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[Stendel] Les Contrées de Muraë


Veleton666
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181134Informationstechniques.png

● Nom du projet : Les Contrées de Muraë

● Hauteur maximale prévue : 35 blocs par rapport au sol

● Objectifs : décoratif, habitations, commerces

● Dirigeant : Veleton666

● Zones de construction : surface et sous-sol

842839Localisationetorganisation.png

Localisation :

225014Carte.png

Organisation et délimitations :

815403Organisationduterritoire.png

Légende :

Blanc : Frontières du projet

Rouge : Nouvelle Caote

Bleu : Port de pêche de Nouvelle Caote

Vert clair : village de Gatewall

Violet : Crypte de Muraë

Orange : Exploitation fermière de Muraë

Noir : Fort des Patrouilleurs

Vert foncé : Forêt de Nutterwood

Brun : Hameau de bûcherons

 

Descriptif :

- Nouvelle Caote : c'est la ville où siège le seigneur de Muraë.

- Le village de Gatewall : c'est le seul point d'accès à la ville de Nouvelle Caote. On y trouvera la tour du SPLASH, des habitations et une taverne.

- La crypte de Muraë : futur donjon dans lequel sera conservé la Lampe de Caote, artefact renfermant une puissante entité de la Folie.

- Exploitation fermière de Muraë : ce sera l'endroit d'où proviendront toutes les provisions alimentaires de Muraë.

- Fort des Patrouilleurs : le fort abritant la milice des Patrouilleurs, chargée de défendre les Contrées de Muraë.

- Forêt de Nutterwood : c'est la forêt recouvrant la moitié du territoire de Muraë. Certains endroits de cette forêt sont charmants, d'autres le sont moins.

- Hameau de bûcherons : hameau situé dans la Forêt de Nutterwood, principal fournisseur de bois des terres de Muraë.

- Complexe métallurgique : situé à côté de Gatewall, ce lieu comprendra une mine ainsi que diverses installations en rapport avec le travail des métaux, acier comme cuivre.

 

923974Histoire.png

 

Prologue

 

L'auberge était remplie de travailleurs venus noyer leur labeur dans l'alcool. Du côté des mineurs, on racontait les trouvailles qu'on avait pu déceler dans les mines. De celui des bûcherons, on disait comment un arbre coriace avait fini par céder. De celui des pêcheurs, on contait des vieilles histoires d'un monstre aquatique aperçu dans le lac. Mais, parmi toutes ces personnes, un homme était assis, seul, à une table, visiblement en train d'attendre quelqu'un.

 

Il était minuit passé et l'auberge était désertée quand quelqu'un aux allures de vagabond entra. Il vint s'asseoir à côté de l'autre homme et mit une main dans sa poche, comme pour tâter un objet pour s'assurer qu'il était toujours bien à sa place.

« Ces mages ne se sont pas laissés avoir facilement. J'espère que vous avez de quoi payer, dit le vagabond.

-D'abord, vous me donnez ce que j'ai demandé, ensuite je vous donnerai votre argent, répondit l'homme.

-Voilà, donnez-moi la monnaie et je m'en irai sans faire de bruit. »

Il sortit sa main de sa poche et déposa un objet enveloppé dans un tissu sur la table. L'homme le découvrit. Il s'agissait d'une lampe en or qui laissait s'échapper une aura malveillante.

« Vous aurez vingt mille pièces d'argent, pas plus, dit-il à son interlocuteur.

-Nous avions convenu trente mille, il me semble. Si vous n'avez pas de quoi payer, je peux toujours vous tuer, vous détrousser et garder votre saleté de lampe, il me semble que quelques mages donneraient un meilleur prix pour la récupérer, menaça le vagabond.

-Nous pouvons toujours trouver un arrangement, répondit l'homme. Quarante mille pièces, et vous tenez le silence. Avec ça, vous avez de quoi liquider tous les diamants de New Stendel...

-Vous voyez bien qu'on peut s'en tirer convenablement. Donnez-les moi, maintenant.

-Voici. »

L'homme sortit quatre grandes bourses de son sac de voyage.

