TempArea Posté(e) le 21 août 2011 Partager Posté(e) le 21 août 2011 Bonjour peuple de Minefield ! Aujourd'hui (Enfin) je me suis mis dans l'écriture du projet de Leyawine, du moins, la réofficialisation de la ville. Pourquoi ? Suite aux nouvelles régles en vigueur et surtout vu que la ville a été reprise par une nouvelle équipe. Owi, raconte nous qu'est-ce que c'est Leyawine !? Leyawine est une petite ville / village, bien éloignée de la capitale, au calme et loin de tout problème (ou presque). Au style architecturale semi D&Cube 1, semi Fingelbergois qui se veux village qui cultive la terre. La ville n'est pas très très rôle play, mais plutôt fun et libre avec une équipe soudée et active sur Mumble, le tout dans la bonne humeur. De plus, Leyawine c'est aussi une ville accessible à tous ! Les terrains de bonne taille sont très peu cher et le payement ne presse pas, cuboïder votre maison est le plus important ! De plus si vous n'êtes pas sûr de pouvoir réaliser une belle maison, les habitants se feront un plaisir de vous conseiller, voir même de vous aider ! Un système de candidature très légère va bientôt être mis en place, notre but n'est pas de rajouter une corvée au joueur, mais plutôt de filtrer le plus gros. TempArea ! Raconte nous une histware 8D (Rôle play) : Peu importe mon nom et peu importe d’où je viens. Je vous écris car j’ai un message à vous transmettre. J’ai le regret de vous informer, ami lecteur, que vous êtes condamné. Je sais que vous ne me croirez pas. Je sais aussi que je vais passer pour un fou et à juste titre. Je suis en train de le devenir mais je ne l’étais pas avant toute cette histoire. Qu’importe. De toute manière, lorsqu’on retrouvera cette lettre, je ne serais plus. Comprenez-moi : je lègue dans cette lettre les derniers fragments de raison qu’il me reste. Le reste m’a été enlevé, arraché par une chose innommable et ancienne que je vénèrerai si elle n’était pas la cause de mon proche trépas. J’ai du mal à croire que je vivais paisiblement, confiant dans l’avenir, il y a 3 jours de cela, j’appris que mon oncle venait de décéder et que j’héritais de sa maison. Mon oncle était quelqu’un d’étrange. Il était le « mouton noir » de notre famille. Son extravagance et son penchant pour l’ésotérisme le rendait indésirable et envié par sa famille. Il n’était pas rare, lors des réunions de famille qu’il improvise des séances de spiritisme ce qui faisait de lui l’objet de nombreuses moqueries et autres railleries. Mon oncle avait bon fond et il était gentil. Il n’était pas comme ça avant la mort de sa femme qui est morte avant ma naissance. Il ne s’est jamais remis de sa disparition et a depuis lors, tout tenté pour la retrouver d’une manière ou d’une autre … J’étais très surpris d’apprendre que j’étais sur le testament de mon oncle. Nous ne nous étions pas vu souvent mais j’avais apprécié chaque moment avec lui. J’avais toujours des questions à lui poser sur ces étranges passions. Je ne me moquais pas de lui derrière son dos contrairement aux autres. C’est probablement la raison pour laquelle je suis sur son testament. Les autres membres de ma famille ne le respectaient pas et n’étaient courtois avec lui uniquement pour l’héritage, il n’était surement pas dupe. J’étais en route pour la propriété de mon oncle et je regardais la carte et la brochure de la ville que la mairie m’avait envoyée. Elle était plutôt éloignée de la capitale stendel puisque ses coordonnées étaient 100/-1864. Elle semblait être un hameau plus isolée, loin de tout et donc des commodités des centres urbains. J’apercevais sur le plan la propriété de mon oncle, située un peu à l’extérieur de la ville et les diverses infrastructures de la ville : mairie, moulin, place … Leyawine était une petite bourgade ordinaires aux premiers abords. La propriété était imposante et ayant toujours vécu dans une petite maison, je me demandais comment j’allais pouvoir m’en occuper. Une