L'histoire de Wariow. Chapitre 10

[Wariow]

CHAPITRE 10 : L’infinite Rapier

A la vue du personnage qui accompagnait Kadominou sur la route qui menait vers Terral, Il ne pu s’empêcher de croire qu’il s’agissait à nouveau d’un espion ou un mercenaire, qui, en cachant ça vrai identité, aurait convaincu Kadominou de le mener jusqu'à lui. C’est donc avec une grande prudence que Wariow allât voir de qui il s’agissait. Il les avait rejoins et était juste devant eux derrière un arbre. Ils discutaient :

« Tu es sûre que ici je pourrais pêcher tranquillement ? » fit l’inconnu, vêtu d’une veste de cuir, un tricot blanc en dessous et un pantalon beige. Il avait avec lui un sac et une canne à pêche qui déplaçait de celui-ci. C’était un jeune homme plutôt petit qui devait n’avoir que 13 ou 14 ans.

« Soit sans crainte, Il faut juste convaincre Wariow de bien te laisser vivre avec nous. Il a vraiment insisté pour qu’ont ne reste que tous les deux ici. Il faut dire qu’avec toutes les agitations qu’il à vécu il y a quelques semaines, il est très méfiant. » Fit donc Kadominou.
Ils passaient sans voir Wariow et continuaient leurs chemins vers la maison de Kadominou. Wariow, après avoir attendu quelques minutes le temps être sûr qu’il ne serait vu, pris le chemin vers sa maison. Et il vit Kadominou plus loin, seul cette fois, se diriger vers sa maison.

« Wariow, te voilà. J’était déjà passé il y a quelques minutes. Je voulais te montré quelque chose. » Lui dit t’il en s’approchant.

« Qui c’était ce type qui t’a suivie ? »

« Ah, tu es déjà au courant. Il s’agit de Vakalow, un jeune pêcheur qui voulait quitter Terral… discrètement. »

« Discrètement ? Qui fuit t’il ? »

« Il a quelques problèmes avec des gardiens du lac de Terral. Ils l’avaient vu pêcher sans permission et depuis, il a le choix entre payer une amande de 2000 G*, ou être interdit de circulation sur Terral. C’est vraiment de pire en pire là bas. Je lui ai donc proposé de venir chez nous »

« Quoi ? Attend, il ne restera pas ici ! »

« Ne soit pas aussi égoïste, C’est encore qu’un gamin… »

« Il va nous attiré des problèmes. Rien à foutre, qu’il reste si tu veux, mais je ne veux rien entendre si il t’arrive des bricoles. » Dit Wariow énerver.
Et au même instant, Wariow se sentit chaud, ses mains commençaient à trembler. Il nu aucun doute que s’était son pouvoir qui se manifestait à cause de sa colère et qui fallait rapidement qu’il se calme.

« Wariow ? Tout va bien ? » Demanda Kadominou.

« Oui oui, bon qu’il reste, dit lui qu’il peut venir s’installer à coté de chez moi. »
Kadominou retrie chez lui. Wariow allât dans sa maison pour si enfermer. Il lui était insupportable de perde aussi facilement le contrôle juste en s’énervant un peu. Le lendemain, Vakalow creusa les fondations de sa petite maison. Wariow et Kadominou lui prêtaient mains forte. Vakalow leurs apportait du poisson tous les jours depuis. Il se passa une semaine quand Wariow voulu racheté un sabre spécial comme il avait dès le premier jour, qu’il n’avait pas pu récupérer quand il était au domaine Elfique. Et Vakalow lui apprenait donc qu’un forgeron Japonais avait une boutique d’arme et armure traditionnelle sur Sathym. Sans perdre de temps, Wariow pris la route en promettant de ne pas être long, un jour au plus tard. C’est après quelques heures de marche qu’il arrivât à Sathym. La nuit était tombé, alors il prit place dans l’auberge ‘A l’ancre’, où il avait déjà passé une nuit quand il était arrivé pour la première fois. C’est au lendemain où il se renseigna pour trouver la boutique du japonais. Le tavernier lui indiqua la route et il reprit le chemin. Arriver à la fameuse boutique, Le japonais était là, il avait l’air vieux, fumait avec une grande pipe et semblait dormir. Wariow s’approchât et il lui dit :

« Monsieur ? »
Le vieux releva la tête et lui fit :

« C’est pour une commande » ? Avec un accent bien typique des asiatiques.

« Je vient chercher un sabre, une bonne qualité. Je suis prêt à y mettre le prix. »
Le vieux japonais se leva, et regarda Wariow de plus prêt.

