[Accepté][Tisserand] Au Brodéliande

[Shrui]

Spécialisation : Tisserand

Nom de l'échoppe : Au Brodéliande

Localisation : Grabah

 

 

Présentation : https://www.minefield.fr/forum/topic/58092-pr%C3%A9sentation-de-shrui/

Candidature villageoise : https://www.minefield.fr/forum/topic/58188-accept%C3%A9candidature-au-rang-de-villageois-de-shrui/

Candidature Ulthare : https://www.minefield.fr/forum/topic/58159-accept%C3%A9ecandidature-de-lexil%C3%A9-shruikraan-neias-zacifr%C3%A4n/

Candidature citoyenne : https://www.minefield.fr/forum/topic/58570-accept%C3%A9-la-r%C3%A9demption-pour-shrui/

 

 

 

 

 

 

Ciao ! A moins que tu ne sois un voyageur égaré, j'imagine que toi qui visite cette candidature, tu me connais un minimum. Mais pour toi au fond qui n'aurais pas suivi, je me présente.

Je m'appelle Gwendal, j'ai 23 ans et suis étudiant en 5ème année en école d'architecture. Après une année passée en Erasmus à Rome, je suis de retour dans notre belle France !

Autrement, je partage mon temps libre entre les jeux vidéos (gamecube, assassin's creed, Skyrim, Dota...), natation, lecture, musique (violon et basse) et les sorties.

Me sachant un grand adepte de Minecraft, c'est Gibbon_Boy qui a longuement insisté pour que je rejoigne Minefield ! Ce dont je lui suis reconnaissant aux vues de ce serveur.

 

 

 

Cela fera bientôt une année que je suis présent sur Minefield. Comme je l'ai dit, c'est Gibbon_Boy qui m'a motivé à venir sur MF, c'est donc tout naturellement que j'ai immédiatement rejoins Grabah afin de m'y investir à ses côtés. Toutefois, après quelques visites et rencontres sur le serveur, j'ai fini par également rejoindre Ultharik. Ces deux villes ainsi que leur communauté me tiennent à cœur, et j'aime m'y investir !

 

Mon pseudo Shruikraan Neias Zacifrän (que j'ai réduit à Shrui pour le bien des joueurs) me vient d'un héro que j'avais créé de toute pièce lorsque je jouais aux warhammer. Le personnage que j'incarne sur MF est donc un héro que j'utilise dans tous mes jeux depuis que j'ai à choisir des pseudos. Minefield a l'avantage de me donner la motivation pour lui écrire un rp digne de ce nom, chose que je n'avais jamais réussie à faire auparavant.

 

 

 

 

Plusieurs choses me motivent à devenir commerçant.

Tout d'abord, il faut se l'avouer, l'attrait de l'argent. Même si il ne faut pas se voiler la face, je ne deviendrai pas québécois avec ce métier ! ^^ Mais ça ne peut être qu'un apport qui me permettra d'aider plus facilement les projets dans lesquels je suis investit.

En plus de vendre mes articles, je voudrai être commerçant afin de pouvoir acheter directement ce que je veux à n'importe qui. Je ne compte plus le nombre de fois où je cherche quelque chose absent des shops et impossible à obtenir sans passer par un commerçant.

Comme je l'ai déjà dit dans ma candidature Citoyenne, les métiers sont un aspect des jeux que j'adore. Minefield offrant de nouvelles possibilités inédites dans ce domaine, j'aimerai en profiter au maximum. Et expérimenter ce système de commerce m'attire énormément, la gestion des shops, des stocks, de la concurrence, trouver des clients... Tout cela donne une toute nouvelle dimension au gameplay, que j'aimerai expérimenter.

Enfin, l'idée est d'amener un peu de nouveauté dans cette spé qui est peu représentée sur le serveur. Le nombre de fois où j'ai entendu « un tisserand de co' ? » sans réponse.

 

 

 

 

Elle se situera à Grabah :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Aujourd'hui, moi qui étais connu en tant que Shruikraan Neias Zacifrän le Pacificateur, l'homme le plus puissant d'un monde, mais maintenant appelé Shrui le fermier, je m'en remets une nouvelle fois à vous.

Il m'est inutile de revenir à nouveau sur mon sombre passé, celui qui m'a amené en ces terres, vous le connaissez tous. Et surtout, malgré mes révélations vous êtes restés à mes côtés, sans me juger ni me rejeter.

Si je m'en remets encore une fois à vous aujourd'hui, c'est pour une nouvelle demande. En effet, j'ai le profond désir, pratiquement un besoin, de devenir commerçant. Mais pour cela il me faut l'accord des gouverneurs, et j'ai besoin de votre soutien, de votre aide mes amis.

Mais pour que vous compreniez ce besoin de devenir un commerçant, je vais vous conter une nouvelle histoire... Comme vous le savez, il y a déjà de nombreuses années je suis venu à vous en homme détruit et en quête de rédemption. Grâce à votre aide, à votre présence avec moi, j'ai su changer, et devenir l'homme que je suis aujourd'hui.

Les années sont passées dans la quiétude, plus aucune tentation d'utiliser mes pouvoirs n'était présente. J'étais enfin intégré dans une véritable communauté, et avais pu faire la paix avec moi-même. Mais évidemment, la vie me réservait de nouvelles épreuves, ce sont celles-ci que je vais vous conter aujourd'hui.

