[Accepté][Outilleur] La pioche noire

[Skreldniir]

Spécialisation : Outilleur

Nom de l'échoppe : La pioche noire

Localisation : Honéor, Namnis, Varn-Zharr

 

 

 

Candidature commerçante de Skreldniir – La pioche noire (Outilleur)

 

 

Anciennes candidatures et présentation

 

 

- Présentation paysanne: http://www.minefield.fr/forum/post367230.html#p367230

- Candidature villageoise: http://www.minefield.fr/forum/post383462.html#p383462

- Candidature pour rejoindre Namnis: http://www.minefield.fr/forum/post383608.html#p383608

- Candidature citoyenne: http://www.minefield.fr/forum/post392760.html#p392760

- Candidature citoyenne de Varn-Zharr: http://www.minefield.fr/forum/post410198.html#p410198

 

 

Présentation IRL

 

 

Je m'appelle Edgar et j'ai 15 ans. A la rentrée, je serai en seconde générale, et je souhaite travailler plus tard dans la médecine. J'adore jouer aux jeux vidéos, surtout à Minecraft, mais aussi aux RPG comme The Elders Scrolls et Fable, ou aux FPS comme Battlefield 3. Je suis en deuxième cycle de batterie (cela fait 5 ans que j'en fait) et je fais de la plongée sous-marine depuis sept ans.

 

 

Présentation IG

 

 

J'ai rejoint Minefield fin novembre 2012. Après avoir passé le quizz et être devenu paysan, j'ai construit ma première maison en campagne sur le monde de Stendel. J'ai ensuite posté ma candidature villageoise. Je suis devenu mineur suite à celle-ci, puis j'ai rejoint Namnis où j'ai participé aux chantiers, comme la Citadelle des Rois. J'y ai aussi construit ma maison. Puis j'ai rejoint le Bourg d'Honéor, où j'ai aidé à construire le Théâtre du Lumidor. J'ai posté ma candidature citoyenne, et avant l'acceptation de celle-ci, j'ai décidé de rejoindre la cité naine de Varn-Zharr, où je suis actuellement citoyen. J'ai beaucoup participé aux chantiers de Varn-Zharr (je suis pour l'instant l'ouvrier qui a le plus travaillé), comme le terraforming du bastion, la salle des statues, la zone paysanne... Pour finir, je suis devenu citoyen, et je suis maintenant outilleur. J'ai aussi acheté une maison dans la capitale de New-Stendel.

 

Voici quelques screens de ce que j'ai réalisé à Varn-Zharr:

- le Bastion (j'ai participé au terraforming de la place qui devait l'accueillir et j'ai construit quelques maisons):

- ma maison dans le Bastion:

- la descente vers la cité souterraine (j'ai creusé, taillé des pierres lorsque j'étais encore mineur, et j'ai posé de la lave, de la stone et de l'obsidienne):

- la salle des statues (j'ai aidé à creuser, à construire le pont et à poser la lave), où seront construites les statues de tigrisou54, de Ptipain54, ainsi que la mienne et le deuxième meilleur ouvrier:

- la zone paysanne (j'y ai planté du blé et construit ma maison):

- le creusage de la montagne qui accueillera la cathédrale:

 

 

Mes motivations

 

 

Pour commencer, j'ai décidé, lors de l'écriture de ma candidature citoyenne il y a environ trois mois, de devenir outilleur car je pense que c'est la spécialisation la plus utile sur Minefield: les outils en obsidienne en sont la preuve, car ils ont la même efficacité que les outils en diamant, et même s'ils sont moins résistants, ils permettent d'avoir des outils de qualité à prix réduit.

 

Ensuite, je souhaite devenir commerçant pour faire de nouvelles connaissances sur Minefield. En effet, les outilleurs sont dépendants des forgerons et des joaillers, et je songe déjà à "m'allier" avec un forgeron et un joailler commerçants. Le "[C]" devant mon pseudo me permettra aussi de me faire plus remarquer sur le chat, et la licence commerçante me permettra de gravir l'échellon social de Minefield.

 

Je souhaite aussi devenir commerçant afin d'aider les non-commerçants, et plus particulièrement les nouveaux paysans à se faire des PA. Lorsque j'étais paysan, j'étais content d'avoir un commerçant à qui revendre mes ressources, et j'ai envie de rendre heureux d'autres paysans de cette manière.

 

Enfin, la dernière raison pour laquelle je souhaite devenir commerçant, et pas la moindre, c'est les PA. Mais ces PA, je ne souhaite pas les gagner pour mon enrichissement personnel, mais pour aider les trois projets dans lesquels je suis (Namnis, Varn-Zharr et Honéor) à se développer, car ces projets ont besoin de beaucoup de PA pour payer les cuboïdes, le SPLASH et les golems.

 

Une fois que je serai commerçant, je compte repecter les prix des autres commerçants outilleurs, afin de ne pas ruiner l'économie, et je compte aussi m'installer dans les nouveaux projets, qui ont besoin de beaucoup d'outils pour leurs chantiers.

 

 

Role Play

 

Voici tout d'abord le RP de ma candidature villageoise (sa lecture est nécessaire pour la compréhension des premiers chapitres):

 

Mon nom est Skreldniir. Je suis né dans la ville de Skraldbthar, cité naine dans les profondeurs de la montagne, située très loin au nord de Stendel. J'étais le fils de Skraldniir, le vénéré roi de Skraldbthar. Nous minions toutes la journée, à la recherche des pierres les plus précieuses et les plus rares. Skraldbthar comptait plus de deux-cents nains, et était l'une des plus riches cités naines. Nul n'avait le droit d'aller à l'extérieur de montagne, et personne n'y est allé depuis plusieurs siècles, à cause d'une loi existant depuis la création de Skraldbthar. Une fois par mois, un homme de l'extérieur – qui, vu sa taille, n'était pas un nain – venait nous ravitailler en nourriture, en échange de métaux.

Malgré notre interdiction de sortir, nous vivions très bien à Skraldbthar, et je ne parle pas que pour nous, qui étions les plus hauts-placés de cette cité. Nous avions tous un logement confortable, et nous avions tous à manger et à boire. Nous ne devions pas payer pour obtenir ce confort – de toute façon, il n'existait pas d'unité monétaire à Skraldbthar. Notre seul devoir était de miner, et d'apporter ce que nous minions à notre roi. Tout le monde devait le faire, même moi, fils du roi, et même le roi lui-même. Nous devions aussi respecter les règles de la cité. Tout contrevenant était dans le Grand Trou.

Le Grand Trou était l'un des principaux symboles de notre cité. C'était (et ça l'est peut-être toujours), comme son nom l'indique, un immense trou, dont on ne pouvait voir le fond. D'ailleurs, nul ne savait s'il avait réellement un fond, et certains disent même que ceux qui tomberaient dans ce trou iraient dans un autre monde. Personne ne savait ce qu'il s'y passait, et personne n'en est jamais revenu, mais on dit que ce monde serait l'Enfer des nains.

Les règles de Skraldbthar étaient au nombre de trois et ont été crées par le roi fondateur de Skraldbthar. Seul le roi pouvait les modifier, mais seulement en cas d'extrême urgence, ce qui n'a jamais été le cas. La première nous interdisait de sortir de Skraldbthar, la seconde nous interdisait le meurtre, et la troisième nous indiquait notre but: trouver l'ultime Joyau de Skraldbthar. Nul ne savait si ce joyau existait réellement, mais on dit qu'il se situe dans les profondeurs les plus profondes de la montagne de Skraldbthar. Ce joyau serait contiendrait une énergie si puissante qu'elle pourrait réanimer les morts. Depuis la construction de Skraldbthar, personne ne mit la main sur cette pierre. Jusqu'au jour où...

