Cailbur Posté(e) le 23 juillet 2011 Partager Posté(e) le 23 juillet 2011 Hello tout le monde ! Certains vous me dire : Mais t'es déjà Marchand, on veut pas de toi ! Non, non, non, je ne viens pas pour enfoncer encore une fois le clou ( ce sera la prochaine fois ! ), je suis simplement là pour obtenir les... doubloutils en diamants ! *tintin* Alors, pour ceux qui me regarde avec des yeux globuleux ( Oui, oui, j'en vois un au fond, là ), il s'agit simplement d'un outil stacké en 2. Donc, quand une pioche ( exemple ) vous lâche au fond d'une mine, une seconde prend la relève, sans forcément prendre plus de place dans votre inventaire ! Et pour renforcer le tout, il s'agira de doubloutils en diamants ! Donc, des outils qui dureront 2x plus longtemps ! Awesome ! RP de Kmairiaux pour une explication plus approndie. Kmairiaux continuait sa route, en quête de zones défavorisées où construire ses échoppes afin d’aider la population locale. Après plusieurs jours de voyage, il arriva dans un vallon. L’eau y était bleue, les oiseaux chantaient et de grands arbres fruitiers florissaient à perte de vue. Kmairiaux n’en cru pas ses yeux et, en tant que bon personnage, décida de se frotter les yeux. Seulement voilà, une fois la chose faite le paysage changea brusquement. L’eau se changea en une fange verte, les oiseaux en poussière quant aux arbres ils se changèrent en menhir de pierre moussue. Il décida d’aller voir de plus près ce mini cataclysme et croisa, lors de sa descente aux enfers, une sorte d’indigène à la con du chaos. Il le questionna sur la région et découvrit qu’elle n’avait pas toujours été dans cet état. - “En effet mon seigneur, jadis la région était belle et florissante mais mon avidité me poussa à creuser toujours plus profondément, jusqu’au jour où je déterrai une statue semblable à celle d’un humain. Un pouvoir néfaste en émanait !” - ”He bien, qui l’eut cru. Les mages maléfiques qui ont trouvé l’artefact ont non seulement réussi à survivre à l’explosion mais en plus ils ont emmagasinés une quantité incroyable d’énergie néfaste.” - “Exact mon bon maitre, cette quantité incroyable d’énergie les a cependant punis en les changeant en pierre. Mais mes pioches ne sont pas assez résistantes pour le briser ! Je ne peux donc pas stopper l’influence maléfique…” - “Bien, je vais voir un sorcier que je connais bien, il pourra surement nous aider.” Kmairiaux reprit la route vers la grotte du mage, grotte très bien cachée et pas du tout indiquée par des panneaux alimentés en redstone et glowstone. Il entra. Le mage arriva, couvert d’une toque lui cachant même le visage. Il avait l’air louche, un peu suspect. A côté de lui l’indigène à la con du chaos avait l’air d’une bonne sœur défilant pour miss monde. Le mage arriva au comptoir, s’appuyant à celui-ci il jeta un œil au voyageur avant de lui demander la raison de sa venue. Notre voyageur s’assit, fixant l’ombre servant de tête au mage, lui raconta toute l’histoire. - “He bien he bien, je pensais avoir annihilé toutes ces choses avec mes outils magiques mais il semblerait que l’une d’entre elles ai échappé au grand, séduisant (et modeste) Dokmixer !” Une longue discussion s’en suivit, contant les aventures de Dok, comme il aimait se faire appeler. C’était il y a bien longtemps, quand les statues étaient aussi répandus sur terre que bloc de cobble au milieu d’un nid de vagabond. Le paysage n’était que laideur et la vie en surface était presque impossible. Le jeune Dokmixer décida de réparer cette erreur car, après tout, c’était une partie de son pouvoir qui en était responsable. Il prépara un plan qu’il affina d’année en année jusqu’au jour J. Ce jour venu, il s’arma de ses précieuses créations, des outils magiques permettant de tout briser en un seul coup ! Il