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[Accepté]Demande de citoyenneté - Kirova51


Kirova51
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Bonjour à toutes et à tous, je viens ici, après trois semaines en tant que paysan, déposer ma candidature de citoyenneté.

 

Un petit rappel sur ma candidature paysan:

Demande de candidature - Kirova51

 

 

 

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Je vais reprendre des éléments de ma candidature paysan, en modifier certains et en rajouter également. Je m'appelle Christophe, jeune lycéen, j'ai 15 ans et je suis en seconde internationale anglais. J'aime beaucoup les FPS en tout genre, et j'aime parfois me défouler sur les jeux de courses (need for speed, etc...) J'ai découvert ce jeu il y a environ un mois et demi et je suis sur ce serveur, qu'on pourrait qualifier d'œuvre d'art architecturale, depuis un mois. Je suis depuis quelques temps sur mumble, à parler avec des gens très sympathiques et ouverts à chaque connexion. Voila pour moi.

 

 

 

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Mes principales motivations pour devenir citoyen sont:

  • [*:1k487q56]Être reconnu comme joueur minefieldien aguéri et capable de se comporter sérieusement, Ainsi contribuer à une beauté sans égal sur le serveur (dans la limite de mes moyens)
    [*:1k487q56]Pouvoir contribuer encore plus à une construction optimal, et notamment avoir accès au futurs objets à crafter du minefield V2
    [*:1k487q56]Après avoir acheté une propriété dans la ville de Nouvelle-Azur, j'aimerais définitivement m'établir dans cette cité qui a le souci du détail.

 

 

 

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Rappel du RP

 

Kirova est un jeune fermier qui a travaillé la terre durant toute sa vie. En effet, ce métier se transmettait de père en fils. Un jour, tandis qu'il jouait alors que son père travaillait aux champs, il découvrit une grotte. Le contenu de cette cavité n'était que matériaux précieux et merveilles de la nature. Les sculpture apparues suite à érosion était la beauté incarné. Le jour tombait, il décida de rentrer chez lui et de boucher la grotte avec des graviers, pour ne pas perdre l'entrée.

 

Malheureusement il ne retrouva jamais le début de cette grotte, malgré des heures de recherches intensives. Dix ans plus tard, alors qu'il faisait sa pause de midi, il se promenait dans la forêt et découvrit un monticule étrange. Il regarda tout autour, de la terre, sauf à un endroit. Dans l'herbe gisait une pierre. Sa mémore défila soudain sous ses yeux et il se mit à creuser avec ses doigts et ses ongles, encrassées par la terre et il découvrit le monticule de gravier ayant servit à boucher la grotte. Mourant d'impatience de revoir ces merveilles, ce qu'il trouva n'était que terre et roche encastré, un éboulement se dit-il.

 

Il décida donc de quitter sa ferme familiale avec une tente, une pioche et des réserves de nourriture, à la recherche des "trésors" perdus. Il planta sa tente devant la grotte, et commença à travailler dur, très dur, et ce qu'il découvrit n'était même pas ces merveilles qu'il avait admirer pendant tout un après-midi dans son enfance, mais le plaisir qu'il avait à manier la pioche. Il récolta le maximum de pierre possible, et construisit une réserve à côté de sa tente. Au fur et à mesure, la réserve se remplissait.

 

La réserve enfin remplie, il se mit à construire une statue en l'honneur de ces souvenirs enfantins, aussi clairs que l'eau pure et calme d'une source de montagne. Une fois finie, se dit-il, il construira d'autres statue comme celle-ci dans des grandes villes, et tous pourront admirer la magnificence de la cavité merveilleuse.

 

Le temps passa tellement vite qu'il croyait qu'il avait commencé sa statue il y a une semaine, alors que 3 mois se sont écoulés. Il avait trouvé sa passion. Et il veut la faire partager.

 

 

Il vit, sur son bureau improvisé, les feuilles de papiers qui lui servent pour envoyer des lettres et écrire son histoire. Il ne put résister à la vue de la plume, plongée dans l'encre avec la feuille toute plate attendant uniquement de connaître une surface doucement arrachée par les grattements de l'outil d'écriture imbibé de ce liquide indigo opaque.

 

Chapitre I: Les préparations

«Je décide de lever le camp et de commencer mon long, dangereux et ardu périple. Je replis ma tente, je remplis mon sac à dos de provisions, et je cache l'entrée de la grotte, pour que personne n'abîme encore plus ce qui était déjà irréparable. Je décide, suite à une longue réflexion, de couper quelques bûches, de les débiter en planches et de me construire une charrette, afin de transporter le plus de pierres possibles. Les roues furent le travail le plus difficile de ce véhicule de transport. J'explorais la forêt en quête de "chauffeurs" équins à apprivoiser, et je tombe sur une meute de bovins. Je décide alors de prendre un bœuf pour tracter ma charrette. Je l'apprivoise en deux semaines et il me suis maintenant partout. Le lendemain du premier jour après la pleine lune, Je pars en direction de la mer.»

