[Accepté]Candidature de Tenebrax pour le grade de paysan

[Tenebropolis]

Bonjour Minefieldiens et Minefieldiennes,

 

Présentation IRL:

 

Je me prénomme Charles j'ai 14 ans, je suis actuellement au lycée. J'ai beaucoup d'intérêt pour tout ce qui est rattaché à la création, dessin, et aux systèmes mécaniques et électroniques. J'ai déjà joué à minecraft sur différent serveur mais aussi en mode solo. (survival). J'ai décidé de faire ma demande de candidature car ce serveur est très vivant avec des bâtiments très impressionnants et j'adorerais avoir le privilège de devenir paysan parmi les autres paysans. Je ne suis pas réellement un psychopathe car mon RP le laisse entendre. Voilà !

 

Pseudo In Game: Tenebrax

 

Présentation RP:

 

Asseyez vous donc à ma table, citoyen. Je ne serais trop vous conseiller de prendre un verre car le destin vous a mis à travers ma route. Et que vous le voulez ou non, vous devrez écouter mon histoire (Et ! non ! Ne vous en allez pas ! J'ai même pas encore commencé !)

 

Tout a commencé lorsque ma mère m'a éjecté dans la vie. Mais la douleur était trop important ! Et elle est morte après l'accouchement. Mon père me détestait pour ça et m'abandonna dans la rue à l'âge de 10 ans. Pendant cinq ans, je faisais la manche au passants mais on me volait plus que je recevais de PA.

Je quittais la ville, désirant me vengé de ma triste vie sur le reste du monde. Je m'installais dans un bois, après avoir erré des semaines. J'avais enfin ma propre petite cabane. Elle tenait à peine debout mais c'était ma propriété, et j'en faisais ce que j'en voulais. Ah! Si seulement j'avais ce pouvoir sur les autres ! Peu à peu, cette cabane a évolué en maison, cette maison en manoir et ce manoir en château. Les gens de la ville commençaient à se demander qui rasait leur forêt et construisait des murailles. Des rumeurs circulaient sur moi : l'ermite. C'est pourquoi ils décidèrent de passer à l'action.

Toute la populace était en guerre contre moi. Ils n'avaient pas finis de pourrir ma vie.

"Aux armes !","A mort !" étaient les ordres donnés dans la place du marché. Enfants, femmes et hommes se munissaient d'épées, en fer ou en pierre et même parfois en bois. De mon côté, je me barricadais comme je pouvais pendant que l'on entendait le choc des armes sur les armures qui se rapprochaient, les tremblements de terres sous la course de ces hommes enragés.

Ils sont maintenant devant chez. Ils brûlent, saccagent, détruisent et anéantissent mon chez moi.

Ils ont traversé la grande porte. Je panique. Je casse le plancher dans ma chambre. Ils réussissent à rentrer dans le hall. Je casse toujours. Ils passent par un couloir. J'arrive enfin à la terre que je m'empresse de creuser. Ils m'entendent. Je creuse toujours. Ils cassent la porte à l'aide de leurs armes. Finalement, je réussis à m'enfuir en voyant l'œuvre de ma vie se consumer. Voilà pourquoi je hais la ville. Voilà pourquoi je hais ces gens. Depuis, je les observe. Je passe inaperçu. Je note et apprend leur emploi du temps. Et... je les assassine. Ils ne se rendent pas compte de ce qui leur arrive. Parfois, ils s'en fichent. Je ne vis plus dans les rues vous savez. J'ai mon propre QG à l'intérieur de l'ennemi. Maintenant que je vous ai expliqué comment j'en suis arrivé là, je suis sûr que vous ne m'en voudrez pas d'avoir empoisonné votre verre. Vous commencez à tousser. Ne vous inquiétez pas, ce sont un des nombreux effets douloureux de la composition de mon poison. Vos intestins commencent à se perforer de l'intérieur. Parce qu'au font, vous êtes comme eux, non ?

Hum... vous êtes si pathétique, vous vous ressemblez tous. Bon, je dois y aller, j'ai bien d'autre gens à massacrer. Ne te soucies pas de ton corps, il ne va pas pourrir, je vais brûler cette endroit pendant que tu agonises. Je te souhaite une mort rapide... même si ça ne sera pas le cas.

 

Voici mon histoire. J'espère que tu l'as lus avec attention, afin de savoir quel psychopathe tu as à faire.

[Louvinette]

Bonjour,

 

Candidature validée.

 

Bienvenue sur Minefield.

 

ps : J'ai reversé le contenu de mon verre dans le tien. Comment te sens tu ?