Aller au contenu

Glieps

Minefieldien
  • Compteur de contenus

    1118
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Glieps

  1. Kélaïre s'engage à hauteur de 250 PA
  2. Je propose également mon aide =)
  3. Comment peut-on être contre cette suggestion ? Totalement pour ...
  4. Bonsoir, oui Tant que Raiden est d'accord =)
  5. C'est bon pour Faltren et Karabiner21
  6. Glieps

    outdated client (mac)

    Pas d'antivirus sur Mac... Un problème de pare-feu peut-être ?
  7. Bloup, me voici enfin là dans le but de soutenir ce très cher Xaxicouzoulinoux dans sa demande d'accession à la chevalerie. Alors, par où commencer ? Xaxi est une personne comme l'on en rencontre rarement. Depuis que je le connais, il n'a de cesse de me surprendre, avec ses talent architecturaux — Genoa vaut vraiment le détour —, avec ses fontaines qui parsèment Kélaïre ainsi que d'autres projets, ainsi qu'avec [barrer]ses goûts musicaux[/barrer] et son humour [barrer]parfois[/barrer] douteux. C'est également quelqu'un ayant une persévérance hors-norme dans ce qu'il entreprend, en témoigne son investissement sur ses différents projets. Il est également doté d'une gentillesse sans pareil, d'un très bon sens du commerce et d'une bonne capacité de gestion. C'est pour toutes ses raisons que je pense que Xaxicouzoulou mériterais amplement ce grade de chevalier. Glieps Koiton d'Icarus et membre du Conseil de Kélaïre
  8. La durée... Je suis totalement pour en passant =)
  9. Attention, suggestion remontée ne veux pas dire acceptée par le staff ! Sinon, superbes MàJ comme d'habitude, et GG au staff qui fait encore et toujours un travail fantastique =)
  10. [justify] Bonjour à tous, comme vous pouvez le constatez, je viens aujourd’hui poster officiellement ma demande d’accession à la Chevalerie Impériale. Avant de commencer, voici quelques liens vers mes candidatures passées : Première candidature au grade de paysan Seconde candidature au grade de paysan Candidature au grade de citoyen Donc, me concernant, j’ai 19 ans et habite cette belle région qu’est l’Alsace. Je suis toujours en École d’Ingénieur à Strasbourg pour travailler plus tard dans... euh... je sais pas trop en fait... ‘fin bref... Plus précisément, je programme (un peu) en Java, Python et Objective-C et joue à pas mal de jeux, de Sonic I, II et III sur Megadrive, à FFXII sur PS2 en passant par Crusader Kings II, Civilization, AoE, Portal, Cities in Motion, RollerCoaster, etc, sans oublier Minecraft, ce petit programme qui m’a le plus occupé ces 2 dernières années. D’un point de vue IG, l’aventure Minefieldienne commence pour moi le 28 décembre 2011 dans l’après-midi, où, lassé d’un serveur perso corrompu à cause d’une mise à jour, je pars à la recherche d’un bon serveur où m’établir, et tombe par un heureux hasard sur Minefield. Après deux semaines dans les contrées Neo-Stendeliennes — oui, c’était le début de Stendel, mais aucun projet n’étant encore dessus, ne voulant pas mourir à cause des mobs, je ne m’y aventurais guère... — je rejoins Icarus, l’une des plus anciennes villes du serveur — voir ici — avant même de passer paysan. Je gravis très rapidement les échelons de la hiérarchie Icarienne pour devenir membre de l’Ecclesia (Conseil de la ville), puis plus récemment, Koiton de la ville (Chambellan, ou premier ministre). Il va sans dire que j’ai été l’un des principaux acteurs de la refonte de la ville en passant la plupart de mon temps sur le projet. En vrac, la place centrale d'Icarus, les Ailes d'Icare et la Gare CRASH Les iles d'Hestia et d'Apollon, ainsi que le marché d'Icarus L'ile de Dyonisos et le Mont Olympe L'ile crashée avec le Panthéon Icarien ainsi que les champs de la ville Courant mars 2012, je participe également à la terraformation du quartier du palais à Kélaïre ce qui me vaudra la citoyenneté Kélare. Par la suite, j’aidais à plusieurs chantiers dans la ville, dont celui du Temple de Lazul, en fin d’année 2012 , où je fus l’un des principaux constructeurs sur le chantier. Le Temple de Lazul ainsi que le Palais Terrestre de Kélaïre Depuis