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L'histoire de Wariow. Chapitre 11


Wariow
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CHAPITRE 11 : Repérages

 

 

Wariow et Kimao s’arrêtèrent. Wariow vit que plusieurs abris de fortune avaient été construits autour de sa maison.  Kadominou allât à leurs rencontres.

                « Wariow, il faut qu’on parle. C’est urgent »

                « Que se passe-t-il ici ? D’où viennent ces gens là ? »

                « Ils sont là parce que je leurs ai dit de venir. Ecoute, Moyashi impose une véritable dictature depuis que tu es de retour. Les taxes ont triplées depuis deux semaines, et aujourd’hui même, ceux qui ne peuvent payer sont jetés en prison. Je n’allais tout de même pas les laisser là bas ! »

                Wariow ne pris pas la peine de répondre, Kadominou repris donc.

                « Qui est cet homme qui t’accompagne ? »

                « Je te présente Kimao, un forgeron. »

                « D’accord, bon. Voilà, J’ai des renseignements sur l’homme qui s’est fait arrêter pour les faux minerais. Il est condamné à mort. »

                « Oui, il s’agit de Fougerais »

                « Comment tu sais ? Tu le connais ? »

                « Non, c’est un nain qui m’en a parlé quand j’était en cavale. »

                « Bon, voilà, il faut le sortir de là. »

                Le vieux Kimao fit un sourire discret et dit :

                « Et bien, nous avons le même but je crois. »

                « Comment cela ? Vous aussi voulez qu’il sorte ? » Fit Kadominou.

                Wariow les coupa :

                « Du calme, on va éviter de faire sortir cet homme. On va s’attiré des problèmes. J’ai enfin repris un cours normal, je ne veux pas tout gâcher. Et puis, que voulez vous qu’il vous apprenne de si important ? »

                Kimao répondis en premier :

                « Cet homme doit être lié à un réseau. Et je veux le démanteler. J’ai perdu mes clients à cause d’eux, ils ont soulier ma réputation et mes client m’en prenne pour responsable. Je ne laisserai pas ces faits impunis. Et je voulais savoir s’il y avait des gouverneurs impliqués, et il y aurait cet infâme Moyashi dans le coup. Mais il me faut la preuve dite de ce Fougerais qu’il y est bien dans le coup et si il y en a d’autres. »

                Kadominou fit donc :

                « Moyashi est bel et bien dans le coup, mais si il y a d’autre gouverneurs, Fougerais nous le dira sûrement, et je lui demanderai des informations sur lui, un point faible, quelque chose qui puise le déstabilisé. Il faut qu’on le fasse tombé, sinon, Terral sera fini. Et le pire, c’est que les gens qui quitte la ville sont considérés comme des déserteurs, et puni de mort.»

                Wariow repris :

                « Bon, d’accord. Après tous, c’est vrai qu’on ne peut pas le laisser impunie. Tu as un plan ? »

                «  Pas vraiment, il faudrait voir le lieu d’exécution, c’est juste à coté du port. Une place ou il y a le marché d’habitude. D’après le crieur public, il doit être pendu demain dans l’aube, et tous doivent venir le voir. »

                « Pour montré l’exemple je suppose. »

                « Tous à fait. On agira sur place. C’est pour ça qu’il faut aller voir le lieu d’exécution. Voir les fuites possibles, si on peut rapidement se cacher, enfin voilà quoi. »

                « C’est bon, j’irais. »

                Wariow laissa donc Kadominou et Kimao faire connaissance. Il prit la route de Terral, vers la fameuse place. A son arriver, il vit que la potence était entrain d’être montée. Des gardes était déjà là, il valait mieux qu’il ne le voit pas ici. Il fit le tour du lieu pour voir les points de fuite idéaux.  En effet, le port était juste à coté. Il y allât donc y faire un tour. Après avoir longé les quais, il arriva sur un point moins fréquenté. C’est alors qu’il entendit plus loin des insultes, une jeune femme a en jugé par la voix. En allant en direction des bruits, un combat semblait avoir débuté.  Il vit donc bien une jeune femme, habiller comme un corsaire, entourée d’une dizaine de garde qui visiblement, en voulait à sa peau. La jeune femme était en train de se battre contre l’un d’entre eux, puis un autre l’attaqua par l’arrière. Et c’est Wariow qui sauta sur le garde. Un autre d’entre eux allât pour donner un coup d’épée à Wariow, il frappa avec son pied la main armée du garde et enchaina avec un autre coup ciblé au ventre pour le plié. Et donna un coup de genoux en pleine mâchoire pour le mettre au tapis. Il ramassa immédiatement l’épée tombé au sol et pris la garde. Il ne restait plus que cinq gardes, La jeune femme s’était déjà occupé de quelqu’un d’autres. Trois d’entre eux avait pris Wariow pour cible. Il semblait que l’un des trois était un officier, car bien habiller et semblait mieux tenir son épée. L’un des gardes s’approchât dans le but de lui donner un coup décisif. L’aide de son épée, Wariow para et lui donna un coup latéral au dessus des chevilles ce qui fit tombé le garde sur le dos. Wariow lui transperça donc le thorax. La jeune femme  de son coté arrivait progressivement à bout des deux autres gardes qui l’avait ciblée.  L’autre garde arrivait et l’officier sorti un pistolet à silex. Comme pour le précédent, Wariow arriva à arrêter sa lame et lui donna un coup mortel à la gorge. L’officier pointa pistolet sur Wariow, et c’est la jeune femme qui en avait fini avec les deux autres qui lui sauta dessus et le coup partie à coté. L’officier sortie donc un poignard tous en se relevant, il lui donna un coup latéral qui lui ouvra le bras droit et lui donna un solide coup de poing. La jeune femme tomba au sol. L’officier jeta son poignard au sol et repris son épée pour en finir avec Wariow. Cette fois ci, Wariow attaqua le premier. L’officier, visiblement très agile, parât ces coups sans trop de difficulté et fini par frapper Wariow en plein visage avec son poing. Déstabilisé, il reprit vite son sang froid, car il savait que son pouvoir allait se réveiller autrement. Il soufflât, l’officier reprit une posture d’attaque. Wariow parrat son coup et lui donna tout de suite un coup de pied sous la ceinture. Celui-ci lâcha son épée et se courbait tout en criant à sa douleur. Wariow lui donna un autre coup de pied qui lui était ciblé sur sa nuque. Ce qui le tua net.

