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[Accepté] Le Refuge du Baroudeur


Buky
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Spécialisation : Aventurier

Nom de l'échoppe : Le repos du baroudeur

Localisation : Refuge de Pan et Stendel (si candidature citoyenne acceptée)

 

Buky vous invite au Refuge du Baroudeur !

 

lerefugedubaroudeurexte.th.png

 

:sheet:Candidatures précédentes : :sheet:

 

 

 

 

:shelf:Partie Irl : :shelf:

 

 

Je m’appelle Victor, j’ai 26 ans, je vis à Paris.

 

Je vais commencer par une autre photo de moa parce qu’il parait que celle sur ma candidature citoyen est pas bien 

 

photodemoi4.th.png

 

Je m’intéresse à pas mal de trucs geeks, comme les jeux vidéo, la SF, les mangas ou la fantasy, et plus particulièrement l’univers de warhammer 40000.

Je joue à Minecraft depuis environ 1 an. J’ai également pas mal joué à CS, WOW, SC2… Mon jeu préféré de tous les temps reste UFO : Enemy Unknown.

 

Sinon dans la vie je suis ingénieur d’affaires dans une société de Services à Suresnes. PM pour plus d’infos.

 

 

:pick:Parcours In Game : :pick:

 

 

buky.png

 

En très résumé, J’ai commencé sur le serveur de ma guilde à wow. Au bout de quelques mois, le serveur a été déserté et je me suis retrouvé tout seul à construire comme un ouf.

Après avoir vu les vidéos de Fanta, j’ai décidé d’aller faire un tour sur Minefield, et la j’ai découvert Nevah. Je suis instantanément tombé sous le charme, et j’ai fait mes armes la bas, avec ceux qui deviendraient plus tard la Guilde de Minuit : Weedooz, Saigo et Racine.

Après que loy soit « parti » de Nevah, j’ai commencé à errer sur le serveur, oscillant entre mon ancien pays et Amaterasu. De fil en aiguille, nous nous sommes investi dans le dominion, et c’est en construisant la citadelle que nous avons rencontré Oxnerol, qui nous a rejoint dans la guilde.

 

Après la construction de la citadelle, il y a eu un coup de mou collectif, puis l’ouverture de Stendel et le concours pour le portail ont fini d’achevé Iweedooz et nos velléités de projets.

 

Due à une inactivité volontaire pour certains, forcée pour d’autres, j’ai ralenti un peu le rythme sur Minecraft, ne trouvant plus de projet dans lequel m’investir pleinement.

 

Aujourd’hui j’ai rassemblé la guilde, et j’ai lancé Le Refuge de Pan, mon nouveau projet sur Stendel.

 

Voici le refuge à l’heure actuelle !

refugedepan1.th.png

 

 

:diamond:Mes motivations : :diamond:

 

 

Devenant responsable de projet, de nouvelles obligations se sont imposées :

Gestion de l’achat de ressources, gestion d’éventuels salaires, gestions de transactions diverses, besoin de paiement de cubos et de forums, et donc de rentrées d’argent, gestion de vente ou de locations de parcelles, vente ou achats de services... En plus, il n'y a qu'un seul marchand dans l'équipe de gestion du projet, ce qui peut s'avérer très handicapant s'il est absent.

 

Bref ! J’ai besoin de devenir commerçant pour pouvoir investir et utiliser les PAs, ce qui est impossible actuellement, et particulièrement handicapant.

 

Enfin, en tant que co-dirigeant de Rupture Farm, devenir marchand devient critique pour pouvoir aider dans la gestion de la production !

 

 

:book:Roleplay : :book:

 

Ce RP prend place directement à la suite de mon RP de citoyen.

