TheNeomatix Posté(e) le 1 février 2012 Partager Posté(e) le 1 février 2012 Salut à tous et à toutes, Voilà maintenant trois jours que j'attends ce moment, il est tant pour moi de faire ma candidature ! Alors, IRL, j'ai 15 ans, je suis en 1èreS, je joue à Minecraft depuis maintenant un an et je suis connecté entre une heure et cinq heures par jour sur Minecraft (je sais, vous pensez "c'est un no-life, un psychopathe, un geek, un malade... et vous avez raison !) J'ai décidé de rejoindre Minefield.fr car c'est vraiment LA référence en matière de serveur francophone et j'en avais un peu marre des petits serveurs qui fermaient en un mois. Je projette sur minefield.fr de m'installer architecte car je suis assez doué pour inventer, dessiner et construire des maisons (et ce déjà bien avant que je ne connaisse D&Cube !). Si l'occasion se présente, je souhaiterai également fonder une ville, mais bon, ça, on verra plus tard. Sinon, je pense que je n'ai plus qu'une seule chose à faire : le RP et bien, voilà le pavé ! RP Il était une fois une contrée tellement reculée que l’empereur lui-même doutait de son existence. Cette terre lointaine avait pour nom Fajörsk (à prononcer fayorsque). Cette ville connaissait un climat glacial tout au long de l’année mais malgré cet hiver permanant, il subsistait une poignée de riverain. Les habitants de Fajörsk (les Fayörskais) tenaient tout particulièrement à leur village car il y régnait une atmosphère plaisante et conviviale. En effet, tout le monde s’appréciait et pouvait compter sur chacun afin de s’entraider dans la joie et la bonne humeur (et autour d’une bonne bouteille !). Un beau matin de printemps, alors que la neige commençait à descendre en dessous du seuil des 36 phalanges (environ 18 pouces), les boulangers, les premiers à se lever, aperçurent au loin une nuée blanche comparable à un énorme nuage neigeux comme il en arrive une fois par an à Fajörsk, dans la phase la plus glaciale de l’hiver. Les boulangers furent tout d’abord surpris car ce nuage était déjà passé cette année, c’est pourquoi ils ne s’inquiétèrent qu’après avoir pu distinguer une horde gigantesque que l’on croyait toute droite sortie des pénombres infernales du bas-monde. Cette horde était composée en majeure parte d’orques verts, dégoulinant de sueur, de sang et de salive qui renforçaient l’horreur de leur visage. Venaient ensuite des trolls de près de 72 orteils (un orteil = 1/3 de pied) portant des massues en cobble qui rappelaient les douces cheminées fumantes des demeures de Fayörsk. Ces trolls ressemblaient presque aux orques mais disons, en moins crade… Des dizaines voire des centaines de légions entières de ces créatures faisaient suite à ces deux espèces, toutes semblaient commandées par un seul, un homme, montant un dromadaire. Mais l'homme, sous son apparence maléfique, portait un diadème de toute beauté : une couronne étincelante de pierreries avec en son centre, un visage de femme. Cette horde monstrueuse détruisait tout sur son passage : des arbres jusqu’aux animaux et leur terrier. Les sapins centenaires qui disait-on, était capable de résister aux pires tempêtes et aux pires ouragans étaient arrachés comme de vulgaires brindilles et déchiquetées sous la pression de ces monstres. Les boulangers se précipitèrent pour sonner le tocsin, tout en ayant peu d’espoir pour leur survie et celle de leur village car la horde diabolique fonçait sur Fajörsk avec autant de frénésie que si mille loups s’attaquaient à un même agneau. Les Fajörskais se réveillèrent mais trop tard, la horde était maintenant plus qu’à quelques centaines d’orteils et la lutte s’annonçait déjà vaine pour le village. Une fois la Horde Diabolique arrivée en lisière du village, elle s’arrêta, le temps de contempler le village une dernière fois, comme si ce dernier allait être englouti par les profondeurs de la terre. Un moment passa, personne ne se souvient s’il fut de quelque secondes ou d’une éternité mais ce qui est