 

 

La rencontre

 

 

Cinq années après mon arrivée sur le monde de Stendel, j'étais un nouvel homme. Villageois de Grabah et Ultharik où je m'étais fait une place, où je m'étais installé, construit une maison et membre actif de ces villes hors normes, j'étais accepté et même reconnu de tous. A cette époque j'étais fermier, j'avais choisi ce métier car je n'avais pas trouvé plus opposé que ça par rapport à la position que j'avais sur Nornoellia. Mon but était de rompre radicalement avec mon passé, afin de l'oublier, et de passer à une nouvelle vie plus facilement. Ainsi je travaillais la terre, j'avais mes journées bien organisées, au levé je me rendais dans mes champs, récolter et planter carottes, blé, choux... Puis nourrir et abattre mes bêtes. Je m'occupais tranquillement à faire mes livraisons quotidiennes dans plusieurs petits villages du monde et je rentrais en ville afin de participer à leur extension.

Plusieurs années sont ainsi passées, je me plaisais dans ma routine qui m'apportait la paix. Je faisais constamment la rencontre de nouvelles personnes avec qui parler ou visiter ce fabuleux monde. Mais comme je le disais, cette paix intérieure ne devait pas continuer indéfiniment.

Tout a commencé à l'occasion de la rencontre la plus formidable que j'ai pu faire sur Stendel. Je m'étais rendu au marché de la capitale afin de refaire le plein de graines de choux pour mes champs. Une fois mes emplettes effectuées, j'avais décidé de vagabonder un peu entre les différents étals dans le but de me prendre une petite pause dans mon rythme effréné. J'étais en pleine admiration de faux serties de cytrine chez un outilleur lorsqu'une voix sortant du lot m'a interpellée.

-Venez toucher ce magnifique tissu ! 100% laine biologique ! Et ces lampions ! Pour éclairer vos veillées tardives !

Venez venez !

C'était une voix très douces, mais qui pourtant s'était frayée un chemin jusqu'au creux de mon oreille, malgré toute l'agitation ambiante. Je me suis donc mis en quête de la source de ce doux chant. Je suis ainsi arrivé dans une allée où se trouvait un stand d'un tisserand, d'une tisserande plus exactement....

 

 

Les prémices d'une histoire

 

 

« -Vous cherchez de quoi remplacer vos vieilles fripes mon bon monsieur ? »

Cette phrase réussie à se frayer un chemin jusqu'à mon cerveau qui avait comme cessé de fonctionner lorsque mon regard s'était posé sur cette commerçante. Elle était grande, de long et ondulés cheveux couleur feu lui recouvraient ses épaules dénudées, deux grands yeux verts dans lesquels j'avais l'impression de tomber sans fin, une peau pâle parsemée de tâches de rousseurs. Et ses vêtements, de toutes les couleurs, en laine qui semblait si douce... Tant de couleur, tout ce gris qui m'avait tant fait souffrir par le passé semblait disparaître pour jamais de ce monde devant cette femme !

« -Monsieur ?! Youhou ! C'est moi qui vous fait cet effet ? »

Ces dernières paroles m'ont fait sortir de ma torpeur tel un coup de fouet ! Elle me regardait d'un air goguenard, un petit sourire malicieux au coin des lèvres. A ce moment j'aurai voulu être partout plutôt qu'ici, je devenais de plus en plus rouge et commençais à bafouiller des mots incompréhensible dans ma barbe. Je ne pense pas qu'il aurait été possible d'être plus ridicule.

Mais elle se mit à rire, d'un rire qui sonnait cristallin à mes oreilles.

« -Bon je vais vous aider parce que vous ne m'avez pas l'air très dégourdi ! Dit-elle avec un sourire rieur. Vous êtes perdu ou vous avez besoin d'une tisserande de talent ? »

Je commençais enfin à retrouver toute ma tête et décidais alors d'entrer dans son jeu.

« -Hum, je me suis disons, oui perdu. Mais maintenant que je suis là, je veux bien vérifier la qualité de vos produits.

-Aha c'est bon vous retrouvez vos esprits, mais arrêtez de me regarder comme cela c'est moi qui vais commencer à rougir à présent ! »

Ce petit jeu de taquinerie commençait à me plaire. Mais mon devoir m'attendait malheureusement ailleurs, il fallait que je rentre à Grabah.

« -Excusez-moi, c'est plus fort que moi. Mais je pense que je vais vous prendre quelques lampions, comme ça je pourrai revenir pour vous dire si votre talent est à la hauteur de ce que vous dites !

-Ah oui très bien ! Je vous emballe ça ! »

Dans ma folie d'envie de lui plaire, je venais de lui acheter la moitié de son stock, soit pour plus de 400 pièces d'argent. Mais à peine je venais de me retourner pour partir que j'entendais à nouveau sa voix cristalline

« -Surtout n'hésitez pas à vous perdre à nouveau par ici, si vous repassez au marché !

-Ne vous inquiétez pas, j'ai un sens de l'orientation horrible ! »

Je suis rentré à Grabah avec son sourire devant les yeux, et son rire dans les oreilles, j'étais sur un nuage pour le reste de la journée.

