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[Accepté]Oyé Oyé Voila Ostad


Ostad
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Bonsoir chers minecraftiens ! ( Comment ça ?! Il me souligne en rouge le mot minecraftiens ?! Honte au correcteur ! )

 

Alors faisons bref pour mon histoire :

 

Cela fait maintenant 2 mois et demi que je mate du cube ( et je m'en porte bien soyez rassurer :lol: ), j'ai 15 ans, je m'appelle Nicolas. J'ai beaucoup jouer en solo ( comme tout le monde hein ) et appris l'existence du serveur minefield ( comment ?! minefield aussi est souligner en rouge ?! ) par un Jean-Kevin ( qui se reconnaîtra forcément ) qui regarde les émission de devinez qui ? hein ? vous ne voyez toujours pas ? Boblennon Pardieu !

J'était donc à la recherche d'un serveur sérieux français ( pas Chinois >< ) où un nombre limité de kikoo ( ou d'autres spécimens de kevin ou encore d'autres kikookevinoverstuffdelamorttjepvpalorsquec'estinterdit ) et des joueurs avec une orthographe qui ne pique pas les yeux. En parcourant les villes de minefield, j'ai énormément apprécier le styles d'architecture différent pour chaque villes et la gestion de ce serveur.

 

Mais qui est donc Ostad ? ( je met seulement un prologue, je compte faire une dizaine de chapitres sur le forum, je l'ai est déjà pratiquement tous écris, si je suis accepté bien sur :lol: . Et puis au passage, si Boblennon tombe sur cette candidature, et qu'il n'accepte pas le statut que je lui ai donné envers moi, il poste et je changerais tout ça ! )

 

I/ Une venue attendue.

 

 

Ostad Stormrage naquit un soir d’été parmi les arbres paisibles de Nouvelle Azur, bercée par les rayons du soleil couchant.

 

La naissance d'un héritier dans cette illustre famille ne tarda pas à se répandre bien au-delà des bois tranquilles où il venait de voir le jour. A Stendel, symbole de la fierté et de la noblesse des Hommes, on ne parla bientôt plus que de cet enfant qui, même si il l'ignorait encore, portait déjà sur ses frêles épaules le lourd fardeau de la trahison de ses ancêtres...

 

Dans l'une des salles du palais s'était regroupé un mélange hétérogène de nobles, de mendiants, de marchands de passage autour d'un seul et même sujet: la descendante de sang royal:

 

- "Espérons que ce Stormrage efface un peu les fautes passées de ces ancêtres!..." s'exclama l'un d'eux, d'un ton hautain.

- "Certes, il serait regrettable que la famille royale soit à nouveau rendue tristement célèbre par la trahison plus que par la bravoure de ses descendants." ajouta un marchand.

Puis, alors qu'il était encore en train de compter combien de pièces d'argents il avait pu récolter, un mendiant rendu un peu trop loquace par l'abus d'Alcools sans doute pris la parole:

- "Hips! On en s'rait pas là si ..."

- "Silence Vieillard!"

 

Le mendiant resta là, comme figé, et ne tenta pas de finir sa phrase.

 

Nul n'eut besoin de se retourner pour savoir qui venait de réduire au silence le vieil ermite: un seul homme était capable de se faire entendre et respecter sans même hausser le ton en ces lieux. Cet homme n'était autre que le Président d'Azur, Sir Boblennon, qui venait de faire irruption dans la salle, son épouse à sa suite avec leur fils dans les bras.

Troublant le silence qui s'était installé dans la salle, Le baron Boblennon reprit alors la parole:

 

- "Je sais que beaucoup d'entre vous ont déjà eu vent de la naissance de mon fils, ne vous y trompez pas, vos réunions secrètes ne sont possibles que parce que je les tolère."

Soudainement, un froid glacial gagna l'assemblée, et excepté quelques murmures, le silence était total.

- "Mais je ne suis pas ici pour vous blâmer." poursuivit Boblennon "Bien au contraire, je suis ici pour officialiser l'arrivée parmi nous du digne héritier des Stormrage, Mon fils, Ostad !"

Boblennon se retourna alors et fit signe à son épouse de s'avancer. A mesure qu'elle avançait, tous les regards se portèrent sur l'enfant qu'elle portait dans ses bras:

- "Quelle ressemblance avec sa mère!"

- "Bah... Hips! El' ressemb' à ma fillotte! Hips!" rétorqua le mendiant qui avait, sans doute sous l'effet d'une autre choppe de bière, retrouvé sa langue.

- "Il a les yeux de son père! Nul doute qu'il suivra sa voie parmi les Architectes !"

- "Je n'en attends pas moins de lui." dit Boblennon en souriant.

 

S'en suivirent plusieurs longues minutes de congratulations, de vœux de bonheur, plus ou moins sincères, mais qu'importait la sincérité de leurs sujets envers cet évènement après tout, rien n'aurait pu venir troubler le bonheur des Stormrage.

 

Après quelques minutes, alors que Ostad commençait à gesticuler un peu trop au goût de sa mère, celle-ci fit signe à Boblennon que l'heure était venue de retourner dans leurs appartements.

 

- "Cet accueil fait à notre enfant me réjouit, croyez bien que nous veillerons à ce qu'elle ne vous déçoive pas comme certains membres de notre famille ont hélas pu le faire par le passé." conclut-il.

- "Com' L'ancien traître, Hips!"

 

Tout le monde se retourna vers le mendiant qui venait de prendre la parole, horrifié. Non pas horrifiés par ce qu'il venait de dire, mais plutôt par les conséquences que cela allait avoir. La réponse ne se fit pas attendre. Un jet de lumière fusa du sceptre de Boblennon et frappa le mendiant en plein cœur avant que celui-ci n'ai pu le voir arriver. La choppe de bière qu'il tenait jusqu'alors dans sa main se brisa au sol. L'homme resta fébrilement debout quelques secondes, puis s'écroula à son tour.

 

- "Que cela vous serve de leçon." dit boblennon, sa colère était perceptible malgré le ton posé qu'il avait tenté vainement de prendre. "Ne faites plus jamais allusion a cet homme en ma présence!"

 

Sans un mot de plus il s'en retira avec sa compagne et leur fils dans ses appartements, et ne réapparu plus pendant quelques jours.

 

Lorsqu'il réapparu, ce fût pour les funérailles du vieillard, sa femme ayant insisté pour qu'il ne rejoigne pas la fosse commune qui avait été creusé pour les victimes des monstres. Tout le monde attendait un mot d'excuse de la part du Président, à qui ce geste ne ressemblait pas. Mais Boblennon ne dit rien, ruminant encore l'insolence de cet ivrogne qui avait osé parler de son frère...

 

Les saisons passèrent et la colère de Boblennon s'estompa peu à peu, comme à chaque fois. Voir Ostad poser ses premiers cubes du haut de ses huit ans était pour lui une fierté non négligeable:

Ils avaient rendu son père célèbre a ses commencements.

 

Merci d'avoir lus ! :mrgreen::mrgreen:

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