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[Accepté] Demande de partenariat : Feu !


Dydy51
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Bien le bonjour ! Si je suis ici, c'est pour vous demander l'autorisation de vendre les présents du Feu sacré. Vous vous demandez peut-être quel est ce "feu sacré", et bien voici mon récit :

 

J'espère qu'il vous plaira, je ne suis pas très doué en Roleplay, mais je suis un grand lecteur de livres d'aventure, 'fin je pense que ça se voit vu mes Roleplays :P Je vous souhaite une bonne lecture !

 

Chapitre 1 : Transformation

 

Après une dure et éprouvante journée de labeur, j’eus enfin la possibilité de me détendre en toute tranquillité, admirant la magnificence du coucher de soleil. Le paysage Aigenois, vu depuis le littoral boisé de Kainji était éblouissant de beauté. Les vertes étendues de forêt et de plaines étaient couvertes d’une végétation dense, mais qui, au soleil, s’éclairait très légèrement, ce qui donnait un effet de profondeur éblouissant, presque magique. Rien n’aurais pu gâcher cette vision de bonheur, c’était sans compter l’esprit farfelu de meikah.

 

Une odeur de souffre s’échappait du territoire d’Aigen, cela devait être meikah qui, depuis quelques semaines, fait des expériences à base de divers mélanges composés essentiellement de poudre de redstone, minerai aux propriétés étranges. Je pris aussitôt la route reliant nos deux continents, afin de lui rendre visite. Ainsi, après avoir parcouru quelques kilomètres, j’arrivai dans cette charmante petite ville, qui n’était plus vraiment charmante car l’odeur de souffre, malgré l’heure qui s’était écoulée, ne s’était pas dissipée. Je me dirigeai vers l’antre de notre roi, qui lui servait principalement de salle de test de sort et, en toute apparence, cette fois-ci, le test n’était pas concluant. Notre cher souverain était allongé par terre, sans vie. Deux ou trois claques suffirent à le réveiller, et surtout à déchainer sa colère, qui avait pour cause principale le fait que je lève la main sur notre monarque, mais aussi parce qu’il était dépité que son expérience n’avais pas marché.

 

Trouvant la source de l’odeur nauséabonde, je pris un large tissus pour arrêter cette contamination. Sa table de travail était recouverte d’étranges substances, et avec mes talents d’autochtone du chaos, je reconnu immédiatement de la poudre de pierre lumineuse, appelée dans notre dialecte d’indigène « Glowstone ». Je vis également de la redstone et de l’os écrasés, qui formaient tous deux une poudre épaisse et blanchâtre.

- Mais que comptais-tu faire avec toutes ces poudres insolites ?

- J’essaie de créer une potion de téléportations, nom de dieu ! dit-il en marmonnant dans sa barbe.

Il prononça d’autres blasphèmes, que je compris à peine.

- A force d’utiliser des produits de plus en plus forts, tu vas finir par utiliser des éponges ! Dis-je en plaisantant.

- Une éponge ! Une éponge ! Pourquoi n’y ai-je pas pensé aussitôt ? Dydy, tu es un génie ! Alors, une once de concentré de redstone, de l’extrait de méduses sauvages, de la bave d’amphibien bien fraiche, et une chenille verte écrasée et malaxée, le tout ajouté à de l’éponge bien spongieuse ! Ca devrait être bon ! Dydy, comme tu es là, goutte moi ça !

L’apparence verdâtre, et la densité inquiétante de ce produit suffisait à me convaincre de ne pas boire ça. Mais je voulais faire plaisir à mon roi.

Je soulevai le bol à deux mains, puis, prenant mon courage à deux mains, j’en bus une gorgée. C’était, tout simplement, écœurant et encore, c’est un euphémisme. Mis à part le gout horrible, je ne ressentais aucun changement. Meikah vit avec tristesse ces résultats plutôt négatifs.

- C’est étrange … Ah je sais ce que j’ai oublié, des poils d’ours, pour donner de la force lors des téléportations !

Meikah ajouta un poignée de poil d’ours blanc à la substance, qui immédiatement, devint rouge sang, et commença à faire des bulles, à tel point que le mélange commençait à sortir du bol.

- Je suppose que je dois gouter … ce truc ? Dis-je en le regardant avec des yeux doux

- Absolument !

Et hop, malgré l’odeur putride, j’avalai en une bouchée un tiers du bol. Je tenta de me téléporter, en vain.

