Teckelv Posté(e) le 1 février 2012 Partager Posté(e) le 1 février 2012 Présentation IRL : Pseudo/Prénom : Teckelv / Vincent Pseudo In Game : Teckelv Age : 15 ans Quelques mots sur moi : Je m'appelle Vincent, j'ai quinze ans et je vis actuellement chez mes parents dans une petite ville perdue dans la campagne bretonne. Je suis lycéen. Mes passions actuelles sont le tir à l'arc, et l'astronomie. Mais je passe le plus clair de mon temps devant un écran dans le but de miner du diamant . Présentation In Game : Mon style de jeu : Comme beaucoup de minecraftiens, je commence toutes mes aventures sur Minecraft en coupant un arbre mais l'abattage d'arbres n'est pas ma passion sur Minecraft. Je me construis un abri et je cours trouver une mine dans le but de collecter de précieuses ressources. Par la suite, je me construis une maison digne de ce nom, il est vrai que la construction est ce pourquoi je joue à Minecraft. Je ne suis pas du genre à construire une énorme muraille en cobble, je déteste réaliser de véritables blockhaus. Mais, je suis aussi perfectionniste : je ne laisserai jamais une explosion de creeper dévaster mon jardin, je reboucherai le trou. Partie RP : *Cocorico* Le coq vient de chanter et le soleil se lève immédiatement sur un nouveau jour qui me réserve encore bien des surprises. Je suis Teckelv (un de mes surnoms), fils de Maxime et Judith, je n'ai que quinze ans et déjà les réveils aussi matinaux me fatiguent. Comme tous les matins je me lève plongé dans mes péripéties de la dernière nuit. J'aperçoit, enfin je crois voir mes grands-parents dans la salle à manger. Je vis chez eux depuis quelques mois, mes parents m'y ont conduit en évoquant la soit disant fatigue que le travail leur apporte. Mes grands parents ont donc eu la gentillesse de m'héberger pour un séjour à durée indéterminée dans leur ferme en pleine campagne. Je ne suis même pas allé leur dire bonjour, tout ce qui m'importait était d'aller me ressourcer dehors. C'est là-bas que je passe mes journées, dehors. Je considère ce monde comme relaxant, c'est un moyen d'échapper aux ennuis auxquels je dois faire face à la maison. J'y apaise ma soif de découverte, j'explore les bois et je profite des champs pour tester mes grands projets. Aujourd'hui je rêve de conquérir les airs, de découvrir les merveilles du ciel et confirmer ce qu'on m'avait raconté, on m'avait décrit un paradis bleu et blanc, un havre de paix où il est bon de se reposer. J'entrepris donc la confection d'une petite mongolfière. Je construisis donc immédiatement le panier qui contiendra mon corps et qui le portera jusqu'au plus haut. Pour cela, j'entrelace des branches et le tour est joué, cela devrait soutenir mon poids. Je suis allé demander de la ficelle à mon grand-père, il me confia une ficelle assez solide pour relier le panier au ballon. J'eu plus de difficultés à trouver de quoi réaliser quelque chose pour contenir l'air chaud qui me permettra de m'échapper de ce monde. Mon grand-père s'occupa du montage du chalumeau. Ma grand-mère s'empressa de m'ammener une couverture ainsi que des vêtements chauds qui me permettront de vaincre le froid. Je montai donc dans le panier tout en écoutant les explications de mon grand-père inquiet. La presse locale s'affolait dans le champ pour faire de moi la une du journal du village. Je me suis dépêché de décrocher les poids qui me retenaient au sol et me voila partit, confié au vent comme une vulguère feuille récemment tombée d'un arbre. J'allais devoir me soumettre aux forces du vent pendant longtemps. Je me penchai par-dessus le bord pour aperçevoir mes grands-parents. Mon vertige fut vite vaincu et je m'en réjouissais. Le premier jour toucha à sa fin et je ne parvint pas à redescendre à terre : je ne savais pas comment éteindre le chalumeau. On avait sûrement dû me le dire mais je n'ait pas dû l'entendre, tellement pressé de me retrouver là-haut. Frigorifié, mes jambes oscillaient comme de vulguères branches, sans parler de mes dents qui en claquant recouvraient à elles seules le bruit du vent pourtant si fort. Le lendemain, je m'émerveillait des couleurs dont le ciel d'automne se parait, mais je restait inquiet poir les heures à venir. Le deuxième jour se déroula à merveille, je réussis à éteindre le chalumeau mais les vents semblaient encore vouloir m'arracher du monde duquel j'avais pris mon envol. J'étais à la merci de la faim, j'avais en effet épuisé mes dernières ressources et je m'apprêtais à passer une deuxième nuit qui s'annonçait pluvieuse. Le lendemain, ce n'est pas le coq qui me réveilla, ni les oiseaux, ce fut le doux sifflement du vent entre les cordes qui me tira du sommeil. J'avais perdu beaucoup d'altitude et je pouvais désormais voir suffisament le sol pour m'aperçevoir que quelque chose s'était passé cette nuit. Les vents étaient calmes et j'entamais ce jour ma descente. Certes le paysage paradisiaque qui s'étendait à mes yeux était magnifique mais aucune trace de vie n'était visible. Je parvins à me poser non sans mal dans une plaine bordée d'arbres. Pressé de trouver une source d'eau je vidai mon ballon et le laissai sur place. Quand je fut entièrement entouré d'arbres, j'eus la peur de ma vie. Les feuillages s'agitaient et des branches craquaient. Ce bruit me tournait autour quand soudain, un homme de deux fois mon âge sortit d'un buisson et cria : "En garde !" "Qui êtes-vous?"demandais-je. "Oups, désolé, il ramassa son épée en diamant et descendit de mon dos. Excuse-moi" "Permettez-moi d'ignorer l'endroit où je me trouve." "Enfin voyons, tu te trouves à Boréalis mon petit" "Boréalis ? Attendez une minute, je ne vous suis plus." "Tu n'est pas d'ici n'est-ce pas ? Y aurait-il un autre monde ailleurs ? D'où viens-tu ?" "Je viens de Moturia." "Etrange, tu as dû rêver, je vais te conduire à la civilisation." "Volontier !" Il me conduisit jusqu'à une ville nommée New Stendel et m'y abandonna. "Tout au bout de cette avenue tu trouveras de quoi te loger, dit-il calmement." Je marchai donc dans la direction qu'il m'a donnée en empruntant un sentier qui me fit faire un détour. Je pus donc admirer les merveilles de New Stendel. Avant de partir l'homme m'avait chuchoté : "Ne t'aventure pas dehors, certains te feraient du mal" Je suivis ses conseils et je restai dans la ville. Puis, je fus pris par cette attirance envers la ville de New Stendel et le soir même je me suis dit : "JE VEUX VIVRE ICI" Conclusion : Je vous remercie d'avoir pris le temps de lire ma candidature et j'espère bientôt vous rejoindre. Aurevoir. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
meikah_in_fire Posté(e) le 20 février 2012 Partager Posté(e) le 20 février 2012 Bonjour. Félicitation, tu es maintenant Paysan. Ta candidature correspond à ce qui est demandé. Sois digne de ce nouveau rang, et bienvenue parmi nous ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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