 

 

Le coup de fouet

 

 

Ainsi les jours passaient comme toujours, mais ma routine elle, était changée. Maintenant je passais systématiquement par le marché en rentrant de mes champs. Et à chaque fois, je faisais mine de m'être perdu et je feignais la surprise en arrivant devant l'étalage de ma chère Tisserande. J'étais toujours accueillit par un rire franc de sa part qui me restait dans les oreilles pour la journée.

Au début je restais seulement quelques minutes, le temps d'échanger quelques regards, de jouer rapidement à notre jeu de séduction, puis je lui achetais quelques articles. Au fil du temps, je restais plus longtemps, nos conversations se faisaient plus longues, puis je me retrouvais assis derrière l'étal avec elle, de plus en plus proche l'un de l'autre. J'essayais de lui faire avouer ses techniques de Tisserande, il me semblait que ses articles étaient entourés d'une sorte d'aura chaleureuse, toujours réconfortante, ses lampions éclairaient plus, sa laine était trop douce pour de la laine... Elle me répondait toujours avec un petit sourire, que c'était un secret. Je finissais toujours par repartir les mains remplies de ses articles, je n'osais rien tenter.

Mais un jour, alors que je cherchais désespérément de nouveaux coffres pour stocker mes achats, qui remplissaient déjà un étage entier de l'entrepôt, un éclair blanc brouilla le champs de ma vision ! Je savais de quoi il s'agissait, il arrive toujours comme ça. Un grand singe blanc se tenait juste devant moi, les mains sur les hanches, me hurlant son fameux « HELLOW » dans les oreilles.

« -Je vois que tu nous ramènes encore et toujours des lampions.

-Hum oui, je, j'en ai besoin pour, heu, pour le nouveau quartier que je construits.

-Ah oui ? Suis-moi. Son ton ne laissait pas de place à la moindre contestation. »

Gibbon se dirigea vers l'étage inférieur, je savais parfaitement où il m’emmenait. Une fois l'échelle descendue, il était difficile de se déplacer tellement la pièce était encombré d'articles en laine et de lampions de toute sorte.

« -Ca fait 2 mois que tous les jours tu ramènes des articles du marché, tu en ramènes tellement qu'on n'a pas le temps de tous les utiliser. Tu m'expliques comment je vais dans le coffre fort pour admirer mon or maintenant ? C'est de l'autre côté de cette pièce !

-Oui mais... Je...

-Stop ! Suis-moi ! » Encore une fois son ton m'indiquais que je n'avais pas le choix, on ne contredit pas facilement un justisinge. « En plus tu rentres toujours avec ce sourire stupide, je pense qu'une petite conversation s'impose. »

Je me suis donc retrouvé dans le souk, attablé devant une bonne pinte de bière.

Gibbon me fixait d'un air grave, puis un sourire fit doucement son apparition.

« -Toi tu es amoureux !

-Nan mais non voyons !

-Allez tu ne la fais pas à moi, ça fait longtemps qu'on se connaît ! Tu rentres les bras chargés d'articles inutiles, un sourire stupide sur le visage, tu es dans les nuages toute la journée. Et en plus j'ai vu les portraits que tu as dessiné sur le grès chez toi... Tu dessines toujours aussi mal à ce que je vois, ou alors ta chère et tendre a vraiment une sale gueule !

-Ah bah heu... Je dessine toujours aussi mal !

-Aaaah tu avoues enfin, ce n'est pas trop tôt. Bon, il va falloir par contre arrêter d'acheter à tout va ! Demain, si je te vois rentrer à Grabah avec ces satanés lampions je te jette dans l'arène du Colisée avec un arc ! Te connaissant tu réussiras à te foutre une flèche dans le pied tout seul.

-Heu... D'accord, mais alors par contre, je vais avoir besoin de quelques conseils je pense. »

La journée se déroula alors très vite, et j'avoue ne plus me souvenir des conseils de Gibbon après notre huitième bière.

 

 

Le saut

 

 

Ce matin là, le travail aux champs était particulièrement dur, après notre journée de « conseils » de la veille. Mais, arrivé midi, je me retrouvais une nouvelle fois derrière l'étal en compagnie de celle pour qui je vivais dorénavant. Sauf que cette fois-ci je ne partirai pas comme d'habitude.

Au moment de ranger son étal Otasina se retourna vers moi avec un petit rire

« -Alors, qu'est-ce que tu vas me prendre aujourd'hui pour me faire plaisir ? »

C'était le moment, certainement encore légèrement alcoolisé de la veille, j'ai miraculeusement trouvé le courage de me lancer.

« -Je ne vais rien te prendre aujourd'hui, par contre accepterais-tu de m'accompagner, que je te montre un peu Grabah ?

-OURAH ! Enfin tu te décides à faire quelque chose ! Bien sûr que je t'accompagne ! »

Cette journée a marqué un nouveau tournant dans ma vie. Nous avons arrêté de nous tourner autours, pour finalement nous exprimer à cœur ouvert, et la suite était évidente, nous avons fini par nous marier dans un des nombreux temples de Grabah !

