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CHAPITRE 12 : Sur la potence. Le chemin était encore sombre, le petit matin arrivait. Wariow, Kadominou, Kimao et quelques hommes motivés qui voulaient aider dans cette évasion étaient en route. Marie-Anna, quant à elle, était partie à bort de son Cloopiat pour prendre position au port. En arrivant, les gardes avaient déjà bien pris place. Quelques villageois étaient également déjà arrivés. « Nous somme partie bien trop tôt ! » fît Kadominou « Ça ne fait rien » répondit Wariow. « Nous allons nous cacher en attendant. » La place était d’un seul coup bondée. Avec l’invitation forcée de Moyashi, nul n’avait semblé résister. Une tentions était pourtant bien là, entre les habitants et les gardes. Rapidement, les villageois prirent place et deux hommes arrivaient pour annoncer l’arriver du condamner. « Wariow, regarde ! » Fît Kadominou « J’ai vu, Moyashi ne devrait plus tarder » En effet, non loin derrière, le gouverneur Moyashi venait pour assister à la scène. Wariow et ses compagnons n’eu pas de mal à se dissimulé. Fougerais était là, poings liés, accompagné par quatre hommes armés de mousquet à baïonnette. Le bourreau les suivis, et quelques autres gardes arrivèrent juste après eux. Les quatre hommes firent monter Fougerais sur la potence. La corde était déjà prête. Certains villageois commençaient déjà à se cacher les yeux. Et c’est à cet instant que Moyashi arriva. Accompagner de deux officiers de haut rang. Il prit place sur l’estrade qui lui était réservée. Kadominou fît signe à Wariow « C’est le moment » Murmura t’il en commençant à se lancer. « Non attend, je savais qu’ils seraient nombreux, mais pas autant. » Kadominou regarda Wariow pour lui demander : « Mais… Où est Kimao ? » « Quoi, il n’était pas avec toi ? » Un homme sur la potence se mit à parler : « Mesdames et Messieurs, Nous somme tous réunie ici même pour procéder à l’exécution de se misérable traitre, ce forain a utilisé la maison d’un noble gouverneur comme cachète pour ses activités illégal ! Un des ses complices à détruit la maison pour cacher des preuves et il a osé porter de graves accusations contre notre gouverneur. Que l’on lui passe la corde au cou et que l’on … » Il fût arrêter par le couteau lancer de Kimao, qui s’était mit sur le toit d’une maison. Il sauta immédiatement sur les gardes avec les mousquets. Wariow, qui n’eu d’autre choix que de le rejoindre s’écria : « Allons-y ! » Montant sur la potence rapidement, il donna un coup de pied sur le mousquet d’un des gardes pour le lui faire lâcher. La balle fût tirée. Elle allât taper la poutre de l’estrade de Moyashi, qui, prit de colère, s’écria : « Tuez-les ! » Le bourreau enclencha le levier de la potence pour que Fougerais soit pendu. Et prit sa hache. D’autres gardes arrivèrent. Wariow, face au bourreau armé d’une hache, remarquas les gardes arriver de tous les cotés. Kimao était avec Kadominou et les quelques hommes venu. Ils repoussaient la vague de gardes qui arrivait, mais toujours plus nombreux. Et Fougerais qui était pendu déjà depuis quelques secondes, se débattait en vain. Le bourreau s’élançât pour attaquer. Wariow sauta par-dessus lui, en retombant, il ramassa un des mousquets encore chargé que Kimao avait fait tomber quand il s’est jeté sur les gardes. Il tira sur la corde et Fougerais tomba au sol. Le Bourreau s’apprêtait à réattaquer. Cinq gardes non loin étaient accompagnés d’un officier qui s’écria : « Fusillier en place ! » Wariow se releva, mousquet à la main pour