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[Annulé] Candidature à la citoyenneté de N-A


Alfredalot
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Bonjour (ou bonsoir)

Je décide de postuler au titre de Citoyen de Nouvelle-Azur. Il y a deux ans, j'ai fait mes premiers pas sur le serveur. Il y a un an et demi, j'ai obtenu le titre de paysan.

Voici le lien de ma candidature à la paysannerie : paysans/candidature-devenir-paysan-alfredalot-t50087.html

Lien vers ma présentation :

post400600.html#p400600

 

 

 

Présentation IRL:

 

J'ai 17 ans, je suis de France métropolitaine (Charente Maritime exactement), et je suis en Terminale S (Ce qui implique que je passe le baccalauréat dans moins de deux mois, et que je serai bien plus présent cet été).

Sinon dans la vie je suis musicien, je compose, je fais des concerts avec mon groupe de rock/variété/brass ensemble.

En dehors de la musique j'aime bien dessiner, et j'aide bénévolement sur des chantiers de maisons pas trop loin de chez moi.

 

 

Pourquoi voudrais-je devenir citoyen néo-azuréen?

 

Durant plus d'un an, j'ai vécu dans un village (le Hameau des Sables) où la liberté d'avoir des projets était restreinte par le cuboïde général qui englobait la ville. J'avais lancé quelques projets pour libérer la ville de ce gel, mais la modération n'a pas voulu en entendre parler. Et à présent, Louvinette nous a dit que d'autres projets étaient prévus à l'emplacement du hameau, et nous a conseillé de déménager au plus vite si nous ne voulions pas nous retrouver SDF.

C'est alors que ma quête d'une nouvelle communauté a commencé; mes critères étant une ville non cuboïdée, car c'est synonyme de liberté d'entreprendre, et donc de dynamisme.

Je suis finalement tombé sur Nouvelle-Azur, ville historique du serveur de part les youtubeurs célèbres qui y ont émergés, mais aussi le fameux combat de Boblennon contre l'emprisonnement des citoyens dans une ville dont ils ne sont pas souvrains, comme c'est encore le cas au Hameau des Sables.

 

 

Mes projets à N-A?

 

Si je deviens azuréen, je souhaiterais défendre l'héritage sacré que vous a laissé Boblennon. Je ne parle pas de la ville (il y en a beaucoup sur NS), mais de cette liberté de casser, de refaire, de construire.. qui nécessite que la ville soit bichonnée comme aucune autre, d'où la présence de vos gardiens, qui ont la tâche la plus difficile et la plus importante de la cité, car sans eux, la modération aurait vite fait de pétrifier la ville comme elle l'a fait au Hameau des Sables.

Si je deviens azuréen, je ferai tout mon possible pour aider la ville à défendre cet héritage, et donc je ferai tout pour atteindre le rang de Gardien de N-A.

 

 

 

Petit RP:

 

 

En ce matin de mai, l'odeur du poiscaille avait envahi les ruelles pavées du Hameau des Sables, comme tous les jours de marché. Les commerçants appelaient les passants toujours avec les mêmes slogans: "Frais mon poisson!"; on pouvait trouver de tout, cette journée-là.

Mais ce n'était pas pour autant une journée comme les autres. En effet, en ce début de printemps, le Hameau se préparait à accueillir dans son arène les Jeux annuels. Une semaine de combat pour l'honneur d'un homme, qui deviendrait l'emblème légitime de cette ville en plein essor. D'habitude, cette semaine se termine par une cérémonie de fermeture, un rituel durant lequel tous les combattants doivent prêter serment de servitude pour le vainqueur. On terminait la cérémonie par un grand banquet, lors duquel le vainqueur des jeux mangeait en maître de table.

 

Mais cette saison ne s'annonçait pas de la même manière. En effet, à l'aube de l'ouverture des jeux, l'impératrice avait demandé audience à l'organisateur, et ils étaient actuellement en négociation pour déterminer un enjeu crucial qui aurait une importance non négligeable sur la ville et ses habitants. Au marché, des rumeurs circulaient disant que l'impératrice avait peur de l'avancée trop rapide de cette ville, et qu'elle représentait une menace de plus en plus conséquente pour l'Empire tout entier.

