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[Accepté]Candidature - Sinelas


Sinelas
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J'ai 15 ans, et j'ai commencé Minecraft il y a deux ans de cela,

j'ai une approche assez Rp des jeux vidéos et en particulier de Minecraft dont le coté créatif ne fait que permettre le renforcement de l'aspect Roleplay du jeu.

 

J'ai longuement hésité avant de choisir ce serveur,

A mes début sur minecraft, la communauté de minefield me semblait trop grande.

Mais avec le temps, et beaucoup de serveur de types très divers essayés, je me suis rendu compte que cette communauté importante contribuait a renforcer le coté social d'un serveur Rp,

 

Si je postule donc sur Minefield, c'est parce que je recherche un serveur Rp avec de l'ambition,

un grand nombre de joueur et des événements à la hauteur des attentes de ceux-ci,

j'ai toujours beaucoup apprécié l'aspect créatif apporté par le multijoueur;

car à quoi bon construire quelque chose, si personne n'est là pour le voir, ou donner des conseils pour l'améliorer ?

 

J'ai bien entendu l'intention de m'impliquer dans les créations du serveur, les événements,

mais aussi de laisser ma propre patte à l'aide de création personnelles,

je suis près à aider les autres joueurs, donner des conseils, mais aussi peut être en recevoir,

pour m'aider a améliorer mon expérience sur le jeu.

 

 

 

Je comprends l'utilité d'un Rp pour les joueurs qui veulent rentrer sur un serveur qui l'est,

néanmoins mon Rp est plus axé sur le coté survival du jeu, que sur le médiéval fantastique,

pardonnez la qualité de mon écriture, mais je suppose que vous prenez en compte le fait que tout le monde n'est pas romancier.

Je pratique beaucoup l'agriculture dans minecraft, c'est pourquoi mon Rp met en scène un paysan.

 

______________________________________________________________________________________

 

"Il y a 3 mois, bien avant que le grand cataclysme ne ravage toute les terres connus,

j'étais un simple paysan, travaillant sur les terres d'un seigneur dont le nom a fini par s'effacer de ma mémoire ...

Nul ne pouvait m'avertir alors de ce qui allait advenir.

Lorsque ils arrivèrent sur nos terres, très peu survécurent, et je ne fut de ceux-là que par un heureux hasard.

 

Des nués d'oiseaux se dirigant vers l'Est, que je sus plus tard être un des signes de ce qui allait se produire,

ravagèrent les récoltes des agriculteurs des environs, pour tous les paysans, c'était la famine qui pointait à l'horizon,

notre seigneur devait trouver un coupable, et le dieux décidèrent que celui-ci ne serait autre que moi,

je fus accusé à tort d'avoir volé une partie de ma production agricole pour les périodes difficiles,

et même mes amis, que j'avais pourtant souvent aidés, refusèrent de me soutenir, par peur de représailles,

ne pouvant prouver mon innocence, je fus banni du fief de mon seigneur.

N'ayant plus de terre à travailler, je partis en quête de nouvelles contrés, plein d'espoirs de richesse et de profusion.

 

C'est lors de la première nuit que je passais à la belle étoile que ce que je surnommerai plus tard, "le cataclysme", s'abattit sur la ville ...

Il ne s'agissait pas d'une de ses catastrophes naturelles dont les prêtres prétendaient pouvoir nous protéger, mais quelque chose de bien pire encore.

A la seule lumière des étoiles, un phénomène qui ne s'était jamais produit auparavant eu lieu,

toutes les ombres de la nuit fusionnèrent pour créer des monstres noirs défiant l'imagination,

les morts les plus antiques, ressortirent des cimetière, en quête de chair humaine;

Les bêtes des forêts retournèrent l'espace d'une nuit, à leur état primaire,

et ces nués de créatures plus mortels les unes que les autres,

lancèrent l'assaut nocturne des terres seigneuriales.

 

Un assaut si puissant que les citoyens plongés dans un profond sommeil,

furent incapable de prendre les armes à temps, et la ville fut entièrement rasé ...

 

C'est ce qu'on peut appeler le destin, qui cette nuit là me sauva donc la vie.

 

Étant totalement incapable de dormir, du fait des événements de la veille,

je ne pus qu'admirer les flammes léchant les tours de la ville qui venait de me rejeter.

J'ai tous de suite compris, que mon pire ennemi était désormais l'ombre.

J'eus heureusement le temps de me glisser dans une cavernes,

qui pointait au pied d'une montagne avoisinante, et armé d'une simple torche,

et de quelques provisions, je me mit en tête de tenir jusqu'au levé du soleil.

L'esprit des créatures était accaparés par le massacre qui s'accomplissait sous mes yeux,

aucunes d'elles ne me rendit visite cette nuit là ...