les appela les super-tools. Son périple fut long et difficile, les Statues invoquant parfois des protecteurs afin de ne pas être détruit, mais il fut couronné de succès. Du moins jusqu’à aujourd’hui, jour où le destin semblait lui rire au visage. - “Voici toute mon histoire, je suppose que vous êtes ici car vous avez surement entendu parler de moi en tant que Destructeur de Statues mais malheureusement je suis trop vieux, j’approche de la trentaine et la force ainsi que la vitalité me manquent” - “Ce n’est pas grave, grand mage. Prête-moi tes outils magiques et j’irai finir ce que tu as commencé” - “Malheureusement ce n’est pas aussi simple, j’étais le seul à pouvoir les utiliser. Et pour couronner le tout, je les ai enterré afin que personne ne les trouve car ce pouvoir entre de mauvaises mains aurait pu être aussi néfaste que les Statues elles-mêmes” - “Ce n’est toujours pas grave, dis-moi juste où tu les as enterré, j’irai les chercher et les y remettrai une fois la chose détruite !” - “Je sens que je peux te faire confiance, la lueur d’espoir qui brille dans tes yeux ainsi que dans ton Slip de Bain me le prouvent. Très bien ! Mes outils se trouvent sur une île au nord-est d’ici, sous une pousse d’arbre qui devrait avoir grandi depuis le temps.” Kmairiaux se rendit donc à l’endroit indiqué mais une fois sur place, une surprise de taille se fit. En effet, un arbre géant se trouvait là où était supposé être le même modèle mais plus petit. En s’approchant, il vit un panneau. -Bienvenu à Hyperion- Cet arbre géant avait sans doute été boosté par la magie des super-tools de Dok. Qu’à cela ne tienne, l’abattre suffirait pour trouver les objets tant convoité. Cependant, bien que l’envie et l’intention y était-il n’était pas possible de couper cet arbre. En effet, à chaque fois que l’on essayait de briser un élément de l’arbre, c’est l’outil qui se cassait. Sans doute un effet secondaire des outils. Cela allait être problématique pour les récupérer... Tout en réfléchissant, Kmairiaux jeta un œil aux noix. L’une d’elle avait un étrange halo bleuté... et pas que ça ! Il y avait un homme à côté, plutôt une chose.. C’était l’indigène à la con du chaos qui était déjà là-haut, fixant bêtement la noix. Ce qui ne changeait pas grand-chose en fait. Après être grimpé le long de l’arbre et être arrivé près de la noix, l’indigène à con du chaos pris peur. Il regarda fixement Kmairiaux puis lui hurla de ne pas approcher de son précieux. Sans attendre, il se jeta sur la noix comme un enfant sur une sucrerie et pouf, il se vit volatiliser. Plus malin, Kmairiaux tenta d’abord une approche avec un stick de bois. Même résultat. Même chose avec une épée de diamant. Lorsqu’il voulut essayer avec sa boussole, il trébucha et..rien. Pas de volatilisation, pas d’explosion, rien. Enfin pas pendant les 10 premières secondes, passé ce délais la noix s’ouvrit laissant apparaître une banale pioche de fer. Faute de mieux, cela sera toujours mieux que rien... Le chemin du retour vers la Statue fut plus court que prévu mais pris néanmoins trop de temps. Le paysage, déjà dévasté, l’était encore plus. Trouver l’Orbe sans l’aide de l’indigène allait être un brin compliqué. - “Besoin d’aide ?” Cette fois familière fit sursauter Kmairiaux qui pensait à un gardien. Mais c’était mieux que cela, Dok l’avait rejoint ! - “Ah te voilà ! Volontiers, trouver la Statue dans tout ce désordre et seul ça risquerait de prendre des jours...” - “Alala les jeunes.” Dok sorti une carte, sur celle-ci 3 points. Deux rouges et un bleu. - “Les rouges, c’est nous ; le bleu c’est notre but. D’ailleurs c’est étonnant que tu sois rouge, les humains sont verts d’habitude.. Bref, allons-y !” Avec la carte, tout se simplifia. Une heure au lieu d’une semaine, c’était tout