« Tu sais te servir de se genre d’arme ? Ce n’est pas pour les débutants se que je propose ici. »

« Disons que je sais me défendre, avec ou sans arme. Mais c’est toujours mieux d’en avoir une. »
Le vieux sourit et lui dit.

« Je ne vends mes arme qu’a ceux qui peuvent me prouver leurs compétences. Prend un boken dans le tonneau et montre moi se que tu sais faire contre ça »
Il pointa du doigt un mannequin d’entrainement. Wariow prit le boken et commença quelques lignes d’enchainement. Le vieux japonais l’arrêta après une bonne minute de combat.

« Pas mal. Tu a un bon jeu de jambe. Mais je trouve tes frappes trop imprécises. Tu ne touche pas toujours les points critiques de la cible. Tu as du potentiel, mais encore beaucoup à apprendre mon petit » fit t’il avec un léger rire.

« Et si ont reparlait des sabres que vous vendez ? Je crois que je vous ai prouvez ma valeur. »

« Tu ne perd pas le nord petit. Laisse-moi une minute. »
Il parti derrière un rideau, et réapparu avec un long coffret en bois.

« Voici un katana parfait pour ta taille et ton style. »
Le vieux ouvrit le coffre, un katana s’y trouvait. Le vieux japonais rajouta :

« C’est une lame de style Soshu Kitae**, acier d’une nuance carbone de 0.95. Très beau katana Je l’ai intitulé Infinite Rapier, Il est si solide que tu peux sans problème t’attaqué à l’acier. Il peut marger tous encore être amélioré. Coûteux cependant. Mais tu peux l’avoir gratuitement si tu t’acquitte de la mission que je vais te donner. »

« Et c’est quoi ? » répondit Wariow intrigué.

« Il y a un homme, dans la prison fédéral de Terral qui vient d’être condamné à mort. Je veux que tu le fasses sortir pour moi. Il à été impliqué dans une histoire de falsification de minerai. Je me suis fait avoir quand j’ai acheté mon métal chez lui. Et je veux des infos que lui seul détient. Je veux savoir si des gouverneurs sont impliqués. »

« Attendez, je crois savoir de qui il s’agie. C’est un contrebandier que j’ai fait arrêter il y a quelques semaines. Mais je …»

« Quelle coïncidence ! Tu dois être Wariow ? Hum ? J’ai entendu parler de toi ici après avoir capturé le contrebandier et mit à feu la maison d’un gouverneur.

« Oui, il semblerait que le gouverneur en question, Akai Moyashi, soit au dessus de toute l’opération. Quand j’étais en cavale dans la forêt du Cortynu. Un nain, un dénommé Yerhimy, m’a appris avant de me trahir que ce contrebandier s’appelait Fougerais. Mais je ne savais pas qu’il était condamné à mort. »

« Je l’ai appris ce matin même. Il y a donc bien un gouverneur dans l’histoire ? On ne peut plus faire confiance à personne décidément. Mais se Yerhimy ? Il doit bien en savoir plus ? Où est-il ? » Demanda le vieux japonais.

« Mort après sa trahison. »
Le vieux fit cette fois la grimace.

« On ne peux donc plus rien en tiré. Nos informations reposent donc sur ton dit Fougerais, Tu habite Terral ? »

« Pas vraiment, je vis pas loin. »

« Et bien, je vais venir avec toi. Aide moi a cherché toutes mes armes et tous mes outils. Je ne veux plus travailler ici. Le gouvernement est trop corrompu et les affaires mauvaise depuis cette histoire de faux minerais. Une fois chez toi, nous verrons quoi faire.

« C’est que, je voulait dire que j’évite de trop me faire voir ces temps-ci. »

« Ne t’en fait pas, nous verrons tous cela chez toi. »
Alors que Wariow aida le vieux japonais à charger ses affaires dans son gros carrosse, ce dernier lui appris que son nom était Kimao, forgeron japonais spécialiser dans les armes et armure. Quand tous fût charger, ils prirent la route pour retourné à Terral. C’est après une journée qu’il arriva au soir, dans le petit bout de terre de Wariow. A son arriver, Kadominou lui fit signe de se dépêcher en battant les bras. Qu’avait-il ?...

Soshu Kitae* : Méthode de fabrication des lames qui était pratiqué par le célèbre forgeron Masamune.
2000 G** : Monnaies local à cette époque, environ 560 Pa.

[Dark-Hoshin]

J'aime beaucoup l'histoire et le style. Va falloir que je m'attaque aux autres chapitres. N'hésite pas à refaire appel à moi (ca sera gratuit t'inquiète) pour une petite correction orthographique