Une nouvelle fois, ma routine avait changé, je travaillais toujours dans mes champs durant la matinée, je me rendais toujours au marché par la suite, mais je rentrais à Grabah avec la plus merveilleuse des compagnies possible, et je ne parle pas ici des lampions. L'après-midi je bâtissais encore et toujours, mais à l'arrivée d'Otasina je m'étais empressé de lui confectionner un atelier de tissage près de chez nous, et je la rejoignais toujours à un moment afin de l'admirer travailler ou apprendre d'elle le métier de Tisserand. Mais pour ma plus grande frustration, mes créations n'étaient jamais à la hauteur des siennes, elles étaient toujours moins lumineuses, moins douces, n'avaient pas ce petit quelque chose de réconfortant, de chaleureux des siennes. Lorsque je lui demandais son astuce, elle me répondait toujours avec son petit sourire en coin et sa phrase si mystérieuse : « C'est mon petit secret chéri ! ». Et sur ce, elle repartait à son travail dans son premier magasin installé dans la spirale commerçante de Grabah.

 

 

Le drame

 

 

La vie suivait alors son cour dans le plus merveilleux des monde. Otasina et moi menions une vie tranquille ensemble. Rien ne semblait pouvoir briser cette nouvelle vie que je menais...

Mais un soir, je retrouvais ma moitié assise dans un coin de son magasin, elle semblait soucieuse, elle qui avait toujours son magnifique sourire aux lèvres. Inquiets je la pris dans mes bras en lui demandant ce qui la tracassait.

« -Ne t'en fais pas, ce n'est très certainement rien. Demain j'ai un marché, et la route m'inquiète, le bruit court que des brigands détroussent les marchant au retour du marché. Mais ce n'est certainement rien ! Heureusement que tu seras là pour me protéger ! » Me dit-elle avec un sourire goguenard, elle savait bien que j'étais capable de me couper un pied avec ma propre épée .

« -Oh mon dieu ! Demain j'ai une réunion importante pour Grabah, je ne peux y déroger ! Pourquoi ne m'en as-tu pas parlé plus tôt ? Je ne veux pas que tu y ailles s'il y a le moindre risque ! 

-Ne t'en fais pas, je vais y aller seule. Et puis je n'ai jamais eu de soucis, il n'y a pas de raison que ça commence maintenant.

-Tout de même, renonce à y aller !

-Non je ne peux pas, il faut que tu saches que ma seule échoppe à Grabah ne suffit pas, ce sont les marchés ma source de revenu la plus importante. Et celui-ci est vraiment le plus important de l'année, je ne peux sous aucun prétexte le manquer. Et puis il faut que je me fasse connaître si je veux pouvoir étendre mon commerce. Ce marché est une occasion en or.

-Je comprends, mais... Je ne veux pas que tu prennes de risque. »

Son rire accueillit ces dernières paroles et elle m'embrassa sur le front.

Le lendemain je dis au revoir à Otasina tôt le matin lorsqu'elle partit avec son chariot plein de sa marchandise. Je suis resté longtemps sur le pas de la porte, fixant la route et le portail que le chariot venait de franchir afin de s'extirper du verrou temporel qui préservait Grabah. J'avais définitivement un mauvais pressentiment. A l'époque de ma grandeur j'aurais suivi mon instinct infaillible, mais j'étais loin d'être le même homme qu'alors. A la place, je me suis préparé pour cette réunion vitale à Grabah.

Tout les membres actifs de la ville étaient présents, même Viaduc, un de mes plus anciens amis sur Stendel était là. En effet, il venait tâter le terrain, car une rumeur planait qu'un homme possédant un Os d'une grande importance vivait dans la cité des merveilles. Viaduc venait donc préparer avec nous l'arrivée des nombreux aventuriers qui ne tarderaient pas. J'étais heureux de le retrouver, lui qui m'a tellement aidé à m'intégrer alors que j'étais un homme détruit.

Cette réunion promettait de durer une grande partie de la journée, tellement de sujet devaient être évoqués et traiter impérativement. Toutefois j'étais ailleurs, toujours tracassé par ce que m'avait confié Otasina la veille. Gibbon me rappelait souvent à l'ordre dans mes trop nombreuses absences. Au bout d'un moment Gibbon et Viaduc commencèrent à s'inquiéter.

« -Bon qu'est-ce qu'il t'arrive ? Tu es exceptionnellement inefficace aujourd'hui !

-Je m'inquiète pour Otasina, apparemment des brigands rôdent sur la route, et elle devrait déjà être rentrée.

-Ah oui je vois, bon on peut se passer de toi pour la suite, va la rejoindre si tu veux. »

A peine ces paroles prononcées par Gibbon, que j'étais déjà loin. Je me mis à courir sur la route, mais c'était trop long ! Un Blblblblblblbllbblbl attirât mon attention sur le caravansérail proche de moi. La solution était là ! Profitant de l'inattention d'un des marchands, je sauta sur un des chameaux pour reprendre ma course au triple galop chameauhesque. Blblblblbllblbl.

Au bout d'une course effrenée j’arrivai enfin au marché, il ne restait plus grand monde, mais ma moitié était là, tranquillement en train de finir de ranger son étal. En me voyant elle eu un grand sourire.

