait de sa besogne il lui tint ce language : "Tant que vous y êtes vous pouvez me ramenez les anomalies ? J'en fais la collection" Après tout ... ca ne lui avait pas pris tant de mal d'annihiler une horde de plus d'un milliard alors me ramener quelques petites boules bleus d'énergie pure et instable ... ca ne devrait pas trop l'handicapé. Finalement, même un évennement pouvant mener à l'extermination, la destruction, l'annihilation, l'explosion, la disparition, l'implosion sans même préciser la fin du monde, cela s'était bien passé. "Un sucre avec votre thé Seïra ?"

[DomFulmen]

 

Petit bonus pour ceux qui ont tout lu : pour moi Seïra qui dévie des sorts, ça ressemble à ça :

En espérant en avoir fait une description convaincante

J'opinai du chef. « Avec plaisir, et un peu de lait si possible. » Je fermai les yeux et appréciai ce moment de calme, ma tasse à la main.

Mon père eut un grognement de dédain. « Si vous en voulez, vous pouvez toujours aller leur en chercher. Moi je passe. Je m'en suis mêlé et c'est déjà bien assez. »

[Valeeryah]

La bataille fut finie plus vite que je ne l'aurais cru et j'admirais la prestance de la demoiselle qui en grosse partit avait mis un terme au problème. Je m'avançais vers elle, un air las sur le visage, faisant une fois de plus éclater ma bulle de protection. Elle me rappelait fortement quelqu'un et le mot "Fulmen" arrivait que trop souvent a mes oreilles. M'approchant d'elle, je baissais les yeux vers sa chevelure blonde et ses grands yeux bronze.

 

"- Mademoiselle ? Vous me permettez ? J'ai cru entendre par plusieurs fois le nom "Fulmen". Vous connaissez, je suppose ?"

 

Je pris la chaise la plus proche et fit mine de vouloir m'asseoir près d'elle, la dévisageant de mes yeux ocre.

[Alexas]

« ... ça ne devrait pas prendre bien plus que le temps que tu la finisses. » avait dit Dom avant de s'éloigner.

 

Alexas se lécha le coin des lèvres avant de s'emparer de la chope d'un geste lent. Il la porta à sa bouche et savoura longuement une première gorgée.

« Hum, pas mal du tout ! Il faut absolument que j'en ramène au pays. »

Il observait à travers la fenêtre le combat acharné que menaient le père et sa fille avec un sourire amusé.

« C'en est presque artistique... »

Dans la rage du combat au-dehors, il sembla que le dragon nommé Zéphyr donna une impulsion si violente des ailes que plusieurs créatures furent projetées dans les airs. Certaines s'écrasèrent mollement sur la façade de la taverne, et le Nain sursauta lorsque le crâne de l'une d'elles s'écrasa sur la vitre. Il ricana à ce spectacle en reprenant une gorgée du breuvage foncé. Soudain une hideuse forme blanchâtre se dressa et traversa la fenêtre de tout son long en hurlant entre ses dents démesurées. Alexas fut bousculé et chavira en arrière, renversant une chaise. Il déglutit en voyant l'infâme difformité tendre sa langue, étendue sur ses jambes. Il attrapa ce qui lui vint à portée de main pour le jeter sur ce qui semblait être la face du monstre. En l’occurrence, ce fut un reste de sandwich thon/salade qui s'écrasa sur l'amas de chair qui ne sembla pas incommodé.

« Fait chier ! » Non découragé, le Nain saisit une drôle de pierre dans sa poche de manteau et l'abattit. Un faible "bonk" se fit entendre et la créature se redressa légèrement en hurlant de plus belle. Saisissant l'ouverture, Alexas lança son pied dans son abdomen et se leva en attrapant une hachette à sa hanche. Il fit un mouvement horizontal qui trancha l'abomination à la moitié de la bouche. « Ha ha ! » La célébration fut de courte durée car deux autres créatures se lancèrent à travers la fenêtre brisée. Il bloqua l'une d'elles avec son bras gauche et enfonça sa hache dans son flanc. Peu de sang s'échappa de la blessure et la bête lança son bras tel un fouet sur le Nain. En reculant, il prit sa hachette à deux mains et fendit la tête de la monstruosité en deux. Il tourna le regard à temps pour voir deux rangées de dents spectaculaires devant son visage; mais un client d'une table voisine abattit un gourdin sur le crâne qui s'enfonça. « Euh, merci ! » Une autre bête était rentrée et tenait vigoureusement sa jambe. Alexas attrapa la chaise précédemment renversée et dans un magnifique mouvement de swing l'abattit avec fracas sur la créature qui devint inerte.

 

De grands bruits s'étaient faits entendre dehors et l'assaut semblait arriver à un terme.

