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[Accepté]Demande de candidature - o0o_Rock_Lee_o0o


Rock Lee
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IRL : j'ai 35 ans et j'habite à Clermont dans le Puy de Dôme. J'ai connu Minecraft il y a à peine 15 jours sur un site de geeks (Korben), et Minefield dans les excellents tutoriels (en 10 parties) de TheFantasio974. Sur Minefield, je souhaite participer aux projets de construction d'Horcade (habitants qui m'ont beaucoup aidé lors de mes débuts et que je remercie), ainsi que de m'établir en tant que commerçant dans un avenir que j'espère proche.

 

 

RP : Qu'est-ce qui se passe ? Où suis-je ? Mais qu'est-ce qui s'est passé ? J'ai mal à la tête et il fait si noir. Ah ça y est, ça me revient un peu. La TNT, l'explosion ! C'est ça. J'ai mal évalué la quantité. Ah bon sang, tous ça pour quelques misérables diamants... Mais dans quel pétrin je me suis encore fourré ? :/ Si je m'en sors, je jure de ne plus toucher une pioche de ma vie. Il faut absolument que je remonte à la surface. Bon, il faut que je reste calme, voyons voir si j'arrive à trouver des torches.

 

En fouillant quelque peu l'obscurité avec mes mains, je finissais par trouver ce qui ressemblait à un outil. Je le tâtais bout à bout pour voir de quoi il s'agissait. J'arrivais sur ce qui paraissait être une partie métallique. Diantre ! C'était cette satanée pioche ! De rage, je l'envoyais au plus loin de moi, et elle alla taper dans ce qui semblait être des caisses. Je me dirigeais donc dans cette direction, et y trouva mon coffre. Je jetais mes bras à l'intérieur pour trouver de quoi éclairer la poche d'air dans laquelle je me trouvais. Par chance, il me restait des torches. Je pris mon briquet, et aussitôt, la situation désastreuse dans laquelle j'étais m’apparût. Effectivement, il ne restait plus grand chose à espérer.

 

Dans ce silence, par moment perçait un léger grondement dès que j'arrêtais de bouger. Aussi entrepris-je de creuser vers cette source d'espoir. Aussitôt, je m’employais à la tâche. Plus j'avançais, et plus le son devenait intense. La chaleur commençait à se faire sentir, le manque d'oxygène aussi. Je suais à grosses gouttes, et je commençais vraiment à avoir du mal à respirer. Ce serait vraiment ma dernière chance si je débouchais sur un puit vers la sortie. Je mis un dernier coup de pioche, et l'air frais entra dans un souffle violent, mais salvateur. Mais aussi, ce que je ne compris pas tout de suite, une déferlante d'eau qui finit d'élargir le trou pour envahir toute la cavité où j'étais.

 

L'eau montait rapidement, et le courant qui arrivait sur moi faiblissait. Je n'eus pas trop le temps de réfléchir. Aussi j'entrepris de nager vers la source du flux. A peine je plongeais, l'eau était au niveau du plafond de la petite grotte, et c'est alors que le courant s'inversa, je fus happé par la sortie que je convoitais, comme dans un siphon. Ma tête heurta une paroi rocheuse, et je ….......

 

Qu'est-ce qui se passe ? Où suis-je ? Mais qu'est-ce qui s'est passé ? Ah c'est pas vrai.... Voilà que ça recommence….. A la différence de la première fois, je sentais une légère brise sur mon visage, les rayons du soleil caressaient ma peau, mes jambes baignaient dans une eau fraîche, et... et quelque chose me mangeait les cheveux oÔ Je me levais brusquement, faisant fuir un mouton, aussi surpris que moi qui détalait à vive allure. Plus de peur que de mal. Je regardais autour de moi ce que je pouvais apercevoir. Des prairies verdoyantes, quelques collines plantées d'arbres, et une petite rivière, dans laquelle j'ai sûrement dû dériver.

 

« Bien ! » m'esclaffais-je. C'est pas trop mal comme situation, surtout pour voir d'où je sortais. Ma foie, puisqu'il faut choisir une direction, je décidais de partir droit devant moi, azimut brut. Je finissais enfin par tomber sur une route. L'habitude veut que la majorité des gens vont quasiment toujours à droite. Donc c'est qu'ils viennent de la gauche. Aussi allais-je à leur rencontre.

 

Au bout d'une heure de marche, je croisais un vagabond. Tout comme moi d'ailleurs. Cela dépendait de quel point de vue on se plaçait.

 

« - Hé l'amie, où vas-tu comme ça ?

- Je vais à la chasse aux moutons, pour vendre leurs laines, et toi ?

- Je vais nulle part, je cherche mon chemin. A vrai dire, je ne sais même pas où je me trouve. Comment t'intitules-tu ?

- Je m'appelle Pekopey. Et toi ?

- Rock Lee, enchanté de faire ta connaissance. Je vais venir t'aider pour ta récolte de laine, et ainsi tu me mèneras à la ville.

- Je te remercie Rock Lee, faisons ainsi ! »

 

Après une campagne fructueuse d'une bonne semaine, nous partîmes pour New Stendel. Cela faisait plusieurs jours qu'elle m'expliquait l'organisation du commerce de la laine, ce que l'on en faisait, comment on la traitait, pour en faire de magnifiques tentures, tapis et rideaux. Elle m'expliquait aussi le gouvernement de New Stendel, les différentes contrées, les richesses de ses provinces, les magnifiques constructions, issues des cerveaux un peu fous parfois de leurs architectes. Au fur et à mesure que nous approchions de la capitale, je pouvais vérifier que tout ce dont elle m'avait parlé été bien plus merveilleux que ce que j'avais pu imaginer.

 

Je ne savais où donner de la tête. Amaterasu la paisible, Torcuba la discrète, Nevah la protectrice, Fingelberg la glaciale, et..... New Stendel l’opulente. Je n'avais jamais rien vu de tel. Les échoppes remplies d'articles, de bijoux précieux, de tissus soyeux et de mets fins. C'était décidé, je m'installerai ici.

 

Pekopey me présentait à ses amis d'Horcade, qui avaient un grand besoin de bras. En effet, il restait encore beaucoup à faire. Aussi je me proposais de les aider. Je faisais part de mes projets à Pekopey qui m'invita vivement à faire une demande pour devenir paysan si je voulais résider ici. Aussitôt, je me retroussais les manches et me mettais en besogne de rédiger ma candidature. La lettre est postée ;)

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