mi-2012, je travaille aussi sur le chantier du C-ube, l’un des plus vieux donjon minefieldien encore en construction dans les entrailles d’Icarus, et dont j’ai repris la gestion complète début 2013. Pour éviter tout spoil, je ne m’étalerais pas plus dessus. L’on peut également noter que je possède une maison à Stendel quartier Ingénieur, ainsi qu’un maison à New Stendel, Rue Notch N’aimant pas trop m’éparpiller, je ne me suis pas impliqué dans plus de projets, par contre, comme vous pouvez le constater, je m’investis généralement «à fond» dans ce que j'entreprend. En terme d'événements, j’ai participé à tous les AteBits depuis Torcuba (juste après mon arrivée sur le serveur), à plusieurs concerts divers, concours, événements sportifs en tout genre dont il m’est impossible de tenir le compte. Attention, mise à jour ! Comme vous avez surement pu le voir dans la section Lancement de Chantier sur Nabes, Dokhas et moi même, aidés de quelques comparses, avons posté une demande concernant une ville Steam Punk que nous comptons réaliser IG dans les mois/années à venir, Keysington. Je vous laisse aller voir les quelques screens présents sur le post pour les intéressés — je suis à l'origine de la partie sous-marine essentiellement et du RP — et à éventuellement aller poser vos soutiens/questions éventuelles/critiques (constructives si possible)/etc. Je m'occupe également de la naturalisation des parois de la ville souterraine d'Antaris. Quelles sont tes motivations concernant l’obtention de ce grade ? Tout d’abord, pour récupérer la couleur bleu clair qui nous a été retirée à nous citoyens, lors de la création du grade que je convoite présentement. Ce fut d’ailleurs l’une des raisons (non évoquée sur ma dernière candidature) qui me poussa à demander le grade Citoyen en lieu et place du grade Voyageur il y a un an. Oui, je n’aime tout simplement pas ce «cyan-minecraft» dans le chat, lui préférant de loin le bleu clair. Bon plus sérieusement, le grade de Chevalier est, je pense, pour un joueur, un titre honorifique montrant son parcours sur le serveur. En effet, avec plus de 1500h de jeu en en 24 mois à l’heure où je vous écris, je pense être considéré bientôt comme l’un des anciens du serveur. De plus, je pense qu’avoir ce rang bénéficiera également grandement à la renommée d’Icarus dont l’activité connait un ralentissement depuis novembre 2012. Cela me permettra aussi de faire plus facilement la promotion du C-ube, lorsque celui sera enfin ouvert au public, ainsi que celle de mes divers autres projets. Enfin, les deux home me seront également assez utiles pour me déplacer rapidement entre Kélaïre et Icarus qui sont situés sur le même monde et entre Antaris et Keysington — si le projet est accepté bien sûr. Mais pourquoi suis-je fais pour ce grade ? Et bien, à vrai dire, je pense avoir les qualités requises pour ce grade. Alors en vrac … Je pense être assez connu et ancien sur le serveur. Je pense également que mon implication n’est plus à démontrer, rien qu’à voir les projets sur lesquels je suis. Toujours là, je ne rechigne — presque — jamais à donner mon aide à ceux qui me le demande. Niveau caractère, je ne cherche généralement pas le conflit, mais plutôt la conciliation. Je suis également quelqu’un de calme sur Mumble et IG, avec pas mal de patience la plupart du temps. Autre point, mais non des moindres, ayant été citoyen avant la disparition du grade de voyageur, je trouve que dans le tchat le bleu ciel me sied plutôt bien — bien mieux que le « cyan minecraft » de mon grade actuel. *ahem* (oui je radote) Je n’ai pas été exhaustif, c’est assez dur de se jauger. C’est mon ressenti personnel concernant mon action sur le serveur. Pour le reste, bah, c’est à vous de juger Que ferais-je si j’obtiens ce titre ? Bah, c'est simple, être Chevalier, cela va être un énorme plus pour la promotion du projet que je compte lancer sur Nabes avec Dokhas, Keysington. Je compte rester tout aussi actif et disponible qu'actuellement — avec toujours des pics et des creux de connexion bien sûr. Je vais continuer de terraformer