Le code de la piraterie - Torcuba

[woodkassis]

Hoye hoye hoye !

 

 

Bonjour à tous amis de la piraterie !

 

Je suis devant vous pour vous parlez du code des pirates, en effet un port de pirates sans code de pirates n’est qu’un repère de marins d'eau douce, alors je ne suis dis qu’à force d’en parler il serait intéressant de l’avoir vraiment !

 

C'est pourquoi en tant que de jeune flibustier, je me suis penché sur la question, j'ai fait de longue recherche dans les vieux grimoires du Cap’taine Barbe Rousse (et oui Barbe Rousse !) et j’ai découvert des choses fort intéressante, et même effrayantes ! Voici un petit extrait :

 

EDIT : Je fais un edit, en mixant les trés bonnes idées de mon confère Cadillaq et les miennes (désolé je n’avais pas vu que tu comptais le faire, on réglera ça sur la planche ), de toute manière nos idées étaient vraiment très proches ! Si vous avez d’autres idées, n’hésitez pas !

Ps : j’ai corrigé le petit fail, merci saiku !

 

I. Chaque pirate pourra donner sa voix dans les affaires importante et aura le pouvoir de se servir (de manière raisonnable) quand il voudra des matériaux/provisions et des liqueurs fortes (à consommer sans modération !) sauf si décision de Capitaine et/ou de ses Conseillers.

 

II. Si un pirate en vole un autre, on lui coupera le nez et les oreilles et on le déposera à terre en quelque endroit inhabité et désert (sans provision de Rhum, il en va de soit)

 

III. Il est interdit de jouer de l'argent aux dés ou aux cartes en dehors du P.M.U. !

 

IV. Nul ne parlera de la localisation de Torcuba.

 

V. Les lumières et les chandelles sont toujours allumées. Torcuba est en fête du matin au soir et du soir au matin.

 

VI. Les hommes doivent avoir leur épée, leur pioche et leur four toujours propres et en état de fonctionnement (on sait jamais qui on peut croiser…)

 

VII. La présence de jeunes garçons ou de femmes est autorisée. Surtout en ce qui concerne les jeunes femmes.

 

VIII. Celui que l'on trouvera en train de séduire une personne de l'autre sexe (ou même du même sexe, on est des pirates assez ouvert d’esprit) [barrer]sera puni de mort[/barrer] pourra être vanné.

 

IX. Quiconque déserterait le navire ou son poste d'équipage pendant un combat serait puni de mort ou abandonné sur une île déserte.

 

X. Personne ne doit frapper ou insulter quelqu'un d'autre à bord du navire (ou n’importe où ailleurs); les querelles seront vidées dans un duel sur la planche au dessus du Volcan ! Les hommes étant préalablement placés dos à dos feront volte-face au commandement du Capitaine et attaqueront aussitôt. Celui qui fait couler le sang le premier sera déclaré vainqueur.

 

XI. Le capitaine et le quartier-maître recevront chacun deux parts de butin, le canonnier et le maître d'équipage, une part et demie, les autres officiers une part et un quart, les flibustiers une part chacun.

 

XII. Les musiciens (Robinet) auront le droit de se reposer le jour du sabbat. Les autres jours de repos ne leur seront accordés que par faveur (on verra… mais ce n’est pas gagné pour lui)

 

 

XIII. Tout nouveau membre d'équipage devient Flibustier le jour même de la validation de sa candidature, sans distinction de race, de sexe ou d'appartenance politique ou religieuse. Tout nouveau pirate devra alors suivre les directives du Capitaine et de ses conseillers, et devra se conformer à ce code, sous peine de sanctions pouvant aller jusqu'à la mort (Voir l’article XV. Le supplice de la planche)

 

XIV. Tout nouveau membre d'équipage devra également effectuer le rite d’initiation selon les règles établies.

 

XV. Le supplice de la planche est la sanction ultime de la piraterie, puisqu’il s’effectuera au dessus du cratère du volcan lors d’une mise à mort devant tout les pirates de Torcuba.

 

XVI. Tout visiteurs de Torcuba devra est frappé à l’aide d’un four ! Telle est la coutume ! YaAArrrr

 

XVII. Les pirates sont libres et égaux en droits, quels que soient leurs fonctions ou grades. Le code des pirates s'applique à tous, sans distinction aucune.

 

XVIII. Chaque pirate dispose du droit de porter les couleurs de la piraterie. Chaque pirate est libre de ses propos, agissements, religions, actions politiques et militaires, tant que cela ne contrevient pas aux intérêts de son navire et de la piraterie en général.

 

XIX. Chaque pirate dispose d'un droit de vote en cas de mutinerie destinée à renverser un capitaine ou un conseiller (mouhahaha )

 

XX. Chaque pirate dispose du droit de boire, manger, forniquer (on ne touche pas aux moutons, c’est tout !) et jouir de sa vie comme il l'entend.

 

XXI. Tous les ordres donnés par le capitaine ou les conseillers peuvent être discutés et débattus par les Flibustiers, sauf lorsque la situation ne s'y prête pas, notamment en cours de combat.

 

XXII. Chaque pirate se doit de défendre son navire/son port ou tout membre d'équipage agressé par un individu n'étant pas membre de la piraterie (et notamment des villes voisines)

 

 

Voilà !

J’ai repris les vrais codes en les adaptant un petit peu ! Alors moussaillons, dites moi ce que vous en pensez et les modifications possibles !

 

 

Hoye Hoye Hoye !

 

 

Woodkassis, Flibustier de Torcuba !

[Kureha_zero]

Moi je suis pour!!!

Bonne initiative jeune Flibustier

 

YarrrrRR

[Kyokugen]

Yââââââr !

