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[Accepté]Postuler au rang de voyageur : Descamps


descamps
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Bonjour et bienvenu sur ma candidature pour obtenir le grade de Voyageur !

 

Petite présentation IRL et IG.

Comme vous avez pu le lire sur ma candidature de paysan, je m’appelle Julien, je suis en seconde et j’habite dans le Maine et Loir (a l’ouest pour les inculte :P). Je suis arrivé sur minefield en mai, mais j’ai décidé de postuler pour être paysan que début septembre. Dix jours plus tard, j’étais accepté comme paysan. C’est donc presque deux mois après que je me lance pour être voyageur.

 

Je profiterais de mon « RP » pour vous montrer ce que j’ai fait pendant ce mois là, et mes futurs projets! Ce RP est la suite de celui qui se trouve sur ma candidature de paysan, que vous pouvez retrouver un peu plus bas. Je précise qu’à partir de maintenant mes RPs et présentations seront totalement indépendants de ceux de Cackie. On le retrouve dans mes textes bien sur mais il n’y participe pas.

 

RP paysan :

http://www.minefield.fr/forum/post157813.html?hilit=#p157813

 

Rôle Play :

 

 

Descamps

 

Cackie

D : Je vivais dans la cité dans les arbres et Cackie dans le village au bord de la mer. Nous nous sommes croisé plusieurs fois, durant ma chasse je le croisait parfois pêchant au bord du lac. Dans mon village perché dans les hauteurs, on craignait les monstres vivant dans la pénombre sous nos pieds. La foret très touffue offrait une réserve de bois considérable mais abritait surtout les plus grand danger. L'organisation dans mon village était simple : Chaque famille a un métier, de mineur à chasseur, en passant par garde de l'entrée ou gardien du savoir du village. Et sur plusieurs générations, on exerçait le métier jusqu'à la mort, du plus jeune au plus vieux. Ainsi, mon père, mon grand père et mon arrière grand père mon appris tout jeune à chasser, pendant que ma mère et ma grand mère s'occupait de nos victuailles.

 

C : En fin d'après-midi, je pris ma canne à pêche, et je m'élançais sur notre petite terrasse au bord de l'eau. C'était le meilleur endroit pour le poisson.

En attendant, je contempla une énième fois le paysage qui m'entourait : l'imposante forêt touffue, et, bien plus haut, la cité dans les nuages , où vivaient des habitants, libres, et sans commandant, dirigés par eux-mêmes.

La vie dans les bengalows était un peu du même système que nos amis de la forêt : des familles, chacun dans un bungalow, avec un salon commun sous l'eau et dans le bungalow central. Ma famille et moi-même étions pêcheurs depuis la nuit des temps, mes d'autres s'occupaient de la voie ferrée, d'autres coupaient de ce bois si précieux pour nous, tout à fait étanche, mais qui craignait le feu. Enfin, nous étions sur l'eau, donc il n'y avait pas de problème. Le soleil se couchant, je vis sortir les monstres de leurs tanières, qui ne venaient pas chez nous, heureusement d'ailleurs, car nous avions assez de monstres dans les abysses de la mer…

Après une bonne nuit de sommeil, je me levait à l'aube pour encore pécher.

Et, encore perdu dans ma contemplation, du paysage, je vis cet arbre en feu dans la forêt...

 

 

D : Une matinée, tout allait changer. Je préparais mon carquois comme tout les matins avant le levé du soleil pour partir à l'aube. Depuis le toit de la cabane familiale, j'attendais le soleil. La fraîcheur matinale commençait à se transformer en chaleur étouffante d'été. J'étais heureux d'exercer le métier de chasseur, car à l'abri sous les arbres je ne devais pas endurer le soleil, contrairement à de nombreux habitants. Je fut tiré de mes pensées quand je vis une fumée noire s'échapper d'un arbre à l'opposé de ma cabane, près de la mer. Le plus grand risque que cours les habitants du village est qu'un incendie se déclare; sûrement un squelette enflammé par le soleil qui est venu toucher la foret ! Sans hésiter j'empoigne mon carquois et descend l'échelle à toute vitesse pour prévenir le village. Mais trop tard : La foret est maintenant complètement en feu. Je tente de réveiller le plus de personne possible, mais les flammes s'attaquent d'ors et déjà aux premières cabanes, rompant les ponts entres elles. Me résignant à alerter les autres, je resserre la sangle de mon carquois, j'attrape une épée et je saute dans le lac sous ma maison.