parer la seconde attaque du bourreau. La hache tapât le sol de la potence et restât coincé. « En joue ! » Les cinq gardes pointèrent leurs armes vers Wariow. Il profita du bourreau en difficulté pour lui frappé le visage avec la crosse de son mousquet et le pris au cou. « Feu ! » Les gardes firent feu, Les cinq balles heurtèrent le thorax du bourreau, que Wariow laissa s’effondrer après ça. Quelques villageois armés de fourche et de houe s’en prirent aux gardes. Wariow en profita pour voir Fougerais. Encore sous le choc, il prit sa main, et courra cers le port où Marie-Anna les attendait certainement. Wariow s’écria : « On se tire ! On se tire ! » Voyant que Wariow avait Fougerais avec lui, Kadominou, Kimao et les quelques hommes le suivirent. Le Cloopiat était là et prêt. Ils montèrent tous à bort, certains gardes étaient à leurs trousses. Quelques coups de canons les repoussèrent aisément avant de faire toute voile vers le repaire de Wariow et Kadominou. Wariow en profita pour aller voir Kimao : « On avais un plan, merde ! » s’écria Wariow « Ils étaient trop nombreux. Reconnais au moins que l’on en est bien tiré. Même pas de blessés et Fougerais s’en est tiré. D’ailleurs, où est t’il ?» « Kadominou est avec lui dans la cabine. Il l’a allongé pour qu’il se repose. » « Une fois arrivé, nous l’interrogerons » Kadominou arriva à cet instant. « Il à besoin de beaucoup de repos, Ils l’on privé de nourriture et de sommeil durant son séjour en prison. Je lui ai donné des biscuits et du pain. Et il s’est endormi sec juste après ça. » « Les gars, on à un problème ! » S’écira L’homme sur le nid de pie. « Une frégate nous à pris en chasse ! Il porte le pavillon de Terral ! » « Les chiens pourris, Ils n’on pas trainé ! » fît Marie-Anna. Elle ajouta : « Une frégate… Et avec se vent arrière, Ils doivent être plus rapides que nous. Pas le choix dans se cas ! » Elle se mit à crier : « Branle-bas de combat ! Tout le monde sur le pont ! Mi-voiles et fusiliers en place ! » Tout les hommes se mirent à la tâche, les canons furent chargés et tous les hommes prêt au combat. « Ne tirez que sur ordre » ajouta t’elle. Deux coups de canons furent tirés par la frégate. Les pièces de chasses sans aucun doute. « Feu !! » cria-t-elle. Les cinq canons de tribord firent feu. Et au même instant, l’un des deux boulets du brick toucha le bastingage, l’autre tomba à l’eau. Les tires du Cloopiat, eux, avait tous toucher la cible, mais bien trop peu de dégât pour l’arrêter. La frégate avançait toujours à vive allure. « Relancez toute la voile ! » s’écria-t-elle à nouveau. « On ne l’aura pas !, ils vont nous pulvérisé » fît l’un des matelots. Soudain, le son d’une corne se fît entendre. D’autres voiles se firent voir, un brick. Le pavillon noir cette fois. Des pirates. Ce dernier armé d’un éperon s’était lancée vers la frégate. « Je n’ai jamais étés aussi contente de le voir ici. » s’exprima Marie-Anna soulagée. « Qui c’est ? » demanda Wariow. « Mon frère. Billy Lanoise. » Le brick en question s’attaquait férocement à la frégate. L’éperon avait frappé de plein fouet la coque de cette dernière. Et enchaina avec des tires. Rapidement hors d’état, ils prirent la fuite. Ils semblèrent vouloir suivre le Cloopiat après cette bref bataille naval. Avec le détour fait pour éviter de nouveau poursuivants, ils arrivèrent tous au repaire. Tous allèrent se retrouver près du camp. « Il étais temps que j’arrive non ? » Fît un jeune homme surexcité, sans doute le fameux Billy. « Ça me fait presque plaisir de te voir