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A Traverne'Ciel : La taverne aux multiples glaces qui vous feront monter au 7ème ciel !


CielNoir
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Je me relevai et me retournai:

-Quel Dragon des Gl.. Ah! Oui... Mince...

Je pensais qu'il disparaitrait comme les autres, ça n'est pas le cas donc? Bah, il doit être en train de voler aux côtés de Zéphyr... T'es-tu décider à me dire ce qu'il s'est passé? Ou vas-tu rester enfermé dans tes Glaces?

 

Cela n'était pas un ton agressif, juste une simple question qui, du moins l'esperé-je, amènerait au moins une réaction de sa part...

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HRP : pour le moment c'est calme (avant on a eu une guerre, puis une autre, un démoniste qui a foutu le bordel ... etc) ... et puis aussi que vient tu faire en mon royaume ?

Pensez à donner votre avis dans le sondage là haut. ^^

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Un énorme fracas m'avait réveillé. Un me fallut quelques secondes pour accommoder ma vue, et voir qu'un pic de glace était sorti du sol. le glacier devait être vraiment secoué pour arriver à ce genre d'inattentions. D'ailleurs, le dragonnier avait l'air de s'en préoccuper. 

Que diable avait-il pu se passer pendant son voyage ?

 

Je me levais. de toutes manières, c'est ma table qui avait été renversée par le pic de glace...

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Je ne savais pas ce qu'ils avaient tous, mais plus ils m'exasperaient et plus ma glace devenait sombre.«Avez-vous un soucis avec "mes glaces" cher Dragonnier ? Je prefererais rester de glace face à vos questions mais elles m'échauffent l'esprit.» Plus il me repetait cette question incessante et plus mes cheveux se couvraient de neiges jusqu'à devenir blanc, la peau de mons visage, elle, se cristalisait et on voyait par endroit de petits pics de glace s'hérissaient. Mes yeux comme à leurs habitudes étaient devenues de pur glaçon sans expression.

 

HRP : Le Narrateur à disparu depuis le dernier épisode ... (ne pensait pas à une vielle chanson de noel (le père noel à disparu depuis le dernier réveillon))

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-En ce cas peut-être devrais-je cesser d'en poser? Mais je peux sentir la violence qui t'agites, et qui t'agitais déjà avant même que tu ne t'enfermes dans ton bureau, tout ce que je souhaite est d'en connaître la cause pour, qui sait? T'aider.

 

Je n'avais aucunement l'intention de me battre, il le savait, mais mon aura s'illumina quelque peu et l'air se brouilla très légèrement autour de moi...

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Je me dirigeais vers la porte, mais m'arrêtais à mi chemin. Devais-je partir ? 

Ciel avait l'air de vouloir être en paix et je respectais cela. Mais quelque chose l'avait boulversé, au point de le faire sombrer dans le mutisme.

Je serais bien un indigne camarade si je le laissais dans cet état, aussi je fis demi tour et les rejoignis lui et le dragonnier.

Ils se faisaient face dans une sorte de salle en construction, et ciel avait plus que jamais l'air froid; sans mauvais jeu de mot.

 

Je restais un peu en arrière, ne voulant rien déranger ou compromettre. 

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«Que souhaitez-vous ? Briser la glace ? Jeter un froid ? Que savez-vous ? Votre magie se base sur la lumière du soleil ? ici tu ne peux rien .... ici tu n'es rien» Même s'il avait fait en sorte de rester discretement en retrait, un seul flocon chutant de sa place m'indiqua un nouvel importun. Je disparu alors dans un nuage de glace en même temps que toute la neige sur le sol, revelant ainsi la nature de glace de celui-ci. Ma voix pourtant, elle, semblait ne pas avoir changer d'emplacement : elle se trouvait toujours dans la salle.

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 L'apparition du pic de glace dans la salle me fit prendre conscience que le patron n'était surement pas dans son état normal. La glace s'était apparemment prit de sympathie pour le commandant, ce pic brisa la table en deux dans un bruit sourd, de ce fait il se leva et se dirigea vers la porte avec un air pensif. Puis en se retournant, il afficha alors un air de empathie et marcha d'un pas vif vers le bureau du patron. Moi ? Je n'étais ni plus ni moins entrain de me remémorer les pensées du Démoniste, il avait du quitter la tour dans laquelle je l'avais posé pour se reposer. Il les a prononcer ainsi : "La magie présente sur Stendel et dans tout les autres royaumes mortel est puissante, mais si par malheur on leur enlève un être cher, ces êtres deviennent de sombre pantin. Sans aucun point d'accroche, la folie les gagnent. Voila un spectacle admirable."

Je pris alors mon manteau et me dirigea vers la sortie. Une fois à l'extérieur, j’observais de loin ce qu'il se passait dans ce bureau et j'attendis au pied de cette arbre avec ma guitare et ma douce musique...