« Adieu, dit le vagabond. »

Il laissa seul l'homme et sortit de l'auberge. Pour ce qu'on en sait, il se fit lyncher à mort et détrousser par des mercenaires apparemment au courant de la petite fortune qu'il avait amassée quelques semaines plus tard, peut-être achetés par l'homme qui voulait la lampe.

 

L'homme décida de prendre une chambre pour la nuit et se présenta donc au comptoir. L'aubergiste, borgne et joufflu, s'empressa de lui allouer une chambre, et lui posa une question que l'homme aurait préféré ne pas entendre :

« Cela fait des années que je tiens cette auberge, et des types comme vous, j'en ai vu un paquet. Par contre, vous êtes le seul à avoir payé autant à une de ces crapules. Serait-il trop indiscret de vous demander pourquoi ?

-Je possède maintenant quelque chose qui vaut bien plus que toutes les richesses du monde. Si je me sert convenablement de cette chose, je serais capable de soumettre n'importe qui au pire des maux : la folie. Et après tout, maintenant que je possède cet instrument grandiose, pourquoi ne pas faire un petit essai ?

-Un... essai ? Demanda l'aubergiste, non rassuré.

-Oui, un essai. Sur un cobaye, en particulier. Vous. »

L'homme souleva le couvercle de la lampe, et quelque chose venu d'ailleurs se jeta sur l'aubergiste. Il cria, supplia, et, finalement, s'évanouit. Quand il se réveilla, il n'était plus lui-même.

 

Olòrin

 

« Il y a quatre jours de cela, quelqu'un nous a volé quelque chose. Cette chose, quelle que soit son origine, malgré son attraction irrésistible, est dangereuse pour n'importe qui l'ayant dans ses mains. A sa place, nous avons retrouvé une copie médiocre de l'objet. Nous avons été dupés. J'ai été dupé. Et maintenant, quelqu'un rôde avec cet objet – cette lampe -, et il peut déchaîner son pouvoir à tout moment.

-Il y a de cela plus d'un millénaire, un membre de notre ordre a enfermé un esprit sadique dans une lampe qui fut par la suite appelée Lampe de Caote. Cet esprit, s'il parvient à entrer dans le corps de quelqu'un, sera capable de rendre fous tous ceux qui restent trop longtemps à proximité de cette personne. Elle prendra l'esprit des personnes dans un imaginaire collectif, et, si nous ne faisons rien, les personnes influencées seront trop nombreuses, et l'esprit pourrait à tout moment leur ordonner de prendre les armes contre la capitale. Cela prendrait peut-être des siècles, mais il est tout à fait possible que nous nous retrouvions avec une vague de folie sur le dos.

-Il est de notre devoir, comme nous avons failli à notre tâche de garder la lampe, de la retrouver le plus vite possible, de ré-enfermer l'esprit dedans et de le mettre en lieu sûr. Dès maintenant, focalisez-vous sur la recherche de la lampe ; interrogez le peuple sur une lampe, sur des événements paranormaux, lancez des sorts de localisation pour tenter de trouver la lampe, faites tout ce qui est possible. L'esprit a sûrement commencé à s'accrocher à la personne qui nous a ravi la lampe, maintenant, il cherchera à sa cacher, ne vous laissez donc pas avoir. La séance est levée, commencez les recherches. »

 

Le maître de l'ordre baissa la tête, pensif. Les membres de l'ordre, sans un mot, se dispersèrent. Quelqu'un vint à ses côtés.

« Olòrin. Cela fait maintenant quatre-vingt ans que vous êtes à la tête de notre ordre. Nous sentons tous que vous commencez à fatiguer. Allez vous reposer, nous ferons tout notre possible pour... entama l'autre mage.

-Taisez-vous ! Je continuerai d'exercer ma fonction jusqu'à ce que la Lampe de Caote soit retrouvée, et ce même si plus d'un siècle ne s'écoule. Les vœux de mon ancêtre seront respectés, nous la retrouverons, et, là, enfin, je pourrai prendre ma retraite et mourir paisiblement. Dussé-je être le dernier membre de notre ordre vivant, je la retrouverai. Au lieu de me faire perdre mon temps, recherchez la lampe et laissez-moi rechercher de mon côté.