- Grmlblbllb, tous des incapables, je dois tout faire par moi-même !

Il pris une goutte à l’aide d’une fiole en verre, puis la déposa avec délicatesse sur le bout de sa langue. Il constata alors que l’effet attendu n’était pas au rendez-vous.

- Non ! Ce n’est pas possible ! J’ai mis tous les ingrédients qu’il fallait !

 

Soudainement, je me sentis lourd, de plus en plus lourd. Mes membres commençaient à s’élargir dangereusement, mon ventre gonfla d’un coup, de sorte que les boutons de ma veste volèrent tels des projectiles. L’un toucha meikah, qui s’évanouit rapidement. Des poils commençaient à me sortir d’un peu partout de la peau, de sorte qu’une épaisse fourure blanchâtre recouvra la totalité mon corps. Mes mains devinrent de grosse pâtes poilues. Je compris vite en regardant meikah se transformer à son tour que j’étais devenu un ours polaire !

 

Chapitre 2 : l’exil

 

Je devais me cacher à tout prix, les gens me tueraient afin de revendre ma peau, qui, avec de la chance, pouvait se vendre 15 pièces d’or. Je pris la direction de la forêt des brumes, je voulais rejoindre la vallée de Kainji ; elle était inhabitée et assez spacieuse pour que je puisse m’y cacher. Sur le chemin, un étrange personnage, qui, de par sa taille, ressemblait à un gnome. Il portait les cheveux longs, et dégageait une odeur d’alcool. Sa barbe rousse ressortait avec ses yeux verts. Il avait l’air très sympathique, et comme il semblait anormal, je pense qu’il pourrait me comprendre, aussi, je m’approchai de lui :

- Ah ! Un ours ! Au secours !

- Non, non ce n’est pas ce que vous croyez, je suis un gentilhomme !

- Et moi je suis l’empereur de New-Stendel, haha ! Mais, je parle à un ours ! … Serais-je devenu-fou ?

L’étrange gnome regarda le niveau de sa gourde qui semblait contenir de l’alcool. Il fut assez surpris quand il vit que le liquide arrivait aux deux-tiers de la gourde.

- Mais, dis-je, vous êtes humains au juste ?

- Je suis un nain, ça ne se voit pas, espèce de gros ours pataud !

Un nain, je ne savais pas ce que ce terme voulait dire, mais, pour ne pas le vexer, j’acquiesçai de la tête.

- Vous ne connaitriez pas en lieu ou je pourrais me cacher de la population ?

- Bah si, vas au nord-est, et descend à Midgard, la ville des Helliens, personne n’y va depuis qu’une rumeur affirme qu’ils sont cannibales, enfin, ce sont des rumeurs …

Je crois que le seul morceau de cette petite phrase que j’ai compris et : vas au nord est !

- Bon, j’dois te laisser l’ami, je retourne chasser l’elfe ! Rétorqua-t-il en ricanant.

 

Si y’a bien un truc que j’avais retenu de mon enfance, c’est lorsque le fou du village m’avait dit que le sud-est c’est Aigen, et que, en tenant compte que Aigen est partout, le sud-est, c’était partout. Mon père m’avait toujours dit de ne pas croire à ces calomnies, mais bon, je n’avais aucun repère géographique, donc autant suivre les conseils de ce vieillard. Logiquement, si le sud-est est partout, alors le nord-est est là ou n’est pas le sud-est. Tous ces calculs étaient trop compliqués pour moi, alors je décidai de longer les côtes, je le trouverais bien, ce nord-est !

Après 3 jours de marche, je sentis peu à peu l’atmosphère se réchauffer. J’étais arrivé devant une magnifique montagne, tellement haute qu’on aurait pu toucher le ciel si l'on montait à son sommet.

- Et bien, me voila en sécurité dans ce désert, personne ne s’aventurera ici, pensai-je à haute voix.

C’est alors qu’un bruit sourd et affreusement fort se fit entendre : Boum ! Boum ! Boum ! Boum !

De la lave sortie du haut de la montagne, et lentement descendait la pente. Oh non, le mont se révèle être un dangereux volcan ! Vite il faut fuir, ou sinon je vais périr !

Et hop, je sautai dans le premier abris venu. Il faisait très noir à l’intérieur. Heureusement, je me promène toujours avec des allumettes. J’en pris une, et en un tour de main ( de patte plutôt ) le feu éclaira la totalité de la salle. C’était en fait un squelette d’un monstre géant. L’idée de s’abriter dans le cadavre d’une créature sinistre me dérangé fortement, j’avançai donc dans les ténèbres du noir.