 

Le lendemain, toute trace des dîtes créatures avait disparus,

et seuls quelques ruines fumantes subsistaient encore au lieu ou se tenait autrefois,

la ville dont les murs abritaient mes champs.

La première chose que mon instinct de paysan me conseilla de faire,

c'était d'emporter le plus de provision que je pourrait en transporter.

non sans peur, je retournai donc dans ce qui restait de la ville,

et je me dirigeais presque inconsciemment, vers le silo à grains qui stockait Notre peu de récoltes. Aucune créature ne me surprit dans ces ruines,

comme si,la lumière du soleil les avait fait tout simplement disparaître, malheureusement,

aucune trace non plus des corps des victimes ...

Je me résolu donc à partir, avec du pain, et quelques graines, qui, je l’espérais,

pourrait me permettre de replanter de quoi vivre.

 

Quelque chose au fond de moi, me poussa à ne pas camper ici, et grand bien m'en fus,

car les monstres revinrent la nuit suivante,

pour s'occuper des quelques survivants enfermés dans leurs caves,

qui avaient survécu à une première lune.

 

Je m'éloignait donc de la ville, à la recherche d'un abri, avant que le soleil ne se couche,

et je fini par trouver une vieille cabane en forêt,

qui au bord d'un ruisseau me semblait abandonnée.

Bien que les murs auraient tous aussi bien pu s’effondrer sur moi,

je savais qu'une nuit dehors me serait autrement plus fatale.

Avec les quelques provisions que j'avais récupéré, je m'avisais donc de faire un feux,

celui-ci parti très vite, prévenant du même coup tous les monstres des alentours de ma présence, je me suis entretemps juré de ne plus jamais faire de feu en extérieur.

 

Le soleil se coucha, et avec lui tout sentiment de sécurité que le jour aurait pu m’insuffler,

il faisait noir maintenant, et je savais que cette nuit, mieux valait ne pas veiller tard,

je m'enfermais donc immédiatement dans la cabane,

bloquant la porte d'une simple latte de bois pourrie.

 

En plein milieu de la nuit :

- crac !

Je sursautai, me demandant intérieurement, est-ce ton imagination qui te joue des tours ?

Visiblement non, m'indiqua le bruit de grattement que j'entendis très clairement contre la porte.

Saisi d'une peur mordante, je tentais de déplacer une table en bois qui trainait dans la pièce,

pour consolider la porte,

pendant que grattements se muaient en coups violents,

menaçants à tous instant de faire céder la vieille port branlante.

 

Quelqu'un dehors semblait avoir très envie de rentrer,

et quelque chose en moi me criait de ne pas l'inviter à diner ...

Tout les meubles qui me passèrent par le main servirent à bloquer la porte,

mais j'avais oublié la fenêtre, et quelques poignées de seconde plus tard,

mon "invité" semblait avoir trouvé une entrée.

Deux mains difformes explosèrent les carreaux de la fenêtre,

dans un assourdissant bruits de verre brisé,

et je pu voir un visage visiblement mort depuis plusieurs jours, je failli sombrer dans l'inconscience, mais l'adrénaline

qui courait maintenant dans mes veines m’empêcha de faire cette grossière erreur,

je saisi tous simplement l'objet le plus proche,

qui fut fort heureusement un bout de bois solide, et pointu,

et je frappai de toutes mes forces en direction de cette masse informe,

qui essayait de rentrer par ma fenêtre.

Le morceau de bois lui rentra dans le crâne avec une écœurante facilité,

et après une solide poussée, je réussi à le faire chuter au pied de la maison,

plus un bruit, plus rien ...

 

Le calme absolu, je venais de prouver que ces monstres étaient vincibles,

et je n'étais pourtant pas rassuré.

J'arrachai quelques lattes pour les fixer à la fenêtre,

de manière à éviter la répétition de ce genres d'événements,

et je fini par miracle à réussir à sombrer dans le sommeil.

 

Après mon réveil, je me décidai à partir vers l'est,

comme ces fameux oiseaux qui avaient ravagé mes cultures,

je me fiais à l'instinct de ses animaux, car c'était la seule chose à laquelle me raccrocher ...

Chaque nuit, me construisant un abri improvisé, je réussi à échapper à la mort,

jusqu'à ce ma route croise enfin ce royaume que le chaos semblait avoir partiellement épargné,

et c'est a genou devant vos portes, que je vous demande l'asile."

 

END !

 

______________________________________________________________________________________

 

Bon voilà, j'ai calculé cela fait plus de 20 lignes :D , je reconnais que ce texte se concentre trop sur le survival horror, j’espère être néanmoins accepté, Bonsoir a tous !

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