Nous vaquions à notre principale occupation, le minage, équipé de nos torches et nos pioches. Nous récoltions tous les minerais que nous trouvions: charbon, fer, or... Certains minaient en groupe, d'autres en solitaire, et une ambiance chaleureuse régnait dans les mines de Skraldbthar. Soudainement, une forte source de lumière jaillit de la roche. Cette lumière attira tous les nains, et nous étions une centaine à piocher pour découvrir ce que la roche cachait. Il nous fallut plusieurs heures pour extraire notre trouvaille, d'au moins une dizaine de mètres de haut et d'une lumière aveuglante. Nous l'avons ensuite emmennée dans la salle du Trône, où était assis le roi. Personne n'avait jamais vu une pierre de ce type auparavant, mais pourtant, nous savions tous que c'était le Joyau de Skraldbthar. Une énergie mystérieuse dégageait de cette pierre.

Le roi entama ensuite son discours:

"Ca y est, nous avons percé le mystère de Skraldbthar et avons atteint notre but en découvrant le Joyau de Skraldbthar ! Je tiens à tous vous remercier pour cette trouvaille ! Notre sorcier examinera ce joyau jour et nuit afin de découvrir son utilité. Nous en saurons plus les prochains jour". Son discours s'acheva ainsi, et nous retournions à nos occupations. Le nain sorcier examina la pierre pendant plusieurs jours.

Après plusieurs jours d'étude du Joyau, le sorcier annonça son verdict: "Cette pierre contient une importante source d'énergie. Pour la libérer, il faut la percer avec la Pioche de Skraldbthar". La Pioche de Skraldbthar était une pioche constituée de l'alliage de Skraldbthar, un alliage constitué de tous les métaux présents dans la montagne de Skraldbthar. Cette pioche fut créée par le roi fondateur de Skraldbthar, et tous les rois de la cité en héritent. Mon père alla chercher cette pioche, et se prépara à donner un grand coup de pioche. Je vis la pioche toucher le Joyau, et un flash aveuglant éclaira toute la pièce.

Ce que l'on disait sur le Joyau de Skraldbthar était vrai: elle ressuscitait les morts. Mais pas comme on l'avait pensé: des auras de lumière sortirent du Grand Trou, puis des squelettes envahirent la cité. Ces squelettes n'étaient pas pacifiques, et ils commencèrent à nous attaquer. Mon père cria: "Les règles de Skraldbthar sont annulées ! Il faut sortir d'ici !". Tout le monde se dépécha de remonter les escaliers pour atteindre la sortie. Au moins les trois quarts des notres furent tués par les squelettes, mais heureusement pour moi, je n'en faisais pas partie. J'ouvris la grande porte qui séparait Skraldbthar du monde extérieur. Et là, plus rien...

Je me réveilla dans un lit. Quelqu'un était au-dessus de moi.

- Bienvenue à l'Ambassade des Nouveaux Arrivants de Stendel, me dit-il.

- Que m'est-il arrivé ? Demandai-je.

- On vous a retrouvé près d'une montagne, après un gros tremblement de terre. Vous étiez évanoui, me réponda-t-il.

- Et les autres ? Où sont-ils ?

- Je suis désolé... Le sol était recouvert de cadavres, et vous étiez le seul qui respirait.

Je fus le seul survivant de Skraldbthar, et le seul héritier à sa couronne. Et je me retrouvais là, à Stendel. Mon père m'avait souvent parlé de cette ville. Il la connaissait grâce à celui qui venait nous réapprovisionner.

Finalement, je m'habituais peu à peu à la vie en Stendel. J'avais désormais ma propre maison aux frontières de Stendel, mon propre cheval et mes pièces d'argent. Mais j'ai un nouvel objectif: faire revivre Skraldbthar.

 

 

Ensuite, voici le RP de ma candidature citoyenne. J'ai préféré transférer le passage sur l'apprentissage de mon métier d'outilleur du RP de ma candidature citoyenne sur le RP de ma candidature commerçante, en le modifiant et en l'améliorant. Malheureusement, comme ma candidature citoyenne est verrouillée est archivée, je n'ai pas pu l'éditer. Merci donc de prendre en compte ce RP pour ma candidature citoyenne, et non celui présent sur ma candidature citoyenne.

 

Chapitre II: Stendel

Je me retrouvais donc dans la capitale de Stendel, sans la moindre pièce de cuivre, sans abri, sans nourriture... Sans rien. Je me rendis donc au Château, afin de savoir si je pouvais habiter la capitale. On m'y répondit que seuls les Citoyens pouvaient y habiter, mais que je pouvais rejoindre une ville pour y habiter, ou construire ma maison en campagne, en dehors des villes. Ne parlant pas bien la langue, je préférai prendre le deuxième choix: construire ma maison en campagne. Mais pour cela, il me fallait des pièces d'argent. Je fis donc ce qu'un Nain sait faire le mieux: miner. Mais une stricte réglementation du minage était en place, qui m'imposait à ne miner qu'en dehors des villes. Si je ne respectais pas cela, je pouvais aller en prison. Comme je n'avais pas assez de pièces de cuivre pour me payer le SPLASH, je pris mon mal en patiance et marchai pendant plusieurs jours à la recherche d'une crevasse ou d'une mine. J'en trouvai une et me mis à miner. Mais depuis la dernière fois que j'avais miné, j'avais perdu la main. Je me retrouvais au début avec à peine quelques charbons, mais après quelques heures mon minage devint beaucoup plus fructueux. J'estimai avoir assez de minerais pour gagner suffisamment de pièces d'argent. Je retournis donc à Stendel et me dirigeai vers le quartier mineur, où je trouvai un magasin mineur.

- Bonjour ! Je souhaite vendre mes ressources, dis-je.

- Donnez-les moi, que je calcule combien je dois vous payer, répondit le mineur.

Je lui donnai mes minerais, puis il les examina avec précison.

- Hmm, je vous en donne soixante pièces d'argent, me dit-il.

J'acceptai son offre, mais malheuresement, cela ne me faisait pas assez pour construire ma maison, et mes jambes étaient trop engourdies pour retourner miner. Je décidai donc d'aller chercher une chambre pour la nuit. Je demandai dans la rue à un passant:

- Bonjour ! Savez-vous où je peux trouver un lit pour la nuit ?

- Oui ! L'Ambassade des Nouveaux Arrivants loue des chambres, en échange de quelques pièces d'argent, me répondit-il.

- Où puis-je la trouver ? Demandai-je.

- Elle se trouve à la place de l'Empire. Vous pouvez prendre le métro et prendre la ligne B.

Je m'empreissai de me rendre à cette ambassade. Là-bas, je trouvai le réceptionniste.

- Bonsoir ! Je cherche une chambre pour la nuit.

- Pour combien de temps voulez-vous en louer une ?

- Hmm... Je pense pendant une semaine.

- D'accord, cela vous fera 10 pièces d'argent !

Je payai, me rendis dans ma chambre fraichement louée, m'allongeai sur le lit et m'assoupis aussitôt.

 

Chapitre III: la rencontre

Je me réveillai le lendemain matin et allai dans une taverne sur Stendel afin de trouver quelque chose à manger pour mon petit-déjeuner. Là-bas, un inconnu me parla.

- Salut, je suis Mericsole ! Comment t'appelles-tu ?

- Je m'appelle Skreldniir, répondis-je.

- Tu es nouveau à Stendel ?

- Oui, et toi ?

- Moi aussi ! Si tu veux, on pourrait s'entraider et gagner quelques piècettes, qu'en penses-tu ?