sûr, c’est qu’après cette attente insupportable, l’homme au dromadaire sortit doucement une dague noire, griffée de symboles étranges, de sa veste et la lança d’une force incroyable, droit sur le chef du village, Tudslörf. La dague lui atterrit en plein milieu des deux yeux et transperça son front jusqu’à ce que la garde aille buter sur le nez du pauvre malheureux. Tout le monde se tut, Tudslörf s’effondra, rigide, sur le sol, en laissant un long filet de sang couler le long de son œil, telle une ultime larme de sang qui vient tacher la neige vierge à côté de son cou. Soudain, un orque poussa un cri horrible qui fit trembler les pins à deux lieues à la ronde, un autre cri suivit, puis un autre et bientôt ce fut la Horde Maléfique toute entière qui éleva ce cri jusqu’au ciel, avant de déchaîner leur haine sur le village. Les orques égorgeaient tous les villageois qu’ils croisaient, les trolls défonçaient les maisons ave c leurs massues, les ogres avalaient un par un, en mastiquant longuement, tous les enfants du village, sous le regard horrifié de leurs pauvres parents, les elfes noirs prenaient les femmes pour arracher leurs tuniques et Une fois la bataille, ou plutôt le massacre terminé, il ne restait plus rien du village, les maisons étaient rasés ou brûlées, la totalité des villageois était décimée, il ne restait plus de Fajörsk qu'un tas de débris et de corps calcinés. Un bras tout blanc paru soudainement à la lumière du jour, puis vint l'épaule, le buste, et finalement ce fut un jeune garçon qui se releva des morts. Ce jeune garçon était Neomatix, le fils de Tudslörf. Il commença à marcher, au milieu des décombres de ce qui était autrefois le village dans lequel il avait grandi puis s'approcha, sans trop comprendre ce qui s'était passé, du corps de son père. Il examina son corps puis retira lentement la dague de sa tête. Neomatix posa la dague et se mit à pleurer sur le torse de son père, des heures durant. Une fois que toutes les larmes de son corps furent épuisées, il prit la dague et observa attentivement les inscriptions mystérieuses qui y figuraient. Neomatix finit par ranger la dague dans la ceinture de sa tunique tachée de sang et formula un voeu : Toute sa vie, il n'aura qu'un objectif, qu'une destinée, retrouver la créature maléfique qui a rasé son village, tué sa famille, ses amis, ses semblables et la traquer jusqu'aux enfers où il lui fera payer le prix de sa revanche. Fajörsk était une contrée tant coupé du reste du monde qu’il fallut plus de deux lunes au jeune Neomatix pour rejoindre Drygalkarak à pied. Avec son baluchon contenant les plus précieux de ses biens, y compris la dague qui avait servi à tuer son père, Neomatix ne fut que de passage dans cette ville, car aucun élément ne lui permit de retrouver le maléfique assassin de son père. En effet, lorsqu’il interrogeait un garde où un habitant, tous lui répondait la même phrase : « Avant j’étais un aventurier, comme toi, puis je me suis pris une flèche dans le genou ! » comme dans un mauvais RPG. La route et les saisons le menèrent au monastère Khaî, seconde étape de son périple aventureux sur les terres de New Stendel. Lorsque Neomatix entra dans ce lieu saint, les moines l’accueillirent pleins de réconfort pour ce pauvre orphelin. Après une nuit au monastère, pendant laquelle deux ou trois moines avaient pénétré sa chambre en prétendant s’être perdus, un des moines, tout petit et tout vert avec des oreilles pointues lui confia : « Une nuit, il y a de cela cinq lunes, un étranger ici passa. Grâce à son étrange diadème, nous le remarquâmes. Le souper nous lui offrîmes et de ses pêchés nous le libérâmes. ». Neomatix était sur la bonne voie, c’était lui, le diadème, les cinq lunes, c’était bien le vil être qu’il recherchait. Il ne lui restait plus qu’à savoir d’où il venait et il saurait peut-être à ce moment-là, où il se trouve actuellement. Malheureusement, lorsque Neomatix ouvrit la bouche pour lui demander, le petit