« -Aha, je vois que tu n'as pas résisté à ton inquiétude, tu en trembles encore ! Excuse-moi, un client très intéressé par mon étal m'a beaucoup retardé. »

Mon soulagement était immense, je m'étais finalement inquiété pour rien. Après l'avoir serrée contre moi un long moment pour m’imprégner de sa présence, je me suis mis à l'aider pour qu'on rentre à Grabah tranquillement.

Le trajet se déroulait parfaitement et nous n'étions plus très loin de notre point de chute, bientôt les immenses dunes de la cité des merveilles apparaîtraient devant nous. Mais le destin en avait décidé autrement. Au détour d'un virage, un tronc couché au milieu de la route nous obligea à nous arrêter pendant qu'une bande d'hommes vêtus salement et équipés d'armes hétéroclites surgissaient des arbres environnant le chemin. A cette vue mon cœur s'arrêta un instant et j'entendis le souffle d'Otasina se stopper net, je pouvais presque entendre les pulsations frénétiques de son cœur. Me prenant pour le marchand, un des bandits s'avança vers moi. Il était vraiment repoussant, vêtu d'une armure de cuir bouilli, dont aucune pièce ne provenait de la même tunique, un bandeau barrait un partie de son visage, d'où suintait un épais liquide rouge, ses traits taillés à la serpe n'inspiraient que haine et dangerosité.

« -Hola mon bon ami ! Comme tu l'auras certainement compris, tous tes biens sont dorénavant notre ! Je te conseille de descendre de ton chariot, d'y laisser ta bourse et de repartir prestement ! Autrement tu peux imaginer ce qu'il t'en coûtera » Sur ces mots, la dizaine de brigands sortirent leurs armes avec un sourire cruel. Je n'avais pas vraiment le choix et suivit alors ses directives.

 

 

La fin d'une histoire

 

 

Prenant Otasina par le bras nous descendîmes du chariot et commencèrent alors à s'éloigner sous les regards de nos détrousseurs. Mais en passant près d'eux certains commencèrent à tripoter ma femme, je la sentais tressaillir à chaque attouchement.

Nous avions presque réussi à passer le groupe de brigands dans un silence de plomb, sous leurs regards de tueurs, quand un de ces malfrats décida de tirer à lui Otasina. Je la sentis arrachée de mes côtés alors qu'elle poussait un cri effrayé ! Mon premier réflexe fut de m'élancer vers elle, mais à peine j’esquissais un mouvement que tous les autres bandits firent un pas vers moi l'air menaçant, dans un bruit d'acier s’entrechoquant. L'homme qui détenait à présent ma femme me regardait, avec un grand sourire sur son visage de brute.

J'étais tendu, entouré d'armes me menaçant, le temps s'était comme arrêté, seul le vent dans les feuillages était audible, je sentais mon cœur battre dans ma poitrine à un point insupportable, des gouttes de sueur me coulaient le long du dos, ma femme me regardait, les yeux remplis de larmes. Cet instant, qui semblait figé dans le temps, fut soudainement rompu par le bruit de tissu déchiré que fit la tunique d'Otasina lorsque son ravisseur la lui arracha d'un coup brusque et puissant. Comme si quelque chose s'était brisé, tout s'accéléra, le hurlement de ma moitié, suivi des rires gras me fit sauter à sa rescousse, mais 4 des hors-la-loi me repoussèrent fermement, et je me retrouvai plaqué contre le chariot. Je ne compris pas immédiatement ce qu'il m'arrivait, puis un souffle fétide m'arriva au visage en même temps qu'une douleur insupportable partait de mon épaule droite, pour irradier tout mon corps. Le chef du groupe, tenant son épée qui traversait mon épaule pour me clouer au chariot, se rapprocha de mon oreille.

« -Je t'avais prévenu, maintenant profite du spectacle ! »

Il s'éloigna pour retourner avec ses sbires, me laissant accroché comme un vulgaire pantin au chariot. Essayant de supporter la douleur qui me tétanisait mieux que l'épée enfoncée dans le bois, je cherchais ma femme des yeux. Je ne pouvais la voir, entourée des nombreux brigands, je ne pouvais qu'entendre ses cris de peur et de douleur, et supposer. La douleur d'imaginer ce qu'ils lui faisaient était comme si je n'étais plus retenu par seulement une épée, mais maintenant par mille me traversant le corps de part en part. Je sentais mon esprit commencer à tourner, mes paupières devenaient lourdes, puis je me rendis compte que des éclairs d'énergie parcouraient mes doigts, de plus en plus importants. Mes immenses pouvoirs enterrés au plus profond de mon être reprenaient doucement le contrôle de mon corps, sans que je ne les ai appelés à moi. Mais en même temps, comme des années plus tôt lors de la dernière utilisation de mes pouvoirs, les images de destruction de Nornoellia se frayèrent un chemin jusqu'à mon esprit embrumé. Alors que les éclairs d'énergie parcourant mes doigts prenaient des proportions inquiétantes pour tout ce qui m'entourait, ces souvenirs eurent raison de mes pouvoirs ressurgissant. Mon corps qui s'était redressé d'une énergie nouvelle s’affala, seulement retenu par l'épée. Je ne pouvais utiliser mes pouvoirs, ils avaient déjà causé trop de destruction, ma vision se brouillait, je ne pouvais plus réfléchir, les sons ne me parvenaient plus que difficilement. Alors que mon esprit était sur le point de s'éteindre, un éclair blanc traversa mon champs de vision.