benef’. Plus le groupe s’approchait de l’épicentre plus son influence néfaste se faisait sentir et devenait oppressante. Une fois arrivé à l’Orbe, Dok essaya de le briser avec sa magie. Ce fut non seulement sans succès mais en plus l’objet riposta gela le temps autour de lui. Kmairiaux, qui tenait fermement sa poignée de pioche, se retrouva seul face à la Statue, désemparé... - “Super, tout ce qu’il me reste c’est le pioche de l’Hypérion.” - “Ai foi en elle, un grand pouvoir émane de cet objet ! La preuve, tu n'as pas été gelé !” Ces paroles étaient celles de Dok, il lui parlait par télépathie. il avait décidément plus d'un tour dans son sac ! Kmairiaux commença donc à miner l’orbe avec toute sa force et sa rage. Mais la pioche se brisa après cents coups. Tout était perdu... Ou pas ! La pioche brisée se reconstitua en un instant ! Comme si elle avait eu une deuxième vie. Et cette deuxième vie eu raison de la décoration diabolique, après encore une septantaine de coups à la Belge. Il se fissura puis implosa, absorbant tout le mal et l’influence néfaste des environs. C’était une victoire mais une petite victoire, la perte de Dok faisant ombrage au paysage nouvellement créé. - “Hey ! M’enterre pas trop vite, je n’ai pas encore passé le cube à gauche !” - “Eh ben, pour un quasi trentenaire tu as la peau dure ! Tu as réussi à sortir du freezing de zone à ce que je vois !” - “Il faut bien, qui gèrera ma cité si j’y passe ? Un quatuor de trois ça ne le fait pas ! Eh puis une fois la Statue détruit, ce fut facile.” - “Ta cité ? Quelle cité ?? Et que s’est-il passé avec ma pioche ?” - “La cité de New-Stendel, passe y faire un tour à l’occasion. Pour ta pioche, il semblerait que mes super-tools aient boosté cette pioche en créant une sorte de doubloutils. Une fois que le premier casse, le second prend la relève.” - “Hé mais c’est la classe ! T’imagine ce qu’on pourrait en faire ? Fini la dèche au fond des mines quand tu casses ta dernière pioche !” - “Exact ! Cependant tu ne devras parler de ceci à personne, l’existence des Statues doit rester secrète, les mages ont déjà beaucoup souffert de l’explosion et de l’effet papillon.” - “Ah ? Mais comment se fait-il que personne ne soit au courant ??” - “Car, en implosant, les Statues créent une sorte de rollback touchant le paysage ainsi que tous les êtres vivants l’ayant vu. Seuls ceux le détruisant sont immunisés, comme toi et moi.” - “Je comprends. Mais je ne peux pas me taire, il faut parler de ce fléau et de la manière de l’éradiquer !” - “Non ! Cela créerait le chaos sur Terre ! J’ai une meilleure idée, en échange de ton silence je t’autorise à utiliser les ressources que procurent la noix d’Hypérion à ton gré, qu’en dis-tu ?” - “Mmmh.. Soit, si jamais une Statue réapparait cependant ce sera à nous de nous en charger !” - “Ainsi soit-il !” Et maintenant, mon RP pour obtenir ces fameux outils ! Cailbur se leva violemment de son lit, et se frappa la tête contre la poutre, situé à quelques centimètres de son lit. Sous le choc, il se recoucha et laissa la douleur passer. Il essuya, d'un revers de manche, la sueur dégoulinante de son front, avant de se redresser. Il s'extirpa de sous sa couverture, et mit un pied à terre, puis un deuxième. Il se releva, et attrapa un morceau de pain, qui traînait ici d'il y a déjà plusieurs semaines. Mais la nourriture manquait sur Nimps, et les cochons se faisaient maintenant extrêmement rares. « Aloooors... voyons voir ce que j'ai à faire aujourd'hui » Cailbur fit un petit check rapide de sa liste, sur laquelle il écrivait, chaque soir, les choses à faire le lendemain. Du plus important, au moins important. « Donc, remettre des stocks dans le magasin ! » s'exclama-t-il, s'empressant d'attraper le dessus d'un coffre, et de l'ouvrir si