bonhomme vert reçu entre les cervicales une fléchette empoisonnée au Radjaïdjah®, le poison qui rend fou. Le vieux moine sautilla sur place avant de se rouler par terre et de dévaler sur le dos les escaliers. Perdue ! Sa seule chance de retrouver le meurtrier de son père était désormais perdue ! Neomatix repris donc la route, dans la même direction, en espérant trouver plus sur l’origine de ce monstre. Après des jours éreintants d’une marche monotone, Neomatix posa le pied à Caislean an Nightmares. Ce bastion, véritable quartier général de l'Ordù an Dorchadais, était un gigantesque château fortifié par des murs aussi épais qu’une maison traditionnelle. Il fut subjugué : Deux cavaliers noirs chevauchant des destriers immenses passèrent à quelques orteils de lui lorsqu’un troisième lui demanda sous son casque d’acier : - « Holà manant, que viens-tu faire sur les terres de l’'Ordù an Dorchadais ? - Je viens du monastère Khaï où… - Ah, alors si tu viens de la part de Khaï, tu es le bienvenu sur notre domaine, preux messager. » coupa le cavalier - « Eh bien, je ne viens pas vraiment en tant que messager… - Ah bon ? Et alors pourquoi viens-tu, expliques-toi manant ! » questionna-t ‘il - « Je viens pour retrouver un homme, un démon avec un diadème étrange, il a décimé mon village et a tué mon père, je voulais savoir si vous ne l’auriez pas vu. » affirma-t’il d’une traite. - « Un païen maudit avec un diadème étrange ? Oui, nous l’avons vu. Nous avons même essayé de le combattre mais sa maudite monture était bien trop rapide pour nos modestes chevaux. Tu dis qu’il a décimé ton village, eh bien, nous t’offrons l’asile pour une nuit, tu pourras ainsi poursuivre ton périple en étant reposé. Adresse-toi à la cuisinière de ma part, elle te trouvera une chambre. - Merci, oh merci beaucoup ! - En attendant, ôtes-toi de mon chemin, nous devons sévir encore contre les vils païens qui parsèment le royaume de New Stendel ! Après une bonne nuit de sommeil dans un lit bien confortable, Neomatix repris la route en direction de Stendel, la capitale. Arrivé au pied de Stendel, la ville s’élevait dans les nuages. Elle semblait flotter au-dessus de toutes les menaces de la guerre, de la famine, de la misère. Neomatix entama la montée de l’escalier menant au centre-ville en pensant à son père, aux heures heureuses qu’il avait passé auprès de sa famille, de ses amis, et regrettais cette époque bénite où l’insouciance prenait le dessus sur toutes les inquiétudes de la vie. Suite au RP pour devenir Voyageur... Voilà, si vous avez eu le courage d'arriver jusqu’ici, BRAVO ! Sinon, eh bien ce n'est pas grave, vous avez juste loupé le meilleur RP du monde, fait par le meilleur écrivain du monde, le plus intelligent de la terre et... Euh, chevilles qui enflent...désolé ! Au fait, dans le RP, le méchant est bien réel (enfin, je veux dire que c'est une vraie légende, enfin une légende qui existe vraiment, enfin vous me comprenez...) Si vous connaissez le nom du méchant, envoyez-le moi par MP, je vous dirais si c'est exact. Au passage, j'ai eu un bug avec moi-même, j'avais entré la mauvaise adresse lors de l'inscription donc je ne pouvais pas y accéder, du coup, je me suis créé un deuxième compte pour poster sur le forum. Ce qui fait que je suis bien sur le forum et sur le serveur depuis dimanche soir (c'est à dire 3 jours) mais ce compte (TheNeomatix) n'a que deux jours d'ancienneté. Donc voilà, désolé pour la gêne éventuellement occasionnée. P.S. : Euh, du coup, si vous m'uppez au rang de paysan, c'est bien Neomatix qu'il faut upper et pas TheNeomatix. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Manamaxxx Posté(e) le 20 février 2012 Partager Posté(e) le 20 février 2012 Bonjour, J’accepte cette candidature en espérant que tu as pris en compte les règles et usages de ce serveur et je te souhaite un bon jeu. A bientôt en jeu ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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