Seesmyk Posté(e) le 24 septembre 2011 Partager Posté(e) le 24 septembre 2011 Bonjour, Comme l'indique le titre de ce post, j'aimerais rejoindre la communauté de Minefield. Je ne grief pas, je respecte le staff du serveur comme les autres joueurs, et je ne nuirai pas à la communauté. J'ai maintenant à peu près six mois d'expérience Minecraftienne en solo, et un (petit) passé de Minecraftien sur un serveur pas très connu, où je suis toujours d'ailleurs, mais après le "semi-abandon" de ce dernier et à cause d'un personnel de modération pas vraiment irréprochable, j'ai décidé d'aller voir ailleurs. J'ai découvert Minefield, comme beaucoup d'autres je pense, grâce à une vidéo de TheFantasio974 (D&Cube). Après plusieurs heures de vagabondage à New Stendel, j'ai finalement décidé de postuler pour [barrer]tout casser[/barrer] m'intégrer à la communauté Minefield. J'ai lu quelque part sur ce forum qu'une candidature RP était maintenant obligatoire. J'en ai effectivement une. Avant de la poster, je voudrais me prévenir d'un ban pour plagiat. Vous pourrez effectivement trouver la même sur cette page : http://invaders-fr.forumactif.com/t287-candidature-de-seesmyk. J'en suis bien l'auteur, et il s'agit tout simplement de ma première candidature sur le serveur précédemment cité. Je ne sais pas si cela sera considéré comme du plagiat pur et simple (peut-on s'auto-plagier ?). Si c'est effectivement le cas, je vous prie de me le faire savoir, alors j'en rédigerait une nouvelle. Voici le texte en question : Un arbre. Je ne me rappelle pas de ce qui m’est arrivé, mais je me réveille au beau milieu d’un immense arbre. Tout ce dont je me souviens, c’est mon nom, Seesmyk, ainsi que du village d’où je viens. Nous étions déjà une petite ville, avec plusieurs centaines d’habitants. Je ne me rappelle même plus du nom de mon village. Puis il y a eu cette épidémie... Les gens semblaient en mourir, mais ne faisaient que se transformer, leur peau changeait de couleur, puis ils s’en prenaient aux autres habitants. Les médecins eux-mêmes se faisaient contaminer, ceux qui restaient étaient débordés... On finit par envoyer les guerriers de la ville et des villes alentours contenir l’épidémie, et on construisait des abris fortifiés pour protéger la population, le temps d’un retour à la normale qui ne devait prendre que quelques jours... Hélas, on avait sous-estimé la capacité de propagation de la maladie. Les chevaliers ressortaient contaminés, puis se transformaient en dehors de la ville. Dans les abris, le mal se propageait parmi les survivants. Même les animaux étaient atteints. Toute la région était en train de mourir. Pris de panique, je m’enfuis une nuit de l’abri, espérant échapper à la contamination. Je volai un Minecart dans la boutique du forgeron, l’une des premières personnes atteintes. J’empruntai les lignes de chemin de fer de la ville, qui étaient censées m’amener dans une région lointaine, non atteinte par le mal. Ainsi commença un long trajet, sous terre, des rails, des rails, et encore des rails. Puis un déraillage, mon arrivée sur une ancienne voie abandonnée, un éboulement... Un cri, une créature étrange, une explosion... Puis plus rien. Le vide. Et je me retrouve dans cet arbre. Où, je n’en sais rien. La durée de mon sommeil, pas la moindre idée. Mais j’ai l’impression d’avoir dormi des années. Je regarde autour de moi. La branche sur laquelle je me trouve est très large. Des torches ont été disposées sur ses côtés. Elle a visiblement été aménagée pour servir de route. Mais pour aller où ? Je tente de me lever, quand une atroce douleur m’arrache un cri. Je lève tant bien que mal ma tête, et constate avec effroi que ma jambe est transpercée par une flèche, et