- J'accepte avec plaisir de t'aider ! Mais sais-tu comment gagner des pièces d'argent ?

- Peut-être que nous pourrions aller au Nether...

 

Chapitre IV: le Nether

Le Nether... Le monde rempli de lave regrouillant de créatures toutes plus dangereuses les unes que les autres... Là-bas, tout était permis, même les meurtres. Il ne fallait pas aller là-bas mal équipé, sous peine de mourrir d'un coup d'épée dans le dos... Avec mes pièces d'argent, je m'achetai une armure complète en obsidienne, ainsi qu'une épée. Mericsole en fit de même. Une fois nos achats effectués, nous nous rendîmes au quartier des Indigènes à la con du Chaos. C'était dans ce quartier que se trouvait le colossal portail du Nether. Une fois le portail passé, tout était différent du monde normal: la châleur de la lave, les bruits des Ghasts... Mais ce sont les cris des gens qui se faisaient tuer qui me faisaient le plus peur. Heureusement, nous étions deux: Mericsole et moi. Mericsole me fis une rapide visite du Nether, en montrant les endroits les plus importants. Après avoir tué quelques Ghasts, Blazes et Cochons Zombies, nous nous décidâmes de nous attaquer aux autres gens. Je compris très vite pourquoi Mericsole disait que l'on pouvait se faire de l'argent ici: beaucoup avaient des armures en fer, en obsidienne, voire en diamant. Les prendre sur leurs cadavres ne pouvaient qu'être très rentable. Nous nous attaquâmes tout d'abord aux moins puissants que nous, qui avaient des armures en fer ou en cuir. Puis au fur et à mesure, je devins plus fort et pu m'attaquer à ceux qui avaient des armures en obsidienne ou en diamant. Une fois la journée finie, nous retournâmes sur la capitale de Stendel pour revendre ce que nous avions gagné. Avec les armures et épées, nous obtînmes plus de trois-cents pièces d'argent chacun, soit assez pour construire une maison.

 

Chapitre V: Namnis

Je proposai à Mericsole de construire notre maison en campagne, en dehors des villes.

- Je pense qu'il vaut mieux rejoindre une ville, répondit-il.

- Pourquoi penses-tu cela ? demandai-je.

- On pourra plus facilement s'intégrer sur le monde de Stendel, se faire des amis, et en cas de soucis c'est toujours mieux d'avoir quelqu'un à côté de chez soi.

- Oui, tu as raison. Mais dans quelle ville comptes-tu aller ?

- Bonne question ! Je te propose que, demain, on aille visiter les autres villes pour se faire une idée. Je pense qu'il est temps pour nous d'aller se reposer après cette dure journée ! On se revoit demain.

Je me rendis dans ma chambre à l'Ambassade des Nouveaux Arrivants, et je dormis. Le lendemain matin, nous nous retrouvâmes aux écuries de Stendel. Nous décidâmes de passer par les routes de l'Ouest. Nous visitâmes Ultharik, le Refuge de Pan, Cénaria, Aldur, Shiki no Mura, et les Terres d'Halbrad. Toutes ces villes nous avaient plues, grâce à leurs styles architecturaux différents, mais il nous restait encore une ville à visiter: Namnis. A peine que nous étions rentrés dedans, nous étions déjà sublimés par l'architecture de cette ville. Nous nous étions mis d'accord de vivre ici. Nous marchions dans les rues, quand un individu nous parla.

- Salut, je suis Yanniches ! Que venez-vous faire à Namnis ? Demanda-t-il.

- Nous sommes à la recherche d'une ville où habiter, et nous pensons que Namnis nous conviendrait parfaitement, répondis-je.

- Si vous voulez devenir Namnètes, je vous conseille d'aller chez Je4ns. C'est lui qui s'occupe du recrutement à Namnis. Malheureusement, il n'est pas là aujourd'hui, mais il revient demain. Si vous voulez, vous pouvez aller dormir à la taverne de Namnis, nous conseilla-t-il.

Nous nous rendîmes à cette taverne et prîmes une chambre pour la nuit.

Le lendemain matin, nous allâmes devant la maison de Je4ns.

- Bonjour, je suis Skreldniir, et voici Mericsole. Nous désirons intégrer la ville de Namnis.

- Si vous voulez nous rejoindre, vous devez vous montrer actif et travailleur sur les chantiers namnètes. Mais tout d'abord, je vais vous faire une visite de la ville, dit Je4ns.

Je4ns nous fit visiter le centre ville, où se trouvait la taverne et les commerces namnètes, la ville basse, la ville haut (le quartier riche), la zone portuaire, la zone fluviale, et la zone paysanne, et, enfin, la Citadelle des Rois. C'était le plus gros et le plus important projet namnète, qui habitait, entre autres, la salle du Trône. Je4ns nous expliqua que Namnis faisait partie du Royaume de l'Ouest, qui regroupait le Bourg d'Honéor, et la ville portuaire de Namnis. Le Roi de Namnis était Nutellcraft.

- Qui a construit cette ville, demandai-je à Je4ns.

- C'est Feutarse, l'architecte, qui a créé les plans. Ensuite, ce sont les habitants de Namnis qui ont construit. Je crois qu'il est temps pour vous de montrer ce que vous valez et d'aider les autres sur les chantiers. Allez voir Feutarse à la salle du Trône, il aura sûrement du travail à vous donner.

Nous allâmes à la salle du Trône et rencontrâmes Feutarse.

- Salut ! Nous désirons devenir Namnètes, et apparemment, tu as du boulot à nous donner !

- Parfait ! Il me fallait justement quelqu'un pour commencer à aplanir cette montagne. Tenez, prenez cette pelle et commencez à creuser, nous ordonna-t-il.

C'est ainsi que nous commençâmes à travailler sur les chantiers namnètes. Après plusieurs heures dures et intenses de creusage, à la tombée de la nuit, nous avions enfin fini ce que Feutarse nous avait demandé de faire.

- Vous avez assez travaillé pour aujourd'hui, je crois que vous méritez bien d'aller vous reposer ! Si vous travaillez comme ça pendant une semaine, je suis sûr que vous serez acceptés en tant que citoyens namnètes, nous dit-il.

Nous regagnâmes nos chambres à la taverne après une dure journée de labeur. Le lendemain matin, nous revînmes à la Citadelle pour demander un autre travail à Feutarse.

- Maintenant que la montagne est aplanie, nous pouvons commencer les sols de la salle du Trône. Tenez, voici les plans. Essayez de les reproduire...

Nous nous exécutâmes de suite. Le sol était constitué principalement de bois, et il fallait faire des arcs de cercle. Je dus refaire les premiers car ils étaient mal faits, mais mes arcs devenaient de plus en plus courbes et réguliers.

- Je vous félicite pour le travail que vous avez fait, nous dit Feutarse. Je dois encore préparer les plans des murs, je ne peux donc pas vous donner de travail pour demain, ni même pour après demain. Mais, si vous avez remarqué, les toits de Namnis sont tous faits en ardoise. L'ardoise est présente en très petite quantité dans le gravier. Si vous voulez, vous pouvez faire de l'ardoise et la donner à Nutellcraft. Il est maçon et il saura quoi en faire. Vous pouvez trouver du gravier dans les mines et failles.

Armés de pelles, Mericsole et moi allâmes chercher du gravier. Celui-ci était énormément présent dans les sols, et nous en prîmes de quoi faire assez d'ardoise. Une fois revenus à Namnis, il nous fallait extraire l'ardoise du gravier. C'était une tâche longue et fastidieuse qui demandait beaucoup de précision. Nous ramenâmes l'ardoise à Nutellcraft, qui en fit tout de suite des tuiles.

