[Accepté]-[ Joailler ] Joaill - GO / Demo_crite

[dem0_crix]

Spécialisation :Joailler

Nom de l'échoppe :Joaill-Go

Localisation : Colonie du kubnigera (stendel)

 

 

RP Paysan :

 

Democrite se réveilla dans une mine à ciel ouvert, bien installé dans un wagon en équilibre sur le rebord du précipice d'ou il venait. Le pont couvert de rails derrière lui, rongé par la rouille et le temps, n'avait pas put résister à son poids et était tombé dans les ténèbres. Les zombies n'avaient pas put le suivre et attendaient de l'autre côté. Il se leva, et, tout en se dégourdissant les jambes, regarda au loin et aperçu une étrange cité dans le ciel. Selon sa carte, il avait devant lui Stendel. Peut-être y trouvera t-il du travail comme architecte, mineur ou jardinier.Il prit son sac à dos est partit vers la ville, laissant derrière lui les zombies et les creepers.

 

RP Bel-O-Kube :

 

 

L'homme candide

aux rêves de gloire

Sur le chemin patatoïde

rencontra la sorcière du désespoir

qui le changea en fourmi

malédiction pour lui

mais bonheur plus tard

 

 

La fourmi, misérable

rejetée par ses anciens amis

se mettait a la recherche de ses semblables

quand elle vit un terrain assailli

sur le territoire du dominion

par un attroupement de fourmis

entouré de vagabonds

attirés par cette cacophonie

 

La 6-pattes demanda donc à Jesolas

si elle pouvait participer

et rejoindre la construction coriace

de ce superbe chantier

 

 

RP Voyageur :

 

 

Jour 1

 

J'ai décidé de quitter Bel-o-Kube, il est temps pour moi de sortir et de redécouvrir le monde que je n'ai plus revu depuis ma transformation.

Je prépare mon voyage, lâche quelques phéromones d'au revoir et sors de la fourmilière.

 

Désorienté pendant un court laps de temps, je me reprends et regarde la position du soleil.

Il n'est même pas aux trois quarts, le temps ne sera pas un problème pour cette nouvelle journée. Je me mets donc à marcher tranquillement.

 

Il fait nuit, je m'abrite sous une feuille et regarde la lune. Le monde parait tellement différent avec des yeux de fourmi !

 

Jour 2

 

Je me remets a marcher, sous l’œil attentif d'oiseaux de toutes les couleurs. Il fait encore nuit. La nature s'éveille.

 

La nuit est tombée sans préavis, il me faut un abri.

J'aperçois deux bûcherons mangeant autour d'un feu de camp. Je m'approche. En me voyant, ils s'enfuient à toutes jambes.

Leurs écuelles en bois sont, par contre, toujours là, remplies d'un liquide brunâtre. Des effluves subtils de champignons s'en échappent. Je m'approche, indécis, et en goûte le contenu. Cela a un goût salé en bouche et paraît comestible. Je garde cette saveur en mémoire pour la fourmilière, puis je finis les deux écuelles et m'endors, rassasié, au pied d'un arbre.

 

Jour 5

 

J'ai rencontré aujourd'hui une fourmi qui passait par là.

Elle correspond parfaitement à la description d'une dénommée Tyrias, fourmi qui était portée disparue. Elle m'explique qu'elle vient de finir un long voyage; elle a vu des peuplades vivant dans les arbres, elle a rencontré un peuple qui vit dans des habitations, autour d'une fourmilière en sable abandonnée. Ils appelaient ça "leurville".

Elle rentre maintenant à la fourmilière. Je lui donne des conseils et lui fait gouter l'eau brunâtre aux saveurs de champignon. Elle approuve : il faut essayer de reproduire cela à la fourmilière.

Nous partons ensuite dans des directions opposées : elle vers la fourmilière, et moi vers l'inconnu.

 

Jour 11

 

Mes pattes s'enfoncent dans de la terre blanche et froide. Une même terre tombe du ciel. Après hésitation, je décide de la gouter. Elle est a priori composée d'eau froide. Je garde ça en mémoire pour la fourmilière et continue mon chemin.

 

Il fait trop froid, mes mandibules commencent à geler. Je creuse la terre sous mes pattes et fais un tunnel. J'en ferme l'entrée avec des brindilles et m'endors, frigorifié.

