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A la mémoire du Baron


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Oyez neuble pople noble peuple de Minefield !

 

Imaginez mon malheur ! Je me réveille ce matin, avec un terrible mal de crâne, dans une contrée lointaine qui n'est pas la mienne ! Tout ce que j'ai, ce sont ces inscriptions contenues dans mon passeport Minecraftien. Mais si ces indications sont bien vraies, comment le Baron que je suis peut-il bien se retrouver égaré des siens, habillé comme un  saymple pisan ? Un campagnard ! Ohlala ! Mon crâne me fait si mal que les mots que je prononce se bousculent entre eux...

 

J'ai bien tenté d'explorer vos terres pour retrouver mon chemin mais ce monde m'est inconnu et j'ai grande peur de m'y perdre ! C'est pourquoi je viens quémander votre aide, à la recherche d'un noble compagnon qui aura la bienveillance de me prendre sous son aile pour me faire découvrir les alentours. Voulontaire et corageux Téméraire, c'est avec abnégation et sérieux que je prendrais part à vos projets pour retrouver le statut qui est le mien !

 

M'aiderez vous à entrependre ma qrète ? Zut !  Entreprendre ma quête ? Si vous êtes intéressé laisser moi une note à l'auberge ou venez directement me voir. Je serais dans la fesse du pion. RAAAAAAAH !!! LA PIÈCE DU FOND !

 

Le Baron saura-t-il retrouver la mémoire et gagner sa place dans Minefield ? Parviendra-t-il à avoir une diction digne de son rang ? Tant de questions sans réponse pour le moment...