violemment que ce dernier frappa le mur en bois, qui manqua de s'effondrer. A l'intérieur de ce-même coffre, le marchand saisi d'une main de fer une dizaine de pierre bleutées si luisantes, qu'il du se protéger les yeux en passant son bras devant ces derniers. « Mes chers diamants... Mes chers douze derniers diamants. Il va falloir que je mine ou que j'embauche des larbins, dis donc ! J'ai assez pour refaire mes stocks de la journée ! » Puis, après avoir achevé d'un cul-sec sa pinte de bière ( matinale, disait-il ), il s'attela à une table, sur laquelle il y déposa avec tant de délicatesse ses pierres précieuses. Il attrapa aussi, d'une main agile, deux ridicules bâtonnets de bois. Et s'en suivi un martèlement intensif. Chaque coup était important, et c'est au bout d'un quart d'heure que Cailbur leva fièrement sa pioche, surmontée par trois magnifiques diamants qu'il avait pris dans son coffre auparavant. « Allez, plus qu'une hache, une pelle, et j'ai fini ceci ! » soupira le pseudo-forgeron. Et c'est en se servant d'une deuxième pinte de bière, matinale, que Cailbur entama à nouveau le dur travaille d'outilleur. Derrière lui, et pendant qu'en portant de coup agile sur son établi, chauffaient cinq ou six fours, alimentés par du charbon et du bois. Les trois premiers comportaient des blocs de fer tout autour, et à l'intérieur aussi. Dans le quatrième, on pouvait apercevoir plusieurs blocs d'or, aussi luisants que le diamant, mais tout aussi fade que le bois. Même si les pioches dorées ne se vendaient pas aussi bien que celle bleutées, l'outilleur revendait son or aux joailliers du coin, ou encore au paysan, qui pensait mieux faire en achetant de l'or ! A la lueur du cinquième, et dernier four, on pouvait, en plissant les yeux, voir quelques blocs violets profond. Un violet extrêmement noir. Le temps de fonde de ce bloc était dix fois plus long que les deux autres, mais pourtant, il n'était pas forcément plus utile. Il s'agissait bien entendu de l'obsidienne. Même si la vente d'outils en obsidienne n'était, pour le moment, pas très bien vu des Empereurs de New Stendel, Cailbur les faisait déjà fondre, prêt à vendre de ses outils noircis ! Le jeune homme attrapa ses outils fraîchement assemblés, ainsi que sa liste de d'objectifs journaliers, et remonte dans son magasin. À cette heure-ci, il n'y avait aucun clients, et le Marchand en profita pour remettre ses outils dans son seul et unique rayon, juste avant de recevoir une visite d'un client, qui en profita pour dévaliser ses stocks. Cailbur compta minutieusement ses achats, et il pu compter une pioche en diamant, deux pelles en fer et une pioche en fer, ainsi que trois haches et une pelle en pierre. L'acheteur s'approcha de la caisse du magasin, et posa tout ses achats en vrac sur le petit comptoir en bois. « 30 pièces tout rond ! » fit le marchand, affichant un grand sourire commerciale. « 30 PIECES ?! Mais je n'ai pas autant ! Vous avez du vous tromper, ce n'est pas possible ! » s'exclama le vieil homme, qui avait presque fait sourire Cailbur. « Désolé mon vieux, mais trente pièces, c'est trente pièces. Sois vous emportez tout cela en me donnant ces foutus 30 pièces, soit vous remettez tout cela en rayon ! Je n'ai pas que ça à faire ! » Et s'en suivi une longue discussion, qui commença par « Comment décorer sa salle de bain avec des plaques de pression achetées chez Nalaf » pour finir par « Colorer des moutons en vert pour tourner un clip de Pink Floyd » en passant par un petit scoop sur dokMixer et Neymir. Mais à fin, et seulement au bout de une demi-heure, le client mit fin à cette éternelle discussion, pour emporter les outils avec lui. « Oui, oui, j'ai retrouvé des pièces dans ma veste » Cailbur émit un long soupir, et regarda l'horloge, posé par un