C'code m'convient comme ma jambe d'bois, l'ami !

c'la m'donne envie d'vous préparez un thon farci aux bigorneaux accompagné d'anémone à la torcubaine.

[Saiku]

Génial ! Je suis pour !

 

PS : Simple petite remarque, il me semble qu'il y a un mini fail dans la Xème loi, tu renvoies à celle concernant le supplice de la planche, qui est la XIIème et non la XIème il me semble. C'est un détail mais bon, ça prouve au moins que j'ai lu avant de dire que c'était génial

[Cadillaq]

C'est malin, j'avais annoncer que je travaillerai dessus y'a un moment, mais bon.

 

Sinon, voila ce que j'avais produit, on pourrait mixer les deux.

 

 

Le code des pirates de Torcuba :

 

I. Chaque pirate pourra donner sa voix dans les affaires d'importance et aura un pouvoir de se servir quand il voudra des provisions et des liqueurs fortes nouvellement prises, à moins que la disette n'oblige le public d'en disposer autrement, la décision étant prise par vote.

II. Les pirates iront tour à tour, suivant la liste qui en sera faite, à bord des prises et recevront pour récompense, outre leur portion ordinaire de butin : une chemise de toile. Mais, s'ils cherchent à dérober à la compagnie de l'argenterie, des bijoux ou de l'argent d'une valeur d'un dollar, ils seront abandonnés sur une île déserte. Si un homme en vole un autre, on lui coupera le nez et les oreilles et on le déposera à terre en quelque endroit inhabité et désert.

III. Il est interdit de jouer de l'argent aux dés ou aux cartes hors du P.M.U.

IV. Les lumières et les chandelles sont toujours allumées. Torcuba est en fête du matin au soir et du soir au matin.

V. Les hommes doivent avoir leurs pistolets, leur sabre et leur four toujours propres et en état de fonction.

VI. La présence de jeunes garçons ou de femmes est autorisée. Surtout en ce qui concerne les jeunes femmes.

VlI. Quiconque déserterait le navire ou son poste d'équipage pendant un combat serait puni de mort ou abandonné sur une île déserte.

VIII. Personne ne doit frapper quelqu'un d'autre à bord du navire ; les querelles seront vidées à terre de la manière qui suit, dans un duel sur la planche au dessus du Volcan ! Les hommes étant préalablement placés dos à dos feront volte-face au commandement du quartier-maître et attaqueront aussitôt. Celui qui fait couler le sang le premier sera déclaré vainqueur.

IX. Nul ne parlera de changer de vie avant que la part de chacun ait atteint 1000 livres. Celui qui devient infirme ou perd un membre en service recevra 800 pièces de huit sur la caisse commune et, en cas de blessure moins grave, touchera une somme proportionnelle.

X. Le capitaine et le quartier-maître recevront chacun deux parts de butin, le canonnier et le maître d'équipage, une part et demie, les autres officiers une part et un quart, les flibustiers une part chacun.

XI. Les musiciens (Robinet) auront le droit de se reposer le jour du sabbat. Les autres jours de repos ne leur seront accordés que par faveur.

 

 

 

Le code des pirates original :

 

I. Chaque pirate pourra donner sa voix dans les affaires d'importance et aura un pouvoir de se servir quand il voudra des provisions et des liqueurs fortes nouvellement prises, à moins que la disette n'oblige le public d'en disposer autrement, la décision étant prise par vote.

II. Les pirates iront tour à tour, suivant la liste qui en sera faite, à bord des prises et recevront pour récompense, outre leur portion ordinaire de butin : une chemise de toile. Mais, s'ils cherchent à dérober à la compagnie de l'argenterie, des bijoux ou de l'argent d'une valeur d'un dollar, ils seront abandonnés sur une île déserte. Si un homme en vole un autre, on lui coupera le nez et les oreilles et on le déposera à terre en quelque endroit inhabité et désert.

III. Il est interdit de jouer de l'argent aux dés ou aux cartes.

IV. Les lumières et les chandelles doivent être éteintes à huit heures du soir. Ceux qui veulent boire, passé cette heure, doivent rester sur le pont sans lumière.

V. Les hommes doivent avoir leur fusil, leur sabre et leurs pistolets toujours propres et en état de fonction.

VI. La présence de jeunes garçons ou de femmes est interdite. Celui que l'on trouvera en train de séduire une personne de l'autre sexe et de la faire naviguer déguisée sera puni de mort.

VlI. Quiconque déserterait le navire ou son poste d'équipage pendant un combat serait puni de mort ou abandonné sur une île déserte.

VIII. Personne ne doit frapper quelqu'un d'autre à bord du navire ; les querelles seront vidées à terre de la manière qui suit, à l'épée ou au pistolet. Les hommes étant préalablement placés dos à dos feront volte-face au commandement du quartier-maître et feront feu aussitôt. Si l'un d'eux ne tire pas, le quartier-maître fera tomber son arme. Si tous deux manquent leur cible, ils prendront leur sabre et celui qui fait couler le sang le premier sera déclaré vainqueur.

IX. Nul ne parlera de changer de vie avant que la part de chacun ait atteint 1000 livres. Celui qui devient infirme ou perd un membre en service recevra 800 pièces de huit sur la caisse commune et, en cas de blessure moins grave, touchera une somme proportionnelle.

X. Le capitaine et le quartier-maître recevront chacun deux parts de butin, le canonnier et le maître d'équipage, une part et demie, les autres officiers une part et un quart, les flibustiers une part chacun.

XI. Les musiciens auront le droit de se reposer le jour du sabbat. Les autres jours de repos ne leur seront accordés que par faveur

[Kyokugen]

Je up ceci des abysses car c'est cool.