Dans un effort surhumain j'obligeai mes yeux à s'ouvrir. Ce qu'il se passait devant moi était inimaginable, tous les grabatekhs étaient en train de découper les bandits, en surnombre et avec l'effet de surprise le combat fut rapidement terminé, tous les hors-la-loi gisaient à terre dans leur sang ou étaient en fuite. Une touffe rousse me cacha soudainement ce paysage désolé, Viaduc me dit alors d'une voix rassurante :

« -Nous sommes là mon amis. »

Il retira d'un coup sec l'épée de mon épaule, me laissant m'écrouler dans les bras de l'éclair blanc transformé en un grand singe.

La vision d'un tas de couleur au milieu de tout ce sang et cadavres me fit retrouver mes forces ! Je me précipitai alors aux côtés de ma femme. Je vis rapidement que son état était désespéré, des blessures affreuses lui couvraient tout le corps. Mais elle vivait, dans un excès de conscience insupportable, je me demandai pour combien de temps encore. En me voyant elle trouva le courage d'esquisser un faible sourire et de me parler.

« -Mon amour...

-Chut, garde tes forces, je vais trouver de quoi te soigner !

-Non, il est trop tard pour moi, mais toi... Tu peux encore vivre, te souvenir de moi, me garder dans ton cœur... »

Les larmes coulaient sur mes joues sans que je m'en rende compte, pour le moment mon cœur était plutôt transpercé de piques acérées.

« -A... Avant de partir... Je... veux te confier mon secret. Quand je tisse, je projette un peu d'énergie dans le tissu, un... un pouvoir qui vient d... de ma mère... »

Ses forces s'amoindrissaient, son souffle se faisait plus difficile.

« -Je t'aime, je t'aimerai toujours mon amour. »

Je sentis ses dernière forces la quitter et sa tête tomber en arrière, sans vie. Ses magnifiques yeux qui m'avaient tant charmés me fixaient encore, sans vie. Elle gisait dans mes bras, j'étais perdu, mon esprit comme absent, je levai mon regard vide. Gibbon, Viaduc, Pixiox, Coco, Bob, Th0mas, ParesseuKid, Byg, Glandu, Myrns et Ice formaient un cercle autours de moi. Une grande partie de mes amis, qui m'avaient accueilli se tenaient là, je voyais dans leur regard toute l'horreur de la situation. Quelque chose se brisa en moi, et je hurlai alors tout mon désespoir.

 

 

Une douleur éternelle

 

 

Quelques temps sont passés depuis ces événements, il m'est toujours difficile d'en parler, mais je pense que cela était nécessaire. Les mois suivants la perte de ma moitié j'ai cru ne pas pouvoir supporter la douleur qui m'assaillait à chaque instant. Je ne compte plus le nombre de fois où, me tenant en haut de la spirale commerçante, le regard posé sur l'échoppe maintenant vide de ma femme, l'idée de me laisser tomber jusqu'au sol à peine visible m'a traversé l'esprit.

Puis, les premiers mois difficilement passés, une idée m'a permis de refaire surface. Je ne dis pas m'être remis de ce drame, mais je pense avoir passé le plus difficile, maintenant j'ai un objectif, une idée qui m'oblige à sortir la tête de l'eau et à aller de l'avant. Otasina n'aurait pas voulu que je me laisse dépérir, elle voulait que je me souvienne d'elle, que je continue ma vie.

Elle m'a ouvert la porte, en me confiant son secret dans ses derniers instants. J'ai la capacité de poursuivre son activité, de la faire vivre à travers cela, mes pouvoirs me le permettent. Mais de plus, j'ai perdu ma première femme à cause de mes pouvoirs, j'ai perdu ma seconde femme à cause de l'absence de ceux-ci, il était stupide d'essayer de changer de vie et d'enfermer ce que j'étais. J'ai le sentiment qu'après tous ces événements j'arriverai à canaliser ma formidable puissance et à l'utiliser pour le bien de tous, je ne me briderai plus. Shruikraan Neias Zacifrän n'est pas un fermier qui laisse des personnes mourir devant lui !

Vous comprenez donc maintenant pourquoi je tiens à être commerçant, je vais reprendre l'enseigne de ma femme et perpétrer sa mémoire à travers elle. « Aux Brodéliande » ne cessera pas d'exister et ses produits colorés viendront éradiquer toute grisaille, toute peur ou inquiétude de ce monde.

 

 

 

[Stalroc]

Bonsoir,

 

 

Je suis ici aujourd'hui pour plussoyer mon ami Shrui dans sa demande du titre de commerçant sur Minefield. Shrui est un joueur que je côtoie depuis maintenant plus d'un an sur le serveur et qui a su faire ses preuves dans la communauté avec le temps. Actif et sérieux, il a su gérer avec harmonie le projet Grabah en compagnie de son ami de longue date Gibbon_Boy.

Investi dans tous ce qu'il entreprend sur le serveur, il n'y a aucun doute sur les qualités futures de Shrui en tant que commerçant.

 

Tisserand depuis peu certes mais plein de volonté, Shrui mérite amplement le rang de Citoyen Commerçant.