                Les gardes étaient tous mort ou au moins assommés. La jeune femme s’était relever et déchira un bout  de tissu sur l’un des hommes au sol pour se faire un bandage au bras. Wariow s’approchât :

                « Il était temps que j’arrive non ? »

                La jeune femme ramassa son épée et répondit :

                « Merci, Merci du fond du cœur. Ils m’auraient tué si vous n’étiez pas intervenu. »

                « Mais que vous voulaient t’ils au juste ? »

                « Ils ont dû me prendre pour un pirate, j’ai débarquée il y a vingt minutes, mes hommes sont partie boire leurs coup. Et ces mecs se sont pointé pour me dire que je n’avais pas d’autorisation et on voulu m’arrêter. Je ne sais pas se qu’ils ont ces temps ci, mais depuis quelques semaines, les gardes foutent la pression à tous le monde. »

                « C’est à cause de moi. Le gouverneur Moyashi se venge sur la populace de Terral car il n’a pas pu s’en prendre directement à moi. »

                « Que s’est t’il passé ? »

                « C’est une longue histoire, mais je… » Commença Wariow, et il vit le bateau qui était amarré tous près. Il reprit donc :

                « Il est à toi ? » tous en regardant cette goélette robuste et armée.

                « Oui. Pourquoi ? Tu souhaite partir quelque part ? »

                « Pas vraiment. Mais je cherchais quelque chose pour fuir facilement. Et ton bateau me donne une idée. »

                « Pour fuir ? Ahh, ton histoire sens le coup foireux. Ça me rappelle mon frère tient. Que prépares-tu ? »

                « Une évasion. Je dois faire évadé un homme pour lui évité la poteance. »

                « Un de tes amis ? »

                « Pas vraiment. Mais il à des informations. Il doit être le seul à connaitre le point faible du gouverneur Moyashi. Et si on arrivait à le faire tombé, alors Terral ne serai plus son sa dictature. »

                « Bon, dans se cas. Je vais t’aider. Tu m’as sauvé la vie et je t’en serai reconnaissante pour toujours. Comment t’appelles-tu ? »

« Je me nomme Wariow »

                « Enchantée Wariow, je m’appelle Marie-Anna, Marie-Anna Lanoise. Et voici mon navire : Le Cloopiat. »

                « Bon,  nous ne pouvons pas laisser les gardes ici, on va les embarqué et les jeté par-dessus bords plus loin. Je vais te montré la route pour aller jusqu'à chez moi, à quelque minutes de Terral. »

                « Je vais chercher mes hommes, commence à les embarqués. »

                Marie-Anna partie et Wariow chargea trois de la dizaine de corps. Les marin du Cloopiat arrivèrent et prêta mains forte. Marie-Anna ajouta :

                « Ne t’en fait pas, tous ces hommes ici son de confiance. »

                « Très bien, il ne faut pas trainé, en route. »

                 Ils larguèrent les amarres, et métrèrent toutes voiles au vent. En direction des terres de Wariow.  C’est après une courte navigation qu’ils arrivèrent. Kadominou et Kimao était assise autour d’une table sur la quelle s’y trouvais une carte. Une carte de la ville Terral.

                « Ici, là, et juste là » fit Kado mon montrant du doigt des zones sur la carte.

                « Vous vous occupé d’un plan ? »

                « Oui Wariow, mais on à du mal à se mettre d’accord pour la fuite. »

                « Je pense avoir déjà réglé le problème, on fuira par la mer avec ce navire. » tous en montrant du doigt le Cloopiat.

                « D’où sort-il ? »

                « Il est à Marie-Anna, je viens de l’aidé à se sortir s’un sale pétrin. Elle va nous aider à fuir quand fougerais sera libéré. »

                « Et ou est t’elle ? »

                « Elle est sur son navire, elle soigne comme elle peux sa blessure. »

                « Dit lui donc de venir, je vais lui donner un médicament. »

Après avoir fait rapidement connaissance avec Marie-Anna  était corsaire. Quand ses parents sont mort en mer du scorbut, elle à décidée d’acheté son propre navire. Et de travailler dans le ravitaillement et le transport de marchandises légères. La nuit tomba, et c’est autour d’un feu qu’ils récapitulaient le plan.

                 « L’exécution aura lieu demain à l’aube donc,  il faut que l’on poste deux hommes avant qu’ils n’arrivent, au cas où les choses changeraient. Moyashi sera là, il faut donc que moi et Wariow arrivions au dernier moment. Afin de ne pas être repérer. Quand Fougerais arrivera, il sera surement bien gardé. Il faudra donc agir vite et bien. Je compte sur vous. Quand il sera libre, nous fuirons vers le port, et le Cloopiat devra donc être prêt à mettre les voiles et ses canons prêts à tirer sur ceux qui nous poursuivrons…

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