ici, Mais que fais tu ici justement ? » répondit Marie-Anna toujours en présence de Wariow. « C’est une mission incroyable, Je vais faire chier le gouvernement tous en passant pour un mec bien. Et bien sûr, m’en foutre plein les poches au passage, comme toujours. Ahah ! » « Comme d’habitude, mon pauvre frère. Mais tu ne m’as pas répondu. » « Je distribue des armes sur Terral, pour la révolution ! » « La révolution ? » « Bah, ouais, la populace sous la dictature de Moya’ en à plein l’cul de cette tête d’huître. Et j’ai monté mon réseau de trafique d’armes volées des navires de Terral qu’on à pris avec mes hommes depuis quelques jours déjà. On à un entrepôt sur Terral où l’on stock épées, haches, arcs, lances, canons, mousquets, munitions qui vont avec et poudre pour faire sauté les bâtiments administratifs. On va faire un véritable feu d’artifice que ce bouffon de Moyashi ne va pas s’en remettre ! Wariow pris la parole de force. « Une révolution ? Et c’est le peuple qui le demande ? » « Ça ne m’étonne pas en fait, regarde les gens qui nous on aider alors qu’on se battait contre les gardes, c’est la preuve qu’ils n’en peuvent plus » repris Marie-Anna. « Ouaip’, et ils sont prêt à payer chère pour le faire tomber » fît Billy. « Une révolution est inévitable de toute façons après ça Wariow » Fît Kadominou revenant de chez lui après avoir porté Fougerais au repos. « Comment va-t-il ? » demanda Wariow. « Laissons-lui la journée pour récupérer. Il va bien mais il est exténuer après tous ça. Vous parliez de révolution donc ? Je suis absolument pour. » « Venez voir se qu’on à déjà accumuler en armes. » proposa Billy. « On ferait mieux de tous nous reposer, nous avons déjà fait pas mal aujourd’hui. Mais, si c’est une révolution qu’il faut pour arrêter Moyashi, alors, c’est d’accord. » Fît Wariow. « Hien ? Tu n’étais pourtant pas trop d’accord pour faire un quelconque agissement à la base non ? » Demanda alors Kadominou. « Je crois, que je n’ai plus le choix, je suis bien trop impliqué à présent. » « Bon, et Moyashi ? qu’a-t-il fait durant l’attaque ? je ne l’ai plus vu après qu’il ai ordonné à ses garde de nous descendre. » Demanda Kadominou « Il a du prendre ses jambes à son coup avec ses officiers, se lâche. » Répondit Wariow. « Bon, trêve de bavardage ! Demain, nous irons à pied à l’entrepôt, je vous montrerai ce qui est prévu. » Repris Billy. « Où est Kimao ? » demanda Kadominou à Wariow après que les autres soit repartie à leurs occupations. « Je crois qu’il est aller aider les hommes du Cloopiat à remettre de l’ordre. » répondit t’il. « D’accord, se Billy semble vraiment sûr de lui. C’est peux être une chance. » « On verra demain tu veux, je suis crever. » Chacun partie de son coté. Wariow ne voulu pas remonter sur la colline pour libérer un peu de son pouvoir. Avec tous ce monde à présent dans le coin, c’étais dangereux. Il repensait à se que Abarld lui avais dit ce soir là, Le soir où sa vie avais pris une drôle de tournure. Qu’il lui avait dit d’attendre qu’il revienne. Mais quand ? La question devenait trop troublante, mais étrangement, son pouvoir ne semblait pas s’être manifesté durant cette évasion. Sûrement qu’il commandait à avoir l’habitude. Malgré cela, Wariow ressentait toujours sa présence. Ça devenait lourd pour lui. Il hésita à aller en parler à la seule personne en qui il avait à présent entièrement confiance, Kadominou. Il meusure néanmoins le risque. Wariow allât se coucher tranquillement, les jours qui vont suivre ne vont pas être de tout repos …