 

Il y a énormément de louange à faire sur Shrui tellement c'est un type cool. Malgré que tout le monde le confonde avec Gibbon IRL (Triste)

Enfin bref pas grand chose à dire de plus à part que j'offre un grand +1 à Shrui !

 

 

Pour la badassitude ! Pour son look du turfu ! Pour son commerce !

 

 

 

Merci d'avoir lu ce plussoiement.

 

Cordialement,

 

Stalroc,

Seigneur de Simurgh

Citoyen Commerçant

Prêteur de Senateur_Loc au Conseil Restreint (RIP)

Gérant des Fondations Stalroc.

 

 

PS: Après tout il mange les croquettes de son chat. Bisous <3

[Gibbon_Boy]

Hellow !

 

Sa rapidité d'exécution me laisse pantois ! A peine citoyen, après une légère attente disons, qui montre la patience et l'investissement certain de ce joueur pour ce serveur, Shrui se lance dans le commerce ! A croire qu'il avait tout planifié depuis le début ! Lui qui avait réussi à être villageois en une semaine seulement ! Le voilà qui vole vers la modération (d'un shop hein)...

 

Mais trêve de balivernes ! Je suis là, en tant que chef de la ligue des justissinges, en tant que grand gorille autoproclamé de Symia, en tant que co-fondateur de Grabah, en tant que grand prêtre de Shellnd à Grabah, en tant que vieux con de l'AVC, en tant que co-fondateur de la MPU et finalement en tant que gérant de "L'or en tout temps" (posage de balls), pour soutenir Shruikraan Neias Zacifrän. Ami IRL de longue date maintenant, je ne peux qu'admirer les talents de ce gars, à la coiffure improbable, en matière d'architecture. Aussi bien IRL que dans Mf, il m'impressionne... Je peux même affirmer que Grabah ne serait pas ce qu'elle est aujourd'hui sans son intervention (Hellow le popage de maison dans tous les quartiers !). Capable aussi bien de construire dans le détail sur des petites constructions que des sur des bâtiments d'importance majeure, Shrui a été élevé au plus grand rang dans Grabah à une vitesse fulgurante. Et c'est mérité.

 

Cependant, je ne suis pas ici pour vanter les talents architecturaux de notre magicien explosif. Je viens avant tout vanter sa facette sociale ! Vachement plus importante quand on sait qu'il s'agit d'une candidature commerçante. Gwendal est un ami. Sa sympathie et son rire facile le rendent passe-partout (non pas un nain!), toujours (ou presque...) de bonne humeur, il égaye le channel mumble à chaque fois qu'il est présent. Ingame, je suis certain qu'il saura être un commerçant exemplaire. Machine de farming, assidu sur les quêtes, il a déjà prouvé à grand nombre qu'il était capable de gérer son porte monnaie. C'est pourquoi, je suis certain qu'en tant que commerçant, il fera des ravages sur le serveur. Faites gaffe à pas vous faire refiler un escalier de laine pour 15Pas ! Il a enfin bien prouvé qu'il était un joueur actif et qui ne se laisse pas décourager pour si peu (cf : temps d'attente pour la citoyenneté), cette licence commerçante ne sera pas décernée au premier pécore venu ! Parole de singe !

 

C'est donc un immense +1 pour ce joueur formidable. Puisse Shrui devenir commerçant tisserand car il le mérite largement.

 

Le Gibbon.

[Vincent2k3]

Déjà ? Shrui à peine citoyen en veut déjà plus ! Et bien il n'a pas tort ...

Shrui est un joueur actif, qui n'hésite pas à aider. De plus, il s'implique dans la vie du serveur en faisant de nombreuses suggestion, il nous fait tous participer aussi. Donc, Shrui est un membre impliqué et méritant.

J'ai eu à le rencontrer à plusieurs reprises, même aujourd'hui et nous avons eu une petite discussion. Je le considère comme un "ami".

Tout cela pour dire que je soutiens Shrui dans sa candidature commerçante.

 

Bonne chance et bon jeu !

 

Cordialement,

Vincent2k3

[maximawiti]

POPOPO!

Cet individu avait tout prévu!!

Il revient d'Italie et pis, POUF! Le voilà citoyen!

Il est citoyen et pis, POUF! Il nous sort une candid' commerçante!

 

Cette méticuleuse organisation témoigne de longues heures de brainstorming (heu... ah bon?) et d'une motivation à toute épreuve!

A ma connaissance les tisserands commerçants actifs ne courent pas les rues, et Shrui se pourrait bien être un antidote à cela!

Pour avoir un temps bosser avec lui, je peux témoigner de son activité et de son implication sur Minefield. Grabah en est une autre preuve, cette cité aux mille richesses a en effet du demander quelques heures de farm intensif! Imaginez ce que cela donnerait si ce farm était dirigé vers le but d'approvisionner son shop, ce serait-y pas beau un magasin toujours plein avec un commerçant actif d'une spé assez peu représentée?

 

Et n'oublions pas les MPU's! Cette proposition d'aide est le signe d'une grande bonté, et d'une patience non-négligeable! Cet homme ne demande qu'à embellir et aider Minefield, aidez le en retour!

 

+1!

[Nafiros]

Bien le bonjour mes chers et tendre joueurs de Minefield,

 

Je suis ici dans le cadre d'un plussoiement forcé  en faveur de mon cher Shrui.