 

Jour 13

 

Je me réveille lentement et j'essaye de me lever mais mes pattes manquent de force. Je retombe sur la terre dans un bruit sourd. Il faut que je mange.

Je décide de me mettre en quête d'insectes et, par chance trouve vite une termitière. Je reprends des forces et décide de continuer à creuser.

 

Jour 20

Je suis affamé, et j'ai fini mes réserves de termites. J'entends des rires venant d'une galerie voisine. Je continue à creuser et tombe sur une salle contenant trois petits hommes, un tonneau rempli d'un liquide jaune et d'une table recouverte d'un énorme morceau de vache cuite. Je ne m'approche pas, les petits hommes pourraient me repérer. J'attends, peut être vont-ils partir ?

 

Les petits hommes ne bougent plus. Sont ils morts ? Serait-ce la viande qu'il les a tué ? Je m'approche à pas feutrés et la goute. Elle est très bonne. J'en mange, tout en surveillant les petits hommes du coin de l’œil. Une fois rassasié, je me rapproche d'eux. Ils respirent, ils semblent être endormis. Ainsi, la boisson jaune serait un soporifique ? Je m'approche du tonneau et y trempe les mandibules : Elle a un goût subtil d'orge. J'en bois.

 

Cette boisson est bel et bien un poison !

Mes sens sont brouillés, ma vue se trouble. Je décide de remonter dans mon trou avant de m'endormir comme les petits hommes.

 

Jour 22

 

J'ai repris mon chemin. Mon tunnel m'amène dans une profonde et dangereuse grotte. Je lâche une phéromone d'avertissement et entame ma descente.

 

Jour 25

 

Je suis arrivé tout en bas. Une cabane est placée là. Je passe par une des deux fenêtres existantes.

 

Dans la petite cabane, un vieil homme est assis. Un lit est bloqué dans un de ses coins. Ses murs sont recouverts d'étagères avec des pierres resplendissantes de toutes les couleurs.

Au centre de la petite pièce sont disposées une chaise et une table. Sur la chaise, le vieil homme. Sur la table, des outils et des pierres couleur rubis, émeraude et or. Je m'approche et, d'un pas furtif, me glisse dans le seul coin vide de la pièce. Il prend alors une pierre sur l'étagère et la pose sur la table. D'un œil attentif, je regarde la scène.

L'homme commence a tailler la pierre, la polir, à la recouvrir de... de souffre dirais-je à l'odeur. Et il la retaille, la polit une fois de plus et remet du souffre. Et cela pendant des heures. Au fil du temps, la pierre prend une teinte bleutée, comme si quelque chose sommeillait en elle et se réveillait. Cela pourrait être utile pour la fourmilière. Il faut que j'en prenne un morceau pour le montrer aux autres fourmis. J'essaye de me lever mais mes pattes ne me supportent plus, il faut que je me repose. Je ne peux plus bouger.

 

Jour 40

 

Mes pattes sont maintenant totalement reposées, et je me suis rassasié en mangeant les insectes passant par là. L'eau a été un problème au début, mais j'ai trouvé une flaque par terre. Le vieil homme se repose depuis maintenant 5 jours dans son lit. Il ne bouge plus. J'en profite pour disparaître vers la surface, sans oublier de prendre un morceau de pierre bleue. En sortant de la grotte, je repense a tout ce que j'ai appris en le regardant tailler les pierres. Je pourrais peut être me créer un atelier à Bel-o-kube et devenir leur tailleur de pierre bleue

 

RP commerçant :

 

 

Après être rentré à Bel-O-Kube, je me suis calfeutré dans le laboratoire. Les seules fois où je quittais l’air renfermé et poussiéreux de ma salle d'expérience était pour transmettre mes recherches au reste de la fourmilière. Des fourmis m’amenaient de temps en temps des joyaux de toutes couleurs, ramenés de leurs longs voyage. Moi, dans mon antre, je les façonnais, leur donnais une âme, un éclat inégalé. De temps en temps, des mages de toutes contrées venaient observer mes créations. Je leur offrais mes pierres en échange de contrats entre leurs cités et la fourmilière. Ils voulaient me ramener dans leur ville respectives pour que je leur taille les pierres précieuses si convoitées. Ils ne comprenaient pas l’attachement qui régnait entre moi et la fourmilière.

