tigrisou54 Posté(e) le 10 décembre 2012 Partager Posté(e) le 10 décembre 2012 Salut à tous cher confrères ! Ayant fait un Rp étant totalement en rapport avec notre vie de nains, je voulais le poster. PROLOGUE: Nous nous trouvons dans la plaine d'Ultharik, plus précisément sous terre, quelques jours avant le grand cataclysme. Tigrisou le nain n'a que quelques années à cette époque. Il habite avec ses parents à Varn-Zharr. L'histoire débute une journée avant le grand cataclysme qui devra transformé Stendel en New-stendel. Chapitre 1 : Le grand cataclysme Le jour se levait sur la plaine de d'Ultharik. Mes parents et moi nous trouvions dans les champs de houblon, en train cette plante aux vertus tant attendu dans la confection de la cervoise naine. Après avoir bien remplis les sacs de houblons, nous pûmes rentré à notre maison dans la citée VarnZharr. VarnZharr était une grande citée naine souterraine, cachée dans des bois de sapins, sous un lac de lave. Seul ses habitants connaissaient l'entrée unique de la citée. Ainsi nous sommes rentrés dans notre maison en bulle pierreuse et nous nous sommes endormis. Durant la nuit, un grand tremblement de terre eu lieu, mes parents et moi nous sommes réveillés en sursaut. Au loin, des nains de la Don'Thor legion criaient et sortaient des habitants de leur maisons. Soudain, un grand geyser de lave propulsa ces braves soldats dans les airs et les consuma presque instantanément. Le plafond de notre citée s'effrita puis s'effondra sur la sortie, sur l'unique sortie, de toute la citée. La lave commençait à monter, monter et encore monter. Bientôt les niveaux inférieur de la citée seraient remplis de lave. Mes parents prirent leur bel oiseau rouge et tentèrent de s'envoler. J'étais sur l'oiseau de ma mère, car sa présence me rassurait plus que tout au monde. A coté, mon père peinait à faire décoller son oiseau. La pauvre bête semblait prise de panique. Puis je vis mon père se faire recouvrir de lave, suite à une nouvelle brèche dans le plafond de la citée. Ma mère ne l'avait pas vu, mais moi je m'en souviens toujours. Nous sommes arrivés à sortir par une brèche minuscule, suite à l'effondrement d'un grand pilier porteur. Une fois sortis à l'air libre, un souffle chaud nous arriva à la figure : la cité venait d'exploser. Autour de nous aucun autre oiseau. Nous étions les seuls survivants. Chapitre 2 : Ultharik et le sauvetage de Stendel. Après la perte de tout ce qui l'avait connu, Tigrisou fut prit au dépourvu, Mais l'espoir n'était pas fini Il avait encore toute sa vie Nous arrivions à la couche nuageuse quand le désastre eu lieu. Au loin la montagne d'Ultharik s'effondrait et des centaines d’oiseaux bleus foncés s'envolaient. Derrière nous les habitants de Shiki No Mura se faisaient engloutir dans une immense crevasse. Ma mère et moi rejoignirent les oiseaux d'Ultharik. Tous les nains étaient en route vers Stendel. Autour de nous tout était chaos et désastre. Arriver à Stendel, nous pûmes rentré juste à temps dans la capitale. Des mages durent se réunir et unirent leur force pour soulever Stendel et la sortir de la terre. Désomais en sécurité une de mètres au dessus du sol, nous assistions à la destruction de ce qui avait été notre monde. Un déferluge de lave englouti les quelques vestiges restantes encore debout. Après une semaine de déferlante de lave, d'eau et de boue, la mort de plusieurs êtres suites à de graves blessures et de certains mages, car soulever mentalement des centaines de tonnes de terre n'est pas chose aisée, tout redevint à la normale. Nous étions sauvés. Chapitre 3 : La reconstruction et la guerre civile. Après un grand cataclysme, et une vie sauvée, Il se sentit soulagé, Sa mère et lui en sécurité, Il allait pouvoir vivre sa propre Odyssée. Tout était à reconstruire. Trois grands nains, ce qui fait des nains de 1M60 tout de même, décidèrent de reconstruire des cités. Galaoud voulait construire une grande et belle ville, Thorvald voulait aménagé la crevasse ou était précédemment Shiki No Mura. LetharGik patientait. Il prendrait le pouvoir en temps voulu. Ainsi les chantiers