véritable horloger, sur le mur à sa gauche. Il était déjà 12h00, et il s'empressa de fermer son échoppe, le temps d'une petite pause bien méritée ! Il était bien 13h40, quand Cailbur, fier d'avoir vendu la moitié de ses stocks, descendu dans sa cave, afin de jeter un œil sa check-list, écrite sur une feuille à base de bambou. Cailbur y jeta un rapide regard, puis entreprit d'emporter sa liste avec lui, en l'enfonçant sans délicatesse, cette dernière dans sa poche. « Faire craquer Kmairiaux... du gâteau ! Ah-ah ! » Mais pourquoi voulait-il faire craquer son vieil ami ? Peu de personne le savait, mais le simple rêve de pouvoir vendre les fameux doubloutils de cet énergumène faisait briller ses yeux. Depuis qu'il avait eu sa licence de marchand, il y pensait, tout les jours, chaque nuit. Il n'en dormait plus, et ces temps-ci, le besoin se faisait de plus en plus oppressant. Malgré cette achat le matin même, les clients se faisaient de plus en plus rare, et la bourse amassait aussi bien la poussière qu'une lingette SwifCube. Quand Cailbur arriva devant le magasin de Kmairiaux, celui-ci était entrain de placer en rayon ses si précieux doubloutils en fer. Le marchand avait pensé à tout : Il ne souhaitait pas obtenir le secret de ces outils en fer, non, il ne voulait pas faire de concurrence à son ami. Mais plutôt se partager les tâches, si celui-ci le voulait bien... « Salut Kmai' ! Ça va ? » cria Cailbur, en s'appuyant contre une barrière, posée devant l'échoppe. L’interpellé se retourna vivement, et afficha un grand sourire, à la vue de son coéquipier outilleur. « Hey ! Cailbur, bien, et toi ? » Puis la conversation banale s’enchaîna. On échange des rires, on raconte des blagues et on se tient au dernière actualité sur les Empereurs de New Stendel. On se frappe « amicalement » avant d'éclater de rire. La discussion allait de bon train, quand Cailbur enchaîna sur un rapide. « Alors, tu veux toujours rien de me dire sur tes fameux outils bénits ? », accompagné d'un clin d’œil appuyé. « Désolé, mais je ne peux rien dire, j'ai promis de te rien raconter à Dok'. » Dépité, notre homme leva les yeux au ciel. « Je ne te demande pas de me raconter encore une fois tes innombrables péripéties, mais juste de me donner le secret de tes doubloutils. » « Aaaaaaah ! Je ne parlerai qu'en présence de mon avocat... Non. Je ne peux pas te délivrer le secret. Je ne dois en parler à personne. » « C'est étrange, dénia Cailbur, j 'ai comme qui dirait laissé tomber un diamant tout à l'heure, il doit être dans ton coffre, non ? » Kmairiaux affirma que « non ». « Je n'ai pas pris de diamant ! » « Mince, renchérit ce dernier, j'ai aussi fait tomber un BLOC de diamant derrière ta grille en fer, et je ne peux pas le récupérer... » Kmairiaux semblait réfléchir. Un long silence s'imposa, et il finit par s'exclamer : « J'ai une expérience à faire. Si jamais cela est positif... alors, je te chuchoterai volontiers le secret de mes outils ! Mais avant, j'ai besoin de ton fameux bloc de diamant !» « Ah. Ah.. Ah-ah... m-mon bloc de diamant ? Hééé, j'ai jamais dis que c'était vrai, tu crois quoi ?! » Les deux outilleurs se regardèrent un long moment, Kmairiaux poussa un long soupir, lorsque Cailbur enchaîna d'une « joyeuse » remarque. « J'ai compris, je vais chercher ma bourse et quérir des larbins... » Kmairiaux et Cailbur manquait cruellement de larbin, et n'eurent pas le choix de se livrer eux-même à l'activité si malfamé qu'était le minage. Mais leur peine ne furent pas veine, puisque les deux pseudo-mineurs remontèrent en surface les minecarts pleins de diamants, fer ou encore d'or et d'obsidienne ! Bref ! Le bonheur pour des outilleurs tels qu'eux ! Ils avaient miné pendant plus de 15h, et malgré la souplesse de leurs os, à présent, ils