 

C : Je reste impuissant devant cette immense forêt qui est là depuis des générations et des générations et qui, en l'espace de quelques heures, à quasiment finit de brûler. On ne sait pas ce que les habitants des cabanes sont devenus, On sait juste que très peu vont pouvoir avoir la chance de survivre à cet incendie meurtrier. Soudain, le vieil homme du village crie en montrant du doigt un bungalow terrestre. Un arbre en feu s'est écroulé dessus, la maison s'enflammant immédiatement. Le feu se propage comme une traînée de poudre sur le chemin. Nous qui croyons nos maisons indestructibles, restons bouche bée devant ce spectacle. Soudain les familles les unes après les autres s'élancent et se jettent à l'eau. Moi, personnellement, je passe plutôt par le tunnel en verre, qui sort aussi au niveau de la terre. Je sors dans un bungalow, au milieu du feu, en cherchant désespérément la sortie, jusqu'à voir la porte en bois. Je sors, Et m'écroule, inconscient, sur le sable, au bord de l'eau...

 

 

D : Je restai caché sous l'eau le plus longtemps possible pour échapper à la chaleur infernale des flammes. Lorsque l'air fut respirable, les premières couleurs que j'aperçut en ouvrant les yeux furent le noir des cendres et le bleu de la mer et du ciel. Aucun arbre de la forêt n'avait survécu. En émergeant de l'eau, je découvris un sinistre paysage : Aucun habitant du village n'a survécu. Je serrai les dents à chaque fois que je croisais un corps calciné entre deux troncs. Je me suis dirigé vers la mer, pour découvrir que la cité voisine aussi, avait brûlée. Il ne reste plus rien des beaux bungalows beaucoup plus luxueux que nos petites cabanes, exceptés quelques membres d'humains que les requins ont du épargner. Les habitants, sûrement pris de panique, ont sauté tout droit dans la bouche des prédateurs.

Je fus heureux de découvrir Cackie, étendu sur la plage, ayant l'air de respirer. Après lui avoir fait reprendre conscience, il m'expliqua le désastre sur son village. Et c'est ainsi que moi chassant, lui pêchant, nous survécurent ensemble et voyageons jusqu'ici.

 

 

RP voyageur :

 

 

Une fois arrivé dans le royaume gigantesque de Minefield, Cackie et moi n’arrivions pas à croire ce que nous voyons. En faisant le tour du pays, les constructions nous parurent plus incroyable les unes que les autres. Moi qui étais habitué à mon misérable village de pécheurs ou cabanes suspendus, la grandeur de l’arbre d’Hypérion, la richesse de Stendel et toutes cette population réunies nous donnèrent l’envie de nous installer partout. Mais la première (et l’une des plus majestueuse) de toutes les villes que j’ai visité fut Nevah. Au détour d’une ruelle, une échoppe attirait mon attention : On recherchait des chasseurs en échange d’un appartement en ville. J’y ai investi toutes mes économies en épée en fer que je devais renouveler quotidiennement à cause de l’usure. La guide des chasseurs m’a fait découvrir les recoins du serveurs que je ne connaissais pas encore : Nimps pour les mobs agressifs, la mer sous Stendel et ses environs pour les poulpes, et toutes les immenses pleines pour le reste. Ces ainsi que quelques jours plus tard, je fus nommé King of Hunter, en ayant la possibilité de m’installer. Mais me poser ne me tentait pas, je souhaitais découvrir encore beaucoup de ville, pourquoi pas participer à un projet avant.