 

Ce jour là était un de ces jours où l'on aimerait bien suivre sa routine, mais où des obligations vous en empêchent. C'était le jour de la conférence, comme tous les mois. Je devais expliquer et montrer mon savoir devant des humains qui, chose incongrue, devait apprendre: leur savoir n'étant pas inné.

Je refis un tour de la salle adjacente au laboratoire, où allait se tenir la séance.

Des établis en bois y étaient disposés, recouverts de rubis et diamants. Un messager fourmi vint à ma rencontre, m'informant que les mages étaient là, et attendaient dans le laboratoire. Furibond, je demandai qui les avaient laissé entrer. Le messager avoua qu'il avait pensé bien faire. Je ne répondis pas, mon attitude constituant à elle seule une réponse, et alla me préparer. Pour pouvoir parler avec les humains, je devais porter un casque qu'avaient enchanté les fourmis mages de la fourmilière. Il transformait mes phéromones en paroles, pour que les sans-antennes puissent me comprendre.

Quand je revins dans la salle, je vis que le messager, voulant se repentir, avait déjà fait entrer les mages dans la salle des établis, à mon grand dam. Ils commençaient déjà à poser des questions et à parler, envoyant leurs microbes par milliers dans la salle. J'envoyais un phéromone de silence, et aussitôt une grande voix sortant du casque les fit taire. Après avoir marqué un instant de pause, je commençai à leur expliquer comment et pourquoi j'utilisai les diamants pour faire des rubis, passant entre les établis, retouchant une pierre ou deux, approuvant le travail de certains, méprisant le travail des autres. A la fin de la séance, ils sortirent tous avec un rubis façonné de leurs mains.

 

Une fête avait été organisée dans un boyau adjacent, et les mages s'amusaient et rivalisaient de sorts d'illusions. Moi, j'étais resté dans la salle des établis, rangeant les pierres et soupirant : Je ne comprenait vraiment pas ces humains; quelle perte de temps. C'est à ce moment qu'une ombre se profila dans le couloir : c'était un mage, au vu de sa robe de soie et de velours. Quelques taches de vin parsemaient ses vêtements. Je remit mon casque; mes antennes, douloureuses, se souvenaient encore des heures passés à expliquer, pendant la conférence.

 

- Holà, maître fourmi ! J'ai une proposition à vous faire ! Commença t-il, d'une voix caverneuse. Une odeur de raisin émanait de sa bouche.

- Que veux tu ? répliqua mon casque d'une voix furieuse.

 

"Décidément, ce casque reproduit mes émotions avec une fidélité parfaite" pensais-je. L'homme, interloqué par ma voix furibonde, sembla retrouver un semblant de dignité et essaya de chasser ses taches violettes de la main. N'y arrivant apparemment pas, il esquissa un sourire et continua :

 

- J'ai une proposition à vous faire : La plupart des personnes ici présentes vous proposent de s'installer dans leurs villes. Mais moi, je vous propose une chose tout à fait différente. Dans la ville nouvellement fondée à laquelle j'appartiens, il se trouve que plusieurs espaces marchands sont libres.

 

Je vous propose donc de vous y installer, noble sire, pour pouvoir nous vendre vos pierres. acheva-t-il d'une voix faiblarde.

 

L'alcool semblait reprendre ses droits sur le pauvre mage, qui, chancelant, attendait la réponse. Cependant, sa proposition était intéressante, car non seulement cela pouvait apporter de l'argent à la fourmilière, mais cela pouvait aussi m'épargner des ces conférences épuisantes. J'acquiesçai de la tête, et allai écrire un discours. Cette idée devait être réfléchie et approfondie en groupe, et je comptais la présentais au conseil, le soir même. En sortant, je vis le jeune mage vomir sur un des établis et s'endormir par terre. Je lâchai un phéromone de dégoût et de mépris avant de franchir le seuil de la porte.

 

Ce soir là, je proposai donc au conseil mon projet. Il fut très bien accueilli, et accepté à mandibules levées. Cependant, la fourmilière ne peut accueillir ma production, et ma méthode de fabrication doit rester secrète. j'ai décidé de partir en exploration. Après être passé par le portail allant vers Stendel, je suis parti sur les routes, m’arrêtant dans les auberges pour m'informer et manger un morceau.