 

 

J’avais donc laissé mes doléances au bureau de la gestion immobilière de Stendel afin d’obtenir le droit d’y séjourner. Après 1 semaine d’attente et de beuveries chez Saigo, ne voyant toujours pas de réponse, j’ai décidé de me rendre directement au bureau afin de voir ce qu’il en était. Celui-ci semblait ouvert. J’y entrais donc, faisant tinter la petite clochette suspendue au-dessus de la porte. Le bureau était impressionnant. Un labyrinthe de dossiers empilés jusqu’au plafond envahissait le hall d’entrée. Je m’y engageais avec prudence. J’avançais entre les piles de feuillets, tenant fébrilement mon propre dossier contenant une copie de ma demande, ainsi que les plans de ma future (du moins je l’espérais) demeure. Au bout d’une dizaine de minutes à errer à la recherche de quelqu’un, je finis par déboucher devant un comptoir, surmonté d’une petite vitre percée de petits trous. Un écriteau indiquait : « Dacrokmistakilla, à votre service ». Derrière se tenait un petit homme, penché sur un dossier, ses lunettes reflétant la flamme de la bougie qui diffusait une lumière hésitante dans son box. Le bas de son visage était caché par une grande barbe. Il s’agissait d’un nain. J’observai plus fixement le gros médaillon de Mithril qui ornait son cou qui portait les armoiries de Galianor. Vous vous demandez peut-être comment aie-je pu reconnaitre des armoiries naines ? Et bien sachez que mes voyages m’ont mené d’un bout à l’autre des contrées de Minefield. Il est vrai que j’ai résidé à Nevah en tant que chasseur pendant longtemps. Mais mes aventures m’ont menée en de nombreux lieux insolites, en particulier dans les territoires nains. D’ailleurs l’anecdote est assez amusante, puisqu’à cette époque, les nains, aussi cupides que les bruits qui circulent sur eux, avaient décidé de faire payer la visite de leur cité (superbe soit dit en passant). Nous nous y sommes donc introduits avec Iweedooz, au milieu d’une nuit sans lune, en toute discrétion, afin de découvrir si leur réputation de bâtisseurs était exagérée ou non. Et bien non, elle ne l’est pas. Même moi qui suis somme toute assez blasé, j’ai été impressionné, ce qui a d’ailleurs failli provoquer ma chute dans une rivière de magma fumant, soit dit en passant.

 

Bref, alors que je contemplais le médaillon, le nain a levé ses yeux sombres vers moi et alors que j’ouvrais la bouche pour commencer ma phrase, il m’a coupé :

« Vous êtes qui ? Encore quelqu’un qui veut venir habiter dans la capitale ? Vous voyez pas qu’on est débordés ? On est en sous-effectif ici ! Vous imaginez ? Deux personnes pour gérer l’ensemble des pequenots dans votre genre qui font les malins et qui s’imaginent qu’ils peuvent venir à Stendel en toute impunité ! Laissez-moi travailler, et revenez dans 1 mois ! En attendant, commencez à préparer vos pièces d’argent, parce qu’il vous en faudra 450 minimum… si vous êtes acceptés bien sûr. Et priez pour que ce soit moi qui examine votre dossier, celle qui travaille avec moi est une vraie mégère, elle ne vous fera aucun cadeau ! »

 

Pour conclure sa tirade, il prit un tampon gros comme le poing, et l’écrasa de toutes ses forces sur le dossier qu’il avait en main. Le mot « refusé » était incrusté en rouge dans la couverture du dossier, qu’il jeta ensuite habilement à travers la salle dans une brouette déjà pleine à ras-bord de livrets plus ou moins épais.