 

Chapitre 3 : La descente aux enfers

 

AhhhhHhhhHhhhhHhhhHHhhhhhhH ! Au secours ! Je venais de tomber dans un profond ravin. La fin était proche, j’allais mourir. Ce qui était curieux, c’est que cela faisait plusieurs minutes que je tombai dans ce vide. Je fermai les yeux pour ne pas assister à mon destin funèbre. Soudain, je sentis que je m’arrêtais net. Etais-je mort ? Peut-être. J’ouvris un œil, j’étais face contre terre. Je me roulai sur le dos pour me relever. Je n’étais pas décédé, étrangement, cela m’inquiétait encore plus. J’étais dans une grande salle composée de pierre, qui devait être du granit. Au centre se tenait une grande arche, dont les contours étaient d’obsidienne. Un tourbillon mauve subsistait en son centre. Sur une petite pancarte à droite de l’arche on pouvait lire :

 

Portail pour le nether, si vous n’avez pas peur de la mort faites le grand saut !

 

Le nether ! Moi qui rêvais d’y aller ! Et oui, je crois que le moment est venu de vous annoncer quelque chose :

Je n’étais qu’un indigène en bois. Toutes mes connaissances avaient été apprises par correspondance épistolaire avec un maître dans l’art de cette dimension parallèle qu’est le chaos. Mon professeur m’avait inculqué tout ce qu’il y avait à savoir dans ce domaine, mais ce n’était pas suffisant. J’avais envie de voir ça, de le toucher, de le sentir.

 

Seulement voila, j’avais un terrible défaut qui était commun à toute l’espèce humaine ( J’étais un ours physiquement, mais je restais un humain à l’intérieur ) : la peur. J’avais peur de tout ; peur de la mort, du vide, de l’inconnu, du temps, et surtout peur de m’aventurer dans une dimension inconnues peuplée de monstres tous plus dangereux les uns que les autres.

Mais pourquoi continuer ainsi ? Mener une vie monotone, sans aucuns risques et aventures ? Ce n’étais pas fait pour moi, à moi la liberté, à moi la vie, à moi le nether !

 

Chapitre 4 : Le Feu sacré

 

J’étais comme dans un tourbillon de couleurs, c’était assez vomitif, mais aussi très excitant. Ce spectacle de couleurs vives commençait à me bercer, d’autant plus que j’étais très fatigué ; je n’avais pas dormi depuis trois lunes.

Quand je me réveillais, je me trouvais au bord d’un lac composé d’une lave visqueuse. Je ne pensais pas que le chaos pouvait être aussi beau. Mais j’avais un pressentiment bien étrange. Évidemment il n’y avait pas de routes. Je pris donc la direction opposée au lac, ce qui me permettra de retrouver mon chemin promptement et facilement.

 

Plus j’avançais, plus j’entendais des gémissements, des cris et des plaintes effrayantes. Pourtant l’endroit avait l’air d’être inhabité. L’endroit était quasiment sans relief, mais j'aperçus au loin une colline.

Avec un peu de chance je pourrais distinguer une infrastructure humaine.

Ma patte était pleine de sueur, aussi il me fallut quelques minutes pour grimper cette simple colline. Et là, je vis, la plus belle merveille des merveilles, un temple d’inspiration grec composé essentiellement d’or, et orné de statues toutes plus belles les unes que les autres.

- Il faut que je vois ça de plus près ! Pensai-je

Je courut donc pour admirer la beauté architecturale qu’était ce monument.

 

Arrivé à l’intérieur, je vis une stèle, dont les lettres gravées d’or me rappelaient celles du temple de Kainji. Il y était marqué :

 

Bienvenue au sanctuaire de Elista, au centre de ce temple vous trouverez le Feu sacré, une entité pacifique et qui permet de protéger le monde de New-Stendel des bêtes horribles et démoniaques qui vivent dans le nether.

Si le Feu sacré du sanctuaire parvient à s’éteindre ce serait dramatique pour le monde que nous connaissons.

 

Rha, comme d’habitude, lorsque je pars pour me balader, je me retrouve à sauver le monde au péril de ma vie. J’aurais parié 1000 pièces d’or que le feu était en danger. Mais l’heure n’était pas aux jeux. Évidemment, je n’avais pas d’épée. Je m’avançais prudemment à l’intérieur, armé d’un simple bâton de bois. J’étais arrivé dans la salle du feu.

