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[Accepté] C'est l'histoire...

co0ki3

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D'un cookie qui vous écris ce matin.

 

Bonmatin à vous amis Nevains, j'écris en ce début de matinée non pas parceque miti se sent seul sur mumble à deux heures du matin, mais pour poster ma candidature, oui ma candidature car après mûres réfléxions sur le sujet, j'ai décidé de postuler au rang de Névain car c'est ici pour moi la communauté la plus intérressante (étrange parfois) que j'ai rencontré.Entant qu'ancien Névain et citoyen d'honneur du Royaume, je me permettrais juste de passer ma présentation IRL (Je m'apelle Lucas et pouet...) puisque celle-ci n'a point changé, mais je me suis permis et non "forcé" d'écrire un modèste Rp. Voilà voilà sortez votre popcorn où votre machine à plussoiement (pitier :cry: ) et bonne chance pour la lécture. Attention il est prié de ne pas sortir le Splendide durant cette lecture pour qu'il ne succombe pas face aux diverses fautes dans le texte.

 

 

Cela fesait quelque temps maintenant que j'étais à Almarïs. Gyllb n'était point revenu malgrè sa promesse de me trouver en ce lieu.

Je ne savais quoi penser de cela, avoir perdu mon plus fidèle ami faisait que mon âme se rongeait au fûr et à mesure que les hivers s'écoulaient dans ce monde glacial qui m'entourait. Que pouvais-je faire de plus qu'attendre? Remplir mon travail d'Almar était à présent ma seule aspiration pour ne point délaisser la vie qui m'étais promise. J'aidais du mieux que je pouvais mes compagnons aux longues oreilles, mais un sentiment d'âmertume m'envahissait peu à peu. J'ai laissé ma vie derrière moi lorsque j'ai accepté de quitter Nevah et de rejoindre ce monde. Tous ces sacrifices, combats et cicatrices ballayés par l'utilisation de l'artefact de mon père. Cet artefact brisé ne créait qu'à présent des fissures dans mon esprit, ces réfléxions se répétaient à longueur de journée. Un soir je rentrais d'une dûre journée de labeur, complétée par une nouvelle m'apprenant le départ de notre Dägmaar, qui était pour moi une bonne amie depuis l'alliance entre le duché de Nevah et Frowïn. J'eus compris que je n'avais plus rien à faire en ce lieu, c'était une fois de plus une chance de vivre une nouvelle aventure qui se présentait à moi, j'allais dans mon lit pensif et décidé de mon imminent départ.

 

Ne pouvant dormir, je me levai et fis mes affaires, pris mon arc, mes flèches et mon épée qui n'avaient plus servi depuis mon départ de Nevah. Je laissai un message à mes compagnons et les remerciai pour leur incroyable accueuil malgrè que je ne sois pas de leur race. Le message enfin déposé, je regardai une dernière fois Lothar en espérant que mon départ ne l'importunerait point. Mon sac sur le dos recouvert par ma cape, je mis ma capuche et partis en direction des montagnes, comme le jour de mon arrivée parmi ces êtres pacifiques. Une fois de plus je ballayais mes croyances et souvenirs en quête d'une aventure qui n'était pas certaine encore. Je marchais au clair de lune tel un voyageur nocturne en quête d'espoir, j'atteignis les montagnes blanches d'Almarïs après une longue distance passée dans la neige. A présent la difficultée de cette ascension revenait à moi comme la première fois où je franchis ce mur de roche et de glace; je ne puis me rappeler de la manière dont je l'avais fais, mais je me souvins du blizzard qui rôdait autour de moi attendant que je faiblisse. Un vent glacial se leva fortement, et je dûs trouvé la grotte où je m'étais auparavant abrité pour me proteger de celui-ci. Ayant trouvé ma grotte, je m'assoupiçais quelque peu en attendant que le vent se calme. Mon sommeil fût néanmoins plus long et l'aube se levait à mon réveil. J'hâtais alors mon voyage pour ne point me retarder à l'arrivée de la capitale, je traverçai les terres de l'Empire Stendelien avec aisance après avoir franchi les montagnes. Quelques jours de marche suffirent pour que j'arrive à la banlieu de Stendel. J'y constatai un changement radical entre le passage d'un endroit où la nature était maîtresse et l'arrivée dans une cité civilisée disposant d'une industrie avancée.Je n'avais entendu que des dires et légendes sur la capitale mais certains étaient vrais comme la magnificence des imposantes constructions tel que le château impérial. Je ne m'attardai point sur les autres détails, mais cette vivacité m'intriguais, j'y appris la réouverture d'un passage vers le nether, chose qui devait râvir certaines créatures maléfiques comme les Helliens et leurs compagnons de pierres. Après une heure de visite matinale de la capitale, j'arrivai à la place centrale, illuminée par le portail vers Les Royaumes de New Stendel. Je m'avançai vers celui-ci et contemplai le vortex qui s'y logeait. J'étais prêt, prêt à rentrer chez moi, et revoir mes frêres Nevains. Je regardai une dernière fois autour de moi en pensant à Gyllb et mes aventures en ce monde, tous cela était à présent derrière moi, je m'élançai dans le vortex mauve du portail.

 

Une sensation étrange m'envahissa, ce passage lumineux était résplendissant, soudain ma saccoche s'illumina. La lumière autour de moi était parasitée par les ténèbres. J'ouvris ma saccoche et y vis l'artefact de mon père qui m'éblouissait. Le passage se referma devant moi et une fissure se créa; elle m'emporta vers l'obscur horizon qui s'étendait face à moi. Je ne sentis plus mon corps et mes pensés s'égarèrent.