Quelques jours plus tard, quittant les pleines verdoyantes de Nevah pour un endroit où se faire un peu d’argent, la foret dans laquelle je me trouvais se stoppait nette pour laissé place à un immense désert aride. Il était sur ma route en ne pouvant pas le détour, je me lançais dans sa traversée. Quelques jours plus tard, toujours dans le désert, en ayant bu ma dernière goutte d’eau, je ne voyais plus que du sable, des cactus et des mirages. Plusieurs fois je croyais sauter dans des lacs glacés, pour finalement m’écraser et dévaler une dune. Je me serais coupé un bras pour une bonne bière du tavernier de New Stendel. Sur le point d’abandonner, je vis un autre mirage, mais beaucoup plus précis. Une porte immense et riche en décoration, mais seulement à moitié construite. Mort de soif, je perdis connaissance à ses pieds. Avant de quitter le monde, j’entendis ces paroles « Ramassez moi ça, et mettez le sur pied. Ca fera un escla… travailleur de plus ! ». Quelques minutes plus tard, je repris connaissance dans une hutte de voyageur nomade, composée seulement d’un lit double, d’une table de nuit et d’un coffre. Mais elle était construite de manière à ne pas laisser entrer la chaleur et à garder la fraicheur de la nuit. Une gourde était posée sur la table de nuit et contenait un petit fond d’eau. Je me sentais bien et commençais à me rendormir. Je rêvais d’une coupe de boule de glace cassis et citron avec des copeaux de chocolats et un coulis de fruit rouge quand on me secouât pour me ramener sur Terre. La première chose que je vis fut un homme de la même taille que moi, pratiquement nu, à l’exception d’un pagne. Je remarquais par la même occasion que j’étais moi même nu. Me cachant du visiteur, celui-ci s’exclamât en riant :

« Enfile ça, en tendant le même pagne qu’il portait, le sultan a ordonné qu’on aille vendre tes habits aux marchés de la plus proche ville. La construction de la muraille coûte chère, nous utilisons tout ce que nous pouvons… Désolé il va falloir t’y faire. Ah j’aurais aimé être le chanceux qui a une journée de marche pour vendre tes habits ! Mais je peux m’estimer heureux d’avoir une pause pour te chercher. Viens vite où je vais devoir faire des heures sup’ ! ».

Quittant la hutte, sans que je ne dise rien, il continuât en marchant vers une hutte plus spacieuse :

« Je m’appelle Toinelafrite, et voici la future ville d’Alukia. Comme tu peux le voir elle n’est pour l’instant qu’au stade de la construction mais nous y travaillons de 6 heures le matin à 20 heures le soir ! Je te présente Luigi0891, Teewlo et MysterCy qui travaillent aussi ici. Tu rencontras bientôt d’autres travailleurs tu verras. Mais avant tout, le sultan veut te voir. Surtout ne le contredis pas si tu tiens à ta vie ! ».

Il partit aussitôt au pas de course vers la porte en construction. Sans l’avoir rencontré, ce sultan m’inspirait déjà une crainte, comme si mon instinct de survie me criait de partir en courant. Mais partir où ? De tout les cotés il n’y a que le désert, et je n’ai pas d’eau. J’ai déjà eu de la chance une fois, je n’ai pas le choix. Je suis emprisonné sans qu’il n’y ait de barrière de pour m’empêcher de fuir. En entrant dans la hutte, j’y découvris un homme concentré sur des cartes entrain de tracer des frontières en reportant des mesures avec un compas de marine. Il avait l’air un peu perturbé et il marmonnait sans arrêt « … si seulement ces ***** de modo pouvaient me foutre la paix pendant que je bouffe du territoire à la ville d’à coté… Raaa si je pouvais les faire taire ! Je suis obligé de tout recalculer, ces murailles ne seront jamais finies ! ». Il remarquât ma présence et se stoppât net.