des clauses de l’héritage était que je vienne m’occuper des possessions de mon oncle et de les garder en l’état. Le trajet vers la petite ville de Leyawine était long, aussi, j’avais opté pour un trajet en train. J’en profitais pour effectuer une sieste ce qui me conduisit au plus étrange des rêves: Je me sentais mu par un irrésistible sentiment de liberté, puis je me suis vu en train de dormir de l’extérieur de mon corps. Cette expérience bien que troublante ne m’était pas désagréable, loin de là même, je me sentais bien, je commençais même à apprécier divers changements : les couleurs me semblaient plus vives qu’à l’accoutumée et mon acuité visuelle n’avait jamais été aussi précise ce qui me permettais d’apprécier chaque détail du paysage. Je me suis senti aspiré ce qui me fis m’élever au-dessus du sol et au lieu d’être arrêté par le toit des wagons, je traversais celle-ci sans qu’elle m’oppose la moindre résistance. C’est ainsi que je me retrouvais sur le toit du train qui filait en direction de Leyawine. Le toit du train offrait un magnifique point d’observation du paysage côtier, marqué toutefois par une végétation dense constituée de chênes et d’hêtres. La mer était agitée et le vent, relativement violent, me faisait parvenir des embruns qui teintaient celui-ci d’un goût salé. J’entendais les grondements du ressac lorsque les vagues s’écrasaient sur les falaises. Ce bruit, rythmique, était au début apaisant mais il se teintait peu à peu pour devenir sauvage et ancien. Ce bruit se transformait peu à peu en des sons étranges, brutaux, sauvages avec des rythmes tribaux. Les vagues se mettaient également à vibrer et formaient à présents des chants prononcés dans une langue qui m’était inconnue. Celle-ci était principalement constituée de syllabes prononcées gutturalement et très sèchement. Il en ressortait une impression de malaise et de dégoût qui s’accentuait de plus en plus. Une peur naissante se développait à l’intérieur de mon ventre et se nourrissait des chants païens et de ces tambours. Je fixais à présent une ombre dans la mer, une zone plus sombre ou la lumière ne pouvait traverser. L’eau noire était agitée de remous et semblait vivante. Une litanie semblant provenir des abysses me parvint alors: « Ph'nglui mglw'nafh lyeh wsgah'nagl fhtagn ». Aucun mot ne pourrait décrire l’horreur qui s’empara de moi lorsque j’entendis ces quelques mots. Ces mots avaient été prononcés par une voix monstrueuse et effrayante qui ne pouvait être humaine. Le sentiment d’horreur me submergea lorsque j’entraperçu que quelque chose remontait à la surface et au moment où celle-ci émergeait je fus pris d’un vertige. « Monsieur ! Monsieur ! Nous sommes arrivés en gare de Leyawine ». Je me réveillais, quelque peu perdu, sur mon siège à l’intérieur du train, alors qu’une charmante contrôleuse essayais de me réveiller. Je sortais de la gare, suivant les autres voyageurs et je pris la direction de la propriété de mon oncle. Le soir commençait à tomber mais il faisait beau et j’aimais marcher. Je passais ainsi dans le centre-ville de Leyawine : celle-ci disposait d’une belle place en hommage à la révolte des fourches ou un trident de taille imposante siégeait au centre de celle-ci. J’avais lu des livres relatant de l’histoire du village que la révolte des fourches fut des évènements marquants ici qui a abouti à donner aux paysans des privilèges autrefois attribués aux classes sociales plus élevés. Durant mon trajet, j'ai pu admirer l’architecture pittoresque de la ville : les habitations sont principalement faites de planches de bois et de pin et sont toutes bâties sur deux étages. Certaines possèdent des balcons et sont très souvent pourvues d’ornementations florales. Une place couverte de fleurs égayent un quartier résidentiel ou quelques personnes profitent du beau temps. Les habitations sont toutes regroupées et le centre-ville comprend le quartier commerçant