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[Accepté]Devenir paysan - Aamanal


Aamanal
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Bonjour, bonsoir a tous éventuel lecteur / lectrice, laissez-moi me présenter :

Aamanal, Nain de métier ... ou Alexandre : étudiant de 17 ans quand je ne suis pas sur mon PC ou ma GameCube (Oui, j'y joue encore) spécialité S, prône une utilisation parfaite du français même si je fais des fautes (Je m'excuse d’ailleurs auprès de tous ceux qui vont se saigner les yeux à les lire). Mac hater.

Niveau "antécédents de RP"; j'étai sur World of Warcraft (officiel) avant de fuir cata' et la communauté qui se gangrenait ...

 

Je me suis inscrit voila quand ? Il y a sept ou huit mois ? Et je me suis enfin décidé à me présenter en bonne et due forme comme exploitant ouvrier sous considéré et mal payé ...

 

Je considère personnellement Minecraft et plus particulièrement Minefield comme un RPG. Si je suis accepté je pense me construire une petite maison dans une grotte, faire mon mineur/ingénieur Nain, partir à l'aventure ... Je dois avouer ne pas avoir d'ambitions particulières comme constructeur.

 

J'ai bien lu les conditions d'utilisation du forum et les règles du serveur, je les acceptent.

 

En ce qui concerne mon histoire ...

 

Les Nains sont un peuple fier du Nord, retranché dès leurs premiers jours sous terre ... ne retournant en surface que pour défendre leurs terres, en cas de guerre. Ils sont de brillants Ingénieurs, d'excellents forgerons et de braves guerriers : leur habitude à vivre sous terre et à creuser les rendent forts et endurants, bien que petits de taille, leur respect de la terre comme la crainte d'ils en ont rendent leurs croyances aux éléments omniprésente, leurs chamanes sont intelligents et savent dompter les éléments.

 

Notre histoire commence chez eux, dans les plaines glacées de Nord, lorsqu'un jeune Nain du nom d'Aamanal, venant à peine d'avoir dix-sept ans : l'âge de porter ses armes, se voit confronter à un ennemi qu'il ne pourra pas affronter seul : son destin. Il était à la cérémonie, tous le fixaient : on s’apprête à lui remettre sa première hache ... chez les Nains, cette tradition est aussi importante que la bière, c'est le début de sa vie d'adulte, d’aventure, de combat mais aussi de responsabilité. Déjà en armure, il attendait un genou à terre face à la forge. L'évènement prenait place dans une grande armurerie, tous ses proches étaient présents, faisant dos aux murs creusés de la cité enfouie : amis, famille, connaissances ... Comme le veut la tradition, c'était à son père de lui forger son arme : un Nain aux cheveux roux, aux traits forts, aux yeux d'un vert d'émeraude et la barbe nouée par un anneau d'or. Ce dernier, torse nu à cause de la chaleur intense qui émanait de la forge, frappait de toutes ces forces sur le métal de la future lame; ce serait une hache d'acier, au manche d'osier entouré de bandes de cuir. La lumière rouge douce que produisait la forge se mêlait à celle des torches au mur, faisant disparaître sa masse de cheveux dans la lumière ambiante. Un nuage de vapeur envahi la pièce quand il plongea l'acier rougeoyant dans l'eau, pour le refroidir : il venait de terminer la hache. La lame était rattachée au manche par deux tiges d'acier qui cerclaient le bois, légèrement arqué en deux points pour une bonne tenue en main. Le père avance vers son fils, la hache qu'il venait de forger encore fumante, posant le repos de la garde sur le sol, la tenant comme une canne au niveau de l'interstice entre la lame et le bois. Aamanal la saisit au milieu de la garde, puis s'est relevé, face a son père. Le fils tenait plus de sa défunte mère que de son géniteur : il était brun, sa barbe déjà importante se divisait en deux longues tresses maintenues par un anneau d'or semblable à celui que porte son père, le visage dur et prononcé, comme figé depuis dix ans ... depuis le décès de celle lui a donné naissance, tuée lorsque la ville fut attaquée par les non-morts, depuis que chaque nuit créatures et âmes damnées errent à la surface, en quête d'hommes, animés par un désir incommensurable de vengeance contre toute créature vivante qu'ils peuvent croiser. Le cérémonie était terminée, serrant son père dans ses bras, alors qu'il lui disait qu'il devait alors vivre sa vie ... seul.

 

Notre jeune héros, désormais armé, et plus que jamais désireux de venger sa mère, se mit en tête de partir en quête d'aventure. Il fut élevé dans cette cité, n'ayant jamais vécu à l'extérieur, le connaissant uniquement grâce à quelques meurtrières, laissant entrevoir un monde étrange, froid, désolé ... Il faisait partie des rares habitants de la forteresse à jamais vouloir en sortir, c'est le lendemain de cette cérémonie qu'il s'en allait; pour ce genre d’occasion, toute la ville fut mobilisée, le roi lui-même était venu le saluer et féliciter son courage : Il était le premier des siens à sortir de cette ville depuis plus d'un siècle. Cette ville était son seul foyer, et c'est avec le cœur plein d’amertume qu'il la quitta.

Il avait emporté ce qu'il fallait pour survivre une semaine : de la bière, du fromage, de la viande de sanglier ... Tous ces mets ne pouvaient bien sur pas venir de sa ville natale, personne n'en sortait jamais, mais ils n'étaient évidement pas les seuls Nains du monde, beaucoup de cités comme la sienne existaient, certaines directement reliées par tunnel. Evidemment il fallait aussi considérer les Nains des collines : ces derniers vivaient à flanc de montagne, construisant leurs villes en creusant dans les falaises : leurs maisons étaient taillées dans la pierre, mais elles étaient à l'air libre. Aamanal croisât sur son chemin un groupe de trois chasseur des collines, ils se dirigeaient vers le pays des hommes pour y faire affaire "Strendel", "Stendal" ou un nom de ce genre : tous les noms humains se ressemblent pour les Nains. Ils acceptaient volontiers l'aide de leur congénère, les Nains des collines voyant leur cousins des montagnes comme des guerriers innés; eux préférant les arcs, arbalètes et fusils en bons chasseurs. C'est ainsi, en traversant les terres gelées naines, en passant par les marais, les déserts, qu'ils finirent par atteindre leur but il était là, devant eux : Stendel, le monde des hommes.

 

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En espérant que vos yeux me pardonnent,

~Cordialement

~~Aamanal

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