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Oh, bienvenue à toi ô preux champagnard !
Je t'aurais bien aidé dans ta noble quête mais je crois m'être par mégarde trompé de route. J'ai lu sur l'affiche « À la mémoire du bacon » et j'ai alors senti un besoin inextricable d'entrer afin de commémorer ce petit bout de viande salé mais succulent. C'est donc dans la pénombre que je me retire, psalmodiant l'une de mes chaînes de sacres les plus intenses, comme une vieille et maléfique incantation sortie du plus profond de mon être. Mais comme par enchantement beaucoup moins maléfique, mon pseudo-sort est sans effet, comme une vulgaire trempette de poisson-clown dans un océan de créatures difformes aux pouvoirs mystérieux. Je dois donc m'avouer impuissant face à toi, ô saymple pisan ! Mais là ne sera pas mon dernier mot car au moment où tu lis ceux-ci, d'autres s'alignent comme une histoire sans fin. C'est pourquoi d'un bête malentendu s'étend le pâté qu'est ce texte écrit à la plume du futur, jetant au diable les paragraphes et retours à la ligne, rechignant l'utilisation d'alinéa et de justification de texte. Tout par la faute d'une dyslexie passagère, un moment d'innattention qui me coûta plus que de plates excuses et deux voire trois pas à reculons pour remprunter la porte dans le sens inverse. Je suis malheureusement et pleinement entré dans cette auberge chaleureuse et accueillante, remplie de mots se bousculant au rythme des tambours annonçant un trépas proche, semblable à une ancienne mélopée, annexant chasseur et proie en un tout, indivisible. Dans mes lignes tu peux, ô jeune étranger, retrouver un message d'espoir, d'illumination, mais aussi un ramassis de phrases dépareillées et sans sens profond comme un kilt accouplé à un complet veston cravate présent dans toutes les réceptions médiévales sauf celles vieux jeu. Mais ça se peut qu'il n'y ait rien de ça, et que ce ne soit que les élucubrations d'un esprit tourmenté par des vagues et lointains souvenirs, pourtant si douloureux et frais dans une mémoire fracassé par les marteaux frappant sur l'enclume de la vie, martellant les personnalité comme un boucher taillant sa viande au seizième de pouce près. Ce n'est pas impossible qu'il y ait aucune explication logique derrière ce flot de lettres paraissant infini sous les regards interloqués des lecteurs passagers. Rien n'est à écarter, pas même la possibilité d'un rêve éveillé, telle une princesse croupissant sous le poids du sommeil éternel dans un conte pour enfants. Mais je n'en serais pas si sûr à la vue d'une analyse aussi peu étoffée de ses propres mots, valsant au son des doigts résonnants sur une matière solide comme quelques chose qui ne cède pas face à une plume, volée à un chef amérindien en manque de sirop d'érable. Tout ceci est d'ailleurs tellement insensé que l'écrivain qui écrit cette phrase parle de lui à la manière d'un narrateur omniscient, employant un vocabulaire assez répétitif pour dire voire plutôt coucher sur papier des choses sans but, pour le plaisir de palper la feuille sous toute ses coutures, de sentir l'encre couler abondamment sur ses doigts noirs de son oeuvre. Mais elle ne s'arrête pas là, comme les aiguilles au fond de l'horloge, qui battent la mesure et jamais ne dérogent, le flot d'informations, puissant, intarissable, continue. Même lorsque l'on croit à une finalité, un rebondissement inattendu survient, plus bouleversant qu'une boule de neige sur le versant d'une montagne blanche, couverte de flocons emmaillotés dans un ensemble surnommé pluie d'hiver, glaciale, immaculée, merveilleuse, mais parfois fatale. Mais si le narrateur n'était autre que l'écrivain et ce dernier un lecteur, le lecteur ressassant cette idée dans son esprit et devenant lui-même le narrateur de ce récit inédit ? Comment pourrait-on allors sortir de ce paradoxe agissant comme un cercle vicieux, infini ? Nul ne le sait, et c'est donc sur ce remue-méninges cérébral que je vous abandonne... Sauf si bien sûr un boulversement bouleversant survenait, ce qui ne peut pas être le cas puisque je vous ai prévenu de son existance, comment donc un événement expliqué, décortiqué et rappelé pourrait donc surprendre tout de même ? Serions-nous en présence d'un paradoxe, d'une nouvelle forme de propose insensé ? Est-ce que c'est comme si je disais que mes propos n'ont pas de fin ? Que j'écris continuellement la suite au fur et à mesure de la lecture alors que le message est déjà posté ? Est-ce que c'est comme si je disais : Oh, bienvenue à toi ô preux champagnard !
Je t'aurais bien aidé dans ta noble quête mais je crois m'être par mégarde trompé de route. J'ai lu sur l'affiche « À la mémoire du bacon » et j'ai alors senti un besoin inextricable d'entrer afin de commémorer ce petit bout de viande salé mais succulent. C'est donc dans la pénombre que je me retire, psalmodiant l'une de mes chaînes de sacres les plus intenses, comme une vieille et maléfique incantation sortie du plus profond de mon être. Mais comme par enchantement beaucoup moins maléfique, mon pseudo-sort est sans effet, comme une vulgaire trempette de poisson-clown dans un océan de créatures difformes aux pouvoirs mystérieux. Je dois donc m'avouer impuissant face à toi, ô saymple pisan ! Mais là ne sera pas mon dernier mot car au moment où tu lis ceux-ci, d'autres s'alignent comme une histoire sans fin. C'est pourquoi d'un bête malentendu s'étend le pâté qu'est ce texte écrit à la plume du futur, jetant au diable les paragraphes et retours à la ligne, rechignant l'utilisation d'alinéa et de justification de texte. Tout par la faute d'une dyslexie passagère, un moment d'innattention qui me coûta plus que de plates excuses et deux voire trois pas à reculons pour remprunter la porte dans le sens inverse. Je suis malheureusement et pleinement entré dans cette auberge chaleureuse et accueillante, remplie de mots se bousculant au rythme des tambours annonçant un trépas proche, semblable à une ancienne mélopée, annexant chasseur et proie en un tout, indivisible. Dans mes lignes tu peux, ô jeune étranger, retrouver un message d'espoir, d'illumination, mais aussi un ramassis de phrases dépareillées et sans sens profond comme un kilt accouplé à un complet veston cravate présent dans toutes les réceptions médiévales sauf celles vieux jeu. Mais ça se peut qu'il n'y ait rien de ça, et que ce ne soit que les élucubrations d'un esprit tourmenté par des vagues et lointains souvenirs, pourtant si douloureux et frais dans une mémoire fracassé par les marteaux frappant sur l'enclume de la vie, martellant les personnalité comme un boucher taillant sa viande au seizième de pouce près. Ce n'est pas