 

C'est ainsi qu'un jour, entre deux bouchées de pain, j’appris l'existence d'un ancien laboratoire, apparu lors du grand changement, quand les ronds sont devenus cubes. Divers bâtiments comme celui ci étaient apparus, venant de nulle part. Les habitants de ces contrées le disent hanté, et personne n'ose y rentrer. On dit que les zombies d'aujourd'hui seraient une évolution de zombies venant de ce laboratoire. J'en notai la localisation et me mettais en chemin. Ce grand et isolé laboratoire pourrait être intéressant pour démarrer ma production.

 

Après plusieurs heures de marche, j'arrivais enfin devant une grande porte en métal, coincée entre deux blocs de roche. J’entrouvrais la porte, une salle se dessinait dans la pénombre. j'entrais, suspicieux. Une intense lumière apparut dès mon premier pas dans la salle. Une poussière centenaire flottait dans l'air. La lumière venait, non pas de torches, mais de tubes remplis de gaz, alimentés par de la redstone. L'objet sur le bureau semblait être un ordinateur. Je m'en approchais, appuyant sur le clavier. L'écran s’éclairât , laissant percer dans la poussière une lumière bleu tamisée. Après une demi heure d'utilisation, j'avais compris comment l'utiliser. Cet ordinateur contrôlait apparemment les portes d'entrées. je les fermais et les verrouillais. Je déverrouillais ensuite toutes les portes du laboratoire. Entendant un déclic, je me tournais aussitôt. Une porte que je n'avais pas encore vu s'était ouverte. Elle débouchait sur une passerelle rouillé, qui tenait tête à l'abîme 10 mètres plus bas. Un wagon était suspendu dans le vide, accroché à un câble en acier. Sur la passerelle, un objet retint mon attention. Un panneau de commande était disposé au centre de la plate-forme. Un bouton rouge y clignotait. La notice indiquait que ce bouton réinitialisait le tram.

 

J'appuyais. Il fallait que je continue mon exploration. Un bruit de moteur et une odeur de cochon grillé se rependirent dans le tunnel. Les lumières s'allumèrent, leur puissance augmenta, puis elles éclatèrent. Des lampes de secours prirent le relais. Pendant que je me disais qu'il faudrait rénover toute l'installation, le tram revenait vers la plate-forme, ouvrant ses portes dans un crissement de fer rouillé. La lumière semblait mettre en valeur une inscription sur le wagon: "Black Mesa Research Facility ". Étrange comme nom. Je montais dans le tram et actionnais le levier.

 

Une voix résonna: "choisissez votre destination"

Un placard s’ouvrit, duquel sortit un écran. Plusieurs destinations étaient mises en valeur, mais seule une était activable et non grisée. J'en déduisis que ces parties du laboratoire étaient détruites ou inaccessibles. Je choisis donc le labo n°1. Le tram se mit en branle, puis, agité de soubresauts, se lança dans le tunnel. Un haut parleur fatigué se réveilla et commença à cracher des paroles:

"Bonjour, et bienvenue à bord de ce tram automatique. Notre réseau de transport est exclusivement réservé au personnel du centre de recherches de Black Mesa. Vous pouvez vous promenez dans la rame ou vous asseoir et profiter du voyage. Il est 8h47, la température extérieure est de 35 °C ; Elle atteindra 40°C cet après-midi.

A l’intérieur du centre de recherches, la température est de 21°C.

 

Je mouillai et levais ma mandibule, intrigué. Le système devait être bloqué depuis longtemps, car au contraire, il faisait plutôt froid dans ce tunnel.

 

Ce tram mène au laboratoire 1 du secteur C. Si vous voulez aller au-delà du secteur C, veuillez emprunter une rame de haute-sécurité au terminal de la zone 9. L'entrée en zone de sécurité est soumise à l'identification rétinienne. Si ce n'est déjà fait, présentez vous au service du personnel afin de vous immatriculer. Il est interdit de fumer, de boire, ou de manger à bord des rames de transport.

 

Je jetai inconsciemment un coup d’œil au sol de la cabine, jonché de détritus et d'os.

Veuillez ne pas vous pencher, n'essayer pas d'ouvrir les portes.

 

Je levai la tête vers l'ouverture béante de la rame. La porte avait apparemment décidé de fuir cet endroit depuis longtemps.

