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CHAPITRE 1 : Nouveau monde. Wariow, un jeune garçon de 15 ans vient d’une famille modeste qui vivait dans une campagne perdu ou rien ne se passait. La vie y était pas facile dans et travaillais comme menuisier. Il n’avait aucune envi d’y rester, car personne ne méritait sa confiance. Et il est parti un jour d’hiver. Il laissa une lettre à ses parent pour leurs expliqué qu’il ne reviendrait jamais, que cette vit ne lui plaisais pas. Ni les gens d’ailleurs. Voyageant durant quelque temps dans le froid, l’ennui et l’incertitude, Il finit par trouver un port. Une auberge juste à coté lui ouvrait l’appétit, Il entra et demanda au tavernier un repas bien chaud. Allant s’assoir à table, le tavernier lui apporta son festin. Quelques minutes plus tard, un homme chauve, barbu et des vêtements en lambeaux, Pris place à sa table. D’un air sûr, il lui demanda si il pouvait s’invité et demanda au tavernier la même chose à manger. Wariow, assez surpris, lui demanda qui il était, Il lui répondit que son nom lui serais inutile, mais qu’il pouvait l’aidé à fuir. Wariow, encore plus surprit lui demanda comment il savait qu’il voulait fuir. Sans répondre à la question, il lui expliqua qu’un monde nouveau allait s’ouvrir pour lui. Un monde qu’il avait crée. Wariow ne le pris pas au sérieux et ignora l’homme, qui cependant insistait, Lui disant qu’il lui devait absolument prendre le prochain navire qui allait partir pour ce nouveau monde. Wariow, qui n’avait de toute façon nulle part d’autre ou aller, accepta la proposition de l’individu à la condition qu’il le laisse à présent tranquille. L’homme lui indiqua alors à travers la fenêtre le navire qui allait partir pour l’aube : The Tiger. Wariow tourna la tête pour le regardé, c’était un trois mats avec un air robuste. « D’accord, j’irais. A présent, laisse m.. » Commença Wariow, mais l’homme avait disparu. Wariow se frotta les yeux, et demanda au tavernier si il avait fait mariné son plat dans du rhume, Et lui demanda également une chambre pour la nuit. Dans son lit, Wariow ne trouvais pas le sommeil. Il n’arrêtait pas de penser à cet homme qu’il lui avait dit de prendre le Tiger avant de disparaitre sans raison. Au lendemain, sans faute, Wariow pris une place dans le navire et alla demander au capitaine la destination exact. Il lui répondit avec un grand sourire: « Vers notre nouvel vie, un monde tout nouveau ». Wariow s’éloigna pensant que le capitaine avait surement bu. Une cloche retenti, Le Tiger venait de partir. Le capitaine revenait vers Wariow pour lui demander s’il voulait aller dans sa cabine. Il accepta et lui demanda aussi ou était passé les autres voyageur, car il avait remarqué qu’il était le seul à part le capitaine et l’équipage. Il lui répondit tout simplement qu’il était le seul à vouloir de venir pour le nouveau monde, et rajouta qu’il était le seul à être assez malin pour avoir accepté. Wariow commença à se demander si ce n’était surtout pas lui qui avait été assez idiot pour accepter.. Il suivi le capitaine pour sa cabine. Wariow ne pouvais s’empêché de demander pourquoi être tout de même parti si il était le seul voyageur. Le capitaine répondit que tous les marin et lui-même voulais se rendre pour le nouveau monde, et ne plus revenir, Abandonné leurs passés. 2 semaine passé en mer, le froid de l’hiver avait complètement disparu depuis quelque temps, il fessait même très bon. Et Wariow commença à se demander ou ils allaient exactement, il voulait des répondes concrètes. Au crépuscule, le seul moment ou le capitaine était disponible, Wariow prenait la direction de la cabine de ce dernier. Quand soudain, l’homme sur le nid de pie s’écria « Terre, Terre ! » Les marins, tous heureux d’être enfin arrivé, rejoignais le pont. Deux d’entre eux qui était de garde dans la poudrière, jouait au carte quand la nouvelle fut donné, précipité, ils avaient, sans y prêter attention, renversé la bougie qui les éclaira. Et celle-ci roula, encore allumé vers des voiles de rechange qui était placé à coté des nombreux tonneaux remplis de poudre. Wariow, le capitaine et tous les marins admiraient cette terre pleine de mystères depuis le pont. Le capitaine regarda Wariow et lui dit : « Tu vois ? Nous ne t’avons pas mentis » Wariow voulais lui répondre mais fut alerté par l’odeur de brûlé, une épaisse fumé sortait des trappes de passage, l’un des marin s’écria « C’est la poudrière qui … » Et une énorme explosion projeta Wariow dans l’eau. ayant perdu connaissances, c’est réveiller sous l’eau, il remonta rapidement à la surface pour constater que l’explosion avait été si violente que le bateau s’en n’est retrouvé coupé en deux, a moitié émietté et en feu. Il naga vers ce dernier pour y récupéré ses affaires avant qu’il ne sombre complètement. Passant pars les parties détruite et espérant que l’explosion n’ai pas détruit sa cabine. Il y arriva finalement et pris sa bourse d’or et son sabre, laissant le reste. L’eau commençait a arrivé dans la cabine et la noya en quelques instant, il ne fallait pas rester. Une fois arrivé au pont du navire déjà au trois quart engloutie pas les flots, Wariow naga jusqu'à la cabine du capitaine, ou il prit rapidement la carte nautique. Prit ensuite une chaise pour la jeté sur la fenêtre de la cabine, et sauta dans l’eau pour rejoindre la rive, une fois sur la plage, il s’effondra sur le sol pour récupérer un instant, puis se releva, étala la carte pour la faire séché, essuyant son sabre pour pas qu’il ne rouille, Il regarda en même temps la carte encore lisible afin de retracé, selon les écris du capitaine, ou il avait atterri. Mais n’étant pas un pro de la navigation, il lui était difficile de trouver des informations. Il vit au loin, quelques corps de marins, sans vie. Dont celui du capitaine. Wariow fouilla le corps du capitaine, y trouva de l’or, un peu de tabac et un petit livre, qui était mouiller mais lisible. Wariow le pris. Il pensait que c’était un journal de bort, ou le capitaine y notait tout ce qu’il ne passait durant le voyage. Wariow ne l’ouvrit pas, Il le mit à séché afin de ne pas l’abimé. Une heure plus tard, Il prit la route et à peine une vingtaine de mètre de marche, vit une petite grotte peu profonde, il décida de s’y arrêter pour la nuit. Posa ses affaires, fit un feu avec du bois mort et s’endormi. La suite dans le Chapitre 2 ...