- Je pense que vous avez prouvé votre motivation à rejoindre Namnis, c'est pour cela que je vous accepte en tant que Namnètes. Vous pouvez choisir une parcelle ou construire votre maison, nous dit-il.

Mericsole construit sa maison dans la ville haute, et moi dans la ville basse, près du centre-ville et du port. Après quelques semaines, nos deux maisons furent finies et nous étions officiellement citoyens namnètes.

 

Chapitre VI: La citoyenneté

Un jour, un pigeon voyageur arriva chez moi avec une lettre attachée à la patte. Je la pris et pus y lire l'adresse de l'expéditeur:

Services de la citoyenneté

Château de New Stendel

J'ouvris de suite la lettre, en me demandant ce qu'elle pouvait contenir.

Cher Skreldniir,

Vous êtes Villageois depuis assez longtemps pour pouvoir prétendre au rang de Citoyen. Vous êtes donc prié de venir aux services de la citoyenneté du Château de New Stendel afin de passer un entretien. À l'issu de celui-ci, nous jugerons si vous êtes apte à devenir Citoyen.

Si vous êtes accepté en tant que Citoyen, vous pourrez posséder votre maison dans les capitales de Stendel et New Stendel, ainsi que choisir un nouveau métier.

Merci de vous présenter au Château de New Stendel en possession de cette lettre.

Cordialement,

Les services de la citoyenneté.

 

 

 

Chapitre I: Nether

 

Ce jour-là, nous étions au Nether en train de miner du marbre noir avec quelques nains de Varn-Zharr, quand soudain...

 

- Skreldniir, cours, vite ! cria Ptipain.

 

Je n'eus même pas le temps de comprendre ce qu'il se passait. Je rangeai ma pioche de saphirs et courus aussi vite que je le pouvais. Je tournai ma tête pour voir ce qui se passait derrière moi: un groupe de bandits du Nether nous coursait, armés de leurs épées et arcs et équipés d'armures en diamants très résistantes. Je courus encore plus vite. En ne les voyant plus derrière nous, nous nous cachâmes dans un coin sombre, inéclairé par la lave.

 

- Qu'allons-nous faire ? demandai-je.

 

- Je ne sais pas, répondit Tigrisou. Ils sont trop nombreux pour nous et trop biens armés. Nous ne pouvons rien contre eux... Le mieux est de rester cachés ici.

 

Nous entendîmes des rires venant de derrière nous. Ils se rapprochaient de plus en plus de notre cachette.

 

- Où êtes-vous, petits nains ? Venez là, qu'on prenne votre marbre ! Allez, bande de feignasses, courez avant qu'ils ne nous sèment ! dit l'un d'entre eux.

 

- Des nains, nous semer ? Haha !

 

Nous les observâmes depuis notre cachette. Ils passèrent devant nous sans même nous voir. Soudain, ils s'arrêtèrent.

 

- Ils sont encore là, dit l'un en reniflant. Ca pue la bière à plein nez ! Séparons-nous et cherchons partout, ils ne doivent pas être bien loins !

 

- Sortez vos hâches, et préparez-vous à vous battre, nous chuchotta Tigrisou. Notre priorité est de sauver notre peau, pas le marbre.

 

Tous les nains s'armèrent et j'en fis autant. Je regardai partout afin de voir si un endroit nous permettait de nous enfuir.

 

- Ici, il y a une petite grotte ! Ils sont trop grands pour y passer, dépêchez-vous !

 

Nous entrâmes dans la grotte. Mais la furtivité ne faisait pas partie des atouts des nains, et l'un d'eux nous remarqua.

 

- Ils sont là ! cria-t-il.

 

Nous courâmes et allâmes au fond de la grotte. C'était une impasse. Nos ennemis essayèrent de rentrer, en vain.

 

- On est trop grand pour passer, dit un bandit. Prenez vos arcs et vos flèches ! ordonna-til.

 

- Soit nous restons ici et nous nous faisons tuer, soit nous devons les attaquer, soupira Ptipain.

 

- J'opte pour la deuxième solution, dis-je.

 

Nous sortîmes de la grotte et commençâmes la bataille. Celle-ci fut longue et épique, mais nous perdîmes beaucoup de nains.

 

- Ils sont trop forts ! Echappons-nous, ordonna Tigrisou.

 

Je fis de mon mieux pour courir. J'étais fatigué, et il y avait un bandit qui me suivait. Les autres nains avaient pris un autre chemin. J'étais seul. Tout mes espoirs étaient réduits, jusqu'au moment où je vis de loin la capitale du Nether. Je courus encore plus vite, sans même voir sur quoi mes pieds se posaient. Soudain, je trébuchai sur une pierre et tombai. Je n'eus pas le temps de me relever, le bandit m'avait déjà immobilisé avec son pied, et était prêt à me trancher la tête. Il commença à abattre son épée sur moi, et je fermai les yeux. Et là, je ne sentis rien, excepté un poids sur ma poitrine. J'ouvrai mes yeux et regardai ce que c'était: la tête de mon assaillant, fraîchement tranchée par la hâche de Tigrisou.

 

- Où sont les autres nains ? lui demandai-je.

 

- Malheureusement, beaucoup sont morts, soit tombés dans la lave, soit abattus par les bandits. Il ne reste que moi et Ptipain. Je lui ai dit d'attendre devant le portail vers Stendel le temps que je vienne te chercher. Viens, dépêchons-nous de regagner Stendel avant que ces bandits ne nous retrouvent.

 

Nous retournâmes à Varn-Zharr sains et saufs, mis à part quelques égranitures et blessures, et le nombre attristant de nains mort. Ce jour-là, je m'étais fait une promesse. Celle de ne plus jamais aller miner du marbre.

 

Chapitre II: Retour à Skraldbthar

 

Malgré ce qui s'était passé au Nether, la vie à Varn-Zharr reprenait tranquillement son court. Les nains qui n'avaient pas survécu furent très rapidement remplacés par d'autres nains, et les chantiers reprirent de leur activité. La salle des statues était presque entièrement creusée, et le blé commençait à pousser sur le village paysan, ainsi que quelques maisons. J'appris aussi que ma demande d'accès à la citoyenneté stendellienne avait été acceptée. Celle-ci me permit de pouvoir construire ma maison dans la capitale de New Stendel, comme le faisaient beaucoup de citoyens, mais elle permettait une autre chose: celle de choisir une autre spécialisation. Je réfléchis quelques temps à laquelle j'allais prendre: joailler, forgeron, ingénieur, armurier... Le choix était vaste. Mais une spécialisation me plaisait particulièrement, celle d'outilleur. Grâce à cette spécialisation, je pouvais fabriquer des outils, comme les outils en obsidienne, la pioche sertie, la faux en citrine, le marteau et le burin... Mais il me fallait un maître pour m'enseigner cet art. Et malheureusement, je n'en connaissais pas. Sauf mon père, mais qui était mort depuis plusieurs années déjà... J'eus une idée. Mon père écrivait tous les jours son journal, peut-être qu'il y racontait son apprentissage en tant qu'outilleur. Mais son journal était resté là où il est mort, à Skraldbthar.