impossible qu'il y ait aucune explication logique derrière ce flot de lettres paraissant infini sous les regards interloqués des lecteurs passagers. Rien n'est à écarter, pas même la possibilité d'un rêve éveillé, telle une princesse croupissant sous le poids du sommeil éternel dans un conte pour enfants. Mais je n'en serais pas si sûr à la vue d'une analyse aussi peu étoffée de ses propres mots, valsant au son des doigts résonnants sur une matière solide comme quelques chose qui ne cède pas face à une plume, volée à un chef amérindien en manque de sirop d'érable. Tout ceci est d'ailleurs tellement insensé que l'écrivain qui écrit cette phrase parle de lui à la manière d'un narrateur omniscient, employant un vocabulaire assez répétitif pour dire voire plutôt coucher sur papier des choses sans but, pour le plaisir de palper la feuille sous toute ses coutures, de sentir l'encre couler abondamment sur ses doigts noirs de son oeuvre. Mais elle ne s'arrête pas là, comme les aiguilles au fond de l'horloge, qui battent la mesure et jamais ne dérogent, le flot d'informations, puissant, intarissable, continue. Même lorsque l'on croit à une finalité, un rebondissement inattendu survient, plus bouleversant qu'une boule de neige sur le versant d'une montagne blanche, couverte de flocons emmaillotés dans un ensemble surnommé pluie d'hiver, glaciale, immaculée, merveilleuse, mais parfois fatale. Mais si le narrateur n'était autre que l'écrivain et ce dernier un lecteur, le lecteur ressassant cette idée dans son esprit et devenant lui-même le narrateur de ce récit inédit ? Comment pourrait-on allors sortir de ce paradoxe agissant comme un cercle vicieux, infini ? Nul ne le sait, et c'est donc sur ce remue-méninges cérébral que je vous abandonne... Sauf si bien sûr un boulversement bouleversant survenait, ce qui ne peut pas être le cas puisque je vous ai prévenu de son existance, comment donc un événement expliqué, décortiqué et rappelé pourrait donc surprendre tout de même ? Serions-nous en présence d'un paradoxe, d'une nouvelle forme de propose insensé ? Est-ce que c'est comme si je disais que mes propos n'ont pas de fin ? Que j'écris continuellement la suite au fur et à mesure de la lecture alors que le message est déjà posté ? Est-ce comme si je disais : Oh, bienvenue à toi ô preux champagnard !
Je t'aurais bien aidé dans ta noble quête mais je crois m'être par mégarde trompé de route. J'ai lu sur l'affiche « À la mémoire du bacon » et j'ai alors senti un besoin inextricable d'entrer afin de commémorer ce petit bout de viande salé mais succulent. C'est donc dans la pénombre que je me retire, psalmodiant l'une de mes chaînes de sacres les plus intenses, comme une vieille et maléfique incantation sortie du plus profond de mon être. Mais comme par enchantement beaucoup moins maléfique, mon pseudo-sort est sans effet, comme une vulgaire trempette de poisson-clown dans un océan de créatures difformes aux pouvoirs mystérieux. Je dois donc m'avouer impuissant face à toi, ô saymple pisan ! Mais là ne sera pas mon dernier mot car au moment où tu lis ceux-ci, d'autres s'alignent comme une histoire sans fin. C'est pourquoi d'un bête malentendu s'étend le pâté qu'est ce texte écrit à la plume du futur, jetant au diable les paragraphes et retours à la ligne, rechignant l'utilisation d'alinéa et de justification de texte. Tout par la faute d'une dyslexie passagère, un moment d'innattention qui me coûta plus que de plates excuses et deux voire trois pas à reculons pour remprunter la porte dans le sens inverse. Je suis malheureusement et pleinement entré dans cette auberge chaleureuse et accueillante, remplie de mots se bousculant au rythme des tambours annonçant un trépas proche, semblable à une ancienne mélopée, annexant chasseur et proie en un tout, indivisible. Dans mes lignes tu peux, ô jeune étranger, retrouver un message d'espoir, d'illumination, mais aussi un ramassis de phrases dépareillées et sans sens profond comme un kilt accouplé à un complet veston cravate présent dans toutes les réceptions médiévales sauf celles vieux jeu. Mais ça se peut qu'il n'y ait rien de ça, et que ce ne soit que les élucubrations d'un esprit tourmenté par des vagues et lointains souvenirs, pourtant si douloureux et frais dans une mémoire fracassé par les marteaux frappant sur l'enclume de la vie, martellant les personnalité comme un boucher taillant sa viande au seizième de pouce près. Ce n'est pas impossible qu'il y ait aucune explication logique derrière ce flot de lettres paraissant infini sous les regards interloqués des lecteurs passagers. Rien n'est à écarter, pas même la possibilité d'un rêve éveillé, telle une princesse croupissant sous le poids du sommeil éternel dans un conte pour enfants. Mais je n'en serais pas si sûr à la vue d'une analyse aussi peu étoffée de ses propres mots, valsant au son des doigts résonnants sur une matière solide comme quelques chose qui ne cède pas face à une plume, volée à un chef amérindien en manque de sirop d'érable. Tout ceci est d'ailleurs tellement insensé que l'écrivain qui écrit cette phrase parle de lui à la manière d'un narrateur omniscient, employant un vocabulaire assez répétitif pour dire voire plutôt coucher sur papier des choses sans but, pour le plaisir de palper la feuille sous toute ses coutures, de sentir l'encre couler abondamment sur ses doigts noirs de son oeuvre. Mais elle ne s'arrête pas là, comme les aiguilles au fond de l'horloge, qui battent la mesure et jamais ne dérogent, le flot d'informations, puissant, intarissable, continue. Même lorsque l'on croit à une finalité, un rebondissement inattendu survient, plus bouleversant qu'une boule de neige sur le versant d'une montagne blanche, couverte de flocons emmaillotés dans un ensemble surnommé pluie d'hiver, glaciale, immaculée, merveilleuse, mais parfois fatale. Mais si le narrateur n'était autre que l'écrivain et ce dernier un lecteur, le lecteur ressassant cette idée dans son esprit et devenant lui-même le narrateur de ce récit inédit ? Comment pourrait-on allors sortir de ce paradoxe agissant comme un cercle vicieux, infini ? Nul ne le sait, et c'est donc sur ce remue-méninges cérébral que je vous abandonne... Sauf si bien sûr un boulversement bouleversant survenait, ce qui ne peut pas être le cas puisque je vous ai prévenu de son existance, comment donc un événement expliqué, décortiqué et rappelé pourrait donc surprendre tout de même ? Serions-nous en présence d'un paradoxe, d'une nouvelle forme de propose insensé ? Je n'en sais rien... C'est pourquoi je ne répondrai qu'à toute cette question avec un nombre ultime et final, mettant un point à ce manifique pavé : 42.

