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[Accepté]Candidature au rang de paysan.


Black Redber
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Présentation IRL:

Bonjour je m'appelle Thomas Nizet, j'ai douze ans et demi et je vis à Germaine dans la Marne. J'aime le ride, l'ordinateur et Minecraft. Je n’aime pas dans Mincraft les Kikoolols, les constructions hideuses et les p**** de la lacs de lave mal placés. J'ai découvert Minecraft grâce à un autre forum et Minefield grâce à mon pote Goo_m_Ba. Mes objectifs sur Minefield, m'éclater à plusieurs, faire des constructions utiles et belles, avoir une Noix et visiter de fond en comble la bateau de Navis. Voilà.

 

Présentation IG:

Je suis né grâce à un programme informatique nommé Processing. Au début, je ne pouvais pas me déplacer et je n'était qu'un rectangle blanc. Quelque jours plus tard, je n'apparaissais que lorsque que j'entendais dans mon esprit «CLICK » mais je ne pouvais bouger comme je le voulais. Je ne pouvais peut être que suivre une petite chose blanche et plate mais je découvrais le mouvement. Encore plus tard, j'avais une tête ronde et un petit ventre long et fin. Deux trait semblables à mon ventre mais en plus court, mes bras, bougeaient en dessous de ma tête. Les même trait en dessous de mon ventre, mes jambes, me permettaient de me déplacer. Puis je commandais enfin mes mouvements. Les mois qui suivirent, je prenais forme de plus en plus vite ; des yeux, une bouche, un nez, des cheveux... et même des habit bleu et une moustache. Au bout d'un moment, je n'évoluait plus mais l'environnement dans lequel je m' épanouissait changeait chaque semaine. Avant c'était noir, tout noir que du noir, sans vie, sans expression, sans rien, le vide. Maintenant, il y avait du vert et quelques caractères rouges : «Travail de Thomas Nizet sur Processing ». Puis quelques tronc d'arbre, des feuilles, des plante... Un jour, un grand changement frappa mon environnement, la 3D. Le lendemain, je vis une ellipse sur laquelle apparurent ensuite quelques rayons jaunes qui émettaient de la lumière. Maintenant, je distinguais clairement chaque arbre, chaque tronc, chaque feuille... Presque à ras du sol, commençaient a apparaître de drôle de plantes composées d'un trait vert rayé par d'autre traits verts plus claires. Des fougères. Pas très réaliste mais ça changeait le quotidien. Je me promenais dans cette jungle lorsque tout à coup j'entendis un chant d'oiseaux couvrir le bruit de mes pas. Je montai de suite à un arbre pour tenter d'apercevoir les volatiles. Rien, aucun signe de vie dans le ciel noir, légèrement éclairé par l'ellipse jaune, le soleil. Même après une éternité passé dans cet arbre, je ne voyais rien mais le chant continuait perpétuellement. Je commençais à reconnaître ce chant incessant, c'était toujours le même. Une Bande son en boucle. Un matin, le ciel d’éclairci d'un coup, il vira au bleu claire et, au fil de temps, il s'assombrissait avant de se ré-éclaircir de nouveau. Comme ça. Chaque jour, chaque nuit, indéfiniment. La nuit, les pseudo chant d'oiseaux s'arrêtaient et la deuxième nuit, j'entendis des bruit de pas qui n'étaient pas les miens. Comme pour les oiseux, je suivis les bruits tout en me demandant comment je connaissais tout ces noms de choses et d'objets. LA base de données. Cette réponse m'était venue aussi spontanément que les autres. Dès que je me posais une question, j'obtenais une réponse automatiquement juste après. Mon nom ? Black Redber. Qu'est ce qu'un nom ? C'est ce désigne quelque chose. OK. En tout cas, j'entendais un ou des animaux. Et là, devant moi se dressait un grosse bête marron, poilu et à quatre pattes. Cet animal possédait une groin plat orné de deux gigantesques et puissantes défenses. Un sanglier (et oui je sais que les grandes défenses font pensés à un éléphant mais si vous en voyez un marron et poilu comme un sanglier, prévenez votre médecin et si tout va bien (ce dont je doute fortement) prévenez de suite une de ces associations de protection des animaux en voie de disparition). Je ressentis d'un coup un besoin irrésistible de le tuer, de découpé sa chair et de la manger. De la manger, ça veut dire quoi ça ? Une image dans ma tête éclairci la réponse de la base de données. Bien décider à écouter mon instinct, je pris une branche pointue par terre