« - Bienvenu à Alukia, je suis Sairl, le sultan de la ville. Tu me dois une fière chandelle que je te trouve, étrangers ! J’ai gaspillé pour te réanimer la portion d’eau de trois travailleurs… Comment t’appelles tu ? D’où viens tu ?

- Je suis Descamps, et je ne vis nulle part (à ces mots le regard du sultan s’illumina). J’essayais de traverser ce désert, mais il semblerait qu’il soit trop grand pour mes réservoirs d’eau.

- Ne t’inquiète pas pour l’eau, dans les prochains jours ton corps s’habituera à très peu boire.

- Comment ça « Dans les prochains jours » ? Je vais rester ici ?

- Comme je disais, tu me dois une fière chandelle. Je pensais que tu pourrais rester quelques temps ici, histoire de découvrir notre charmante ville. Non ? »

Quelques minutes plus tard, je portais des blocs de Sandstone d’un entrepôt à la porte et ca jusqu’au soir. Là, une vingtaine de travailleurs s’affairaient à la construction des murailles. Certains taillaient des fresques, d’autres s’occupaient des piliers, d’autres encore de l’éclairage à l’intérieur. Quand le soleil se couchât enfin, à bout de force, je bus ma petite portion d’eau et m’endormis dans la plus petite tente.

La nuit fût courte mais la journée suivante longue : le soleil m’écrasait et bien vite ma peau habituée à l’ombre des forêts fut rouge de coup de soleil. Deux ou trois jours plus tard, on installât une hutte à coté de la mienne. Je fus surpris en revenant le soir de découvrir mon ami Cackie, qui apparemment avait fini ici aussi. On s’étais perdu de vu, mais apparemment d’après son récit on n’a jamais été à plus loin que quelques jours de marches l’un de l’autre. Lui aussi a eu du mal à s’habituer au soleil et aux conditions de travail, mais étrangement, assez vite nous étions capable de travailler toute la journée sans trop souffrir. Une fois le dernier bloc de la muraille posé, la vie fut bien plus facile. On délimita des parcelles pour différents bâtiments. Finalement Cackie et moi décidâmes de s’installer dans cette ville, et de participer à sa construction. Petit à petit, nous avons perdu le statut de larbins pour finalement être des membres actifs de la ville.

Un jour, Sairl me chargea du ravitaillement à New Stendel en eau et en matériaux. Je connaissais maintenant mieux la région et sortit du désert sans problème, connaissant l’emplacement d’oasis souterrain qui étaient impossible à trouver sans savoir comment. Parcourir le monde de Minefield comme avant me faisait du bien, en chemin je redécouvris les plaisirs de la chasse. J’allais décocher une flèche sur un animal sur un animal dans un buisson, très peu discret quand je remarquais qu’un pieds, humain en dépassait. Un homme dormait dans ce buisson, et vu sa tête, New Stendel et ses bières n’étaient sûrement pas loin. Je le réveillai en lui plongeant la tête dans la mer, toute proche.

« - Lève toi, j’ai failli te tirer dessus. Qu’est ce que tu fais à dormir dans un buisson ?

- J’étais à New Stendel… Si je me souviens bien, c’est flou dans ma tête, je crois que je n’avais pas assez d’argent pour payer le tavernier. Toute la clientèle de la taverne ma poussé jusqu’à bord de l’île volante… Je suis tombé jusque dans la mer avant de m’échouer ici…

- Haha, bien fait pour toi. Enfin tu aurais pu t’écraser sur le sol… Je m’appelle Descamps, et toi ?

- Numil ! Que fais tu ici ?

- Je viens de la part de la ville d’Alukia pour acheter des réserves pour la construction de la ville.

