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[Accepté]Candidature paysan - Guilneros


guilneros
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- Vous présenter :

Bonjour,

je suis guilneros. J'ai 18 ans et je vie sur rennes. J'aime le kitesurf et les pc « homemade », faire des bulles dans mon bain et regarder « happy geek » au toilette. Ma passion de Minecraft ma amener par la suite à gérer plusieurs serveurs (20 personnes en moyennes) et organisé des concours de construction de « merveilles ».

malgré cette passion dévorante j’apprécie tout particulièrement la culture geek, je dirige et participe à un podcast disponible sur itunes et rediffusé sur une radio local « push my geek » sur l'actu geek avec pleins de dossiers bien geek (nous étions présent à la « geek fearis » où j'ai rencontrer dokMixer qui ma parler du serveur justement.), le podcast ne fait que débuter mais promet de bien réussir :D .

 

Expliquer ce que vous projetez de faire sur le serveur :

pour moi, les serveurs ont toujours été un lieu communautaire ou l'on peux s'épanouir, jouer en entre potes et construire pleins de merveilles ! je compte vivre ça sur ce serveur. Je pourrais participer au constructions, participer à des explorations de donjons (naturelles ou construit) réaliser des donjons (avec pleins de vilains pièges), faire ma ptite maison, commercer, avoir un métier, rigoler sur mumble. vivre une aventure au final ^^

 

Vous présenter de façon RP

 

La pluie tombait déjà depuis une heure, frappant les taules aux sol, créant un sons discontinue de petit tapotement. Telle une symphonie sans fin, toujours différente. elle venait de partout, comme si l'on avait mis dans un aquarium, créant une atmosphère étrange. L'eau coulais sur son visage, sa moustache était emplie d'eau par ces averses plus puissante à chaque bourrasques. Grelottant, il se leva. La simple toile qui le couvrait ne suffisait pas pour le protéger du temps, a vrai dire, guilneros n'en avait rien a faire. Il ne restait plus rien de sa vie passé. Cette abris, ces taules alentour, le reste d'une maison, tous ça n'appartenait plus au village de guilneros, tous ça n'appartenait plus à son monde.

«comment cela a bien pu se passer, pourquoi suis-je le seul à être encore en vie... » bégueta t-il à voix basse, comme un murmure, sa voix résonna dans tous se désastre de cobble et de bouse. Les nuit défilèrent et avec qu'elles le chagrin. Cependant un jour, un marchand sur sa grosse carrioles, remplis de bricole. tanguant aux rythmes du bœuf, s’approcha de guilneros. L'homme, qui semblait âgée, descendit vivement de sa charrette, agitant au passage, le bœuf qui sens plaignit aussitôt d'un raal.

« non d'une pomme dorée, ce pti bonhomme est dans un telle état ! Oooh ! Quelle horrible blessure » s'écria t-il en contemplant la plaie sur son bras.

Guilneros qui sous ces paroles s'empressa malgré le poids qui s’exerçait sur tous ces muscles de regarder la plaie. La croûte de sang noir qui parcourait ton le long de son bras supérieur indiquais qu'elle n’était pas récente.

« depuis quand suis-je ici ? » chuchota-il, presque inaudible. La fatigue était-elle aussi importante pour ne pas sentir cette douleurs ? Puis

 

« eh ooh pti bonhomme, tu m'entend ? Chuchota le vieux marchand à l'oreille de guilneros. Il ouvrit les yeux. un flash lumineux l'aveugla. Petit à petit, il apercevais des formes puis des objets, des rideaux, un vase et là, un vieux ! Son apparence était telle qu'on se fessait d'un grand-père. Ce gros nez surmonté d'une moustache à la « guillaume II ». des petits yeux caché par de gros sourcils grisâtres.

Le vieux sourit.