comme un bulldozer, à farmer comme un québékwé, à tourner en rond des heures autour du spawn, à dire n'importe quoi IG, à .... euh, je pense que vous avec compris, le grade de Chevalier ne changera pas ma manière de jouer, ni la fréquence, etc. Préambule : Ce rôle-play est en gestation de puis pas mal de temps et n’est pas une suite direct avec mes écrits précédents. Il se déroule en grande majorité dans des contrées très éloignées de celles de Minefieldet narre partiellement une aventure en rapport avec ... euh ... et ben, vous le saurez en lisant, vous croyez que j’allais vous spoiler comme ça ? Bonne lecture donc... Face contre terre, je maudis intérieurement l’imbécile qui avait décoché cette flèche. Pour éviter le projectile, j’avais dû effectuer une pirouette improbable, me faisant avaler une quantité incroyable de poussière. Tout en maugréant, je levai la tête à la recherche du coupable de cette douteuse plaisanterie. Incrédules, mes compagnons se regardèrent, cherchant eux aussi d’où pouvait bien venir cette mystérieuse flèche. Soudain, un second projectile vint se planter dans le sol juste à mes pieds. Levant rapidement les yeux, je vis avec une certaine stupéfaction une véritable armée tout droit sortie d’outre-tombe dévaler la colline qui nous faisait face. L’effet de surprise se dissipant peu à peu, j’analysai brièvement la situation. Une cinquantaine de squelettes et de zombies nous fonçaient dessus et nous nous trouvions en infériorité numérique évidente. À ma droite, Croûton venait d’encocher une flèche, prêt à tirer sur ces êtres cauchemardesques, tandis qu’à ma gauche, Protolet dégaina sa lame hors de son fourreau. À peine eus-je saisi mon épée, que déjà, un zombie tenta de me faire tomber de mon cheval. Je parvins à garder mon équilibre de justesse et j’en profitai pour asséner un violent coup à une créature maléfique qui s’effondra dans un râle morbide. Entamant un ballet mortel, j’embrochai trois morts-vivants puis lançai mon destrier à l’encontre d’un groupe d’une douzaine de squelettes qui faisaient pleuvoir une véritable pluie de projectiles meurtriers sur mes compagnons et moi-même. Ma monture les percuta de plein fouet dans un effroyable fracas d’os brisés. Les créatures, littéralement disloquées, démembrées… — bref, je pense que vous avez compris l’idée — ne présentant plus aucune menace, du moins dans l’immédiat, je me précipitai en direction de Croûton qu’une dizaine de zombies encerclaient. Son cheval venait de succomber sous les assauts meurtriers de nos agresseurs. Le bougre se bâtait comme un beau diable, sa cuirasse et son anatomie faites d’obsidienne aidant, mais ces monstres n’allaient pas tarder à le submerger. Je surgis dans le dos de l’un d’entre eux, et, sans aucune once de pitié, je lui tranchai la tête grâce à un violent coup d’épée. Croûton sauta sur la croupe de mon cheval et nous partîmes au galop en direction de Protolet qui tenait en respect un petit groupe d’assaillants. Brandissant mon arme, je lui fis signe qu’il était temps de battre en retraite. Il nous rejoignit à vive allure, embrochant au passage un zombie un peu trop téméraire, et nous entamâmes une course folle contre la mort. Nous nous trouvions dans une sorte de cuvette naturelle formée par de modestes collines au sud et à l’est, alors qu’au nord et à l’ouest se dressait une immense chaîne de montagnes à l’aspect menaçant. Nous étions cernés de tous les côtés, acculés contre le flanc abrupt de ces éperons rocheux. Une seule option s’offrait à nous, une étroite faille coupant la falaise en deux. Nous nous engouffrâmes dans le sombre défilé, poursuivi cette fois-ci par un groupe d’une trentaine de squelettes chevauchant d’énormes araignées. Déjà, ma monture commença à donner quelques signes de fatigue, mais nous arrivâmes peu à peu à les distancer. Mais, même si nos poursuivants n’étaient plus en vue, nous continuâmes à avancer au plus profond de la faille pendant deux bonnes heures, le long de cette voie naturelle providentielle. Au détour de l’une des nombreuses sinuosités, la crevasse s’élargit