-Comme vous voudrez, Maître. »

Il s'inclina et se retira, laissant Olòrin seul. Il alla dans la bibliothèque pour chercher des informations sur la Lampe de Caote. Jamais il ne délaissera sa fonction tandis que la folie règne. Jamais.

 

Aldric

 

Comme à son habitude, Aldric braconnait dans les bois de New Stendel. Ce soir-là, il n'avait rien pu ramener et alla donc se consoler avec une bière dans une taverne de la Banlieue Sud. Il prit une table vide quand quelqu'un vint l'accoster.

« Vous ne m'avez pas l'air bien riche, n'est-ce pas ? Dit-il.

-Ma richesse ne vous regarde pas, rétorqua sèchement Aldric.

-Maintenant, si. Suivez-moi, et vous aurez toutes les richesses souhaitées.

-Qu'est-ce qui me fait dire que vous tiendrez parole ?

-Ça. L'étranger sortit de son sac la Lampe de Caote. Cet objet vous permettra, à vous et moi, de posséder terres et royaumes, de plier tous nous ennemis à notre volonté. Suivez-moi, et vous partagerez tout ce pouvoir avec moi.

-Il en est hors de question. »

 

Caogoras

 

Si l'individu ne voulait pas le suivre, Ephras pouvait toujours le soumettre à la folie. Il entrouvrit le couvercle de la lampe et l'autre sombra dans un sommeil superficiel.

Quand l'individu se réveilla, Ephras lui dit :

« Bienvenue dans mon monde. Vous serez maintenant le bouffon du roi Caogoras.

-Je suis tout à vous, répondit Aldric.

-Un nouveau règne commence, et vous serez mon second. »

Ephras se rendit avec Aldric sur des terres dans le monde de Stendel. Là, il fonda un royaume où la folie prenait le contrôle de ceux qui y restaient trop longtemps : les Contrées de Muraë.

 

Trois siècles se déroulèrent. Certains habitants furent attirés sur les terres de Muraë. Pris par la folie, ils menaient une existence étrange, malsaine. Ils pensaient habiter dans une ville appelée Caote, qui ne faisait en fait partie que du monde imaginaire créé par l'esprit. Quand à la Lampe de Caote, dépossédée par l'esprit se faisant connaître sous le nom de Caogoras, elle fit enterrée dans la vieille crypte de Muraë pour éviter que quiconque ne mette la main dessus.

 

Caogoras, anciennement appelé Ephras, jouissait de son château, imaginaire lui aussi, à Nouvelle Caote, ainsi que de son bouffon, Aldric. Il lui avait permis de vivre plus longtemps, afin qu'il serve Caogoras plus longtemps. Il se nourrissait de la folie des mortels et avait construit tout un royaume avec leur aide. Il était peut-être imaginaire pour ceux de l'extérieur, mais pour ceux de l'intérieur, il semblait bel et bien réel. Cela avait duré plus de trois cent ans.

 

Caogoras sentait que quelque chose de mauvais pour lui allait se produire. Olòrin, descendant du mage qui l'avait enfermé dans une lampe, vivait toujours pour l'y piéger à l'intérieur. Il commençait à devenir vraiment menaçant, mais il décida de l'affronter quand le moment serait venu.

 

Veleton

 

Parfois, une curieuse envie prenait Veleton, et il allait voir ailleurs. Il décida de visiter les terres de l’Empire stendelien. En suivant les Grandes Routes de l'Ouest, il s'arrêta dans un endroit étrange. Les plaines où il se trouvait ne dégageaient pas la sûreté et l’endroit semblait vide.

 

Soudainement, tout changea autour de lui. Des maisons à l'apparence étrange s'érigèrent, il voyait des murailles au loin, semblant contenir une ville. Tout devint flou jusqu'au moment où il tomba nez à nez avec un autre homme, visiblement un mage très âgé.

 

Olòrin

 

Il avait enfin trouvé l'emplacement de la lampe ! Olòrin avait maintenant trois cent quatre-ving dix-sept ans, grâce à sa magie qui le préserva du vieillissement. Après tout ce qu'il eut vécu, il était bloqué par cette crypte. Les mages de son ordre n'avaient pas le droit d'entrer dans n'importe quel monument funéraire, excepté pour l'inhumation d'un frère.

