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Histoire de la ville.


lyoriu
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Rôle-Play de Chnafon présenté par Matorus et Azzok117 :

 

Journal de Bouzheu George, héros du hameau, où il décrit les débuts de Chnafon jusqu'à sa mort. Paix à son âme.....

 

Automne:

Il faisait froid. Une pluie intense masquait ma vue. Banni de New Standel étant trop pauvre pour y rester. Je marchais sans but précis. Où aller ? Où étais la place d'un vieux fermier comme moi. Je continuais à marcher. Des arbres, beaucoup d'arbres. Je croisais parfois le regard de nobles citoyens qui me dévisageaient. Je n'étais pas très beau à voir. Vêtu de lambeaux de vêtements et d'un vieux chapeau de paille. Partout où je voulais m'installer, on me rejetait, trop vieux et trop pauvre. Je n'avais donc pas ma place dans ce monde. Ma route hasardeuse me porta au loin, là où la vie c'était, comme, arrêtée. Une petite rivière longeait un vieux moulin à eau. Il était en piteux état ce moulin, la toiture arrachée, les murs délabrés, Mais la roue n'avait rien. Je trouve, avec amusement, que ce moulin me ressemblait. En ruine, mais toujours là. C'était un beau petit coin. Des arbres par milliers, une terre fraîche et il pleuvait avec abondance. J'avais choisi de m'installer ici. Je bâtis une petite cabane en bois, assez vétuste. Juste le strict nécessaire. Il me restait quelques graines de blé au fond de ma poche de quoi faire un petit champ. La vie était devenue plus douce avec moi, le matin je coupais du bois et entretenais mon arpent de terre. L'après midi, je retapais le moulin, pour pouvoir moudre mon blé quand il aurait pousser.

 

Hiver:

L'hiver approchait, cela se sentais. Le temps étais plus frais. J'avais planté mes graines trop tard, la gelée allait tout détruire. Je priais le Saint Cube tout les jours pour que mes récolte arrivent à terme avant le début de l'hiver. Le moulin était redevenu fonctionnel. Mais la toiture n'était pas complète Le froid me faisait souffrir. J'étais déjà bien vieux, c'était peut- être mon dernier hiver en ce monde. Le temps passait. Une semaine, deux semaines. Enfin le blé était là! Je me mis à tout ramasser et stocker dans le moulin. Mais il manquait encore le toit. Si la neige tombait, tout serait détruit.

J'avais beaucoup de chance, il faisait froid mais il ne neigeait pas encore, j'eus juste le temps de finir le toit. La vie étais redevenue calme. Je mangeais beaucoup de boudin,car dans le région il y avait beaucoup de cochons. Je ne variais pas souvent les menus. Du boudin avec du pain ou du pain avec du boudin.....

 

Début Printemps:

Un an était passé, le moulin à eau était sublime. Mes récoltes abondantes. Un jour, un jeune homme était arrivé chez moi demandant un refuge. Il était vêtu d'un costume noir, la mine très fatiguée. Je le pris sous mon aile. En quelques mois nous avions construit une petite maison en bois et en paille. Il avait repris des couleurs. Un autre champ vu le jour. De plus grosses récoltes. Le moulin était devenu beaucoup trop petit. Une grange, c'était cela qui nous fallait. Une belle grande grange pour tout ranger. Tout deux nous nous mîmes à l'ouvrage;

C'est fou comme, parfois, la vie devient facile. Ce jeune homme du nom de Azzok était très motivé

 

Fin printemps:

En un bon mois, la grange avait pris forme. Grâce à un nouvel habitant qui nous avait rejoint. Matorus, un vieux militaire, sûrement à la retraite, qu'on avait jeté de New Standel. Il nous avait aidé à construire la grange et nous, sa maison. Le temps était agréable, nous formions maintenant une sorte de hameau, que l'on baptisa Chnafon.

 

Récit incomplet, car Bouzheu George est décédé d'une intoxication au boudin....!!!!!

 

Été:

 

Je suis Azzok, comme convenu avec Bouzheu George, je suis devenu le responsable du hameau. Matorus et moi après avoir enterré George. Nous avons construit une statue en son honneur pour le remercier de tout ce qu'il a donné, à nous et au hameau de Chnafon.

 

Écrit par Matorus

 

Suite : Rôle-play de l'agrandissement de Chnafon

 

 

Après de longues années, la ville a bien évolué et c’est étendue considérablement. Moi, Lyoriu, maire de ma cité, Chnafon.

 

Aujourd'hui, encore une journée comme les autres, mais je me mets à me remémorer, d'un coup l'histoire des anciens gérants de Chnafon, mes cousins, qui avaient géré la ville à eux-seuls. A leur époque, la ville n'était qu'un tas de ruines mais où des bon nombre de personnes des quatre coins du monde arrivaient.

Aujourd'hui, Azzok et Matorus m'ont laissé la responsabilité d’entretenir la ville, qui pour moi, m'est vitale. Après qu'ils soient partis pour une raison totalement inconnue. J'ai donc repris, comme je leurs avais promis, les dures tâches de la ville. J'aurai tant aimé qu'ils soient encore là … Mais s'ils voyaient la cité, ma cité, à l'heure actuelle, ils seraient tellement fiers de voir l’évolution de la ville.

 

Après avoir un moment rêvé, je me réveille, debout à 6 heures du matin, heure stendilienne, je me prépare à aller aux champs. J'ai, pendant plusieurs heures récolté des ressources nécessaires à la ville, après quoi je décide de rentrer.

Je me baladais dans les rues, et j’aperçois une vieille grange, elle avait créé par les soins d’Azzok et j'aperçois un vieux meuble. Curieux, j'ouvre le premier tiroir et en regarde le contenu, j'aperçois des plans et des brouillons. Je vois un mot décrivant toutes ses esquisses comme un projet assez phénoménal et secret à la fois. De ce que je comprenais au plan, ils avaient l’intention d'agrandir la ville, un agrandissement absolument impressionnant.