 

Je déglutis et émit un petit « merci quand même… », avant de tourner les talons. Saigo m’attendait à l’extérieur :

- « Alors ? »

- « Laisse tomber, je reviens dans 1 mois, et je vais avoir besoin de pognon si je veux m’installer ici… »

- « Tu m’étonnes ! me répondit-il. Ça m’a couté un bras de m’installer dans le coin. J’ai dû arnaquer des dizaines de paysans pour pouvoir construire ma maison. En fait il n’y a que Racine pour qui ça a été facile de s’installer. »

 

Il avait raison. Racine était sans conteste le plus riche d’entre nous. Il avait beau être bucheron, il était avant tout marchand, et c’est lui qui finançait la plupart de nos dépenses. Il m’avait dit un jour qu’il ne serait pas toujours là pour s’occuper de nous, et qu’il fallait que je pense à apprendre des notions d’économies pour pouvoir gérer le refuge. En plus qu’est-ce qu’il voulait que je vende ? Je n’avais jamais rien fait d’autre que de tuer des monstres et de voyager pendant toute ma vie. Je n’avais aucun problème pour extraire un œil d’araignée, fabriquer des flèches, ou construire des radeaux, mais de là à devenir marchand ? Ce n’était clairement pas ma vocation ! Ma vie, c’était l’aventure !

 

Un silence s’installa pendant que nous marchions vers la demeure de Saigo. J’étais plongé dans mes pensées, mais Saigo repris la parole au bout de quelques minutes :

- « Tu sais un jour, on m’a dit que quand tu excellais dans un domaine, tu ne devais jamais le faire gratuitement. Alors ok, le type qui m’a dit ça m’a aussi dit que son ennemi de toujours était un homme-chauve-souris, et ok il était peinturluré de manière étrange, mais en attendant, il n’avait pas tort sur le coup ! Et je ne vois pas ce qui t’empêcherait de vendre tes services. En plus avec le refuge, tes larbins te ramènent des composants de bêtes sauvage en masse, et parmi nous, il n’y a que toi qui sache les récupérer de manière à les garder utilisables pour la suite. »

- « Ce ne sont pas mes larbins, comme tu le dis, ce sont tous d’honnêtes gens à qui j’ai appris le métier de chasseur. J’espère qu’ils prendront un jour leur indépendance et qu’ils partiront à l’aventure, comme moi je l’ai fait ! »

 

-« Et oui voilà exactement ou je voulais en venir ! Comme toi tu le faisais il y a longtemps mon vieux ! Aujourd’hui tu tires la langue après avoir couru 200 mètres, et tu voudrais continuer à vadrouiller ? Tu m’as toi-même avoué que si tu venais t’installer à Stendel, c’est que tu étais trop vieux pour ça ! Il va bien falloir que tu trouves une alternative si tu veux continuer à pouvoir manger ! »

 

Nous continuâmes à débattre, puis nous arrivâmes chez Saigo. Il m’annonça alors qu’il devait partir pour gérer une de ses propres affaires sur le monde aquatique de Navis. Il avait fait parvenir un message à Racine pour que celui-ci rentre sur Stendel et m’héberge quelques temps. Je n’aimais vraiment pas cette sensation d’être assisté et dépendant des autres.

 

Le lendemain, Racine vint me chercher pour que je puisse m’installer chez lui pendant que Saigo partait de son côté.

 

Après avoir échangé des nouvelles sur le refuge et sur nos aventures respectives, Racine se mit à me tenir le même discours que Saigo. A croire que ces deux forbans s’étaient mis d’accord. Selon eux, j’étais devenu impotent, vieux et presque sénile. J’enrageais de plus en plus. Ce n’est pas parce que j’avais les cheveux grisonnants que j’en étais à ce point. Et eux alors ? Ils parlaient de moi comme d’un vieillard mais ils n’avaient que quelques années de différence avec moi ! Et je dois avouer que physiquement, j’étais quand même content de la forme et de l’endurance que j’avais réussi à conserver. Mes reflexes étaient certes un peu émoussés, mais j’avais tué plusieurs Enderman à l’épée au cours de ces derniers mois, et je les trouvais un peu dur avec moi. Enervé, j’ai froidement annoncé à Racine que j’allais rentrer au Refuge en attendant une réponse du gouvernement.