 

Skraldbthar... Je n'y était plus retourné depuis le jour où cette cité naine a sombré. Et même probablement personne n'y était allé. Je n'osais même pas imaginer son état: sûrement envahie de plusieurs centaines, voire plusieurs milliers de squelettes morts-vivants. Mais si je voulais devenir outilleur, j'étais obligé d'y retourner. Je préparai donc ma hâche de combat, mis quelques vivres dans un sac, pris une torche et allai prévenir mes camarades nains que je partais à l'aventure. Je me mis ensuite en route vers Skraldbthar, située loin au nord. Le voyage dura plusieurs jours. Puis enfin j'arrivai devant la grande porte de Skraldbthar, qui séparait le monde extérieur de la cité naine, entièrement souterraine. J'ouvris la porte. L'entrée était bouchée par d'énormes toiles d'araignées. Après les avoir retirées, je pris ma torche dans ma main gauche et ma hâche dans ma main droite. Je descendis les plusieurs centaines de marches qui constituaient les escaliers pour descendre dans le monde souterrain, puis j'entrai dans la plus grande salle de la cité, celle où se trouvait le Grand Trou. Le Joyau de Skraldbthar, qui avait mené Skraldbthar à sa perte, était toujours là. Mais bizarrement, les squelettes étaient tous par terre, avec leurs os séparés. Plus aucun n'était debout. Heureusement pour moi... Je me dirigeai dans les anciens quartiers de mon père. C'était le seul endroit où son journal pouvait se trouver. Je fouillai dans ses bibliothèques et, enfin, je trouvai le journal.

 

Je le rangeai dans mon sac et me remis en route vers la sortie de Skraldbthar. J'étais dans la salle du Grand Trou, quand j'entendis un bruit brusque et fort. La seule porte qui me permettait de sortir s'était fermée. En même temps, ma torche s'éteignit. Il se passait quelque chose. J'étais dans le noir complet. Soudain, le joyau émit une lumière. La même lumière que lorsque Skraldbthar sombra. Je m'attendais au pire. Je sortis ma hache. Tous les squelettes se reconstituèrent et essayèrent de m'attaquer. Je pus en tuer quelques uns, mais bientôt, ils m'encerclaient autour du joyau. J'étais cerné. Les squelettes étaient beaucoup trop nombreux pour moi... J'eus une idée: envoyer le joyau dans le Grand Trou. C'était celui-ci qui faisait revivre les squelettes, alors la seule solution était de m'en débarasser. Je donnai un grand coup avec ma hache pour la faire tomber dans le Grand Trou, qui était juste derrière. Je réussis. Le joyau tomba, et les squelettes courèrent eux aussi dans le trou, comme s'ils étaient attirés par le joyau. Il n'y avait plus aucun danger. Je rallumai, tant bien que mal, ma torche, puis j'allai vers la sortie. Mais la porte était encore fermée, et là, il m'était absolument impossible de l'ouvrir.

 

Soudainement, un fantôme apparut juste devant moi. Je le reconnus tout de suite: c'était mon père.

 

- Skreldniir, tu dois nous aider. Un elfe, qui était autrefois mon plus grand ennemi, a jeté une malédiction sur notre cité. C'est à cause de lui que Skraldbthar a sombré, et il nous retient ici. Nous hantons ces lieux depuis plusieurs années, car nous sommes empêchés d'aller au paradis des nains. C'est aussi lui qui te retient prisonnier ici. Il savait que tu reviendrais ici, donc il a laissé la porte ouvrable, mais il l'a refermée à jamais. Mais j'ai trouvé un moyen de rompre cette malédiction. Nous avons enfermé cet elfe, déjà avant que tu sois né, dans la salle la plus profonde de Skraldbthar. Il vit dans le noir depuis plusieurs siècles, sans rien à manger ni à boire. Le seul moyen de rompre la malédiction est de tuer cet elfe. Mais le problème est qu'il est immortel. Une simple arme ne pourra le tuer, mais la pioche de Skraldbthar le peut. Tiens, prends-la, je l'avais encore sur moi lors de ma mort.

 

Il me donna la pioche et disparut. La salle où l'elfe était enfermé, je n'y suis jamais allé, mais je savais où elle était. Mon père me répétait souvent qu'il ne fallait jamais que j'y aille, mais il ne m'expliquait jamais la raison. Pour y accèder, il fallait passer par les mines. J'arrivai devant la salle. Sur la porte était écrit "Seul le sang royal peut ouvrir cette porte" en écriture naine. Le sang royal... Sûrement celui de mon père, comme il était le roi de Skraldbthar. Mais son sang coulait aussi dans mes veines, comme j'étais son fils. Je ramassai une pierre tranchante par terre et mis ma main au-dessus de ce qui ressemblait à un bol, attaché à la porte. Je me fis une entaille et une goutte de sang coula. Tout de suite après, un aura bleu jaillit de la porte et celle-ci s'ouvrit.

 

- Qui... Qui est- là ? gémit l'elfe.

 

Je ne répondit pas. Je rapprochai ma torche de lui, et vit ses yeux. Ils étaient ouverts, mais pourtant ils ne pouvaient pas voir, sûrement à cause de l'obscurité dans laquelle il vivait depuis longtemps.

 

- Même si je suis aveugle, je sais qui tu es, dit-il. Tu pues le nain. Tu es sûrement Skreldniir, le fils du roi de Skraldbthar. Je t'attendais.

 

Il fit un geste avec ses mains, et la porte se claqua. Ma torche s'éteignit à nouveau. J'étais de nouveau dans le noir et je ne voyais à nouveau plus rien. Puis je vis une lumière rouge venant de ses mains: du feu. C'était un elfe mage. Il s'apprêtait à me tuer avec ses boules de feu. Je n'avais pas beaucoup de temps avant qu'il n'envoit ses boules de feu. Je coura sur lui et le décapita avec la pioche de Skraldbthar.

 

La malédiction de Skraldbthar était enfin levée. Toutes les portes s'ouvrirent et je pus enfin sortir et retourner à Varn-Zharr, avec le journal de mon père et la pioche de Skraldbthar, qui permettait de miner à une incroyable vitesse même les roches les plus dures et incassables.

 

Chapitre III: L'apprentissage

 

Dès que je fus rentré à Varn-Zharr, je me mis tout de suite à étudier le journal de mon père. Il était écrit qu'un bon outilleur commençait toujours par apprendre à fabriquer des outils en pierre. Tout d'abord, il me fallait apprendre à fabriquer une pelle en pierre, qui était, comme mon père l'avait écrit, l'outil le plus simple à fabriquer. Il fallait un grand bâton en bois et un peu de pierre. Je mis la pierre à fondre dans ma forge et attendit qu'elle fonde. Une fois ceci fait, je la travaillai au marteau sur mon enclume afin de lui donner forme, sans oublier de faire un trou afin de pouvoir y insérer le bâton en bois. Ensuite, quand la forme était faite, il fallait que je trempe la pierre que je venais de travailler dans de l'eau glacée, puis je pouvais assembler le baton et la pierre. Je regardais avec admiration la première pelle que je venais de forger. Même si la pelle avait une forme assez tordue, j'étais content de moi. Mais il était écrit dans le journal que pour pouvoir continuer l'apprentissage, il fallait faire une pelle en pierre parfaite. Je m'enfermai donc dans ma forge plusieurs jours et forgeai des pelles, peut-être plusieurs dizaines, voire plusieurs milliers, jusqu'à atteindre la perfection. Quand j'avais fait une belle pelle, je pouvais enfin passer à l'étape suivante: forger une faux en pierre. L'opération se répéta encore: je fis plusieurs faux jusqu'à en faire une parfaite. Puis je devais faire une pioche en pierre parfaite, et enfin une hache en pierre. J'appris à faire des outils en pierre pendant plusieurs mois. Ensuite, je pouvais apprendre à faire des outils en or et en fer. Je mis un ou deux mois à apprendre à les forger. J'appris ensuite à fabriquer des outils en diamants et en obsidienne. Pour faire fondre l'obsidienne et le diamant, il fallait obligatoirement de la lave, le feu ne suffisait pas. Je pris donc un seau en fer dans l'un de mes coffres puis allai dans les mines de Varn-Zharr pour prendre un peu de lave. Une fois ceci fait, je revins dans ma forge et déposai la lave dedans. Je me remis à mon apprentissage. Après avoir appris à forger les outils en diamants et en obsidienne, je pouvais passer à la dernière étape, sûrement la plus intéressante: le forgeage de la pioche sertie en saphir et celui de la faux sertie en citrine. Ces deux outils avaient une recette différente des outils normaux: il fallait deux barres d'obsidienne, du saphir et du diamant pour la pioche en saphir, et deux citrines pour la faux en citrine. Seuls les joaillers pouvaient fabriquer les saphirs et les citrines, avec du diamant et du lapis lazulli pour les saphirs, et de la glowstone et du diamant pour les citrines. J'allai donc à Stendel pour en acheter, puis je revins à Varn-Zharr. Je me remis à forger, plusieurs heures, jusqu'à faire une faux en citrine et une pioche en saphir parfaites. Mon apprentissage d'outilleur était enfin terminé.