Merci et bon matin.

 

 

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Oh miséricorde. o_o

 

Tu ne m'en voudras pas Pcote, j'ai mis un spoiler sur ton pavé, qui prenait beaucoup trop de place sur un sujet a priori sérieux. x)

Sinon, si des parrains passent par là, je vous invite à vous occuper de notre ami Visi ici présent, qui est encore en recherche. ;)

Sire Baron, j'essaierai de motiver les troupes. :) Si en attendant tu as des questions, n'hésite pas à m'envoyer un message privé, j'y répondrais avec joie en attendant que ton futur parrain prenne le relai !

 

Amicalement et littérairement,

Dom, dirigeant de l'Ambassade des Nouveaux Arrivants.

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Pcote, je suis au regret de te dire que ta candidature n'est pas recevable en l'état. Trop de fautes d'orthographe, une mise en forme déplorable, un mode inception à 3 balles par le biais du CTRL c / CTRL v, etc. Nul doute que tu sauras te ressaisir et nous montrer l'étendue de tes talents littéraires.

 

 

l'écrivain qui écrit cette phrase parle de lui à la manière d'un narrateur omniscient, employant un vocabulaire assez répétitif pour dire voire plutôt coucher sur papier des choses sans but, pour le plaisir de palper la feuille sous toute ses coutures, de sentir l'encre couler abondamment sur ses doigts noirs de son oeuvre.

 

Et tu arrives à ressentir tout ça en tapant avec deux doigts sur le clavier ? Je pense que tu devrais arrêter la poutine tard le soir, ou en revoir les ingrédients :mrgreen:

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