 

Racine m’a retenu, m’a demandé de m’assoir, a rapporté une bouteille de vin qu’il a posé sur la table avec deux verres, puis il m’a expliqué qu’ils voulaient tout d’abord que j’arrête de me résigner et de me lamenter sur mon âge, et que je continue à éviter de vivre comme un papy, mais aussi me faire prendre conscience qu’il fallait que je trouve un moyen de gérer le refuge autrement qu’en apprenant aux vagabonds à manier l’épée et à dépouiller le creeper. Puis il a remis une couche sur le fait que nos coffres débordaient de ressources comme des perles de l’ender ou des ficelles en toile d’araignée, et qu’il n’avait pas le temps ni les compétences pour les écouler. Puis il m’a parlé également des différents coûts qu’engendrait la croissance de notre refuge, et au fur et à mesure, notre discussion s’était transformée en véritable cours d’économie, de techniques de ventes et autres astuces de négociations. Nous avons discuté pendant des heures. Racine avait réussi à captiver mon attention et à me dispenser ses cours sans que je me rende compte du piège qu’il m’avait tendu. Il m’avait fait comprendre qu’aujourd’hui, il y avait deux facteurs à prendre en compte : premièrement, par ma vie d’aventurier, j’avais toutes les cartes en main pour identifier la qualité des composants extraits de cadavres de monstres et en estimer la valeur, et que de deux, j’aurais besoin de pièces d’argent pour gérer le refuge et payer ma parcelle à la capitale. C’est convaincu par ses paroles que j’allais me coucher.

 

Racine profita des jours suivants pour continuer à m’enseigner la science du commerce et me proposa de l’accompagner lors de cessions de négociations qu’il avait organisées à l’occasion de son passage à la capitale. Mon cerveau travaillait à plein régime, et j’apprenais vite. La seule chose que j’ai apprise aussi vite fut de ne jamais dire non à feu ma femme.

 

Au bout de trois semaines de formation intensive, nous avons estimé que j’étais prêt à me lancer dans l’aventure du commerce. C’est donc confiant que j’allais déposer un nouveau dossier de candidature auprès du gouvernement afin d’obtenir ma licence de commerçant.

 

 

:door:Photo du magasin: :door:

 

 

Où trouver le magasin :

refugedepan1.th.png

 

L’extérieur du magasin :

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L’intérieur du magasin :

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:sign:Tarifs: :sign:

 

 

tarifscd.png

 

 

Merci à tous et envoyez les plussoiements !

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Je connais Bukmor depuis un petit moment. Très sympa, acharné du travaille, il mérite ça place au près des commerçant et en plus comme il l'a dit

en tant que co-dirigeant de Rupture Farm, devenir marchand devient critique pour pouvoir aider dans la gestion de la production !

 

Bref, Un grand +1 pour toi

 

PS: je vais te voler ta présentation ^^

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Je plussoie mon camarade bien naturellement.

Comme il l'a souligné le dernier concours ayant quelque peu tué dans l'oeuf l'ambition que j'avais sur un projet futur je ne suis plus très présent et du coup je ne conçois pas le besoin de m'investir plus en devenant commerçant.

De plus certains problème auquels est confronté notre confrérie font que nous nécessitons un marchand pour gérer le capital, aussi je touve que bukmor est pour moi le meilleur choix pour la pérénité de notre entreprise.

Cordialement.

 

PS:@hornebarque:je comprend pas saigo il lui ressemble vraiment pas Oo

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Je prends ici quelques minutes afin d'encourager ce mentor du Refuge. Ses idées et son implication dans Stendel sont sans aucun doute d'une importance capitale à mon avis et il mérite ce grade amplement.

 

+1

 

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Yoh !

 

C'est avec autant de retard qu'une lettre non affranchie "prior" que j'accepte ta candidature.

Je t'invite à payer les 500Pa de licence et à m'envoyer le screen par mp avec le lien de cette candid pour m'éviter de fouiller parce que fouiller, c'est pas cool.

 

Bon jeu !

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