retournèrent ( à pied ! ) sur New Stendel, afin d'atteindre plus facilement l'Hypérion, ce fameux arbre où avait été enterrés les supertools. « Dis moi Kmai', pourquoi veux-tu à tout prix aller à ton magasin à Hypérion ? » questionna Cailbur, qui savait aussi bien que lui la raison de ce long voyage. « Cailbur, tu te rappelle quand je t'ai annoncé où j'avais trouvé mon secret sur les doubloutils ? » fit Kmairiaux, très inquiet, portant un bloc de diamant dans sa main. Il était lourd, mais la souffrance ne serait pas vaine, il le savait... « Ouais, vaguement, pourquoi ? Où veux-tu en venir ? » Mais le Dryadien ne répondit pas, et traça sa route, accélérant à chaque pas. Son ami Nivalien dû se fier à ce dernier, et le suivi de très prêt, fixant inlassablement le bloc de diamant qu'il portait toujours dans son dos. Le jour s'était enfin levé, et Cailbur réveilla brutalement son camarade. Il vérifia d'abord si le bloc bleuté était toujours présent, et après s'être rassuré, ils, tout les deux, s'assied sur un banc au bord d'un lac. « On est à l'entrée de la Baie Dryade, mon hameau, mon joyaux, mon- » « Ouais, c'est bon, j'ai compris, ton village quoi. » l'interrompit Cailbur. Il était toujours de cette humeur le matin. Il a affirmé à Kmairiaux que c'était à cause de son manque de bière. Son taux d'alcool n'était pas assez élevé pour qu'il puisse discuter comme un homme normal. Le Maire Dryadien soupira, et se leva pour aller chercher une de ses bières offertes par dokMixer, il y a de cela quelques semaines. En revenant, il lui la tendit. « C'est bon ? Tu peux parler maintenant ?... » Après avoir achevé d'un joli passer de langue sa ses lèvres sa pinte, l'outilleur l'a planqua dans son sac, pensant que son ami ne l'avait pas aperçu, et conclua sur un ton si joyeux : « Je suis près à l'affronter ! Ton arbre de pacotille ! Ah-ah ! » « Ouais, mais Cailbur, tu sais... il n'est pas question de le couper, hein... juste de grimper ( par des escaliers ), et d'aller dans ma noix... pas une mission de ScarCube, hein. » « M'ouais, on y va ? » Puis le groupe entama sa dernière ligne droite avant d'arriver nez-à-nez avec les racines de l'Hypérion. Cailbur affirma que ça, c'était un arbre de pacotille, et qu'il arriverait en premier en haut. Jeu de gamin ? Pas tout à fait, car ingénieux, le marchand sprinta vers les escaliers, éclatant de rire avant de... grimper sur les racines. « Cailbur, tu sais que...- » gémit Kmairiaux « Je ne suis pas une lopette ! Je grimpe l'Hypérion ! Je ne suis pas une lopette ! Je grimpe l'Hypérion ! » Le Dryadien renchérit par un léger sourire, avant d’emprunter plutôt facilement les escaliers qui entouraient magiquement l'arbre, qui était beaucoup plus imposant car un arbre millénaire ! Une fois arrivé en haut, Kmairiaux attrapa d'une poigne de fer le bloc de diamant, qui luisait maintenant, comme s'il réactivait au supertools. Mais il ne s'en soucia pas, et ouvrit vivement sa noix, alimentée par des racines bleues cyan, comme auparavant. Le propriétaire de la noix pris son élan, son courage, et balança de toute ses forces la richesse même à l'intérieur de cette intérieur. Instantanément, la noix se referma, et une lueur bleue en éclata ! Un souffle projeta Kmairiaux en arrière, qui chuta de sa branche. Au passage, il frappa violemment son camarade, Cailbur, qui grimpait vaillamment l'arbre géant, avant de finir sa chute au fond d'un profond ravin d'eau. Les deux se relevèrent, et malgré la douleur, le Dryadien remonta à la surface, tout en tirant le marchand en dehors avec lui. Il ne l'attendit pas, et le secoua brutalement. « Ça ! C'est pour ce matin ! rigola Kmairiaux, tout en le traînant, encore sur l'herbe. Allez, vite, on doit grimper en haut avant que la noix ne se referme !» « Oui ! Je suis