comprenant de nombreuses échoppes parmi lesquelles un menuisier, un mineur, un tisserand, un alchimiste, un aventurier et un indigène. L’aménagement des boutiques est remarquable et toutes sont très bien achalandées. J’ai croisé également un moulin pourvu de magnifiques ailes blanches. Un phare rappelle que la ville est située près de la mer et une église renforce le charme pittoresque de cette région. Toutes les personnes que j’ai croisé semblaient être heureuses de vivre ici et j’espérais pouvoir éprouver ce sentiment lorsque j’habiterai ici. Je prenais ainsi la route en direction de la propriété de mon oncle. Il me fallait ainsi m’éloigner de la ville. Je suivais un chemin pavé qui longeait la montagne d’où s’écoulaient de nombreux ruisseaux qui se rejoignaient dans divers petits bassins. La végétation devenait de plus en plus dense au fur et à mesure que je m’éloignais de la ville. J’arrivai finalement devant l’entrée de la propriété qui était bordée par 2 fontaines. L’entrée proprement dite était creusée dans la montagne et seule la présence d’une petite arche en bois indiquait que l’homme était intervenu. Je passais l’entrée et derrière la végétation se densifiait encore si bien que personne n’aurait pu s’éloigner du chemin prédéfini et s’aventurer au cœur de la forêt. La végétation changea au bout d’un moment. En effet, de la canne à sucre vient étoffer la végétation pourtant étouffante et contrastait avec les chênes et hêtres présents dans la région. C’était une belle propriété et le chemin me conduisit au bord d’un petit lagon par le biais d’escaliers bordés d’arches présentes régulièrement le long du chemin. J’arrivais ainsi devant la maison de mon oncle qui était suspendue au-dessus de l’eau. Elle était richement décorée tout en grès, en pin et en planches de bois. Seul quelqu’un de riches aurait pu se construire une maison de la sorte. Après un si long voyage, je décidais de me restaurer et de me coucher de bonne heure. Cette nuit-là, je continuai le « rêve » du train. Je voyais les eaux sombres s’agiter de remous et je vis la chose sortir de l’eau. Je dis bien chose car aucun homme ne pourrait décrire ce que je vis dans mon rêve. Je vis tout d’abord des masses de tentacules s’agiter et siffler, le tout entourant une tête gigantesque semblable à une montagne, elle avait une forme absolument abominable, toute en courbes et en tentacules qui provoquaient des gerbes d’eau lorsque celles-ci se mouvaient. la était semblable à un calamar, mais était gigantesque car elle devait mesurer une centaine de mètres de hauteur et je fus pris de vertige en prenant conscience de la taille de la créature. Elle poussait un hululement semblable à une mélodie qui monta de plus en plus dans les aigus à mesure que le corps de la créature émergeait de l’eau. Je repensais à mon voyage vers la tour Eiffel ou je m’étais émerveillé devant les dimensions de cette construction. La taille de cette créature était bien plus terrifiante que tout ce que j’avais pu voir auparavant. La litanie que j’avais pu entendre précédemment explosa dans mon crâne : « Ph'nglui mglw'nafh lyeh wsgah'nagl fhtagn ». Je n’en comprenais toujours pas un mot mais une terreur s’installa aussitôt en moi, me pétrifiant sur place, éloignant le moindre sentiment agréable, de joie ou même d’espoir de moi. Rien ni personne ne pouvait venir à bout d’une telle créature. Je fus réveillé à l’intérieur d’une cellule par des cris et des gémissements. Je regardais à l’intérieur de la pièce où j’étais, or celle-ci était plongé dans une pénombre ne laissant rien transparaître sauf une petite lucarne qui laissait passer une faible lumière. Ayant repris mes moyens, je décidais de me lever et d’aller observer par cette lucarne. De celle-ci, je me rendis compte que c’était la nuit et je me trouvais dans une des caves des maisons qui jouxtaient la place de Leyawine. Des formes en capuches se trouvaient au centre de la