 

Effectivement shruiiiiii *imite le cri d'un porc qu'on égorge* est un joueur fort sympathique avec qui j'ai pu passer de très

agréable moments. Sur grabah comme ailleurs , il sais être gentil, patient, et à plein de bonne volonté.

 

je ne dirais pas qu'il est honnête - *se fait tordre le bras* oui si d'accord je vais le dire , Shrui est une honnête personne, et je pense

que commercer avec lui sera un plaisir !

 

Au plaisir de voir tes panneaux dans un des cartons de la confrérie.

 

Nafiros, Maitre du fort de l'obsidienne.

[davman17]

Pwet!

 

Je viens plussoier l'ami shrui!

 

C'est un joueur qui s'investit beaucoup pour grabah et qui va bientôt gérer lui même son projet.

 

C'est un joueur sympathique,drôle et travailleur. Il a aussi su gérer avec les grabahteks l'évent des jo.

 

Pour toutes ses raison cités je dépose donc mon +1

 

Cordialement et amicalement, Davman_pingouin, chancelier en décoration Dolgarund et quatrième pingouin de minefield!

[Lugnasad]

Bonjour je viens plussoyer shrui car c'est une personne sympathique qui sait s'investir dans ce qu'il fait . Il est amical et chaleureux comme toute personne tenant une échoppe je pense donc qu'il mérite sa licence commoerçante 

[Cauko]

Bonjour à tous,

 

Je suis ici sur cette candidature pour plussoyer mon ami Shrui faisant parti de Grabah une communauté qu'il aide tout le temps ! II a aussi proposé son propre projet qui va lui changer du sable

C'est aussi une personne très sympathique que ce soit IG ou mumble avec qui ont peu parler facilement...

Srui est aussi quelqu'un d'actif, d'après moi il a toute les qualités / compétences pour devenir commerçant !

 

Donc c'est pour ça que je lui laisse se +1 j'espère qu'il t'aidera dans quête pour devenir commerçant !!!!

[Oumar]

Salam aleykoum,

 

Je vais vous présenter un peu le spécimen qu'est shrui...

Bon déjà le mec , je le soupçonne de vouloir controler Mf,j'ai pas de preuves OK! Mais vu son comportement on peut se poser des questions...

Déjà il est sympa tout le temps (wtf on est sur mf quand même) ensuite il aide quand on lui demande (evidemment il en profite pour te demander de l'aide ... je ne suis qu'un outil pour lui :'( )

A part cela, le pey il a une bonne patte pour la construction, son projet et grabah peuvent le confirmer.

Donc ce mec est sympa, serviable et bon en construction et il aime les choses secrètes cfr grabah et ses 3000 passages secrets ...

Tout cela m'a donc mis la puce à l'oreille et je continue mon enquête, je vous tiendrai au courant sur sa candide chevalier.

 

Redevenons sérieux,

Il mérite ce grade,il mérite d'avoir accès à la profession de commerçant parce qu'il fait avancer le serveur. Il faut donc lui donner tout les moyens pour arriver a ce qu'il puisse réaliser un max de choses.

Je ovus demande donc de lui accorder sa licence! PRONTO

 

Cordialement,

Oumar

[Sabowh]

Bonjour ,

 

Je viens soutenir Shrui dans sa quête de l'obtention du grade commerçant ,

Shrui est un joueur actif et depuis sont passage au rang de citoyens toujours dispo pour faire un craft (faut dire que avant en temps que fermier , il avait beaucoup moins de possibilité)

Il est motivé dans se qu'il fait , que ça sois à Grabah ou encore dans  Kel'Daer projet qu'il à récemment crée ^^ ,

Pour lui avoir parle quelques fois sur mumble et en jeu , je peut vous dire que c'est un joueur sympathique , investi , parfois drôle

comme la dit Stal sont look du turfu le mènera loin ! qui sais de quoi Shrui est encore capable 

 

En tout cas je suis sur qu'il a toutes les qualités requisse pour passer commerçant  , et j’espère avoir dit l’essentiel 

 

Bref +1 et bonne chance à toi =) 

[Fairyme]

Bonjour,

 

Shrui est un joueur actif qui est toujours disponible pour un craft. Il est plutôt actif sur le chat et participe souvent au débats et autres conversations qui se déroulent sur le chat. De plus pour lui avoir parlé plusieurs fois je le trouve vraiment cool et à l'écoute. 

 

Sur ce je te souhaite bonne chance et t'attribue un plussoiement de ma pars ! 

[TheGaudis]

Bonjour,

 

Bon shrui c'est avec plaisir que je suis ici, je te connais depuis un moment maintenant.

 

C'est donc avec plaisir, que moi, TheGaudis, vienne te soutenir avec mon peu de français que je connais

 

Donc tu as tout mon soutiens dans ta licence commerçante !

 

Viel Glück !

[Yann291]

Bonsoir,

 

Ta candidature est complète et soutenue, j'ai donc le plaisir de l'accepter, félicitations !

 

Afin de valider ton nouveau statut, je te demanderai d'effectuer le paiement des 300 pa au serveur puis de m'envoyer un mp une fois que cela sera fait afin que je t'ajoute ta licence.

 

À bientôt,

 

Yann.