là ! No-fear ! Je suis debout, je suis vivant ! Ah-ah ! » cria furieusement Cailbur, se voyant encore chuter des branches de l'Hypérion. « Bon, c'est déjà une bonne chose que tu sois en vie. Tu m'as entendu juste avant, ou pas? » « Heu... pas. » tentant de faire une blague. « Bon, il faut qu'on grimpe en haut avant qu'un autre découvre ma noix, j'ai pas envie d'avoir fait tout cela pour rien, non d'un cube enragé ! » « D'accord, je te suis, et cette fois, je prends les escaliers ! » En moins de temps qu'il en faut pour le dire, Cailbur et Kmairiaux était déjà en haut des marches, et finissait de gravir la dernière. Ils étaient aussi impatient l'un que l'autre, et ils se questionnaient déjà sur ce qui était arrivé à leur bloc bleu. Était-il devenu une simple poussière de Lapis Lazuli ? Avait-il muté en une sorte de monstre affreusement hideux ? Ou ne s'était-il tout simple rien passé dans le magasin suspendu. Mais lorsque les deux compères, d'une force quasi-inhumaine déchirèrent l'écorce de la noix, ils ne savaient plus quoi dire. Devant eux, était apparu une magnifique pioche bleutée. Aussi somptueuse que les Déesses de l'Olympe. « Je rêve ou... » « Cailbur, prend la, ou ce sera moi qui la prendrais... » Un sourire se dessina sur les lèvres de Cailbur, qui brandit la fameuse pioche en diamant qu'il avait toujours rêvé... Voilà, j'espère que vous avez passé un agréable moment en (ma) compagnie. Je précise que, tout comme le RP de Kmairiaux ( j'entends déjà les : "Lèches-c*l" et "Plagiat" au fond de la salle ! ), ce texte se situera entre le grade de Marchand et de Citoyen. Donc ne vous étonnez pas de retrouver des extraits de ce RP dans mon futur RP de Citoyen. Je précise aussi, et encore, que ce message est adressé plus spécialement à Nothsa et Loymaster. Sur ce, Cubiquement votre, Cailbur. 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Warkor Posté(e) le 24 juillet 2011 Partager Posté(e) le 24 juillet 2011 Je plussois Cailbur, Owii les doubloutils Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Galaoud Posté(e) le 24 juillet 2011 Partager Posté(e) le 24 juillet 2011 Un nain se lève au fond de la salle: -Hum, je crois que vous vous êtes trompé de salle, les questions et suggestions c'est la dernière à droite quand vous prenez le couloir. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cailbur Posté(e) le 25 juillet 2011 Auteur Partager Posté(e) le 25 juillet 2011 Non, c'est bel et bien un RP pour des objets uniques. Lis un peu avant de te faire remarquer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
SL Posté(e) le 25 juillet 2011 Partager Posté(e) le 25 juillet 2011 Yop Il s'agit d'une demande RP faite pour l'obtention des droits de vente d'objets uniques Galaoud, pas d'une suggestion . Par contre je ne savais pas qu'elle devait être faite ici, à l'époque j'ai fait la mienne (armures en mailles) par MP directement à Dok... Bon jeu ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Galaoud Posté(e) le 25 juillet 2011 Partager Posté(e) le 25 juillet 2011 Ha ouais bah zut, je savais pas que les doubloutils existaient. :/ Autant pour moi, en ce qui le concerne les objets uniques j'ai fait une demande à loymaster par MP comme me l'a conseillé Dok, seulement ça fait environ 1/2 mois et pas de réponse Je pense que je vais demander à Nothsa. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nothsa Posté(e) le 1 août 2011 Partager Posté(e) le 1 août 2011 Demande d'objet unique refusée. Tu dois fournir un RP qui parle des Doubloutils et non dire que kmairiaux en utilise. Ton RP doit être bien structuré, complet et qui parle surtout de l'acquisition des Doubloutils que tu veux avoir. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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