L'audience semblait s'éterniser, déjà deux heures qu'ils s'étaient enfermés dans une tour pour parler du sort des jeux, alors que tous les habitants attendaient dans le silence l'issue de cette réunion. Quand un homme cria "ils sortent!", tout le monde regarda la porte s'ouvrir, puis l'organisateur des jeux accompagné de l'impératrice sortirent. L'homme inquiet annonça la décision:

"Les jeux de cette année n'auront pas les mêmes enjeux que de tradition" dit-il; il avala sa salive, puis reprit: "Cette année, ce n'est pas l'honneur d'un homme mais celui d'une ville qui va dépendre de ces combats." L'impératrice s'avança pour expliquer devant le peuple inquiet "Cette année, les combattants du Hameau des Sables devront affronter les meilleurs soldats de l'Empire. S'ils gagnent, alors la ville deviendra l'emblème de l'Empire; s'ils échouent, alors le Hameau des Sables sera détruit, et ses habitants seront contraints de s'exiler."

Des murmures et des pleurs gagnèrent la foule, tandis que l'organisateur se mit également à pleurer à ces paroles.

 

Tout l'après-midi, les habitants préparèrent leurs combattants, qui, pour la première fois, allaient se battre pour la légitimité de leur ville. C'était tout ou rien. Tout le monde était aux petits soins pour eux, jusqu'à l'ouverture des combats.

Une semaine de combats, durant laquelle les soldats de l'Empire ridiculisèrent les habitants du Hameau des Sables. L'entrainement de nos gladiateurs n'était pas à la hauteur de l'armée de l'Empire.

Pour l'impératrice, ces jeux n'étaient qu'une formalité alors qu'ils représentaient tout l'espoir d'un peuple, qui allait perdre leur terre, leur ville, une paix tronquée contre un exil.

 

La cérémonie de fermeture était, pour la première fois depuis que les jeux existent, un moment de tristesse où les larmes règnent. L'impératrice se leva pour prendre la parole, puis dit: "vous savez ce qu'il vous reste à faire; vous avez jusqu'à demain pour partir si vous ne voulez pas finir brulés".

A ces paroles, tous les habitants partirent chercher leurs affaires, dans un affolement jamais vu chez ces habitants.

 

Une page se tournait à nouveau pour ce peuple. C'était une page où rien ne se passe, mais sur laquelle on aimerait s'arrêter. Une période de paix, l'apogée pour des hommes qui recherchent la tranquillité. A présent, ils retrouvaient leur statut de fugitifs, traqués pour des malentendus politiques, dont ils ne sont pas responsables. Le cortège se préparait, dans l'affolement des hommes qui veulent défendre leurs famille, des femmes qui veulent sauver leurs enfants, et des enfants, à qui l'on ne veut rien expliquer. Tous leurs espoirs étaient une fois de plus remis en jeu. Où ce voyage allait-il les mener ? Trouveraient-ils enfin la paix un jour ? Ils n'en savaient rien. Mais ils espéraient. Cinq mille âmes, qui tentent de conserver la seule valeur qui les fait vivre : l'espoir.

Ainsi, le cortège partit, comme quand ils avaient dû quitter Brutopia. Une masse dense, vulnérable, avec à sa tête Alfredalot. Ils sont faibles, et se relancent dans une course après une pause de dix mois. Ils marchèrent. Longtemps. Ils bravèrent, une fois de plus, les éléments et la colère des dieux. Au bout de trois mois, l'été arriva, et les réserves d'eau s'épuisaient. Les plus faibles mouraient, ou séchaient. Les autres, partageant leurs gourdes du mieux qu'ils pouvaient, commençaient à remarquer la pénurie qui sévit chez les vieillards, qui peinent à suivre le cortège. L'hydratation des plus jeunes et des plus vieux était une priorité. Malgré cela, de nombreux hommes ne parvinrent pas à se battre contre le Soleil, qui leur voulait du mal. Pour Alfredalot, la quête d'eau était sa principale préoccupation. Il ne voulait pas que les réserves soient complètement vides, et que tout les habitants soient condamnés à sécher sur le bord des sentiers. Mais le cortège continuait d'avancer. Et cela allait finir par payer.

 

En effet, après trois mois de marche sous un soleil quasi-mortel, les éclaireurs du cortèges annoncèrent la fin du périple. Il s'agissait d'une ville portuaire, d'apparence, mais aux richesses extraordinaires. Les anciens la décrivaient comme une utopie. Elle dominait la mer, par son phare et son église qui se tenait au sommet d'une montagne. Cette ville magnifique portait le nom de Nouvelle-Azur.

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Bonsoir !

 

Il faut aller sur le mumble de Nouvelle-Azur ou du Saint Trident pour discuter avec les azuréens et pour mieux faire connaissance.

(Avoir un micro n'est pas une obligation).

 

La plupart du temps on se trouve sur le mumble du Saint Trident.

 

Merci.

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