 

En cas de défaillance, les passagers sont priés de rester assis et d'attendre de nouvelles instructions. N'approchez pas des rails éléctrifiés. Message à l'attention de tout le personnel : le contrôle des taux de contamination nucléaire et biologique est obligatoire. Toute absence injustifiée aux séances de contrôle fera l'objet d'un renvoi immédiat.

 

Fier de mon espèce, je savais qu'elle n'était pas sensible aux radiations, donc aucun problème pour moi.

Si vous pensez avoir été exposé à des matériaux radioactifs ou toxiques au cours de votre travail, contactez immédiatement votre officier de sécurité. Soyez prudents et intelligents, votre avenir en dépend.

 

Laboratoire n°1 et installations de contrôle du secteur.

 

Attendez que l'officier de sécurité ait vérifié votre identité. Avant de descendre du train, vérifiez que vous n'avez oublié aucun effet personnels. Merci d'avoir voyagé à bord de notre rame, nous vous souhaitons une journée agréable et productive."

 

Le tram s'arrêta devant une autre plate-forme. Sur le mur, un grand symbole avait été peint à la peinture rouge: L 1. De l'autre côté, une porte en fer défoncée, un éclairage flaiblart. Derrière, une grande salle et des couloirs.

 

J'en ai assez vu, je vais rentrer à Bel-O-Kube et demander des fourmis au conseil. Mon usine sera cet ancien laboratoire. Dans les mois suivants, on a restauré l'ensemble des laboratoires, et installé des chaînes de production. Un énorme cylindre rempli de poudre et de matière fluorescente a été trouvé au milieu des gravas. J'ai fait appel à des mages pour le mettre en stase et nous l'avons enterré dans une chape de pierre et d'obsidienne.

Il ne me reste plus qu’a envoyer une demande à l’administration de l’empire, sans qui je ne peux pas commercer. J'attends désormais leur réponse.

 

 

Tarifs :

 

 

/!\ Ils varient en fonction de la localisation du magasin, et des prix des concurents /!\

 

 

Diamant : 7 pa

 

Rubis/Emeraude : 8 pa

 

Saphir/Citrine : 9 pa

 

Lingot d'or : 1.5 pa

 

Baton en or : 2 pa

 

Cerclage en or : 8 pa

 

Couverts : 3 pa

 

Lapis-Lazulli : 4 pa

 

Outils/Epée/Armures : nombre de lingots d'or x 1.5 +1 pa

 

 

Images du Magasin

 

 

 

 

 

 

[DomFulmen]

Yop !

 

 

 

Voici une bien belle candidature s'il en est une !

Mais soit. Je ne suis pas ici pour plaisanter.

 

Je connais très bien Demo, et je le considère expressément comme l'un de mes amis au sein de ce serveur, c'est donc un honneur et un plaisir pour moi que de plussoyer cette prestation, et qui plus est de la soutenir le premier !

 

Demo est un jeune homme mature, au sens de l'humour inégalable, et c'est avant tout quelqu'un d'honnête. Pour l'avoir côtoyé, je peux dire que c'est un point fort de Bel-o-Kube, et un pilier du Kubnigera.

 

Mais passons au RP. Celui-ci m'a arraché une petite larme. Comment en aurait-il été autrement après tant de candidatures paysans scrutée avec espoir dans la vaine attente du parfait RP ? Or celui-ci égale toutes mes attentes, et les surpasse même !

Le tout est très bien écrit, avec la pointe d'humour typique du postulant que voici. Les tournures sont soignées, les références et clins d’œils nombreux à foison. Mais par dessus tout, il a su avec brio montrer la différence entre fourmis et humains, s'intégrer dans son rôle d'un tel insecte, mais aussi parler de sa spécialité et de son poste de marchand tant convoité !

 

Je ne saurais en dire plus tant le tout est bon.

 

Vous l'aurez compris, je soutiens Demo à 7 853% environ, et je lui offre un immense +654, car il mérite amplement ce grade et d'ouvrir son commerce !

 

 

Mode plussoiement expresse off.

 

 

Amicalement, plumiquement, et pour vous servir,

 

DomFulmen.

[Ti-ret]

Blop !!

 

Je ne vais pas passer par douze chemins, ce jeune joueur est un membre d'exception, d'abord de Bel-O-Kube, puis de la colonie du Kubnigera. Administrateur de talent, gestionnaire de nombre de postes importants, il est un pilier de notre communauté, si un joueur peut devenir commerçant, c'est bien lui !!