et la lui lançai vers la tête. En plein dans.. dans quoi ? Ah ! Son œil. Mais cela ne suffisait pas ! La bête s'énerva et chargea. Je l'esquivai de justesse, tout en reprenant mon arme de fortune. La bête éborgnée revînt à la charge, son œil percé dégoulinant et rougeoyant ne suivait plus l'autre. Là, je lui assénai un coup dont in ne se relèverait pas, je lui plantai ma lance au fond du gosier. Avec l'élan de sa charge, le sanglier continua sa course avant de s'effondrer latéralement. Je soulevai la lourde carcasse avec difficultés et je la conduis jusqu'à un endroit que seul mon instinct connaissait. J'arrivai dans une clairière inconnue. Au milieu, un gros rocher dure blanc et fendu dominait les quelques fleurs de la prairie. Devant cette pierre, il y avait une flamme rouge et jaune qui brûlait majestueusement au milieu de cette clairière éclairé par cette boule blanche immaculé, la lune . C'était magnifique. J’accrochai une patte dépecée de l'animal au dessus du feu grâce à un bout de la roche fendue et à une branche de bois solide trouvé à quelque pas de du la flamme. Après un festin de roi (expression m'étant venu spontanément), après cette merveilleuse sensation délectable, cette expérience d'avoir manger pour la première fois, je ressentis une autre sensation, la fatigue. Je m'allongeai donc près du feu pour la chaleur qu'il me procurait et je fermai les yeux. Je les rouvris subitement, le jour était levé, et le chant perpétuel des oiseaux continuait.Toujours allongé, je regardais le ciel quand je vis de oiseau dans le vide bleu. Les voilà en fin. Les volatiles vinrent se poser sur les branches d'un arbre, lorsque tout à coup, le sol se déroba sous mon dos. Je fis une longue chute dans le vide. J’étais dans une sort de tube noir dont je ne voyais pas les extrémités et le trou par lequel j'étais tombé rétrécissait peu à peu. Parce que je m'en éloignais ou parce qu'il se rebouchait. Probablement les deux. J'atterris soudainement dans une grande salle blanche en 2D avec de petits dossiers jaunes. Tout les sons, toute sensation et toute vie avait disparu. J'étais dans... cette réponse me parue vraiment incompréhensible. J'étais dans «Mes Documents ». Parmi les dossier, il y en avait un avec une note de musique, une autre avec un clapet de cinéma puis un avec une image et enfin, un quatrième sans rien. Juste un dossier jaune. Il était étiqueté «.Minecraft ». Je décidai de le glisser à l’intérieur. Ce dossier débouchait sur une autre salle blanche, elle aussi en 2D avec un petit cube de terre où poussait de l'herbe nommé «Raccourcis Minecraft ». L'atmosphère changea d'un coup, je me sentait attiré par ce cube mystérieux, l'artefact émanait une odeur attirante, une chaleur rassurante et une sensation de bien être. Réaction normale, je m'y glisse à l'intérieur. Et là, l'émerveillement, j'étais au pied d'une cascade d'un bleu profond qui se cassait sur le sol, ce qui produisait une buée étouffante. Un monde vierge ? Je me retournai et je vis une ville. Entre deux grandes maisons de bois et de pierre, il y avait une allée de pierre elle aussi qui débouchait sur une gigantesque place publique. Ce monde n'était pas vierge du tout, il devait même être très peuplé. Au milieu de la place, il y avait une petite fontaine qui crachotait de l'eau doucement, harmonieusement. Ce monde cubique était merveilleux. Je regardai mes mains, elles aussi étaient cubique, des rectangles. Je me penchai au dessus de la fontaine pour voire mon reflet. Comme mes brans et tout le reste dans ce monde, j'étais cubique. De jauge verte d'énergie scintillait sur me bras et jambes. J'avais un casque carré avec une visière verte et tout le reste de mon corps était gris et noir. Soudain, je sentis une main se poser sur mon épaule. Je me retournai brusquement et devant moi se tenait une créature verte, gélatineuse, dans une tenue de romain bleue. Au dessus de sa tête il y avait écrit « Goo_m_Ba ».« Salut Black Redber, t'es nouveau ? ». « Comment connais-tu mon nom ? ». Wahou je parle, sa fait bizarre. Instinctif. « Regarde au dessus de ta tête ! ». Comme lui j'étais étiqueté de mon nom.  « Alors, t'es nouveau ? Je ne t'es jamais vu . ». « Oui je viens d'arriver, où on est ? ». « Ici, c'est Thermalis ! Aller, viens, je te fais visiter »...

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