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[Accepté]Demande de grade paysan - VirtualAddict


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Qui suis-je : Violette alias VirtualAddict, 16 ans, bientôt en terminale littéraire. Comme vous aurez remarqué, je me suis inscrite ici il y a déjà plusieurs mois et je ne m'étais pour ainsi dire pratiquement jamais connectée dès lors. Aussi aujourd'hui je souhaiterai évoluer sur votre serveur et obtenir le grade de paysan.

 

Mon expérience dans Minecraft ?

Je joue à Minecraft depuis février et j'ai déjà vu pas mal de vidéos de Minefield (en même temps comment ne pas les avoir vues elles sont nombreuses..), il me serait donc agréable également de contribuer à ce serveur. J'ai joué sur un petit serveur privé où nous avions fait une ville fortifiée, un village en montagne, une ville au bord de la mer et Venise. Aussi je m'adonne au crafting sur le serveur Rodwin.fr et y ai déjà eu quelques projets comme le Village du Père Noël ou un village suspendu aux falaises dont voici le RP :

 

 

 

Très loin au fin fond de la contrée de Norcraft, plus loin que les villages fantastiques, plus loin que les pays qui n'existent pas se trouvaient quelques paysans, transis de froid du printemps jusqu'à l'hiver, du matin jusqu'au soir. Un jour de grande tempête, au beau milieu de la saison dite "glaciale" parce que l'eau même près du feu restait de cube, Père Rufus se dit que plus jamais sa famille n'aurait à souffrir de ce froid, de cette faim. Il fit venir chaque homme, chaque femme, chaque enfant qui vivait dans ces abominables conditions. Il voulait qu'ensemble, ils trouvent une solution à cette misère. Aucun d'eux n'étaient résolus à partir pour de multiples raisons. Certains étaient si pauvres qu'ils étaient voués à mourir de faim et sans toit dans une autre contrée. Les autres étaient ici depuis des générations et ne voulaient en aucun cas quitter la terre de leurs ancêtres. La femme du Père Rufus, la bonne vieille nommée Micheline sortit un vieux manuel qu'elle avait reçu en cadeau de sa mère lors de son entrée à l'école. Ce fut l'unique cadeau qu'elle reçut de la main de cette dernière, car, un jour en rentrant de l'école, après une longue marche dans le froid elle découvrit sa mère pâle, froide, glacée jusqu'au sang. Elle était morte de froid. Ce n'est donc pas sans une pensée douloureuse et une larme à l'oeil que la bonne vieille Micheline prit le livre contre elle. Ce livre était un roman. Il racontait l'histoire de deux jeunes garçons qui connaissaient la faim et la misère. Ils vivaient dans la jungle chaude et humide et se tiraient d'affaire grâce à la hauteur. Ils construisaient des maisons dans les arbres, ou suspendues à des branches, à des falaises... Or depuis sa triste enfance, Micheline n'avait que cette unique histoire à laquelle se rattacher pour s'endormir le soir, à laquelle penser lorsque les jours étaient tristes et gris. Une idée germait dans son esprit... Mais elle n'était qu'une pauvre femme de paysan, qui voudrait bien l'écouter ? Puis quand bien même, son coeur est fermé et son esprit engourdit par le froid, comment trouverait-elle la force de parler, d'argumenter et soutenir son projet ? Elle doutait de plus en plus.

Cette idée était que, les quelques maisons qui peuplaient cette contrée inculte étaient près de d'immenses et riches falaises. Seulement elles étaient trop hautes pour qu'elles puissent protéger les habitants du vent et de la neige. Cependant, si l'on élevait les maisons du sol pour les suspendre aux falaises comme dans le roman, tous seraient protégés et à l'abri du sol gelé. Ils pourraient même creuser la falaise pour obtenir un peu de chaleur des entrailles de la Terre, une chaleur plus chère à tous que n'importe quel bien matériel.

Passèrent les jours et le Père Rufus se désolait de ne pas pouvoir aider sa famille à mieux vivre. Devant cette consternation, la bonne vieille Micheline se décida à parler à son époux. D'abord il ne pu croire qu'une telle idée venait de l'esprit d'une ménagère, ensuite il trouvait cela tellement intéressant qu'il préférait en tenir avisés ses concitoyens. Tous reçurent à merveille l'idée contée par le Père Rufus, qui jamais ne dit que cette idée venait de sa femme. Soit elle en était quand même heureuse car le projet se développait et avec un tel enthousiasme qu'en une saison un nouveau village était né...

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