Par ce qui semblait être un miracle, la chope se dressait toujours sur la table avec son fond de bière. « Ooh,  je te remercie Kadrika pour cette attention particulière ! »

Alexas vida d'une traite ce qui restait en haletant alors que Dom revenait dans la salle.

« Hé camarade ! J'en ai eu trois, et toi ? Combien de milliers ? »

 

 

EDIT HRP : Mince vous avez posté entre deux

 

[maximawiti]

-Pas le temps de t'expliquer Spat, répondis-je au Seigneur qui vint me rendre visite, contente toi d'en massacrer le plus possible, j'espère que tu as pense à te munir de ta fameuse Lame!

 

Les Fulmen s'en mêlent, bien...

De mon côté j'invoquai mon ultime ressource: la création. Or quoi de mieux que la Lumière pour combattre l'ombre.

 

Un seul instant me suffit pour nous transformer en véritables étoiles miniatures, Zéphyr revêtit l'apparence du Phœnix tandis que qu'une aura flamboyante beaucoup plus puissante que la normale m'enveloppa de son éclatante lueur.

Mes Lames doublèrent de longueur et mes Ailes semblèrent s'illuminer plus encore qu'à l'ordinaire.

10 mètres, c'est ce qu'il nous restait avant l'impact, alors qu'à notre se déchaînait déjà la Magie ryalkanne. Nous n'attendîmes pas qu'ils prennent l'avantage, je passai à l'offensive directement. Alors que Zéphyr crachait ses Flammes en arc de cercle dans le but avéré de nous cacher à la vue de l'ennemi, je plongeait dans le torrent de Feu, m'aidant de mes Ailes pour me donner une impulsion suffisante me permettant d'atteindre ces monstres d'une seule foulée.

Je dis alors décrire à mes Lames des courbes mortelles virevoltant d'une tête à l'autre, passant les corps animés en poupées lestes et sans vie aucune. Lorsqu'un monstre plus petit passait à ma portée je m'aidais de sa faible hauteur pour décoller rapidement et survoler brièvement la masse avant d'atterrir dans un groupe quelque peu moins compact.

 

Un problème se fit rapidement sentir: ces quelques escarmouches n'étaient pas suffisantes face à la masse inépuisable d'anomalies sortant sans cesse de l'ombre, et même avec l'appui de Zéphyr qui réduisait en cendres quelques dizaines de monstres à chaque souffle nous n'étions pas encore assez rapide, il me fallait quelque chose qui puisse éliminer presque instantanément de grands groupes d'ennemis... Bien sûr.

 

D'un bond je rejoignis les abords de la Traverne puis me tourné face aux hordes qui l'espace d'un instant interrompirent leur course face à l'homme seul, Lames baissées qui leur faisait face. Soudainement mon Aura, qui s'était jusqu'alors doucement épuisée, s'anima d'une nouvelle vigueur et je martelai d'un coup fort le sol du pied. De nombreux pitons rocheux en jaillirent aussitôt puis s'enflammèrent dans les airs, au-dessus et autour de moi. Les monstres étaient déjà tout proche lorsque je brandis une de mes Épées dans leur direction, chaque roc suivit mon mouvement à l'unisson et foncèrent embrocher plusieurs dizaines de créatures à la fois...

Je répétai l'opération plusieurs fois tout en avançant vers l'armée qui, sous les assauts combinés de nos Pouvoirs à Zéphyr et moi, reculait progressivement jusqu'à atteindre l'orée de l'Obscurité.

Je savais ne disposer que de quelques secondes de répit avant qu'une nouvelle vague ne nous submerge, Zéphyr et moi en profitâmes alors pour lancer une dernière offensive, il se plaça à mes côtés et nos Auras se combinèrent. Je saisis mes deux Lames et les plantai de part et d'autres de mes jambes tandis que Zéphyr lançait un rugissement antique et vibrant de Puissance. De nombreux rochers se soulevèrent alors du sol derrière nous, eux aussi enflammés, mais en beaucoup, beaucoup plus grand nombre que n'importe quelle salve que j'ai pu envoyer auparavant, je me relevai doucement, en laissant fichées mes Épées dans la pierre tandis que le processus dans notre dos était toujours en cours. Cette fois nul besoin de geste pour matérialiser ma volonté, elle fut tellement intense qu'il me suffit de foudroyer l'armée qui recommençait déjà à ressortir pour qu'un déferlement de roches et de feu les engloutissent et commence à s'attaquer à la paroi, Dom acheva de détruire l'anomalie et j'en profitai pour me trainer avec le peu d'énergie qu'il me restait jusqu'à la Glacerie pour y faire un somme qu'il me semblait avoir amplement mérité...