que la plaie commence à s’infecter. Soudain, j’entends des voix à quelques dizaines de mètres de moi. Je crie au secours. Les voix se rapprochent. Trois hommes finissent par sortir des feuillages. L’un d’eux est à cheval, porte une armure et une épée en fer. Sûrement un chevalier. Tandis que les deux autres ressemblent plus à des paysans, avec leurs chapeaux de paille. Ils parlent dans une langue qui m’est inconnue. Mais au moment où ils me voient, les deux paysans reculent, d’un air effrayé. Le chevalier sort son arc et me vise. Je me protège le visage. La flèche atteint ma gorge. Puis je me rendors. Je me réveille dans une cage. Je tente de m’évader, mais les barreaux sont trop solides. Je suis à présent dans un village, aménagé dans l’arbre. Des gens se pressent autour de la cage, parlent entre eux dans leur langue et me regardent bizarrement. Puis le chevalier qui m’a trouvé arrive. Il crie une phrase incompréhensible aux autres habitants, qui s’écartent aussitôt pour le laisser passer. Il me regarde longuement, puis me demande, dans ma langue : << D’où venez-vous ? - Nous ? - Toi et tes semblables. - Je n’ai plus de semblables. - Vraiment ? Alors pourquoi nous attaquent-ils jour et nuit, détruisant nos maisons, tuant les habitants, assiégeant notre village et les hameaux alentours, terrorisant bûcherons et paysans ? A cause de vous, nous sommes contraints de rester cloîtrés dans nos maisons et nos villages fortifiés, pour éviter d’être assiégés par votre peuple ! - Encore une fois, je ne sais pas de quoi vous parlez. - Ah non ? Tan pis pour toi. >> A ce moment, il lança aux paysans : << Enfermez-le ! Nous le pendrons demain, pour l’exemple. >> On m’emmena dans une pièce sombre, sans fenêtres, toujours enfermé dans ma cage, puis on m’y laissa pour la nuit. Demain, je serai pendu. Je dormais depuiq quelques heures déjà. Quand soudain, j’entendis un cri, derrière l’enceinte du village. Je reconnus la voix d’un des paysans qui m’avaient trouvés avec le chevalier. << Nooooooooooooooooooooooooooon ! >> Au même moment, j’entendis un souffle, juste à côté du paysan. Mais pas un souffle humain. Puis un vacarme assourdissant. Les fortifications, le mur de la maison où j’étais cloîtré, ma cage, tout cela fut détruit. Laissant dans l’enceinte du village un trou béant, qui donnait sur l’extérieur. Je m’évadai. Plus j’y pensais, et plus ce souffle étrange, cette créature inconnue que j’avais rencontrée dans les chemins de fer, cette explosion me faisaient penser à quelque chose. Je les avais déjà vu quelque part. Mais où ? Perdu dans mes pensées, je ne remarquai que trop tard le bruit de pas derrière moi. Repensant aux créatures dont le chevalier avait parlé, je fus assailli par un horrible pressentiment. Le pressentiment qu’un danger imminent se trouvait derrière moi. J’eus juste le temps de me retourner, d’apercevoir une horrible tête, qui n’avait rien d’humain, et une nouvelle explosion retentit. Elle me projeta à au moins dix mètres, me blessant gravement. Je m’enfuis tant bien que mal de cette région maudite, dont je garderai le souvenir toute ma vie. Je regardai ma main, elle était verte. Puis soudain, tout me revenut, mon village, les transformations, mon peuple, ma famille, et surtout mes origines. Mon peuple s’appelait le peuple des Creepers. Et voilà, j'ai fini, j'espère vraiment être accepté sur Minefield. Cordialement, Seesmyk. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Neolink Posté(e) le 6 octobre 2011 Partager Posté(e) le 6 octobre 2011 Bonjour, Candidature validée ! Je te souhaite la bienvenue sur Minefield. Neolink Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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