 

Plussain !!

 

Plumiquement,

Corderaide

[nazgrelx]

Demo est un excellent joueur, membre à part de la communauté du kubnigera.

Je ne que que plussoyer sa candidature commerçante.

+1

[jesollas]

Ha demo, demo, demo. C'est un joueur extraordinaire. Il est toujours sympa, gentil et drôle. Un merveilleux joueur. +1

[Moug_atine]

+42 à mon futur fournisseur d'hache parfaite !

[Vincineuze]

Joueur que je connais depuis peu, mais qui mérite ce grade tant par sa présence que par ses projets et son investissement dans la colonie !

 

 

+1

[Tybalt]

Cher Demo,

 

Veuillez recevoir ci joint tous mes encouragements pour votre accession au grade tant convoité de marchand. En effet, il semblerait que vous ayez tout le talent et la motivation nécessaire, par ailleurs vous êtes un membre Kubnigeriens ma foi fort sympathique.

Par conséquent, il m'est impossible de vous refuser un joli +trouzmille.

 

 

Cordialement.

 

 

 

 

PS : dépèche toi d'aller nous dessiner un emblème comme tu dessines tes françaises, Jack. *

 

 

 

* 1 Pa à celui qui trouve la référence

[Kenny859]

hum hum...

 

Moi Kenny accepte ici de plussoyer cette gentille personne qui le mérite amplement malgré le fait que je ne le connais que récemment et que je ne lui ai parlé que 2 ou 3 fois je sais que, par sa présence sur le forum ou à son investigation qu'il mérite ce grade.

 

Cubiquement,

Kenny.

[Operamundi]

Revenu d'un voyage harassant, Operamundi profitait d'un repos bien mérité au pied du Vénérable. Ainsi protégé du soleil par les branches bienveillantes de l'arbre, il somnolait paisiblement. Son réveil fut d'une toute autre nature puisqu'il fut provoqué par une petite fourmi qui, n'ayant pas pu attirer son attention par un son, s'était employée à lui mordiller la main de ses jeunes mais déjà puissantes mandibules.

"Argh ! Mais enfin ! Je suis dans ton camp, galopin chitineux ! s'insurgea Opera, les yeux plissés, signe qu'il était encore dans le cirage.

- Je le sais bien, répondit l'insecte, je vous porte une lettre.

- Une lettre ? De qui ?

- C'est une nouvelle du comité de lobbying des candidatures.

- Le comi... que ? Operamundi se frotta les yeux tout en essayant de retrouver l'ordre de ses pensées.

- Souvenez-vous. Vous vous êtes abonné au comité de lobbying pour être mis au courant des nouvelles candidatures de vos congénères. Et bien en voici une nouvelle !"

Opera se souvenait à présent. Mais cela ne le rendait pas plus jouasse pour autant. Depuis quelque temps maintenant, il n'avait reçu de cette organisation que des brochures ventant les mérites de telle ou telle spécialité marchande, ou bien des articles à propos de "piliers lacustres", et il se doutait que ce petit être (il ne le reconnaissait pas d'ailleurs, et il pensait qu'il faudrait revenir plus souvent voir sa communauté car les choses bougeaient vraiment vite en ce moment) lui apportait encore un spam. Il l'ouvrit tout de même.

"Ah ben ça ! s'exclama-t-il. Ce vieux Dem0 veux être joailler ! C'est pas trop tôt !"

Il était ravis de trouver, jointe dans l'enveloppe, une copie de sa demande officielle. Ainsi il pourrait se rendre compte des talents littéraires dont Dem0_crix pourrait faire preuve en pareille circonstance. Ces débats animés qu'il entretenait avec Domfulmen, en plus de divertir son entourage de fort belle manière, lui permettaient d'améliorer son expression à chaque nouvel argument. Et en lisant le récit de Dem0, Opera fut surpris de voir à quel point la plume de son ami avait mûrie. Et avant cela, le bougre avait même pris la peine d'introduire sa demande en gravant ses mots sur l'un des bijoux qu'il avait lui-même façonné. Et bien que la couleur pourpre de la pierre précieuse assaillait ses yeux encore sous le choc, il devait bien admettre que c'était une bonne idée.

