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[Candidature]Balmora35 et Ereldak


ereldak
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Messages recommandés

Cette candidature est une double candidature. Le RP a été écrit en coordination par Balmora et moi même. Le narrateur est celui qui poste le message. Bonne lecture.

 

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Chapitre 1 : Le voyageur

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Ma fibre voyageuse était toujours aussi vivace : même si j’appréciais le calme et la quiétude de la baie Dryade, mes pieds m'amenaient encore volontiers dans des contrées que je ne connaissais pas encore. Mais je commençais à manquer de connaissances : mes pieds m’avaient amené vers des déserts immenses, et désormais, je recherchais plutôt les paysages modelés par des civilisations. En quête d’informations, je me rendis donc tout naturellement à la bibliothèque centralisant le plus de savoir que je connaissait à ce jour : la bibliothèque de Stendel.

 

A peine entré dans cette atmosphère feutré, je commençais à chercher des cartes de ce monde. Puis je cherchais des histoires sur les contes et légendes entourant l’histoire de Stendel. Je fus particulièrement intrigué par la civilisation elfique, mystérieuse et grandiose. J’avais vu de loin ce que j’appris être une des création elfique : l’Hyperion. Je m’aperçut alors de mon inculture ; alors que mon moulin dans lequel je vivais était à deux pas de l’arbre protecteur de leur peuple, je savais finalement très peu de chose de ces créatures graciles. Je commençais alors à prendre dans les rayonnages les livres en rapport avec cette civilisation. Rapidement, je comprit que toute cette société reposait sur une forme de magie liée à la nature.

 

De plus en plus curieux, je commençais à chercher des ouvrages à ce sujet. Les rayonnages me semblait bien vide à cet endroit de la bibliothèque. Cherchant quelques autre livre,je vit rapidement qu’une autre personne consultait le même type d’ouvrage que moi.

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Chapitre 2 : L'historien

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Après des mois de voyages ininterrompus à travers ces vastes contrées, je pris quelques jours de repos bien mérité dans ma petite demeure de l’Hypérion. Au cour de mes pérégrinations, je fis la connaissance de maintes personnes amicales avec qui des liens invisibles se sont tissés au cour du temps, et se renforcent un peu plus de jours en jours. Toujours à la recherche de nouvelles connaissances sur l’histoire du peuple Stendelien et de Stendel en lui-même, je retournais donc à la capitale, puis pris la direction de la bibliothèque, source de savoir immense.

 

Après avoir feuilleté quelques livres, je vis un homme me regarder fixement, l’air frustré. Sans y prêter attention je continue mes investigations mais le poids de ce regard se fit de plus en plus lourd. Je m’adresse alors à l’homme et lui demande la raison de ce regard pesant. Il me répondit qu’il faisait des recherches historiques sur la magie naturelle et que je venais de prendre absolument tout les livres dont il avait besoin pour ses recherches. Je lui répondis que je faisais également des recherches sur ce sujet et que nous pourrions partager nos connaissances autour d’un verre à la taverne de New Stendel. Autour d’une table, la langue du chercheur se déliât très vite. J'appris qu’il se nommait Ereldak, habitant de la Baie Dryade et de la ville de Labes. Nous avons partagé nos connaissances, puis nous avons fait un bout de chemin ensemble.

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Chapitre 3 : Marcher dans ses pas

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Jour après jour, nous apprenions l’un de l’autre., lui m’apprenant énormément sur les sociétés de ce monde, moi lui décrivant tous les paysages et les merveilles que j’ai pu voir durant mes voyages. Mais pour chacun d’entre nous il restait de grande zone d’ombre dans l’histoire de ce monde . L’un d’entre eux, malgré nos faibles recherches, restait ce qui touche de près ou de loin au domaine elfique, et plus particulièrement les monuments qu’ils avaient élevés à la gloire de la nature.

 

Nous avions beau chercher, les légendes remontaient à des temps anciens. L’altération du temps à la fois sur les pages des vieux grimoires et sur les récits rendait difficile la séparation entre le faux et le vrai. Mais un nom ressortait très souvent. : Laëfir, autrefois simple elfe des bois, élevé par une intervention divine au rang de demi-dieu, séraphin de la nature et défenseur du monde vert, semblait doter d’un pouvoir suffisant pour plier la nature à sa volonté. L’Hyperion , clairement née grâce à sa magie, l’avait été sous son influence et sa volonté de protéger les siens.

 

Et pourtant, sa disparition laissait penser que son rang de demi-dieu avait été exagéré, que cela faisait partie de sa légende. Nous avons alors commencé à nous tourner vers un domaine peu documenté à Stendel : la magie ancienne. Celle des elfes restait quasi-introuvable dans les grimoires, et leurs rares apparitions ne nous renseignaient en rien sur son utilité ou sa pratique. Au bord du renoncement, nous avons finis par demander l’aide des quelques mages présent dans leur tour à Stendel. Ceux-ci, ravis que nous portions un interêt si grand à la connaissance et à la magie, tentèrent de nous aider de leur mieux. En vain : eux-même n’était pas spécialiste de cette époque révolus, et ne savaient rien de plus. Ils nous proposèrent une recommandation pour aller chercher nos renseignement dans la bibliothèque d’Eleriel, l’académie des mages. Ce lieux, même pour moi, était complètement inconnu et tenait plus de la légende urbaine.

 

Nous nous mîmes donc en marche sur la route d’Eleriel, située au confin du monde. La route fut longue, mais nous arrivâmes devant les hautes murailles qui entouraient ce haut lieu de la culture Stendelienne. Les mages, bien que peu confiant face à deux voyageurs, acceptèrent de nous laisser entrer dans leur immense bibliothèque, qui ailleurs, aurait été un manoir tout à fait convenable pour un seigneur au vu des dimensions. Nous avons demandé à voir la section dédiée à la culture et hauts-faits des elfes. Ce n’était plus ici un ou deux rayons que nous avions à étudier, mais plusieurs étagères, qui retraçait en détail l’histoire des elfes. De ce jour, et pour plusieurs semaines, nous n’avons plus revu la lumière du jour : nos recherches avançaient à grand pas. Nous avons découvert un grand nombre d’élément de la magie elfique. Cette magie qui permettait à toute personne d’entrer dans l’essence même de la nature et de la modifier à sa guise, de modeler le monde végétal et animal selon son humeur et sa nécessité. Une puissance si grande que les mages n’avait pas vraiment réussi à la maîtriser, puis avaient petit à petit abandonnée.

 

Mais aujourd’hui, tous les éléments étaient devant nous : la communion avec la nature, les pouvoirs nécessaire, même la manière de faire était indiquée entre les lignes. La splendeur des créations de Laëfir nous laissaient rêveur. Nous avons commencé à explorer les voies de la magie naturelle. Tout l’apprentissage de cette magie restait à faire. Mais la persévérance finit toujours par payer. D’un commun accord, nous avons décidé de demander au mages de nous enseigner les rudiments de la magie, pour pouvoir continuer par nous-même et avec leur bénédiction nos recherches sur la voie de cette magie oubliée.

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