« c'est ma tête qui te fait sourire !? » dit-il d'un ton joyeux et sur ces mots, se leva et parti. Quelques minutes plus tard, il arriva avec un plateau remplis de choses qu'il ne reconnaissais pas mais l'odeur ne lui échappa pas. Des tartine de confitures de blop et sûrement une tasse fumante de lait bien chaud ! « tiens mon pti gas, de quoi reprendre des forces ! » guilneros s'empressa de se lever.

« ooh non, a ta place je ne ferais pas ça, tu risque de te faire mal et de casser les fils de ta blessure, tu risquerais de te faire gronder par ma tendre Miriame, une sacré bonne femme » rigola-il et sur ces paroles, une voix résonna .

« comme si j’étaie une tyran ! Tu ne t’aie pas vue toi ! Toujours à dormir et piquer dans la boite à cookie! Et oui tu croyais que je n'avais pas remarquer » s'écria, en en regardant son marie avec un regard noir.

« excuse moi mon pti choux de t'avoir fait peur, je ne me suis pas présenté ? Je suis l'épouse de George ton sauveur, Mariame. C'est moi qui tes guérie de ta vilaine blessure. Quand George t'a apporté ici, tu était dans un telle état ! on a bien cru ne rien pouvoir faire... » expliqua-elle avait un sourire forcé. « par chance tu est un vrai robuste et tu t'ai remis sur pied ! » s’écria Mariame regardant tendrement son mari, lui aussi soulager du bon rétablissement de guilneros. Les jours passèrent et l'état de guilneros s'améliorait, il pu marcher correctement puis courir et enfin porter de choses sans tomber dans les pommes. George lui expliqua son métier. Il vendait dans la contrée du New Stendel des ressources nécessaires à certaines construction. Elle avait due faire appel aux marchands des campagnes tellement les constructions étaient importantes. Le temps passait viete et guilneros s'y plaisait bien dans cette petite maison.un soir proche de la cheminé, autour d'une tisane, Mariame hésita longuement avant de poser sa question.

« que fessais tu sous se tas de débris guilneros ? Tu avait été abandonner, tu t'était perdu ? »

« non rien de tous cela hélas » il eu un moment de silence. Puis le vieux George ronchonna

« roooh, ne l'embête pas avec ça, tu voie bien qu'il ne veut pas en parler, le pauvre... »

« ne dite pas ça grand-père, elle a raison de savoir. Vous m'avez accueillie, vous m'avez guérie, habillé, nourrie, et vous m'avez appris votre métier. il de soit que vous devez savoir la vérité ! » l'air semblais plus fraîche et l’ambiance joyeuse perdit peu à peu.

« un soir » commença t-il « la pluie tombait à renverse ! Et il y fessait froid, l'air était lourde, presque étouffante. Puis il arriva, d'une grâce mortelle. Chaques coups d'aile fessait volé tous se qui se trouvais en dessous comme de vulgaires fourmis. Tous commença, la folie, la peur, la souffrance ! Il souffla un vent de feu qui rasa toute la ville détruisant les maisons sur son passage. Je suis le seul rescapé.«le silence s’était installer autour du feu.

« Seul un esprit fort comme le tiens a pu résister à un telle choc, il est de ton devoir de venger ton village ! prend mon épée et va combattre se démon du ciel pour venger les tiens ! » s’étouffa presque le vieux grand-père. la colère et la force se ressentait dans sa voix

« ne te met pas dans cette état là mon George ! Tu sais bien que le docteur ta déjà dit de te ménager»

« il a raison » dit guilneros, sur un ton sérieux, tête baisser.

« j'ai le devoir de venger tous ceux qu'il a tué ! Il est temps pour moi de vous quitter cependant sachez qu'il est durs pour moi de vous laisser. Vous avez tous fait pour moi»

« mais qu'il est temps pour toi de prendre ton envols, nous le savons. » compléta George, souriant, sa moustache blanche dansant sous la lumières des flammes.

 

Au petit matin, guilneros dit au revoir à George et Mariam. Pioche et épée à la ceinture. Sac sur le dos. C'est ainsi que l'aventure de guilneros commença dans la contrée du New stendel !

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