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[hrP] Perso j'étais sur le toit de la Glacerie, Ciel tu m'avais bien rejoint là-haut non? Si pas j'aime autant le savoir pour pas faire nimps ;)[/hrP]

 

 

-Je ne te veux aucun mal, mon être tout entier n'est plus qu'en quête de Justice et de gens à qui apporter une aide depuis que j'ai ressuscité, tu peux avoir confiance en moi.

 

Je commençai à tourner doucement sur moi-même, m'adressant aux alentours que je savais être emplis de sa froide présence, un souffle glacé me frôla d'ailleurs, laissant un peu de givre sur mes vêtements.

 

-Tu n'es plus le même depuis que tu es revenu de cette dimension, pour ton bien laisse moi comprendre pourquoi.

 

Je me stabilisai face au Commandant, fermai les yeux et ajoutai:

 

-Je ne saurais cesser de m'interroger tant qu'aucune piste ne m'a été donnée, tu sais par ailleurs que j'ai le pouvoir de te faire réapparaître, ne m'oblige pas à te matérialiser, je t'en prie.

 

C'est cet instant que choisis Zéphyr pour faire son apparition:

 

*Tout va bien Max?*

*Pas trop non...*

*Pas un nouveau combat j'espère?*

*Je l'espère aussi, nous le saurons bien assez tôt...*

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HRP : oh ... my bad j'ai cru que tu était descendu, et que tu avais envoyé ta créature en reconnaissance. bref .... ca change pas grand choses non ?
au pire je twisterais un truc.

 

 

Venant de nulle part et partout à la fois, ma voix leurs arriva : «Vous souhaitez que je me matérialise ? A votre guise.» Je créa alors une cinquantaine de statues de glace les entourant de toutes parts. «Je suis l'une d'elle, trouvez moi avant que je ne vous tue» J'étais désormais dans la salle immobile et semblable à toutes les autres statues, je pouvais désormais mettre fin à ses questions. Le son d'un craquement de glace et on vit perler du sang d'une fine entaille au visage du Dragonnier. Rien n'avait bouger si ce n'est les certains flocons qui avaient legèrement été déplacé.

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Moi j'avais mis mon armure de combat épaisse de 40 cm elle m'encombrait je pouvais juste avancer tout doucement. Je sortis mon épée elle était dentelée pour causer plus douleur et donc abattre plus vite l'ennemi. J'avais l'air d'un golem je mesurait un mètre 80 mais avec mon armure je faisais 2m40 de haut. J'étais aussi large que deux personne. Je te couvre dis-je aux autres. Et je marchais très lentement et bruillamment. Viens te battre si tu as de l'honneur ou tu as rien.

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-Arrête, dis-je au colosse, surtout ne bouge pas, ce serait inutile et nous nous ferions massacrer... J'ai déjà combattu l'une d'elles une fois, et j'ai eu du mal: aucune blessure ne peut les affecter, elles se reformeront ou se de doubleront toujours, il faudrait les faire fondre toute en même temps et je n'en ai pas les capacités en cet instant...

 

Je n'avais pas bougé, je n'en avais nul besoin. Mes yeux demeuraient clos, mais ma conscience était en plein éveil, je pouvais voir chaque conscience, du plus minuscule rongeur, à Zéphyr, qui planait toujours au-dessus de nous. Une tâche lumineuse seule se tenait au milieu de la masse de statues qui, elles, n'avaient pas d'âme, et m'étaient donc invisibles dans cet état.

 

-Tu te trouves à 11h, dans la deuxième rangée.

 

Je rouvris les yeux et d'une bourrasque dissipai chaque statue, devenues Neige. Un courant blanchâtre nous enveloppa, tournant autour de nous comme s'enroulerait la queue d'un serpent.

J'essuyai le filet de sang qui coulait de mon front et le regardai s'évaporer sous la forme d'une fine fumée dorée,

Nous nous fixions...

