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[Accepté][Candidature Paysan] Dreach


Dreach
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Présentation (IRL) :

 

FICHE SIGNALETIQUE

 

Jules - Masculin - Plus connu sous le pseudonyme de Dreach.

13 ans - Île de France

Je loge dans une petite banlieue sympathique, et je connais Minecraft depuis déjà

3 semaines/1mois si ma mémoire est bonne et je compte créer quelques bâtisses quelque peu modestes dans lequel on pourra bien vivre.

J'ai aussi comme projet de créer une petite ferme (Assez difficile a mettre en place je l'admet) qui abritera cochon, poules ainsi que des cultures pour y créer un commerce une fois que j'aurais ma licence (après toutes les étapes prévues). Je crois que c'est à peu près tout de ce côté là, et maintenant passons au RP (Une de mes passions)

 

Mon histoire (R.P.) Excusez moi pour le gros pavé. :

 

Le soleil venait de se lever, une lueur rougeâtre se distinguait sur l'écume salée

qui se trouvait a coté de moi, fraiche mais pour autant agréable, et qui me réveilla.

Ma cabane semblait intacte, les caissons de marchandises l'étaient tout aussi.

J'étais apaisé que mon gagne pain soit sans casse, et c’est bien ça l’important en fait.

Mon intégrité physique ne m'importait pas plus que ca, car après tout la culture intensive pouvait créer des blessures sur mon corps.

Ma famille dormait encore sur les tapis de bois que j'avais durement négocié au commerçant de la cote salée.

J’étais fier de tout cela malgré ma vie très peu enviable et je vivais plutôt bien, paisiblement, sur cette plage.

Les yeux mi-clos je regardais mes cultures, je contemplais les épis qui embellissaient de jours en jours et je sentais qu’ils seraient bientôt prêts à être coupés.

Un sourire contrasta mon visage encore endormi, et je me mis à sautiller sur la plage, comme un enfant a qui on avait acheté une sucette. J'étais heureux et apaisé par une récolte prochaine.

Ma femme et mon fils dormaient encore plus en retrait de la plage, dans une modeste case, la case familiale.

Ils s’étaient accordés, comme moi, à la fin des ventes, un petit somme bien mérité.

J'étais si heureux que je n'apercevais pas un bateau de pillards.

Je comprenais vite qu’ils guettaient la plage depuis déjà un petit moment.

Ce sont les vagues, en grossissant, provoquées par le mouvement de leur navire, qui attirèrent mon attention. Leur drapeau et leurs sabres me firent comprendre très rapidement que nous étions en danger. Je courais immédiatement dans la case pour réveiller mon fils et ma compagne et partir aussitôt. Avec peine ils se levèrent, et sans discuter je les emmenais dans le souterrain qui se trouvait non loin.

Derrière nous, une fois tous entrés, nous refermâmes le trou par lequel nous étions passés. Mais nous nous retrouvâmes dans l'obscurité totale.

Un grondement très fort se fit ressentir dans le tunnel, et comme par reflexe je voulus prendre la main de mon enfant, mais ne la trouvais pas.

Je criais : « Luc !!! » pour savoir où il se trouvait, mais aucune réponse ne se fit entendre.

Je recommençais à l’appeler, tout en marchant à tâtons dans la grotte quand je buttais sur un petit corps, à terre, semblant ensanglanté.

Plus loin se trouvait un corps adulte, surement d’une femme, aussi inerte que le précédent.

Je compris avec terreur qu’il s’agissait de ma famille, toute ma famille que l’on venait de m’ôter.

Alors, je pleurais et hurlais longuement dans la grotte, consumant du coup toutes mes forces, peu a peu.

Après des heures de tristesse, je finis par m'endormir sur le sol froid de la grotte.

Le lendemain, je n’étais plus sur le sol humide et pierreux de la grotte mais un sol bétonné et éclairé par le soleil de midi qui me réveillât. C’est ce soleil intense et si lumineux qui me fît réaliser a quel endroit je me trouvais.

Je remarquais immédiatement, même encore un peu hagard, que les passants me regardaient bizarrement, et tournaient leurs regards avant de s’enfuir.

Très vite, des gardes me sautèrent dessus et me trainèrent au sol pour m'emmener dans une salle d'interrogatoire en pierre à l'allure peu flatteuse.

J’étais incapable de répondre à leurs questions.

Je ne me rappelais plus de rien, même plus de mon prénom.

Il ne me restait qu'un seul souvenir ; celui du bruit de la faux coupant le blé.

Une bosse sur ma tête me faisait horriblement mal. Et c'est comme cela que je recommençais une nouvelle vie dans cette ville où je me trouvais, nommée Stendel.

The End.

 

 

Post Scriptum : Ayant acheté 100 PAs et donc 30 jours , serait-je accepté ou seul la date de création compte ? Merci de me répondre dans le message de refus/acceptation qui j'espère sera la deuxième solution .

 

J'espère que cela vous aura plu et merci de m'avoir lu.

 

Cordialement

Dreach

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