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[Accepté]. Demande pour etre paysan de d'amorosonicolas


Amorosonicolas
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Voici ma petite demande, je m'appelle Nicolas, j'ai 19 ans ( bientot :D ) et je voudrais bien etre paysans. Voila ma petite histoire, celle du perso. Bonne lecteur cher minefieldienne et minefilien.

 

 

Vous êtes vous déjà dit qu’un autre monde serait fantastique, monde fantasque, monde parfait, existait ? Ou toutes choses seraient simples, ou votre être aurait une nouvelle chance …

 

J’ai eu la chance, ou le malheur, suivant les points de vue, de partir, de voyager et de demeurer dans se lieu désespérément grandiose.

 

Je vais vous comptez brièvement mon histoire des plus étranges, mon passage de la réalité au rêve, du monde tangible a l’imaginaire, par le seul fait d’une pensée exacerbé, et d’un rêve échoué.

Il y a quelque temps déjà, j’eu construit un bateau, des plus humbles certes mais ce fut mon bateau, de mes mains. Il n’était pas grand, grinçait comme une porte mal huilé, avait quelques fuites mais son charme était présent.

 

Nous partîmes, ma douce compagne et moi, sur la mer. Les journées étaient plus belles les une des autres, mais rien ne valait la plus belle chose a mes yeux, ma femme. Dieu que j’en étais passionné, rien ne lui arrivait a la cheville, l’azur de la mer paraissait aussi fade qu’un ruisseau comparé a son regard. Bref j’étais au comble du bonheur, le travail était loin, la mer était d‘huile et le bateau filait droit devant.

Après une journée radieuse, le soir venu, je pris le repas sur le pond, frugal repas de fruit de mer. Ma douce partis se coucher j’allai la rejoindre, mais les étoiles étaient hautes et brillantes, je les regardai. Mon esprit partis loin dans ce monde stellaire, la comme sortis de nulle part cette idée maudite m’apparu, du fond de ma pensée cette monstrueuse idée a surgis tel un diable de sa boite. Je me dis alors :

 

« Et si le monde n’existait pas, si nous pouvions voyager, dans un autre monde ? A quoi ressemblerais t-il… tous le monde serait libre, libre de construire, de chasser, libre de crée… j’aimerais tellement crée comme je l’en décide, avoir la main créatrice de la nature, crée cette océan, ceux bateau, cette femme que j’aime … libre d’être dieu »

 

Cette pensée obscène m’obséda, je ne pensais qu’a cela durant les quelque jour qui me restait avant le grand saut, mais je ne le savais pas. J’oublis quelque temps la chair et l’esprit de ma bien aimé, me concentrant uniquement sur cette foutue idée. Ceci est l’un de mes principaux défauts, quand une idée s’implante, elle reste pour longtemps et me ronge de l’intérieur, tel le ver qui ronge la pomme, tuant son hôte.

 

Ensuite tout se passa avec une grande vitesse, encore aujourd’hui je ne sais pas si cala était un rêve ou pas, je me souviens juste d’une vague, un crie, et enfin se rivage ….

 

J’ouvris alors les yeux, je me croyais dans un rêve. Comment les nuages et le soleil peuvent t’ils être carré, il y a forcement une erreur, ce n’est pas possible …

Tout le monde était de la sorte, je me sentis mal j’ai voulue me mettre de l’eau au visage, mais mes main était carré elle aussi … et mon visage … je ne ressemblait a rien, a un spectre fait de blanc et de noir, avec d’étrange couleur et des yeux sans une once de vie.

Ce monde, ce monde… l’endroit fantasque auquel je pensée … ceci apparue comme un flash comme une révélation, j’y étais … comment est ce possible …

J’avais tout perdu, toutes mes possessions, mon bateau et surtout ma femme … Mon chagrin fut terrible, comment ai-je pu l’oublier pendant ces dernier jour, je n’aurais jamais dut la laissé ainsi, si j’aurais su … non il ne faut plus que j’y pense …

 

A partir de cet instant mon cœur fut définitivement brisé, brisé par ma folie, ma curiosité et cette pensée qui a germé a cause de mon bonheur, c’est fou de voir qu’il faut tout le temps désiré plus, pourquoi ai-je voulu être dieu alors que j’avais tout pour être heureux … il ne faut plus y pensé.

 

Je partis dans les terres et la, oh surprise, je vis des habitations a perte de vue, des monuments …

Je n’étais donc pas seul, d’autre fou avait débarqué ici, dans ce monde étrange. Je n’étais donc le dieu de personne, juste un habitant de plus, je ne sais pas comment ses autres personnes sont arrivés ici, mais ils paraissaient heureux et s’affairer a la construction de moult choses.

 

J’essayai de leur parler en vain, de ma bouche rien ne sortis, j’étais paniquer, serais je devenu un fantôme ? Je n’avais également aucune force, je ne puis creuser la terre, soulever la pierre et de couper l’arbre. J’errai donc durant un certain temps, écoutant les gens dans leur conversation bruyante, j’avais l’impression d’entendre toutes les voies en même temps, mes pauvres oreilles.

Un jour j’arrivai devant une ambassade, étrange bâtiment, ou des gens comme moi sourd et sans force arrivèrent, un silence de mort y régnait, les panneaux m’apprirent beaucoup de chose, notamment que j’étais « vagabond », fantôme plutôt, hantant ce monde sans but, j’en partis fou de rage.

 

Bien plus tard pour une raison que j’ignore je pus parler a un habitant, durant un court dialogue, je lui proposai de l’aider pour un projet de marina prometteur, il me demanda de faire les plans et de disposer les bateaux comme bon me semble et ainsi de les construire, se que j’acceptai sur les champs, quoi de plus beau qu’un bateau …

Ce projet me redonna gout a l’existence, même si elle était sur un autre monde, la vie reste merveilleuse, et je me dois d’oublier ma tendre, pourvu qu’elle aille bien…

 

Je me renseignai donc, arpentant les marchés, l’ambassade, j’y ai trouvé de précieuses informations, pour être « tangible » ici il fallait avoir l’approbation des « grands » de ce monde, d’étranges personnes aux pouvoirs surnaturels, des régisseurs de ce monde, en espérant qu’ils soient bon et cléments.

 

J’écrivis donc une lettre, seule chose faisable dans ce monde pour un vagabond, et maintenant vous la lisaient.

J’espère su font du cœur que me demande sera accepté et admis comme paysan, que je puisse faire partis de votre monde, si fantastique et étrange.

 

A bientôt mes citoyens de ce monde, AmorosoNicolas, ou niconoko pour les intimes …

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