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Candidature de Drelon500 [Bondi]

Drelon500

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dans Catalogue des cartes perforées

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Drelon500

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Candidature de Drelon500

 

Bonjour à vous cher recruteurs Heimalliens ! (Ca s’écrit comme ça Heimdaliens? on va dire que oui.)

Je me présente à vous pour rejoindre votre communauté, vous me connaissez surement sous le nom « du péon qui fait tout ce qu’on lui demande » ou encore sous celui « de la main d’œuvre gratuite ». Vous me connaissez surement IG, et je crois ne pas avoir à préciser le genre de joueur que je suis ou si je suis un méchant griefer tout pas beau. Je suis plutôt présent sur mumble quand il y à du boulot.

 

IRL, je me prénomme Léo, j’ai 31 ans (ou pas…), je rigole, comme vous le savez surement, je suis un petit kikou de treize ans. En dehors de minecraft (si, si, ça existe autre chose que minecraft) je joue principalement à starcraft II, warcraft III, à league of legend, à battlefield 3 et à skyrim ; (Sur ps3, j’ai honte…).

 

Maintenant, place au RP que seulement 1 personne sur 2 passant sur ce topic va lire :

 

« Mon fils ! Viens ici » J’avais sept ans, mon père me répétait souvent ces mots, que ce soit pour me « tirer les oreilles » ou pour me féliciter, voila pourquoi je ne savais jamais de quel manière il fallait que je vienne : en pleurant ? Ou en bombant le torse ? Pour cette fois, j’ai choisis la première approche, la plus « safe ».

- Pourquoi pleures-tu mon fils ? » Ouf, je sèche mes larmes, mon père reprend « Mon fils, tu sais que ton père et ta mère sont mineur ? » J’acquiesce, bien sûr que je savais qu’ils sont mineur, je suis peut être petit mais pas complètement abruti… « Tu seras comme tes parents, mon fils tu seras mineur »

Je le regarde, j’attends une suite, je vois qu’il n’y en a pas, je vais me coucher.

Toute mon enfance, mon père m’a répété cette phrase « Tu seras mineur », qu’est ce que j’ai fait ? Bah je suis devenue mineur alors que je voulais être aventurier, voila ce que ça fait le bourrage de crâne, ça te bousille tes rêves.

Voila, mon enfance se passe sans souci, je suis heureux, j’aime mes parents et mon chat blablabla, Bref, passons. Arriver à ma seconde année de minage intensif, je tombe sur une grotte. Rien d’extraordinaire à première vue, mais attendez la suite…

Ca à été la première fois que je suis tombé sur un squelette, je mine depuis deux putains d’années et c’est la première fois que je tombe sur quelque chose de non-amical. Bref, après cette rencontre j’étais traumatisé. Je n’arrivais plus à dormir, tout le temps j’avais son image dans ma tête, sourire démonique, os sales, la total quoi. Et dites-vous bien que je voulais être aventurier à la base. J’ai mit un mois à oublier. A la sortis ce cette dépression, j’ai voulus changer de boulot, je suis devenu fermier. Allez y, marrez vous, je suis devenu fermier parce qu’il y en a peu et que je croyais que ça rapportais beaucoup. En faite non, devenir fermier c’est devenir esclave littéralement, mais je ne m’en étais pas encore rendu compte à cette époque.

Je me suis trouvé un petit coin tranquille, il n’y avait personne aux alentours, rien pour cacher la vue, c’étais sympa. J’ai eu cinq minutes pour être « tranquille » après quoi des types sapé en doré avec des épées à la main m’on pacifiquement demander de partir. J’étais en train de me dire « Ouai ! Ce n’est pas juste ! J’ai fais des efforts ! J’ai mit tous mes espoirs dans cette maison ! Je vous hais ! » Et pleins de quolibets et autres noms d’oiseaux. Mais ça je ne faisais que le penser, voila ce que j’ai vraiment dit : « D’accord… ». J’ai dut détruire ma maison. Après cet évènement, j’ai erré dans plusieurs villes, j’ai sombré dans l’alcoolisme, je suis redevenu dépressif, je dormais dans des boites… La total quoi.

