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[Accepté]Superzazad : Candidature


Superzazad
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Bonjour,

 

Je commence tout d'abord par me présenter. Je m'appelle Mélanie, je vais sur mes 24 ans et je vis dans ma merveilleuse Normandie. J'ai suivi des études de littératures et en ce moment je suis responsable dans un restaurant.

 

Plusieurs passions occupent mes journées : la peinture ( pas encore Van Gogh malheureusement ), la lecture, la pâtisserie ( Non je ne joue pas à Cooking Mama ) et les jeux vidéo. Car oui c'est possible , on peut être une vraie fille et jouer. Virus contracté en regardant mon Homme jouer, je suis devenu accro à certains jeux dont Minecraft. Cela va faire des heures et des heures que je joue, mais seule. Impossible de convaincre la plus part de mon entourage qui me regardent avec un air blasé : " Mais euh y a que des Cubes ???? " et j'en suis blasée ; de plus je commence à arriver aux limites de ma science. Comment faire ? J'ai trouvé : Minefield ! je me lance, c'est parti, me voici.

 

 

Roleplay :

 

 

Superzazad s'est toujours senti incompris surtout par sa famille. Depuis sa tendre enfance, tout ce qu'il désirait, c’était peindre. Peindre la douceur du coton, la chaleur du feu, la dureté de la pierre.

 

" Ca c'est sur qu'la pierre tu vas la trouver dur ! Hors de question que tu ailles en école d'art à Stendel, pour finir comme ces vagabonds sans un sous. Tu viendra avec nous, à la mine. Et puis c'est ça qui forge un homme! " lui dit un jour son bourru de père.

 

Superzazad se résignât alors à passer ses nuits et ses jours dans la mine sans gagner richesse ( malgré la méthode de minage optimisée ) Le charbon, les graviers, la terre, que des couleurs mornes et sans vie. Quand tout à coups, un flot de lave déferlât sur les ouvriers, brulant, carbonisant tout sur son passage mais ses reflets de feu faisaient danser les ombres sur les murs.

 

Superzazad reprit espoir. Même dans la mine, il y a de la vie, de l'agitation.

" Si il faut commencer par là, je le ferai. Je construirais des galeries si belle que personne ne pourra douter de mes talents, je prendrai mon mal en patience mais j'y arriverai"

 

Ce fut le début d'une ère nouvelle : les gens vivaient sous terre ne redoutant plus les bêtes alentours. D'immenses tours de pierre brillaient tels des diamants et le plafond de verre laissait voir aux enfants la faune aquatique et les orages qui faisaient trembler les hommes. Il faisait bon vivre. Le père de Superzazad était fier de lui mais il culpabilisait d'avoir mis des barrières sur les espoirs de son fils. Il attendit son retour pour le souper :

 

" Fils, pars, ne t'occupe pas de nous, vis ta vie. Va à Stendel, tu as tellement fait pour nous, à notre tour nous devons faire quelque chose pour toi : te laisser partir"

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