Au centre, il y avait une immense flamme, à même le sol. Les murs étaient ornée d’une frise, qui relatait la création du monde actuel - pour ne pas vous révéler des secrets qui pourraient bouleverser certains; je ne vous dirais pas ce qu’elle contient, mais sachez, chers lecteurs, que nos historiens, même les plus compétents, se trompent.

- Vous ne devriez pas être ici ! Me dit-une voix sinistre.

- Mais qui êtes vous ?

- Je suis ton pire cauchemar, je suis les ténèbres, je suis la mort, je suis le chaos, je suis … le dragon noir !

Oh non, pourquoi pas un simple monstre, non il faut toujours que ce soit un dragon …

Il était là, juste au dessus du feu, me regardant avec ses yeux rouges sang. Ses écailles étaient noirs, un noir si profond qu’il en était envoutant.

- Toute ma vie j’ai rêvé de quitter cet enfer et d’abattre mon pouvoir sur votre monde, et aujourd’hui j’ai cette opportunité. Je suppose que tu ne veux pas du chaos sur ta planète ?

Je fit oui de la tête, cette question n’avait aucun sens, qui aurait voulu mort de désespoir sur terre ?

- Bien, alors je vais devoir te tuer ! Que le combat commence !

Le dragon se mit à cracher du feu par les deux petits orifices qu’il avait au dessus de sa bouche. Le combat était fixé d’avance, il allait gagner. Mais je ne pouvais pas abandonner comme ça.

Un coup de griffe par là, un coup de patte par ici. J’essayais de le fatiguer. Peu à peu la bête n’était plus dans son état normal. Elle se mit à cracher du feu avec une telle puissance et vivacité que la salle était presque devenue un four.

- Tu l’auras voulu !

 

Il venait d’éteindre le feu avec sa grosse patte. La puissance et la chaleur du Feu sacré l’avaient tué. Il était peut-être mort mais le Feu sacré n’était plus, bientôt notre monde allait être colonisé par des bêtes immondes et démoniaques.

Clac … Quel était ce tout petit bruit aigu ? D’où provenait-il ? Je regardai sous mes pieds, mon paquet d’allumettes venait de tomber par terre. Mais oui ! Voila la solution ! Il en restait trois. La première s’alluma facilement, mais s’éteint aussitôt. Le seconde ne s’alluma même pas. Il ne me restait qu’une seule chance de sauve le monde. Je me rappelait les mots de mon père : Pour qu’un souhait se réalise, il suffit d’y croire. Alors je pensai très fort au bonheur de l’humanité. La petite flamme faible qui sortit de l’allumette ne s’éteint pas, victoire !

 

Soudain, le Feu sacré reprit de plus belle, il était encore plus grandiose et impressionnant !

- Tu as réussi ! Merci de m’avoir ramené à la vie ! Ainsi s’achève ton voyage en enfer, Dydy. Comment pourrais-je te remercier ? Ah je sais, je t’offre le feu, en souvenir de l’aide que tu m’as apportée. Je te laisse le vendre, pour faire bénéficier aux gens la chaleur et la protection qu’offrent les flammes. J’espère que nous nous reverrons, enfin non, nous nous reverrons c’est certain !

 

Merci d'avoir lu cette demande, en espérant être validé, Dydy.

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Bonjour à tous,

 

je plussoie nôtre cher Dydy sur cette demande de partenariat de Feu, car sur Aigen, nôtre petit Indigène n'a pas de Feu, et comment allumer ma cheminée alors que l'Hiver arrive ?

Aigen n'est pas une région chaude, il faudrai que Dydy puisse nous vendre le Feu nécéssaire à l'allumage de nos pauvres cheminées qui commencent à êtres pleines de charbon !

 

Un gros +1 à toi Dydy, pour cette demande, en éspérant revoir ton magasin à Aigen avec de quoi nous réchauffer car l'hiver arrive et il sera très froid !

 

Cordialement,

 

GamoniaX

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Bon c'est pas mal! Dommage, j'ai l'impression que tu as bâclé ta fin, tu n'explique pas comment tu transporte le feu ou comment tu l’amène. On va dire que c'est la flamme sacrée qui t'as filer une boite d'allumette :P

 

Accepté

 

Je te rajoute au cubo du feu sous peu dans le magasin de dokmixer

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