 

Chaque nuit, il doit établir un campement de fortune dans le but de se protéger des créatures malveillantes qui rôdent la nuit. Il doit allumer des feux de camp tout autour de son habitation précaire, ce qui lui coûte un temps fou, car il doit s'arrêter une heure avant la tombée de la nuit afin de couper suffisamment de bois pour que les feux tiennent la majeure partie de la nuit

Arrivé à la plage une lune plus tard, il établis son campement provisoire "de luxe" et commence à réécrire la suite de son histoire:

 

Chapitre II : Le voyage

«J'attache donc mon animal à la charrette, je le le lie à moi avec des rennes pour le contrôler et m'assois sur le matelas que j'ai délicatement déposé sur les pierres. Après avoir jeté un dernier regard à l'emplacement que j'ai occupé pendant si longtemps, je donne un coup sec qui fait onduler les rennes, faisant partir mon compagnon au pas. Je ne sais pas si le véhicule tiendra, et je n'ai qu'à espérer que les essieux ne se brisent pas. Chaque nuit je montais ma tente, je posais mon matelas, j'allumais des feux pour empêcher les créatures dangereuses de la nuit de venir m'importuner, ou pire. J'en ai fait l'expérience la première nuit: la où je m'étais établi, près de la grotte, je n'ai vu aucune de ces monstruosités.

Je montais tranquillement mon campement, allumais un seul feu de camp et je partis dans ma tente. Une vingtaine de minutes plus tard, la nuit était entièrement tombée. J'entendis, tout effrayé, des grognements, des sifflements et des bruits répugnants d'os frotter les uns contre les autres. Une main verte et décomposée perça ma toile de tente et chercha a déchirer mon "mur". Je pris hâtivement ma seule arme, une épée en bois. Le combat fut intense lorsque je sortis pour me battre. C'est alors que je découvris que ces viles créatures avaient peur de la lumière. Le lendemain soir, je pris la précaution d'entourer mon campement de feux, et je ne fus point embêter. Je montais ces feux tous les soirs, et plus jamais je ne vis une seule créature. J'arrive à la plage, je décide de prendre une demi-lune de repos et monte mon campement un peu moins "quotidien".»

 

Cette durée écoulée, il commence à déboiser les environs dans le but de se faire une embarcation vers de nouvelles terres. Ceci construit sur la terre ferme, il l'essaie sur de courtes distances afin de constater sa solidité et son étanchéité. Deux jours plus tard, il charge son embarcation, libère son bœuf et part en quête de nouvelles terres. Une fois sur le vaste océan, Kirova navigua sans arrêts jusqu'à voir une autre terre habitée et, une décade plus tard, il vit au loin un grand phare. Il se dirigea vers cette source de lumière et arriva dans une gigantesque ville portuaire. Le panneau indiquait qu'il était arrivé à Nouvelle-Azur. Cette ville lui a immédiatement plu et il décida de s'établir ici, après s'être intégré suffisamment dans la communauté. Il a acheté une propriété et s'est remit à conter son périple presque terminé.

 

Chapitre III: La découverte

«Je partis en direction du nord, dirigé et orienté uniquement grâce à ma boussole improvisée. J'ai eu droit, durant ce voyage, à deux tempêtes, dont une qui a failli saccager mon embarcation. La voile était faite de coton, la coque de bois de pin et le mât de chêne. J'étais plutôt fier de cette construction, bien qu'elle ne soit pas très esthétique, c'était mon premier projet de "grande envergure" si je puis dire. La charrette, comparée à ce véhicule marin, était plutôt facile à construire bien que je me disais le contraire il y a peu. Enfin bref, revenons à mon voyage. J'ai navigué pendant dix jours, dix nuits, en mangeant peu et en buvant beaucoup. La fin du voyage fut la plus difficile, je n'avais presque plus d'eau, plus de nourriture et mon optimisme était au plus bas... Jusqu'à ce que je voie le phare, se dressant majestueusement sur cette océan indigo nocturne. Je débarque, et que vois-je, une merveille. Je décide immédiatement de m'établir dans cette cité. Je passe quelques temps à m'intégrer proprement dans la communauté azuréenne, et je décide, après une semaine, de m'acheter mon propre domicile, "en dur" cette fois.»

 

 

 

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