 

Quelqu'un, un Nain, vint à sa rencontre.

« N'approchez pas, espèce de... cinglé ! Menaça Olòrin.

-Moi, fou ? Non, vous devez vous tromper... Je viens d'arriver ici, quel est cet endroit ?

-Ainsi donc tout n'est pas perdu. Au fin fond de cette crypte se trouve un objet qui nous permettra de sauver ces terres.

-Je sais ce qu'il se passe dans la plupart des cryptes, vous savez. Jamais je ne m'aventurerai là-dedans.

-Si vous restez trop longtemps ici - et croyez moi, vous resterez, personne n'a jamais réussi à s'échapper de ces terres -, vous deviendrez fou comme tous les gens qui y sont venus !

-Et bien, allez-y vous même, dans ce cas, et sauvez nous, rétorqua Veleton.

-Les membres de mon ordre ont fait vœu de ne jamais pénétrer un lieu comme celui-là.

-Et qu'est-ce qui vous fait croire que j'irai risquer ma vie pour peut-être un mythe ?

-Ce n'est pas un mythe. »

Olòrin déchaîna son pouvoir et montra à Veleton le risque qu'il courrait s'il ne faisait rien.

« Si vous avez raison, j'irai, céda Veleton.

-Ce que vous cherchez est une lampe, en or. Ramenez-la et nous pourrons y lier Caogoras, et enfin je cacherai la lampe. Et, enfin, je pourrai céder à la Mort. »

 

Veleton

 

Les dernières paroles du mage firent de la peine à Veleton. Il entra dans la crypte et trouva une hache sur une tombe, qu'il s'empressa de prendre pour pouvoir se défendre. Il arriva dans une salle circulaire dont la porte se ferma à son passage. Des bruits de pas se firent entendre. Des zombies et des squelettes attaquèrent Veleton de tous les côtés. Parant, esquivant, pourfendant de sa hache, il parvint à défaire ses assaillants au bout de quelques minutes. Il continua sa route sans encombre et arriva dans la dernière salle, où la lampe devait être enterrée.

 

« Est-ce qu'il y a quelqu'un ? »

Cette voix était étrangère à Veleton. Il s'avança sans faire de bruit et vit quelqu'un agenouillé par terre.

« Mais qui êtes-vous donc ? Demanda Veleton.

-C'est impossible... je n'ai pas pu servir un fou pendant tant d'années... et j'étais moi-même... fou !

-Comment vous appelez-vous ?

-Aldric. Je suis le bouffon du roi Caogoras. Enfin, je l'étais, jusqu'à maintenant. La folie a enfin lâché son emprise. Je sais ce qu'il vous faut pour mettre fin au règne du roi ! »

Il courut au fond de la salle et ouvrit un sarcophage d'obsidienne. Dedans, il prit quelque chose et l'éleva du plus haut de ses bras.

« Vous devez enfermer Caogoras dedans, c'est le seul moyen de le vaincre.

-Attention, derrière vous ! »

Il était trop tard. Surgi du sarcophage, un squelette rompit la nuque d'Aldric. Veleton saisit sa hache et fit face.

« Vous qui voulez mettre fin au règne de mon maître, vous allez mourir ! Déclara le squelette d'une voix caverneuse. »

Il s'élança sur Veleton. Il était beaucoup plus vif et agile que les autres mort-vivants. Son premier coup d'épée le désarma. Son deuxième fut retenu par une autre arme.

« Veleton ! Le vieux mage m'a dit de venir t'aider. Prends ce que tu es venu chercher et rejoins-le ! Je me charge du monstre ! »

Veleton connaissait cette voix ; c'était celle d'Uhwan, son voisin. Il ne savait pas pourquoi il était là, mais il décida d'obéir à ses ordres. Il courut vers Aldric. Il était mort, la lampe dans ses mains. Veleton la mit dans sa poche et courut en-dehors de la crypte.

 

Olòrin l'attendait à la sortie.