 

Chapitre IV: Besoin d'argent

 

Plusieurs années passèrent. J'étais devenu un outilleur reconnu. J'étais souvent appelé aux quatre coins de Stendel pour forger divers outils, principalement ceux en obsidienne. Grâce aux pourboires que j'obtenais, j'avais assez pour pouvoir vivre décemment. Tout semblait aller pour le mieux. Jusqu'au jour où...

 

Comme tous les mois, je me rendis chez Tigrisou pour la commande d'outils pour les chantiers de Varn-Zharr.

 

- Tiens, Skreldniir. Je présume que tu viens ici pour la commande d'outils.

 

- Oui, répondis-je. Que veux-tu comme outils ce mois-ci ?

 

- Nous allons bientôt avoir une nouvelle salle à creuser, je pense que tu peux donc forger une trentaine de pioches en obsidienne et une quinzaine de pelles en obsidienne. Ensuite, il va nous faloir beaucoup de charbon de bois, donc il nous faut environ... quatre ou cinq haches en obsidienne. Et enfin, je vais devoir aller miner du marbre noir pour pouvoir finir les routes, il me faudra deux pioches serties de saphirs, me dit Tigrisou.

 

- D'accord, je vais essayer de faire ça pour la semaine prochaine, affirmai-je. Bon, il va commencer à faire nuit, je crois que je vais devoir rentrer chez moi...

 

- Non, atttends. Reste ici, m'ordonna Tigrisou. Il faut que je te parle d'une chose qui est très importante.

 

- Je t'écoute.

 

- Je ne sais pas si tu l'as déjà remarqué, mais Varn-Zharr ne croule pas sur l'argent... Au contraire, nous manquons cruellement d'argent. La commande de glowstone pure va bientôt arriver, et je ne sais même pas si nous aurons de quoi en payer la moitié, m'avoua-t-il.

 

- As-tu pensé à augmenter les impôts ? lui proposai-je.

 

- Oui. Cela fait plusieurs mois que je les augmente, et je crains que bientôt, les nains ne se révoltent.

 

- Mais alors, que faire ? demandai-je.

 

- Cela fait plusieurs jours que je réfléchis à cela... Tu as plus que prouvé tes talents d'outilleur, et tu dois les exploiter au maximum. Tu dois devenir commerçant, me dit-il.

 

Commerçant... j'ai déjà pensé à le devenir, mais c'était il y a longtemps. J'avais arrêté d'avoir envie de le revenir. Mais Tigrisou avait raison, si je deviens commerçant, je pourrais gagner beaucoup de pièces d'argent, et inverser la situation économique de Varn-Zharr.

 

Chapitre V: Les stocks

 

La première chose que je devais faire avant de pouvoir prétendre à la licence commerçante, c'était de me faire des stocks. Pour un outilleur, les stocks étaient principalement constitués de barres de fer et de lingots d'obsidienne. J'allai à mes coffres pour voir ce qu'il me restait. Malheureusement, il ne me restait que quelques barres de fer et lingots d'obsidienne, à peine de quoi faire une dizaine de pioches... Il fallait que je fasse quelque chose que je n'avais pas fait depuis longtemps: miner. Je pris donc ma meilleure pioche, ma torche, un peu de nourriture et mis tout dans mon sac. Je me dirigeai vers les cavernes de Varn-Zharr et me mis à la recherche de filons de fer. J'avais perdu l'habitude de miner, et il m'était difficile de trouver des minerais. Mais, au fur et à mesure, je trouvais de plus en plus de fer. Je minai pendant une dizaine d'heures avant de remonter à la surface. Je rentrai à ma maison et regardai ce que j'avais minai: mon sac et mes poches étaient pleines de minerais de fer. Je mis donc tout à cuire dans mes fours. Après avoir trouvé du fer, il me fallait miner de l'obsidienne. Je pris donc ma pioche spéciale pour miner de l'obsidienne. Une superbe pioche en diamant, forgée par moi-même et enchantée pour miner rapidement les blocs les plus résistants, comme l'obsidienne. Je pris plusieurs seaux d'eau et me mis en quête de lave, encore une fois dans les profondeurs de Varn-Zharr. Après en avoir trouvé un, je fis couler de l'eau dedans pour transformer la lave en obsidienne, puis je le minai. Après avoir miné plusieurs lacs de lave, j'allai déposer l'obsidienne dans mes coffres. Il me restait encore à trouver un forgeron pour qu'il me fasse des barres de fer et pour qu'il me cuise mon obsidienne afin d'en faire des lingots. Je retournai donc à Namnis, chez mon ami Toinelafrite.

 

- Salut, Toine, le saluai-je. Comment vas-tu ?

 

- Bien, me répondit-il. Tu veux encore que je te forge quelque chose ?

 

- Il faudrait que tu me forges des barres de fer et que tu cuises mon obsidienne pour en faire des lingots.

 

- Pas de soucis, me dit-il. Tu as tout ce qu'il faut ?

 

- Tiens, voilà le fer pour faire les barres, et l'obsidienne et le charbon pour faire des lingots d'obsidienne.

 

Toinelafrite prit tout et alla dans sa forge. Il revint quelques minutes plus tard.

 

- Voilà pour toi, me dit-il. Il te fallait quelque chose d'autre ?

 

- Non, ce sera bon. Tiens, voilà ton pourboire, lui dis-je en lui donnant quelques pièces d'argent.

Je retournis à Varn-Zharr et mis tout dans mes coffres. Ca y est, j'avais assez de stocks pour mes futures échoppes.

 

Chapitre VI: L'échoppe

 

Après avoir préparé mes stocks, il me fallait réfléchir aux échoppes. Tout d'abord, il me fallait un nom. Mon outil préféré était la pioche en obsidienne, c'était d'ailleurs l'outil que je forgeais le plus, et c'était l'outil qu'on me demandait le plus. Le nom était alors tout choisi: "La pioche noire", car la pioche en obsidienne et de couleur noire. Ensuite, je devais décider où j'allais installer mon commerce. Là aussi, je n'ai pas eu besoin de réfléchir beaucoup. J'allais installer ma première échoppe à Varn-Zharr. Mais tout d'abord, il me fallait l'accord de son dirigeant, Tigrisou. Je me rendis donc chez lui:

 

- Salut, Tigrisou !

 

- Salut Skreldniir, que te faut-il ?

 

- J'aimerais savoir si je pouvais avoir une échoppe à Varn-Zharr.