[CielNoir]

HRP : non mais tu peux alexas, pas grave, nous on est en post war, mais toi tu peux encore te battre (en considérant évidement que c'est pas finie, c'est à dire en considérant que ca se passe avant nos paroles à nous)

 

Narrateur : "Bon est bien ... Et c'est à ce moment que les anomalies apparurent devant le narrateur pour se glisser dans les bocaux à lucioles de ce dernier" et c'est ce qu'il se passa comme narré une force indéscriptible : Les anomalies vinrent d'elles même se ranger dans de petit bocaux vitré qui vinrent troné sur la table qui séparait le Narrateur de Seïra ... et qui maintenant était aussi approché d'un viel ami ... "Ne brisé pas les bocaux, même si je doute que vous arriviez à casser un verre de narration mais tout de même"

[DomFulmen]

HRP : On attend la suite du coup Pour Alexas : On va dire que je t'ai posé la question là, on va la refaire en mieux

Je pris place à ma table et considérai mon ami le nain quelques secondes, tentant de reprendre mes esprits. J'étais encore vibrant de pouvoir, et je doutai que me toucher maintenant fusse une bonne idée. « Cent, mill, dix-mille, davantage ? Peu importe, c'était beaucoup trop, et bien trop de fourbi à mon goût. Mais, où en étions-nous, mon ami ? Comment étaient les terres du sud ? »

 

—————

 

« Mademoiselle ? Vous me permettez ? J'ai cru entendre par plusieurs fois le nom "Fulmen". Vous connaissez, je suppose ? »

 

Un elfe. Le regard inexpressif, l'air vidé ; je n'ai jamais aimé cette attitude qu'ont la plupart des elfes à regarder le monde avec un tel détachement de part leur grande longévité. Je soutins son regard insistant, et ne manquai pas d'y voir une trace d'intérêt. Et, loin, très loin, une maigre étincelle d'espoir enfouie. Apportée par mon nom ? « Bien sûr, oui. Je m'appelle Seïra Fulmen, et mon père Dom est le grand blond qui fait de la destruction de masse, à la table juste là. »

[CielNoir]

Narrateur : Des fois le Narrateur aimerait bien être un personnage ... un vrai ... et pas juste un touriste naviguant d'histoire en narration ... de multivers en éternité. Son Amie ... Seïra ... Dom ... était-ce une simple impression ... ou son incapacité à réelement influé dans ce monde réduisait ses interractions avec le monde ? Tous l'ignoré ... peu à peu ... et un jour il sortirai de leur histoire ... et s'ignorera lui même. Le Narrateur fut instantanément plongé dans une immense et profonde mélancolie ... comme tombé dans un terrier sans fond dont il ne savait pas si il pourrait s'en sortir ... Il se mit donc à servir le lait de Seïra pour changer d'idée.

[Alexas]

Alexas était amusé de voir Dom ainsi échauffé par le combat

« Eh bien je dirais qu'elles étaient... Instructives.

- J'ai pu ramener plusieurs babioles et échantillons divers que j'ai hâte d'étudier à tête reposée une fois rentré.

-Voici l'un d'eux » Le Nain ouvra une des nombreuses sacoches accrochées à son torse pour en sortir quelques petites feuilles de plante à nervures bleues.

[Valeeryah]

Je regardais cette jeune femme me répondre, je sentais en elle une pointe de réticence à mon égard. Je pouvais comprendre que le commun des mortels avaient du mal avec les être immortels tel que moi, et j'inclinais la tête légèrement en signe de respect. J'approchais la chaise de sa table et m'assis avec lenteur tout en gardant dans mon champ de vision la jeune dame.

 

"- Dom vous avez dis ?"

 

Je continuais à la dévisager sans vraiment réagir. Puis, chose n'étant pas coutume, je m'essayais a sourire, ce qui devait donner quelque chose d'effrayant.

 

"- J'ai connu un enfant qui s'appelais comme cela il y a fort longtemps. Je n'ai pas eu le plaisir de le revoir depuis, je suppose qu'il a dû grandir et devenir un homme, mais surtout avoir sa propre famille. Je suis en quelque sorte son oncle, Edward Curtis. Enchanté demoiselle Fulmen."

[glandudu68]

   Le temps d'un éclair, la vague avait été battu. Ma vue, encore trop flou ne me permis pas de voir le combat en détail, mais aucun doute sur le fait que c'était le chevalier venu de Ryalkan qui avait fait la plupart du travail. L'apparition de mon double avait puissé dans mes plus profondes réserves d’énergie, j'étais lessivé par cela.

"Narrateur ? Une glace à la seiche s'il vous plait... Cela me fera le plus grand bien. dis-je faiblement."