- Je cherche justement une ville où m’installer… J’ai une trop mauvaise réputation maintenant et de toute façon New Stendel est trop cher pour moi, je ne peux même pas me payer une bière. Je peux t’accompagner ? Je t’aiderai en chemin et peut être si ton chef est d’accord je pourrais vous aider !

- Pas de problème, la première étape de notre parcours et de rencontrer un outilleur, pour nous faire des outils en obsi, on en a besoin pour creuser les souterrains de la ville. Il s’appelle xxbananna, et on doit le retrouver dans une ruelle de la ville. Il paraît qu’il fait les meilleurs prix dans le coin ! Ensuite on ira chercher suffisamment de sable pour construire le palais de Sairl et enfin de l’eau pour les travailleurs. ».

De retour à Alukia, Sairl accueillît comme il se doit notre nouveau larbin, Numil. C’est comme ça que marche les choses, là bas. On commence tous au plus bas, et on finit (pour la plupart :P) avec des responsabilités !

 

Avec mon grade de paysan, je projette de choisir comme spécialisation Outilleur, en partenariat avec Cackie qui sera Forgeron si tout ce passe bien. Ainsi on s’entraidera entre nous, comme l’un ne peut pas fonctionner sans l’autre ! Bien sûr j’achète au moins une fois par mois des PAs, il n’y a pas de problème de ce coté là. Ce grade me permettra de rédiger dans quelques mois une candidature de commerçant. Mais avant je veux m’impliquer encore plus dans le jeu et dans ma ville.

 

Je me suis bien intégré comme (je l'espère) en témoigneront des plussoiements. J'ai participer à pas mal d'event depuis que je suis paysan, et je me connecte quotidiennement.

 

Screens de mes constructions sur le serveur :

 

Ma maison en deux parties dans le quartier pauvre d’Alukia :

Aperçu 1

Aperçu 2

 

Un petit pied à terre à Nimps pour stocker mes coffres pendant la construction :

Aperçu 1

Aperçu 2

 

J'ai aussi comme vous l'aurez compris participer à la construction d'alukia, voici quelques screens :

Les termes 1

Les termes 2

Les termes 3

La ville en général

 

Merci à tous d’avoir lu ma candidature. Et merci à tous ceux qui m’ont aidé dans le jeu, je pense à xxbananna pour ses conseils, Sairl pour son sadisme, Numil pour nos batailles d’éclairs, Numa97 pour nos recherches désespérées, Wiagra pour m’avoir chaleureusement accueillit à l’ADNA, vincent169 et sa guide qui ont été mes premiers contacts dans Minefield et of course Cackie avec qui j’ai toujours tout fait. Désolé à ceux que j’ai oublié, dans mon RP ou dans mes remerciements, vous vous reconnaitrez !

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Descamps, je te plussoie !

 

Tu es un très bonne ami, cela était un plaisir de te faire visiter Inmora avec ton frère, je me suis bien marré x)

 

 

Bref pour un très bonne ami à moi:

 

 

+10

 

 

 

Cordialement Xxbananna

 

Ps: Je suis les premier Yeah !

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Pour plussoyer les gens faut faire un long post ? Tels et la question...

Mmh mais je pense que quand le joueur en vaut la peine pas besoin de perdre son temps pour se justifier.

 

A vous de choisir :

 

+1

 

 

 

+1

 

 

 

+1

 

Haha je parie qu'après avoir cliqué la première fois vous avez regardé ce qu'il y avait d'autre de caché

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Bonjour,

 

Félicitations pour ton nouveau rang de voyageur ! Sois en un digne représentant.

 

J'ai une petite remarque concernant ton rp, sympathique au demeurant, mais si tu comptes en faire d'autres, j'aimerais que tu fasses attention à un détail. Lorsque tu fais parler d'autres personnes "réelles", ici Sairl, évite de leur faire dire des bêtises qui pourraient laisser croire qu'ils les pensent vraiment. Merci !

 

Louvinette

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