Mais un jour ! (Bah ouai, vous ne vous imaginiez pas que ça allait finir comme ça ? Faut que ce soit intéressant quand même)… Je me suis présenté à une distribution de soupe, ce poste étais occupé par « des fidèles de N » ou une connerie du genre, j’en avais un peu rien à faire de qui donnait la soupe donc que ce soit des défenseurs de N ou des spongieux… Je m’en foutais un peu. Bref, le type qui était devant moi (un certain Jean-Jacques je crois… Bon, ça n’a pas vraiment d’importance) fait tomber la marmite de soupe bouillante. Là, j’ai eu un élan d’héroïsme, j’ai couru, j’ai bondit, j’ai rattrapé la marmite. Le type qui était devant moi était sauvé, moi j’étais gravement brûlé. Je me suis évanoui sous le choc.

Là, je me réveil dans une sorte de lit d’hôpital. J’essaye de me levé et je me rends compte que je ne peux pas, c’est dur de se levé quand on est recouvert de dix kilos de bandages. J’ai faim, je manifeste le fait que j’ai faim. Une personne en armure s’approche de moi, il avait la tête du mec qui n’est pas là pour déconner, cicatrice et regard à la scarface. Il s’assied à mon chevet. Je le regarde, il me regarde. Je ne comprends pas pourquoi il me regarde alors je le regarde jusqu’à ce qu’il l’ouvre.

« Je suis précurseur de l’ordù an dorchadais » Wouhou ! Je suis sauvé ! Un mec flippant qui est le maitre d’une organisation dont je n’ai jamais entendu parler avec une épée est à mon chevet !

« Je veux que tu travails pour nous . » Comment ose-t-il me tutoyer ? on se connait même pas !

-Est-ce que j’ai vraiment le choix ?

-Non

-C’est bien ce que je me disais. Je ne sais que cultiver les champs, rien d’autre, alors si c’est pour un autre boulot vous pouvez vous foutre votre épée dans le…

-C’est parfait, tu es engagé » J’avais toujours faim.

Voilà, après mon rétablissement j’ai bossé pour l’ordu an dorchadais. Comme ce n’était pas vraiment un bouleau à plein temps je faisais aussi des petits boulots à droite, à gauche. Genre chez les Valmontois je cultivais aussi les champs, j’ai failli être maire du quartier paysan là-bas d’ailleurs.

J’ai bossé plusieurs mois comme ça, mais un jour (Eh ouai, ça ne se finit pas comme ça non plus) je flânais dans la campagne. Et là, je suis tombé sur une muraille. Par curiosité, je m’approche. Ils étaient en train de réparé les fortifications, ça trimait dur là-bas, ça gueulait beaucoup aussi. Tout le monde s’activait, ça cassait, ça posait, ça courait de partout.

« Eh toi ! » C’était le contre maitre qui m’avait apostrophé. « Tu veux te faire de l’argent facilement ? » Je vais à la rencontre du contremaître, le fais que cette personne étais à moitié mécanique ne m’avait pas vraiment choqué. Il m’a présenté le boulot.

-Mouai, répondit-je, et c’est payer combien ? » Le méka me répond, c’était un chiffre avec plein de zéro, ce que je gagnais en une semaine sur ce chantier c’est ce que je gagnais en un mois avec mes champs. J’empoigne ma pioche et je vais bosser.

Voila, ça ce finit comme ça, je bosse comme ouvrier pour construire rénové les murailles d'un « double royaume » C’était bourré de nain là-bas, je me suis rendu compte qu’il fallait que je fasse gaffe à mes sous…

 

Voilà, cette candid est terminé. J’espère que mon Rp ne vous à pas trop endormis et que les fautes d’orthographe ne piquent pas trop les yeux.

Je désirerais être humain, à moins que quelqu'un me pète les genoux et que je me laisse pousser là barbe, mais j'ai pas trop envie. Humain ça me va très bien.

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