« Nous devons aller à son château, suivez-moi.

-Mon ami va-t-il survivre ?

-Il le faudra bien. »

Caote étant relativement proche de la crypte, ils parvinrent assez rapidement au château. Caogoras était assis dans son trône.

« Le seul moyen de le piéger est de tuer son hôte. Ne vous inquiétez pas, cela fait longtemps qu' Ephras est mort, apprit Olòrin à Veleton.

-Pauvre fou, dit Caogoras. Vous ne m'atteindrez pas, mage. »

Olòrin fut soudain pris de folie. Il mit des mains sur ses tempes et appuya tellement fort qu'il s'évanouit. Dans un élan d'héroïsme, Veleton prit le bâton du mage et le lança en direction de Caogoras.

 

Veleton crut que dix ans s'étaient passés pendant que le bâton était dans les airs. Enfin, il transperça le corps d'Ephras en son cœur. Caogoras lança un cri de douleur, et son hôte expira son dernier souffle. Veleton sortit la lampe de sa poche et souleva son couvercle. Une ombre sembla entrer dedans, tout était fini.

 

Tous les murs du château, de la ville, de Muraë se dissipaient. Il ne restait maintenant que les terres d'origine. Le mage avait lui aussi disparu. Il ne restait que la lampe. Au loin, Veleton vit que la crypte était toujours là, ce fut donc dedans qu'il choisit d'entreposer la lampe, en espérant que plus jamais personne ne la découvre. En entrant dans la crypte, il trouva Uhwan, agonisant. Il remit la lampe dans le sarcophage, et lui prodigua des soins. Il s'en était finalement remis quelques jours plus tard. Quand Veleton lui demanda pourquoi il était venu, il lui répondit qu'il l'avait suivi jusque Muraë, pris d'un mauvais sentiment. ET il avait raison.

 

Il ne savait pas si ce qu'il venait de vivre était un mythe ou la réalité, mais Veleton décida en tout cas de refonder Muraë, sur des nouvelles bases. Il se proclama seigneur de ces terres, et bientôt, il fut rejoint par d'autres personnes.

 

Épilogue

 

Que devinrent les anciens habitants de Muraë ? Tous redevinrent lucides, certains, constatant que leurs habitations n'étaient pas réelles, décidèrent de retourner vivre à New-Stendel ou à Stendel, mais dans tous les cas loin de Muraë. D'autres décidèrent de rester et d'aider le nouveau seigneur à tout construire.

 

La ville reprit le nom de Nouvelle Caote, en souvenir de ce qui s'était passé pour Veleton. La crypte, réputée hantée, était évitée de tous. Des forts et des tours furent érigées pour protéger les terres de Muraë. Au moment de la capture de Caogoras, le mage décida de s'éclipser. Sa quête accomplie, il finit ses jours paisiblement dans la tour de son ordre, loin de la capitale de New Stendel. Veleton envoya Uhwan à cette tour pour pouvoir reformer l'ordre avec de nouveaux mages, et il lui apprit à son retour la triste nouvelle. Veleton déclara qu'il était en vie grâce à Uhwan, et pour cela, il le nomma Commandant des Patrouilleurs, une milice qu'il venait de créer pour protéger le territoire. En l'honneur d'Olòrin, Veleton fit bâtir une stèle dans la ville.

 

Un village du nom de Gatewall fut fondé à la sortie de la ville, un hameau de bûcherons vit le jour dans la forêt de Nutterwood, là où se trouvait aussi le fort des Patrouilleurs.

Veleton fonda aussi le Complexe Métallurgique Muraënéen, où il forgeait de l’acier à l’aide des ressources trouvées dans les profondeurs de Muraë.

 

Quant à la Lampe de Caote, elle était gardée par les mort-vivants de la crypte en attendant que quelqu'un la découvre, et Veleton priait pour que ce jour arrive le plus tard possible.