 

Au fond de l'enveloppe, il trouva d'autres parchemins, ceux de ses camarades. Apparemment, la lettre avait déjà fait le tour de la fourmilière, et même du Kubnigéra puisqu'il voyait sur certains papiers la griffe de nombreuses fourmis comme celle de plusieurs lacustres. Toutes était louangeurs et approuvaient la demande de Dem0_crix. Il aperçut également quelques mots de Tybalt, qui faisait une allusion aux antipodes de la finesse et défiait quiconque de trouver sa référence (alors que tout le monde connaissait cette histoire du navire qui s'échoua en pleine mer, ayant heurté un iceberg, et de cette fille qui inaugura le concept de "friendzone" en laissant couler son malheureux prétendant alors qu'elle avait bien de la place pour deux sur son morceau de bois).

 

Operamundi prit sa plume et tenta d'envoyer une requête à son cerveau pour trouver dans sa mémoire, les moments qu'il avait passé en compagnie de Dem0 et ce qu'il avait pu jauger de ses qualités. Le cerveau fatigué mit du temps à répondre, et les résultats ne furent pas très probants.

Il se rappelait surtout de cette agaçante manie qu'avait Dem0 de lui poser cette terrible question à chaque fois qu'ils se croisaient : "quoi de neuf ?". Mais il avait fini par s'en accommoder et maintenant, cette question le faisait rire à chaque fois.

Il se rappelait aussi à quel point Dem0 s'était échiné à donner au système de ressources et de coffres de la cité le meilleur de la technologie et de l'organisation dont on puisse rêver.

Opera savait bien qu'il y avait plein d'autres sujet sur lesquels Dem0 excellait, mais en cet instant, il aspirait surtout à retrouver le sommeil.

 

Qu'à cela ne tienne. Il posa la plume sur le parchemin, et y inscrit un simple "je soutiens la candidature de Dem0_crix, car c'est un gars comme ça".

Il se dit que les gens ne comprendraient peut-être pas, alors il pensa dessiner un petit pouce en l'air juste à côté. Puis il jeta un œil à la place chaude qu'il avait quitté contre les racines de l'arbre, et se dit qu'ils devraient se contenter de "ça".

[Pampleman]

Go go poweeer demoooooooo !

 

Alors ca, c'est du joueur qui roxx de la patate caramélisée au swiffer thermodynamique !

 

Demo, c'est avant tout un psycopathe irradié échappé d'un enclos à moutons fluorescent, et pour ça, il a trop la classe ...

 

Ce mec, c'est un vrai power ranger.

 

Alors non j'irait pas acheter chez lui, j'ai pas envie de mourrir brulé ou je ne sais quoi, mais je le recommande chaudement à mes ennemis !

 

C'est pour cela que je le plussoie à 561684435420.258691356*8+546526543.468745781258436546188% !

 

Longue vie à Half-Life ! Longue vie à Half-Life ! (on est bien sur un post pour half-life non ? Bon allez longue vie à demo_crite!

 

Pour conclure, je dirait que Demo_crite ferait un excellent escroc, même s'il sent mauvais, et ainsi il contribuerait à l'apocalypse scientifique de la mort qui tue !

 

Nazgrelx il est méchant ! Et aussi, j'aime les cookies spatiaux qui sentent les beignets explosifs !

 

Pour finir, je me contenterait de dire ...

[shtroumpf]

 

GO GO POWER DEMO !!!!!

 

(en fait, le seul truc sencé que j'ai dis dans ce post s'apparenterait à "je le plussoie à 561684435420.258691356*8+546526543.46874578

6458*71234354.54631384848454548484% !")

 

[JDlafontaine]

Je ne n'ai pas encore beaucoup parlé sur Mumble, mais vu ta grande participation sur le forum, je ne peux en tant que nouveau kubnigerien que plussoyer ta candidature. Donc +1 pour moi.

[dokMixer]

Bonjour,

j'ai l'honneur et le privilège de vous annoncer l'acceptation de votre demande de license.

L'ouverture prochaine de votre enseigne dépendra de votre faculté à régler ladite somme de 500pa ainsi qu'à la rapidité à laquelle vous saurez remplir vos étals.

 

Nous vous souhaitons joie et prospérité dans votre petite affaire !

 

dokMixer & toute l'équipe de modération.