Je me dirigea vers le bar alors en titubant légèrement, juste le fait de marcher était un supplice à surmonté. Je regarda un moment la salle d'un œil vide et sans expressions, tous ces combattants plein d'ardeur, dévolu dans leurs quêtes d'un monde meilleur et d'un avenir paisible. C'était un beau but à atteindre.

 

EDIT : Je ne savais pas comment cela s'écrivait et j'avais pas le temps de voir donc j'ai écris une périphrase ^3^

[DomFulmen]

 

 

mais aucun doute sur le fait que c'était le chevalier venu du pays des rêves qui avait fait la plupart du travail

Dom vient pas du pays des rêves (et c'est pas vraiment un pays ou un monde en soit de fait, plus un "monde immatériel"), il vient de Ryalkan, dans un autre plan assez semblable à ceux qu'on connait. Le seul truc c'est qu'il est capable d'utiliser la magie des rêves, qui est un peu la magie ancestrale de sa race en gros. ^^

 

 

EDIT : Ajout de mes réponses.

 

—————

 

Je m'emparai de l'une des feuilles par la tige et l'observai quelques instants sous tous les angles. Puis je reportai mon attention sur Alexas. « Fascinant, je n'ai jamais vu une telle couleur. Qu'est-ce ? Ont-elles des propriétés quelconques ? »

—————

 

Je remerciai le narrateur, et y ajoutai un sourire. Son air triste me déconcerta tout de même, et j'hésitai à lui poser la question ; néanmoins, un autre invité se trouvait à la table. Je reportai mon attention à son encontre et continuai à soutenir son regard. Je considérai son sourire un instant – forcé, mais l'intention était louable. « De même. Cela ferait donc de vous mon grand-oncle ? Si vous ne l'avez pas vu depuis qu'il était enfant, cela doit faire au moins trois siècles. » Je sentis l'attention que nous portait mon père. Il ne nous jetait pas un œil mais ne perdait pas un mot de l'échange. Je me demandai à part moi pourquoi cette réserve.

[Alexas]

« Elles poussent tel le trèfle, sur un sol forestier. J'ai constaté une légère effervescence au contact de la pluie mais je n'en sais pas plus; il faut que je l'analyse pour savoir si une quelconque utilité peut y être trouvée. Dans le pire des cas, elle fera peut-être une bonne tisane ! »

[CielNoir]

Narrateur : Tout était redevenue calme ... en un instant ... et désormais tout le le monde revaquait à ses conversations ... Pendant que tout le monde l'ignorait d'un oeil semi-attentif, le Narrateur sirrotait son thé tel un extravaguant, désormais en équilibre sur le dossier de sa chaise, elle même en équilibre sur un seul de ses pied. D'une main il tenait la tasse et de l'autre il tenait un livre qu'il semblait lire. La scène était étrange mais après tout ... n'étions nous pas dans la Traverne'Ciel ?

[Pencroff]

Visiblement, je m'étais rendormi dans mon coin.

Le réveil fut plus doux cette fois, puisque le calme semblait être revenu; et je me remit droit sur ma chaise.

Je regardai mon verre, et constatait que le peu de liquide qui restait dedans avait gelé.

Sans prêter attention aux conversations autour de moi, je me perdit dans mes pensées. machinalement, je

saisis mon verre, le retournait et tapotait dessus pour en faire tomber le glaçon circulaire de ce qui fut mon whisky.

Je ne savais pas combien de temps avait duré ma sieste, mais peu m'importait; j'était trop occupé à me labourer

l'esprit. J'avais récemment perdu six hommes dans une mission de reconnaissance, et quatre autres dans une

embuscade. Mon régiment n'avais jamais connu de pire semaine, et je n'avais plus perdu autant de camarades

depuis la bataille de Marie Nyan-cat. Le poids d'une certaine responsabilité pesais sur mes épaules; et je revoyais 

dans mon esprit embrumé les scènes de combat. Entre autre, l'image d'un jeune soldat qui chevauchait à mes cotés

durant la charge, et qui avait été fauché en pleine course par une flèche. j'entendais encore le bruit sourd que fit son

corps en tombant de sa monsture, lancée au galop. 

Le reste de whisky gelé se décollé du fond de mon verre; et le glaçon vint se briser sur la table.

[CielNoir]

 

 

 

le glaçon circulaire de ce qui fut mon whisky.

Tu pense qu'il fait combien niveau température dans la glacerie ? Non parceque à t'écouter il doit faire minimum -30°C (environ)

Le Whysky est un alcool à environ 40degré ... donc pour qu'il gèle faut largement descendre en desous de 0 ^^

Donc bon ... je sais pas comment tu as fais, mais c'est pas la faute de l'endroit ^^. *fuit après ce point de physique-chimie*