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Tous subterfuge semblait inutile contre lui : «Tu sais ce qu'il arrivera si Tu réussis à me vaincre moi ? Tu sais ... elle te regarde déjà. Je suis elle autant qu'elle est moi, tu ne peux la sentir arriver toi ... tu ne peux pas ... pas ici ...» je leva ma main pour attraper le seul flocon qui chutait parmi tout les autres restaient figés dans la pièce. Il suffit d'un clignement d'yeux pour que je me retrouve ma main sur la gorge du dragonnier à le soulever en l'étranglant. Je sentais des petites voix dans ma têtes :«Tu le regreterras ... Tu vas trop loin ... Mort ... Désolations ... Acharnement ... Destin ... Malédiction ... Mort ... Désolations ... Acharnement ... Destin ... Malédiction ... Mort ... Désolations ... Acharnement ... Destin ... Malédiction ... Mort ... Désolations ... Acharnement ... Destin ... Malédiction ... Silence ... Solitude ...» Tout doucement la glace derrière mes trois ennemis se poli pour devenir lentement un mirroir. Je voyais la scène que je vivais ... mais je ne m'y trouvais pas, s'y trouvait seulement une créature au teint pales, aux yeux de glaces, aux cheveux bleux givres, aux veines éclatés par de la glaces qui me regardait. Plus je la regardais plus ses traits morbides et agressifs s'adoucissaient pour finalement être semblables aux miens. Je regardait mon reflet se tarir pendant que la glace redevenait opaques. Je reposais à terre le Dragonnier, le regardait un instant avant de ne plus pouvoir le voir. Qu'étais-je en train de faire ?

 

 

HRP : voila voila voila ... l'ame ... bah oui ... j'y avais pas pensé ... suis-je bête.
Tu m'as gwak pour le coup.
Je refuse à retomber dans les pommes parce que j'ai pas envie de vous dire ce qu'il c'est passé coté Rp !
Une p'tite bière ? (je suis fatigué) je sais même pas pourquoi je parle en hors Rp ? j'ai rien d'important à dire ....

 

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Ciel venait de soulever le dragonnier d'une seule main. La situation allait dégénérer et je me préparais déjà à envoyer mon poing ganté remettre les idées de ciel en place quand les traits de se dernier s'adoucirent brutalement. Il reposa le dragonnier au sol tandis que le soldat Konrad, qui nous avait rejoins, se postait à coté de moi prêt à m'appuyer au besoin. 

Ma main était posée sur la fusée de mon sabre et je posais la seconde sur le fourreau; afin de pouvoir dégainer ma lame le plus vite possible si le besoin se faisait sentir.

Dans la confusion je ne savais quoi dire. On eut dit que notre ami était possédé par le diable lui même.

 

Mais avant que j'eus le temps de réfléchir plus; il repris son air le plus naturel du monde.

Je ne comprenais décidément rien. 

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«Pardonnez-moi, j'ai eu recemment des jours difficiles. Si vous me chercher je serais dans mon bureau. Je suis ... fatigué ...» Je ne suais pas, je fondais, ca m'arrivait quand j'étais fatigué, mais là ... je ne sais pas ... La monté vers mon bureau que j'utilisé comme chambre souvent, me paru bien difficile, enfin le divan était confortable, un véritable nuage de neige. Je sombrais dans le sommeil surveillé de loin par mon ange gardien de glace noir.

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Nous étions tous remontés dans la salle principale, et ciel s'était isolé dans son bureau.

Il paraissait malade, fébrile presque.

 

Nous l'avions suivi du regarde durant son ascension vers son bureau; puis nous nous regardâmes les uns les autres.

Que pouvions nous faire contre cet étrange mal dont nous ne connaissions pas même l'origine ?

 

"Soldat, allez au fort et faites venir ici le chirurgien de bataillon. Dites lui que nous avons ici quelqu'un qui aurais besoin d'être ausculté.

dites lui de se hâter s'il vous plait."

dis-je au soldat Konrad qui se tenait toujours à ma droite.

 

Puis, quittant le bureau des yeux, je cherchais une chaise du regard.

"Monsieur, si vous voulez tenter de prendre de ses nouvelles; faites mais prenez garde. Je crois bien que ses nerfs vont lâcher si il reste dans cet état."

dis-je au dragonnier.

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Bien commandant mais d'après moi faudrait l'interner mais j'y vais alors. Vous la civil ! prêtez moi vos chevaux je vous les renderaient après merci ! J'étais obligé de monter deux chevaux car jetant trop lourd et trop grand avec mon armure de combat heureusement le fort n'était pas loin. Et je me mis en route

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Quel que soit ce qu'il s'était passé, cela l'avait bien ébranlé, mais force était de constater que je n'y pouvais rien changer. Soit...

Je remontai et sortis, Zéphyr me pris au passage et nous nous dirigeâmes vers les montagnes...

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Le moindre bruissement dans la zone je l'entendais, comme unje cacophonie revellé par ma magie. Il pouvait parler, extrapoller, rever, je ne bougerais pas et personne ne me toucherait. Je revoyais mes reves et mes espoires que j'avais en me réveillant à Ryalkan. Tout cela n'avait plus d'importance, Je n'y retournerai surement que dans une autre vie. Cela se passerait autrement, j'aurai eu de meilleurs chance si seulement j'étais venue tenant de mon titre. Mais cela ne fut pas le cas. Dans une autre vie, d'autres choix, d'autres Actes ... une autre pièce de théatre ... une autre partie d'Echec n'en portant que le titre. J'avais cessé de respirer.

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