place et formaient un cercle que je ne pouvais apercevoir de là ou j’étais. Deux individus en capuche trainaient une 3ème personne vers le centre. Il s’agissait d’un des touristes que j’avais aperçu dans le train. Je scrutais les formes en capuche et je reconnu quelques personnes parmi les villageois. Quelle était cette folie et qu’est-ce qui se passait ici ? je fus sorti de ma torpeur par des cris provenant du centre de la place mais que je ne pouvais apercevoir. D’autres figures capuchonnées amenaient une autre personne. Cette fois-ci, il s’agissait d’une femme et elle était consciente d’après ces hurlements. « Non, qu’avez-vous fait de mon mari et qu’allez-vous faire de moi ? » répétât-elle. Personne ne daignait lui répondre … Elle poussa un dernier hurlement lorsqu’elle atteignit le centre de la place puis elle se tût. Vous qui lisez cette lettre, je sais que lorsque vous la trouverez, je ne serais plus. J’ai réussi à écrire cette lettre dans l’espoir infime que quelqu’un puisse mettre un terme à cette folie. Je sens que ma raison m’abandonne. Les litanies s’amplifient dans ma tête et j’ai du mal à discerner ce qui est réel de ce qui ne l’est pas. Je vois la créature dans chaque ombre à présent, dans chaque feuille qui vole et dans chaque goutte d’eau. Cette créature est ancienne et malfaisante. Craignez sa colère et ses fidèles, faites que nos morts ne soient pas vaines … Rôle play écrit par florenziiii Les informations techniques [*:hyp9slw8]Nom : Leyawine[*:hyp9slw8]Plan de votre territoire : http://img600.imageshack.us/img600/3295/leyawine.jpg [*:hyp9slw8]Zone de construction : Sol et souterrain[*:hyp9slw8]Objectif du projet : Habitation[*:hyp9slw8]Personnes responsables du projet : TempArea, Greed28, nicekyubi, Baaldor Leyawine en image Vue d'ensemble de la ville : Architecture de Leyawine : [*:hyp9slw8]Maison standard en planche.[*:hyp9slw8]Coins de la maison en buche de pin.[*:hyp9slw8]Base au choix (Cobble, pin, planche)[*:hyp9slw8]Pas d'étage ouvert mais balcon autorisé. Note : Les habitants de Leyawine seront ravis de vous aider pour la construction de votre maison. Place marchande : Gare de Frowin : Un point info indispensable ! : Le port : Voilà voilà ! N'hésitez surtout pas à nous contacter, nous sommes particulièrement présent sur Mumble, salon Leyawine dans la nation Frowin. Prochaine edit : [*:hyp9slw8] Le rôle play sera illustré[*:hyp9slw8][barrer]Un logo pour la ville[/barrer][*:hyp9slw8]La liste des habitants Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
legumanigo Posté(e) le 21 août 2011 Partager Posté(e) le 21 août 2011 Très joli post, superbe RP et magnifique ville, mais Leyawine est avant tout une communauté exceptionnelle dirigée d'une main (ou plutôt deux) de maître(s) par nicekyubi et Temparea, deux joueurs fort sympathiques et accueillants. Allez visiter cette ville à la rencontre de ses habitants, vous ne serez pas déçus, parole de légume! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nice.kyubi Posté(e) le 21 août 2011 Partager Posté(e) le 21 août 2011 MER-VEIL-LEUX TRAVAIL Temparea. Moi et tout les habitant de Leyawine ne te remerciera jamais asser pour enfin t'avoir occuper du poste de Leyawine, SANS oublier le super RP que Florenziiii nous a écrit. bref, merci d'avoir fait a ma place car je n'aurait assurément pas fait mieux... alors MERCI! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dorango Posté(e) le 24 août 2011 Partager Posté(e) le 24 août 2011 Hello, Réofficialisation acceptée, bonne..année ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
SL Posté(e) le 24 mai 2012 Partager Posté(e) le 24 mai 2012 Yop ! Merci, si vous ne l'avez pas encore fait, d'envoyer à Dorango votre fiche codex telle qu'elle est décrite sur ce post de meikah. Vous avez jusqu'au 9 juin pour le faire. Bon jeu. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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