[Accepté]Candidature Raygendo

[Raygendo]

Bonjour arpenteur des plaines de Minefield.

Je me nomme Florian, j'ai 15 ans, et je suis un grand fan de rock, et lecteur héroic fantasy occasionnel. Je vis dans le Jura, un département perdu, où la population de vache surpasse celle des humains. Je tiens d'avance à m'excuser pour mon orthographe calamiteux, je suis extrêmement incompétent dans cette matière. Mais sachez quand même que j'écris toujours de cette manière bien que pleine de fautes mais lisible. (Les Jean-Kevin sont des créatures que je déteste).

 

Étant avare de parler de ma personne je passe immédiatement à la présentation RP (qui je suppose est censé prouvé sa capacité à aligner une phrase).

 

Cette "histoire" ce passe dans une ancienne campagne à une époque reculée. Le personnage dont je raconterais l'histoire est entièrement fictif.

 

 

Dans un brouillard obscur, sous une nuit d'été, un homme et son destrier galope vers leur destinée, comme s'ils avaient la mort aux trousses. Que peut bien donc effrayer autant un homme? Je crois qu'aucun d'entre nous ne désire le savoir. Chevauchant à bride abattue, notre cavalier, que je nommerais Raygendo, voyagea pendant trois nuits et deux jours pour échapper à ces créatures avant d'arriver au château d'Alberia. Il héla les gardes et demanda une audience au souverain de ces terres.

 

- Qu'est-ce qu'un paysan qui empeste la mort peut bien vouloir à notre Glorieux Roi? demanda le garde.

- Surveille ton langage vermine, quand tu parle au général de la IX Legio Mortis. Cependant, malgré ta suffisance, je te ferais un résumé:

Voila plus de 1 an que moi et ma légion sommes parties dans les terres du Nord. La guerre de ton Roi nous a menés, moi et mes hommes aux pires horreurs que notre terre doit renfermées. Nous avions monté notre camp lorsque ces sauvages nous attaquèrent.

 

Notre jeune général ne remarqua pas l'arrivée du Roi qui arriva, avertit par l'autre garde.

 

Nous avons massacrés ces animaux sans difficultés, mais ces terres étaient leurs, et ce fût le début d'une année de mort et de terreur. Le lendemain nous marchâmes sur les montagnes. Leurs montagnes. A ce moment, nous étions imbus de nous même.

 

Il vit le Roi, mais continua son récit avec d'autant plus de détails.

 

Ces terres infâmes étaient pleines de grottes, et nos damnés ennemis s'y terraient. Nombres de semaines passèrent, et mes hommes perdaient le moral face aux assauts répétés et inlassables des barbares. A l'aube du troisième mois, nous découvrîment un fort. Un fort de toute beauté. Les portes était fait dans un bois que nous ne connaissions pas, les murs était parfait, je veut dire, les 6 murs! Cette forteresse faite à flanc de montagne possède 6 murs!

Une source d'eau descendait de la montagne, de l'eau pure, abondante et abstraite de tous poisons. De plus l'enceinte intérieure possédait des terres cultivables. Donc sous mes ordres mes hommes ont commencé l'aménagement, nous nous installâmes. Mais il devenait de plus en plus certains que cette forteresse ne fut pas faites par une civilisation éteinte ou actuelle. Les murs étaient trop parfaits, l'intérieur des baraquement étaient éclairés, mais sans fenêtres. De plus, à en jugés par la végétation qui a envahi le sol, il est évident que la forteresse n'as pas servit depuis longtemps. Pourtant aucune traces de sièges, ou de mur abimés. Alors qu'a-t'il put arrivé à ces habitants? Nous nous en moquions, car cette forteresse nous mettaient à l’abri des barbares. Après quelques jours à vivre sur nos provisions, les plantes étaient déjà prêtes à la cueillette. Vous avez déjà vu des betteraves poussées en cinq jours vous?

Les hommes commençaient à devenir nerveux. Deux semaines d'installations, une délégation barbare était à nos portes. Voulait-il parler? Peut-être, je rejoignis mes hommes en faction à la porte et sortis. Là, le barbare se rapprocha et dit:

 

-Vous êtes sur les terres des Fralniens, ceci est leur forteresse. Quittez celle-ci où ils descendront des montagnes et vous décimeront.

Sceptique, mais piqué au vif, je voulus en savoir plus.

-Les Fralniens? Qu'est-ce donc que ces créatures?

-Anciennement c'étaient des hommes. Une puissante civilisation qui vous est inconnue. Mais un jour une terrible infection se propagea, certain dise qu'elle vient du Vide, d'autre dise que c'est le juste retour des chose d'avoir dompté Mère-Nature. Alors il mutèrent. Plus fort, plus vifs, mais surtout plus agressifs. Pour combattre cette agressivité, nos sorciers ont usé de tout leurs pouvoirs pour les repoussés dans la montagne. En contre-partie, nous ne devons jamais mettre les pieds sur ces terres.

 

 

Je pensais que ce n'était qu'un tissu de mensonges, pour nous faire sortir et nous massacré. Alors je l'ai décapité. Ces hommes sont morts criblés de flèches.

Trois semaine d'occupation, la tension est à son comble, des bagarres éclatent pour un tout ou pour un rien. Du nord un défilé de Corbeaux fuyaient vers le sud. Que pouvait bien être ce mal qui les pourchassent?

 

Quatre semaines, branle bas de combat, ces créatures sont à portés de vu. Des tas de loques. Chaque homme se prépare au combat.

 

H+2 le combat commence, mystérieusement ils sont entrés dans la forteresse sans qu'aucun de nous le sache. Les morts affluent, ces créatures sont immortels, sauf par le feu, une c'était effectivement tué en marchant dans un feu de camp... Je décide donc de fuir pour en informés le Consulat et le Roi.

 

-Et que pouvons nous faire, Général? Demanda le Roi.

- Donnez moi le contrôle de la XI et la XII et j'irais les écrasés, sinon elles se déverseront sur nos terres.

- Très bien, mais si vous revenez seul, je vous exécute sur le champ.

 

Je parcours les plaines, l'armée est à son maximum. Les terres du nord sont proches et tout le monde est prêt à en découdre. Mais ces créatures sont devant nous. La formation commence, une pointe de lance de la cavalerie suivi de l'infanterie et des archers. Chaque homme présent connaissait à présent la peur. Nous les vainquîmes, mais je ne souhaitait pas rentré à Alberia. Je partis dans les montagnes et les traversa. Me voici à présent sur les terres de Minefield!

 

 

Merci d'analyser ma candidature, et qui sais, peut-être nous retrouverons nous sur les terres de Minefield.

 

 

Petit Edit: Sur Minefield, je compte faire ma maison (et oui quand même) et miner aider, mais surtout m'amuser.

 

Je m'excuse pour le petit saut avec les légions, et les autres sauts... je me suis dis que j'allais pas faire quatre pages non plus

[Tyroine]

Ta postulation est convenable et semble pleine de bonnes intentions. Essaye

de continuer dans cette voie et montrer plus d'ambition, de motivation.

 

J'accepte la candidature en l'état, bienvenue.