 

- Skreldniir, tu es le premier citoyen de Varn-Zharr et l'un des plus actifs... Bien sûr que tu as le droit à ton échoppe à Varn-Zharr ! me dit-il.

 

Maintenant que j'avais l'accord, il me fallait construire mon échoppe. Celle-ci devait se trouver dans la cité souterraine. Je pris ma pioche et essayai de creuser un semblant de sphère au-dessus de la lave. Puis il fallait que je fasse l'intérieur. Je décidai de prendre du marbre noir et du marbre blanc pour le sol et le plafond, ainsi que de la lave, de l'eau, et de l'obsidienne, qui représentent bien les outils en obsidienne que j'allai vendre.

 

Chapitre VII: La licence

 

Mon échoppe était désormais construite. Désormais, il me fallait acquérir la licence commerçante. Sans celle-ci, je ne pouvais pas vendre mes outils, à moins de faire du commerce illégal, mais qui était sévèrement puni d'une peine de prison. Cette licence coûtait cinq-cents pièces d'argent et était délivrée par Hercey, l'un des Gouverneurs. Pour l'obtenir, je devais lui envoyer une candidature. Je pris donc ma plus belle plume et commençai à écrire tout d'abord mon histoire. Ensuite, il fallait que je dise pourquoi je voulais devenir commerçant, puis je devais mettre des dessins des différentes échoppes que j'allais construire. Il fallait aussi mettre les prix des objets que je désirais vendre. Je mis plusieurs jours à écrire cette candidature. Quand elle fut finie, je la glissai dans une enveloppe accompagnée de la somme de cinq-cents pièces d'argent. Je me rendis au chateau de Stendel pour y déposer la candidature.

 

Pendant plusieurs semaines, j'attendis la réponse. Tous le temps, j'espérai qu'un pigeon voyageur apporte ma licence. Ces semaines me paraissaient longues et interminables. Puis, un matin, après m'être réveillé, je trouvai un paquet devant ma porte. Je lis l'adresse de l'expéditeur: "Chateau de Stendel". C'était la réponse à ma candidature. Avait-elle été acceptée ? Je l'ouvris en tremblant, et y trouvai une lettre. Je la lis:

 

"Cher Skreldniir,

 

J'ai bien reçu votre lettre de demande pour la licence commerçante, et j'ai le plaisir de vous annoncer que celle-ci est conforme aux demandes pour la licence commerçante, et que vous êtes donc désormais commerçant. Vous pouvez donc dès à présent vendre et acheter librement les objets propres à votre spécialisation d'outilleur, aux prix que vous souhaitez. Vous trouverez votre licence commerçante dans cette enveloppe.

 

Cordialement

Hercey, Gouverneur"

 

Je regardai dans l'enveloppe: ma licence commerçante. Je sautai de joie. J'étais enfin commerçant. Je courus chez Tigrisou pour lui annoncer la nouvelle, et le soir, nous fêtâmes à la taverne de Varn-Zharr l'attribution de ma licence commerçante.

 

Chapitre VIII: L'ouverture

 

Je me réveillai le lendemain matin. C'était le grand jour: celui de l'ouverture de la Pioche Noire. Je me rendis donc dans mon échoppe à Varn-Zharr pour inaugurer mon commerce. Je vérifiai tous mes stocks: tous les outils devaient être parfaits, sans le moindre défaut. Une fois ceci fait, je vérifiai les prix, afin de voir si je n'avais pas fait d'erreur. Puis tout était fin prêt pour l'ouverture. J'ouvris la porte de l'échoppe.

 

Il n'y avait pas une seule personne. Je devais m'en douter... Je n'avais fait quasiment aucune publicité pour la Pioche Noire. Mais je restai quand même toute la journée dans mon échoppe, en espérant avoir des clients. Heureusement, quelques nains de Varn-Zharr vinrent, et je me fis quand même une petite centaine de pièces d'argent. Je devais maintenant me faire mieux connaître, afin d'avoir plus de clients. Et pour cela, il fallait que j'ouvre plus d'échoppes partout sur Stendel, voire même sur New Stendel et Nabes.

 

Quelques mois plus tard, j'avais amassé quelques pièces d'argent grâce à mon échoppe à Varn-Zharr. J'avais assez pour pouvoir ouvrir deux nouvelles échoppes, dans les deux autres villes du Royaume de l'Ouest: Namnis et Honéor. Grâce à ces deux nouvelles échoppes, ainsi que celle de Varn-Zharr, je pus au mois doubler mes revenus et ouvrir de nouvelles échoppes partout dans le monde. La Pioche Noire était devenu un commerce fructueux et grandissant de jours en jours.

 

 

Mes échoppes

 

 

Varn-Zharr

 

Honéor

 

Namnis

 

 

Les prix

 

 

En capitale

Pioche en obsidienne: 6 PA

Hâche en obsidienne: 6 PA

Pelle en obsidienne: 2.75 PA

Burin en obsidienne: 4 PA

Harpon: 0.6 PA

Vis: 1 PA les 3

Faux en citrine: 30 PA

Pioche en saphir: 30 PA

 

Hors-capitale

Pioche en obsidienne: 3.2 PA

Hâche en obsidienne: 3.2 PA

Pelle en obsidienne: 1.6 PA

Burin en obsidienne: 2.4 PA

Harpon: 0.4 PA

Vis: 1.3 PA les 3

Faux en citrine: 25 PA

Pioche en saphir: 26 PA

[iroye]

Hello je vous écrit ceci pour vous dire que je plussoie Skreldniir car je le connait depuis peu mais je parle souvent avec lui sur mumble il est très gentil et il me demande même s'il faut m'aider ou pas pour ma construction don je vous parlerai dans mon rp pour le grade villageois voila pourquoi je plussoie Skreldniir

[nico67880]

Bonjour !

 

Je passais par là, et que vois-je ? Mon cher ami Skreldniir qui poste sa candidature.

Skreldniir est quelqu'un de sérieux, motivé, investi dans les trois projets, souvent présent tant IG que mumble, quand on a besoin de lui, il est toujours là prêt à rendre un service. Avec son sérieux, sa motivation, ses échoppes ne manqueront de rien, il a le sens du commerce, il sait compter (enfin je crois ^^).

 

Bref, je te soutiens skre dans ta démarche commerçante.

 

Cordialement,

 

nico67880

[theor67]

Skreldniir commerçant ? Oui tous de suite, ses un joueur investi amical et chaleureux sur mumble, IG et sur Honeor, il merite de tous sens se grade

 

 

+1

[Japaleino]

Oh non T.T... Je suis même pas le premier à plussoyer Skrel'...

skrel tu vas mourir ...

 

Sinon revenons à notre sujet !

Skrel' est juste une personne F-O-R-M-I-D-A-B-L-E !

Il est dévoué et sérieux dans son travail, et garde un calme affolant .

 

C'est la quatrième personne que j'ai rencontré sur minefield '.'

Sur mumble, il est sympathique et très sociable (Oui je sais de quoi je parle : j'en ai rencontré des gens de la grotte ^^) !

Ensuite, il a du talent dans le domaine du marchandage et peut tout à fait gérer des commerces.

Il est aussi indispensable avec sa petite poche remplie d'outils en obsidienne quand on travail à Honéor .

Toujours prêt à aider et à faire avancer les choses.

 

C'est une personne active et qui a beaucoup de potentiel !

A quand le [C] ?

 

Je te soutiens !

[Amerisov]

Skreldnouille commerçant ! Skreldnouille commerçant ! Skreldnouille commerçant !

 

Je te veux commerçant dans ma bourgade mon petit !