de Galianor et Garaz-Duk débutèrent. Ma mère et moi sommes allé participer au chantier de Galianor. Le chantier dura de longues années. Peu de temps avant la fin du chantier, vers mes 16 ans, Galaoud fut accusé de haute trahison. Il avait soi-disant tuer un nain. On l'accusa de beaucoup de choses fausses, quelques affirmations sans fondements et très peu de choses fondés. Bien sur, le nain qui dirigeait tout cela n'était autre que Lethargik, ce nain ambitieux et charismatique. Galaoud fut donc mis au arrêts en attente d'une exécution terrible et douloureuse. Après quelques mois au pouvoir, Lethargik subis la révolte des partisans de Galaoud. Il tenta de calmer la révolte, en vain. Ci et là, des centaines de nains s'entretuaient pour savoir qui méritait d'être chef. Voyant que la situation tournait à son désavantage, LetharGik alla à la prison de Galianor. Il y trouva Galaoud, dépité et mal rasé ( car oui un nain peux être mal rasé ). Il prit sa hache, sorti une corde et alla noué celle ci autour des mains de Galaoud. Désormais impuissant, abandonnant tout espoir, Galaoud vit la hache aiguisé s'approché de son cou. Le métal tranchant s'enfonça dans sa gorge, puis la coupa. Le sang chaud se répandit sur sa barbe. Il s'effondra par terre, se laissant aller. La guerre civile venait d'éclater. Ma vieille mère voulu se lever mais une hache de jet vint se planter dans son ventre. J'accouru vers elle pour sentir son pouls : elle était vivante, mais faible. Je pris mes affaires, mes armes et le corps de ma mère, monta sur mon déstrier et le fit galoper tant bien que mal à travers le combat. De l'autre côté de la cité, à mon opposé, arrivaient les troupes de Garaz-duk. Les soldats de la Don'thor legion encore en vie les ralentirent, mais cela ne faisait que les retarder de quelques minutes. Déjà, le cri des premières victimes me parvenaient. Il fallait que mon cheval avance plus vite. Traversant les forêts et les plaines, j'arrivais à la première grande ville : Nevah. Suppliant les garde de me laisser entrer, ma mère dans mes bras et mon cheval en arrière. J'attendis plus d'une demi-heure comme cela, quand un chevalier Nevain me fit signe. Naïf et tout de même jeune, je m'approcha des murailles. Puis soudain, une grande marmite d'huile bouillante s’abattit sur moi ; sautant derrière mon cheval je su l'esquiver de justesse. Mon cheval n'eu pas la même chance que moi, et se retrouva cribler de flèches quelques secondes après. Je m'enfui vers la forêt, entendant les flèches sifflés près de mes oreilles. Après une semaine de marche longue et difficile, j'arrivais à la porte de New-Stendel. Un garde accueillant me fit signe de rentrer. Quand il vu l'état dans lequel j'étais, et celui de ma pauvre mère, il fit venir un médecin. Nous fûmes bien soignés et nourris. Nous étions enfin en sécurité. Chapitre 4 : Le retour Après un sauvetage chanceux et bienheureux, Tigrisou voulu remettre le monde comme il fallait, Ainsi son oeuvre aurait lieu, Il allait retourner dans le passé Après une semaine de repos bien mérité, il fallait faire quelque chose. Des rumeurs disaient que tous les nains s'étaient entre tuer. Toutes nos cités étaient détruites ou submergés de lave. Tous nos frères avaient péris du fait de leur inconscience. Ma mère avait subis cela. J'avais vécu cela. Ce jour, moi, tigrisou, avait décidait qu'il n'en était pas question. Impossible. Je pris donc la décision d'aller voir les mages Stendeliens. Leur faisant part de ma requête, celle d'être téléporté 200 ans en arrière, lors de la construction d'Ultharik, il hésitèrent. Mais voyant ma détresse, et celle du monde actuel, il acceptèrent. Ainsi un grand portail violet s'ouvris. Je dis au revoir à ma mère, aux mages et à des amis fait précédemment, puis je sauta. J'étais arrivé à Stendel à sa belle époque. Mon histoire allait commencer. Ainsi fut fait le voyage d'un nain, Voulant sauver les siens D'un périple inutile, Son raisonnement utile et futile, Les sauvra tous d'un terrible destin. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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