 

Je revins à moi lentement. Des cendres couvraient le sol près de moi; j'avais l'artefact dans la main, je le soulevai et constatai qu'il n'était plus fissuré. Je vis ensuite que je me trouvais dans une clairière ravagée par le feu, après avoir repris mes esprits, je me levai et remarquai que je connaissais déjà cet endroit:

"C'est ici que...

Je fûs coupé par une voix familière:

-Que tu as utilisé l'artefact de ton père pendant un combat contre des mages Helliens."

Je regardai d'où venait cette voix, et je vis dans une lueur pâle mon vieil ami Gyllb'han. Je ne savais quoi penser, et il parla à nouveau:

"Cela faisait longtemps que je t'attendais Ezylryb. Tu es presque aussi vieux que moi maintenant.

-"Oui, je n'ai point chômé pendant ton abscence, mais comment as-tu survécu vieux fou et pourquoi ne m'as-tu point rejoins?"

-"C'est une longue histoire mon ami, très longue histoire, un jour peut-être je te la conterai."

Je n'étais point dérangé par le fait qu'il ne voulais se confier à moi mais je lui demandai tout de même:

"Pourquoi est-tu là Gyllb, que se passe t'il pour que tu m'accueuil ainsi ?

-Mon ami j'ai eu tord de croire que tu devais partir à Stendel... tu n'étais point à l'aise là-bas. Tu dois retrouver tes anciens amis.

-Les Nevains ? Mais tu sais qu'il est impossible d'y retourner lorsque l'on a tourné le dos à Soïlah.

-Il existe un moyen, il te faut une amulette d'affranchissement qui prouvera à la déesse que tu prêtes à nouveau serment d'allégeance à Nevah et au peuple qu'elle abrite.

Cette phrase me donnais l'espoir que j'avais perdu: reprendre ma vie d'avant et ainsi revoir mes frêres et soeurs, ma famille.

-Mais où dois-je trouver une telle amulette ?

-Là est le problème mon ami, seul le Duc et les consuls en possèdent, il faut trouver un moyen de les contacter pour leur en demander grâce."

J'étais proche du but, il me fallais une solution qui n'étais point compliquée: trouver un messager qui veuille bien porter mon message et qui me soit fidèle.

 

J'errais dans les rues de New-Stendel délaissée par l'exode sur Stendel. Je marchai près de la taverne lorsque je vis un de mes anciens compagnons Piedplat. J'avais entendu qu'il était devenu consul de l'architecture de Nevah. J'allai vers lui et l'interpellai:

"Salutation petit monsieur roux !

Il me regarda bouche bée à travers sa longue barbe rousse

-Mais c'est bien toi, nous croyons t'avoir perdu !

-Je sais, c'était surment le cas, que fais-tu ici en cette mattinée ?"

-Mes achats, nous sommes en plein projet

-Hé hé oui j'ai entendu parlé du pivotement de cathédrale."

Nous discutâmes quelque temps et je lui expliquai mon problème. Il me fallait cette amulette, sinon je ne pouvais point me présenter devant les névains. Il m'expliqua que toutes les amulettes étaient cachées dans Nevah mais que la sienne était dans un Donjon accessible par l'extérieur; de ce fait j'échapperais à la vue de la déesse, il m'emmena, sac sur la tête pour ne point me souvenir du passage.

 

J'avançai prudemment poussé par Piedplat avec mon sac sur la tête, il s'arrêta soudainement et me dit:

"Maintenant tu dois avancer, je te lancerais de quoi te débrouiller en-bas.

J'hésitai à avancer car je ne comprenais point pourquoi il parlait de lancer des objets. Il m'enleva le sac et me poussa dans le vide, je fis une chute d'une cinquantaine de mètres, il me lança des objets me permettant de progresser dans le Donjon.

Pendant presque une heure je bravai cette épreuve par tous les moyens néanmoins je ne lâchai pas prise , quand enfin après un grand saut j'arrivai à la salle finale qui, protégée par un système de herses contenait l'amulette dont j'avais besoin. J'actionnai le levier, et pris l'amulette. Enfin, je remontai à la surface, arrivant devant la porte de Nevah que j'appréhendais de franchir.

 

Je réflichissai à ce qu'il pouvait m'arriver et je pensai à Gyllb et à ce qu'il m'aurait conseillé de faire. Pendant un instant je doutai de mon choix, mais enfin je me décidai à faire un pas. J'avais franchis la porte et rien ne s'était passé. Enfin, après une longue odyssée je rentrai chez moi.

 

J'allai immédiatement au château, qui avait beaucoup changé depuis ma dernière visite. Je m'agenouillai devant le Duc et les consuls qui étaient en conseil , pour demander une fois de plus de faire partie de cette incroyable ville qu'est Nevah en prêtant le serment d'allégeance à celle-ci et son peuple.

 

 

C'était votre cookie favoris en quête de sincères retrouvailles et de bon moments :D

Je souhaiterais réintégrer La Confrérie des Assassins (en passant les épreuves) pour reprendre et discuter d'un projet que Xaldrin et moi avons délaissé. Sur ce merci d'avoir lû ma petite candidature.

Et au fait n'oubliez pas de manger des cookies ! :cookie::cookie:

 

PS: Choup(LeGrandLeFortLeBeauDurnik) est le plus jeune et résplendissant de tous, sa puissance ne peut être égalée. :P

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