 

Je pris les plans, couru chez moi et les mit en sécurité.

 

Actuellement à Chnafon, beaucoup de personnes arrivent, chaque semaine, de nouvelles personnalités débarquent. Et cela devient pour moi, de plus en plus dur à gérer, c'est vrai que je ne serais pas contre une expansion mais cela aurait demandé beaucoup d'argent et beaucoup de temps. C'est alors que je fis part de mon idée, aux différents citoyens et habitants de Chnafon. Presque tous me répondirent que ce serait une excellente idée. Je me mis donc au défi.

 

Je parti relire les plans de mes cousins, cet agrandissement devrait être placé sur une plaine imposante, personne n'ose trop s'y aventurer de part sa beauté et son immensité.

Pendant plusieurs jours, je passais devant cette plaine. Parfois, je venais le soir, je me plaçais sur un point culminant et je regardais le soleil, ce soleil se couchant, qui éclairait toute la comté de New Stendel. Le soleil partant et laissant cette plaine dans une ombre à la fois rassurante mais mystérieuse, des arbres parsemés un peu partout dans ce petit coin de paradis, à certains endroits, du sable recouvre la cote, laissant place à un lac indescriptible, les reflets verdoyants sur ce dernier donnant une impression de vitalité, réveillant en nous, un petit coin de bonheur, c'est un véritable paradis que ce soleil éclaire, ce sera NOTRE paradis. Les mélanges de couleurs, jaune, vert, marron et bleu à la fois, comme si cette terre n'attendait plus qu'à être foulée, à être habitée. Personne ne venait dans ce coin, mais avec quels fonds financerais-je tout ça ? Là était le problème, je ne pouvais imposer des impôts à notre si belle communauté, cela ferait subir tant de conséquences que je regretterais. Je ne pouvais pas non plus demander aux différentes villes du Delta, et les fonds de Chnafon sont déjà alloués à différents projets en cours.

 

Je parti me coucher. N'arrivant pas à dormir, je pris le premier crash en direction de New Stendel.

 

J'avais l'intention d'aller voir l'argent dans les comptes de Chnafon, à la banque Stendilienne. J'avais une lueur d'espoir. J'entrais dans la banque, allai voir le banquier et demandai de consulter mes comptes. Il y avait les comptes dédiés au Super Piaf, au Golem, et d'autres encore. C'est alors que le banquier m'annonça :

« Je viens de m'apercevoir, qu'il y a un dossier, en attente pour vous depuis au moins deux mois qui traînes. Une personne, a déposé sur un compte nommé : Extension. De l'argent, cependant, le compte a été bloqué car cela nous a paru suspect. »

C'est alors que je lui demandai :

« Mais puis-je le débloquer ? »

 

Et il regarda le contenu du compte et continua :

« C'est à dire, qu'un très gros placement a été effectué, il vous faudra pour cela, une attestation de la personne qui stipule qu'il a bien déposé cette argent, et une signature. »

 

Je réfléchis, puis me dis que c’était fini, que cet argent était bloqué et que je ne la récupérerais jamais. Puis, je me rappelais du dossier dans la grange, des brouillons, des papiers, des plans et je me rappelai d'un mot. OUI ! C'est celui qui me fallait !

 

Le banquier voyant que je ne répondis pas, ajouta en souriant :

« Vous pensez pouvoir avoir le nécessaire ? »

 

Je lui répondis par l'affirmative et partis en pressant le pas. Je me mis à courir dans les rues de New Stendel pour pouvoir prendre le premier CRASH en direction de Chnafon. J’arrivai à la gare, et je venais de louper de peu la ligne express pour Chnafon, n'ayant pas de temps à perdre et voyant le CRASH à destination du Delta partir dans moins de 2 minutes. Je montai dedans, le voyage serai long et je commençais à avoir faim, il devait être midi. Après environs 2 heures de trajet, j'arrivais à Chnafon, je pris seulement le nécessaire dans ma maison, les plans et le reste du projet, du pain. Je ne pris même pas le temps de manger, je couru pour reprendre le CRASH en sens inverse.

 

Je pris le temps de manger un peu pendant le voyage. J'arrivai à New Stendel, je couru à la banque.

 

Je tombai sur le même banquier, je lui tendis les papiers en souriant, épuisé.

Il me demanda : « Signez ici, s'il vous plaît ». Je signai.

Puis il me demanda : « Chnafon va s'agrandir ? ». Je souris et lui dis : « Oui, nous avons de nombreux projets en cours. ».

Et il me dit : « Je viens parfois durant mes vacances, et j'ai une maison que je partage avec ma famille là-bas, je passerai vous voir quand je serai en vacances. »

J'ajoutais : « Bien sûr, ce serai avec grand plaisir ». Pressé, je partis avec l'argent, une somme assez impressionnante, j'avais, bien sûr, prévu un sac pour ne pas me le faire dérober. Je me baladais dans la capitale, je vis, en plein milieu, un panneau de recrutement, je notai que je recrutais sur le panneau, un jour bien précis. Puis, je repartis à Chnafon.

 

Les jours passèrent, et la date de l'agrandissement de la ville arriva.

 

Des tas de paysans, citoyens et pleins de mondes débarquèrent, et le travail fût réparti équitablement. Chacun mit la main à la pâte, tout le monde participa et le travail avança en moins d’une semaine. Tous furent remerciés et invité à revenir gratuitement.

Les matériaux n'ont pratiquement rien coûté avec les économies qu'avaient placées mes cousins.

 

Chnafon, tourna enfin, une nouvelle page de son histoire.*

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