 

Skreld' c'est Skreldniir. Toujours là, actif sur plusieurs projets, il est toujours là. Il switch d'un channel à l'autre, zigzagant entre les Nains, Honéor et Namnis.

 

Il a le truc pour devenir commerçant ce petit. Il est très très actif et a tout pour l'obtenir.

 

JE TE SOUTIENS l'ami !

[Lesyos]

Skreldniir est une personne investie et c est le moins que l on puisse dire. Il montre son dévouement aussi bien a Honeor, varn-Zharr, que Namnis. Il s'est vraiment impliqué dans le royaume de l ouest. D un point de vue général il s agit de quelqu'un de pragmatique, motivé, implique, et facilement a l écoute. Il est toujours près a rendre service et a le sens de la vie en communauté

 

Le fait qu il soit implique dans de nombreux projets montre bien qu il arrive sans problème a être présent partout a la fois sans pour autant réduire le rythme. Ainsi une fois commerçant, il sera et j en suis certain, toujours au petits soins de ses nombreux shops dissémines un peu partout

 

C est avec un grand plaisir que je soutien skreldniir, car je suis persuadé que ce joueur ira loin

[LucasStitch]

Skreldniir est une personne super sympa, serviable et surtout bosseur! A Honéor, il a beaucoup aidé pour la construction de gros bâtiments (Théâtre...). Il mérite de devenir commerçant (ça fera nos affaires ). Skreldniir je suis de tout coeur avec toi pour que tu passes ce grade donc JE TE SOUTIENS !

[Ptipain]

Je viens soutenir Skreldniir car ce joueur est vraiment très généreux. En effet, il a fournit au moins un double coffre de pioche en obsidienne pour Varn-Zharr et j'en passe. De plus, Skreldniir est très actif sur Minefield ; il est toujours là pour crafter des objets en rapport avec son métier. C'est donc pour cela que je viens le soutenir car il mérite vraiment d'avoir cette licence de commerçant.

 

Good luck ! Ptipain54

[Vivi75psg]

Skreldniir est une super personne , un super ami , qui merite un commerce +1

[Je4nS]

/me sort de l'ombre

Skrneildrnir, heu Srkelndir, heu Skreldnir est quelqu'un de génial ! toujours là pour aider, actif mumble et ig.

Il est un gros bosseur constructor lvl 2000, jamais à l'arrêt, caractère trollesque et tout. Il mérite vraiment ce titre.

Un autre argument est le temps qu'il a mis pour poster cette candidature après son passage au grade citoyen. Super court. Donc il est motivé pour avoir ce titre, d'ailleurs il est motivé tout le temps.

Bref, je soutiens mon ami Outilleur. Puisses tu arriver à ton but !

[Viaduc]

Bonjour,

 

Je soutiens Skreldniir dans sa démarche pour devenir commerçant, il est disponible et sympathique je pense qu'il fera un très bon commerçant !

 

Bonne chance,

 

Viaduc

[Veleton666]

Bonsoir.

 

 

Je soutiens Skreldniir dans sa candidature commerçante, tout d'abord parce qu'il est mon frère. En jeu, je n'ai pas encore été assez actif sur le serveur pour témoigner de ses capacités en jeu, mais je peux vous affirmer que, dans la vie réelle, Skreldniir est quelqu'un de très intelligent, motivé, engagé et soigneux dans ce qu'il fait.

 

Je ne sais que dire de plus, si ce n'est bonne chance pour ta candidature !

 

(Maintenant, tu m'es redevable )

[Ankorkibil]

Bonjour !

 

Bon j'ai vue de la lumière et me voila !

 

Enfin bref que dire de [barrer]sklrenielunirree[/barrer] ce joueur. C'est un travailleur hors paire et ... quoi ? il ne faut pas dire ça ? Bon pour quoi il fera un bon commerçant ? Et bien puisque c'est un nain il a deja le sens du commerce dans les vaines, c'est deja ça après grâce a son maitre tigrisou il a put apprendre les divers façon d'escroquer un personne. Donc il pourra nous escroquer nous aussi avec beaucoup de talent.

 

Voila les raisons pour les quels il doit passer commerçant.

 

Bonne journée

[tigrisou54]

Skreldniir.

 

Je pense que même quand j'aurais une femme et des enfants l'évocation de ce mot me fera ressentir pleins de souvenirs. Des bons souvenirs. Ceux qu'ont attribuent aux personnes d'exceptions, neutres, et simples. Car Skreldniir, c'est bien plus que l'ouvrier premier de Varn-Zharr, ou encore notre outilleur. Skreldniir, c'est avant tout une personne, un joueur, comme vous et moi. Ce brave type, sais diriger et organiser un chantier. Il sait prendre des décisions justes sans demander l'avis à son supérieur. Il a un cerveau, le skreldniir, et un bon. Je ne sais pas si Varn-Zharr en serait là où elle est sans lui. Il a des idées, des bonnes idées, et sais les mettre en place sans accros. C'est ici en tant que chef de chantier que je parle, mais aussi, en tant que bon copain, même si je ne le connais pas IRL.

Je pense que c'est le meilleur ouvrier qu'un projet puisse avoir, car il est vaillant, ne recule jamais, lève toujours la main quand il faut filer un coup de main sur un chantier long et fastidieux, et fournit le chantier en pioche sans demander un seul PA. Car oui, il nous fournit l'obsi de ses pioches, bien que le fer vienne de Varn-Zharr. Quand il peut gagner son allopass du mois car c'est le meilleur ouvrier, il l'accepte, mais donne deux fois plus au projet qu'il n'en reçoit. C'est aussi un pillier de l'alliance de l'ouest, travaillant sur Varn-Zharr la plupart du temps, mais aussi sur Honéor, et aide parfois Namnis. C'est le genre de personne qui ne cherche pas d'ennuis, mais qui les résolvent.

 

Je pense que contrairement à certains commerçants outilleurs, qui ont oublié que Minefield était une grande famille, et que seuls des profits exaspérants motivent, Skreldniir saura trouver le juste milieu dans ses prix et ses shops ( Je tiens par ailleurs à remercier l'autre outilleur de Varn-Zharr sur ses prix très bas rien que pour nous, au passage ).

 

En bref, un gros +1 pour un joueur qui en mériterais des centaines d'autres.

 

PS : j'aime bien ton shop pour Varn-Zharr, très belle déco !

[Pislex3d]

Bonjour,

Je passe ici pour soutenir un ami, je parle bien entendu de Skrelniir. Je pense qu'il fera un bon commerçant, tout d'abord par sa maturité mais aussi par son économie soigné. Ce joueur est mature, sa grille de prix est raisonnable, et ses shops sont agréable à l'œil.

Que demandé de plus ?

Je te soutiens donc pour l'obtention de ta licence commerçante.

[Toinelafrite]

Bonjoire, je plussoie Skreldniir pour que nous puissions avoir la congolexicomatisation des lois du marché propres au outilleurs.

 

Blague à part, Skreldniir a été une des plus belles rencontres sur minefield que j'ai faites depuis mes débuts. Skreldniir est une personne très compétente à mon avis, très active que ce soit sur le forum, sur Varn-Zharr, mumble, sympathique et qui je le sais, saura gérer son échoppe jusqu'à son ban parce qu'il aura trop arnaqué des petits paysans :>.

 

Bwef, +1 pour Skreldndnerir !

[Yann291]

Bonsoir,

 

J'ai le plaisir d'accepter ta candidature, félicitations !

 

Afin de valider ton nouveau statut, je te demanderai d'effectuer le paiement des 500 pa au serveur. Envoi moi un mp une fois que ça sera fait, afin que je t'ajoute ta licence.

 

À bientôt,

 

Yann.