 

 

136577Participants.png

Veleton666 – Citoyen forgeron : Seigneur des contrées de Muraë

Uhwan – Villageois bûcheron : Commandant des Patrouilleurs

Skreldniir – Citoyen commerçant outilleur : Diplomate muraënéen

panda_pe : Citoyen muraënéen

Ptipain54 : Patrouilleur

akis01 : Patrouilleur

DrBlaade : Villageois muraënéen

the01nico - Citoyen menuisier : Citoyen muraënéen

Waldomyr - paysan : Citoyen muraënéen

valentin842 : Citoyen muraënéen

 

198549Hirarchie.png

Villagois muraënéen : Personne possédant une maison ou un commerce dans le territoire de Muraë.

Citoyen muraënéen : Personne possédant une maison ou un commerce dans la ville de Nouvelle Caote. Sur candidature.

Patrouilleur : Garde du territoire de Muraë. Sur candidature.

Représentant des Citoyens : Propose des lois visant au bien du peuple muraënéen. Choisi par le Conseil muraënéen. Il a une place au Conseil muraënéen.

Hôte d'honneur : Personne extérieure au territoire ayant beaucoup donné pour Muraë.

Muraënéen honoraire : Citoyen muraënéen ayant beaucoup aidé Muraë.

Conseillers : Ils sont au nombre de deux. Ils assistent le seigneur et ont une place importante au Conseil muraënéen. Choisis par le seigneur.

Commandant des Patrouilleurs : Il commande les Patrouilleurs. Il assiste le seigneur et a une place importante au Conseil muraënéen. Choisi par le seigneur.

Seigneur : Il dirige le territoire et préside au Conseil muraënéen.

 

Recrutement et parcelles :

Formulaire pour le recrutement

Forumulaire pour l'obtention d'une parcelle commerçante (50 PA non construite, 100 PA construite)

Formulaire pour l'obtention d'une parcelle d'habitation (25 PA non construite, 50 à 100 PA construite, selon le type de toit)

 

Nous recherchons activement des dons pour financer le projet !

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Bonjour, j'écris ce message afin de vous informer de l'avancement du projet.

 

Tout le territoire au nord des Grandes Routes de l'Ouest a été déboisé afin de faciliter la construction de bâtiments. Nous replanterons peu à peu cette forêt sur de meilleures bases. Les murailles de Nouvelle Caote ont été rapidement terminées et nous avons commencé la construction de la ville. Le village de Gatewall a lui aussi été commencé. J'ai aussi le plaisir d'accueillir Alyar et panda_pe au sein des Contrées de Muraë en tant que citoyens muraënéens !

 

Des parcelles d'habitation sont prêtes à la vente et les parcelles commerçantes sont en cours d'aménagement. Si vous désirez acquérir une parcelle, merci de MP moi ou Skreldniir IG ou de remplir un des petits formulaires que vous retrouverez en-bas du post initial. Voici comment les prix des parcelles sont calculés :

 

Parcelle non construite : Taxe + Surface x 0,1
Parcelle construite : Taxe + Surface x 0,3

 

Taxe :
● Commerce : 50 PA
● Habitation : 25 PA
Surface = Longueur x Largeur

 

Voici quelques exemples illustrant cette méthode de calcul des prix des parcelles :

 

Pour une parcelle d'habitation non construite de 7x9 :

Taxe + Surface x 0,1

=25+7x9x0,1

=25+63x0,1

=25+6,3

=31,3 PA

 

Pour une parcelle d'habitation construite de 7x9 :

Taxe + Surface x 0,3

=25+7x9x0,3

=25+63x0,3

=25+18,9

=43,9 PA

 

Pour une parcelle commerçante non construite de 9x11 :

Taxe + Surface x 0,1

=50+9x11x0,1

=50+99x0,1

=50+ 9,9

=59,9 PA

 

Pour une parcelle commerçante construite de 9x11 :

Taxe + Surface x 0,3

=50+9x11x0,3

=50+99x0,3

=50+29,7

=79,9 PA

 

L'argent perçu par les achats de parcelles sera exclusivement réservé au développement de Muraë.

 

-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-

Les Contrées de Muraë recrutent et recherchent des dons !

 

Ces dons serviront au développement de Muraë : cuboïdes, achat de matériaux, achat d'une section forum, achat de golems et dans le futur achat d'une liaison SPLASH à la capitale.

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