pour laisser place à une vallée encaissée, où se dressaient quelques frêles buissons. Un torrent cascadait sur les falaises nous entourant, se jetant dans un petit lac naturel. Nous décidâmes de faire une courte pause pour permettre aux chevaux de s’abreuver et de paître un peu. Nous en profitâmes pour inventorier le matériel qui nous restait après cette attaque. Une bonne partie de nos vivres avaient été perdus, mais heureusement notre précieux chargement était sauf — pour l’instant du moins. Nous n’avions en outre plus que deux montures pour trois et celles-ci étaient épuisées. Mais nous ne pouvions faire de vieux os près de la cascade, la faille que nous avions empruntée n’ayant aucune bifurcation qui aurait pu mener nos agresseurs en erreur, il ne tarderaient pas à nous trouver. Après ce bref répit, nous nous remîmes donc en route, Croûton chevauchant cette fois-ci en compagnie de Protolet. Au fur et à mesure que nous avançâmes, les falaises se firent de moins en moins raides, la vallée se fit de plus en plus large et la végétation légèrement plus fournie avec cette fois-ci la présence de quelques arbres fruitiers. Nous en profitâmes d’ailleurs pour remplir nos besaces de pommes et autres fruits, ne sachant pas combien de temps encore allait durer notre périple. Une fois la pénombre venue, nous fîmes une pause dans une petite cavité sous un rocher, tout en évitant de faire le moindre feu qui aurait pu renseigner notre position à nos ennemis qui, du moins nous le supposâmes, étaient encore très certainement à notre poursuite. En m’endormant, cette nuit-là, je n’espérai qu’une chose, qu’en ne nous voyant pas rentrer dans les temps initialement prévus, nos amis viendraient à notre rescousse dans les plus brefs délais. Nous repartîmes à l’aube. Nous ne détectâmes aucune trace de nos poursuivants ni d’une quelconque expédition de recherche icarienne. Quoi qu’il en soit, nous devions continuer sur cette voie. En effet, le passage que nous avions emprunté devait sans aucun doute être maintenant gardé, nous empêchant de faire demi-tour. La vallée continua de s’élargir jusqu’à déboucher sur un haut plateau battu par les vents. Ici, les seules plantes qui y poussaient étaient de pauvres buissons complètement rabougris ainsi que quelques mousses et lichens. Nous marchâmes dans cet environnement désolé deux jours durant jusqu’à arriver à un gouffre d’une profondeur avoisinant plusieurs centaines de cubes d’après les savantes estimations de Croûton. Cette faille d’une cinquantaine de mètres de large s’étendait à perte de vue. En jetant un coup d’œil derrière moi, je vis au loin une escouade de squelettes, ces mêmes créatures que nous pensions avoir semé il y a quelques jours, foncer vers nous à vive allure. À ce rythme, ils seraient sur nous d’ici une petite heure, enfin, si les perspectives souvent trompeuses du plateau ne nous jouaient pas de nouveau un tour. Soudain, je repérai des traces de construction à une centaine de cubes suivant la faille de l’endroit où nous nous trouvions. En m’approchant, je vis que c’était le bout d’un escalier qui serpentait le long de l’abrupte paroi. Je hélais mes compagnons et nous entamâmes un long et périlleux trajet au fond de la crevasse. Le sentier était creusé à même la roche, formant une sorte de promontoire au dessus de l’abysse. Il suivait une pente relativement douce, agrémenté ici et là de quelques marches isolées. Croûton ouvrit la voie, suivi de Protolet. Je fermai la marche tout en dispersant un peu de redstone dans les airs pour brouiller notre piste. Alors que nous venions d’amorcer notre descente, un brouillard très dense commença à nous envelopper, masquant peu à peu la lumière du jour. ————— Après une descente qui nous sembla durer une éternité, nous arrivâmes littéralement au fond du trou — non, Yséra n’a rien à avoir là-dedans — et à notre grand étonnement, les parois stériles qui bordaient le précipice abritaient à leur base une flore qui nous était totalement inconnue. Le sol, recouvert d’un fin tapis herbeux, était parsemé de petits arbustes aux feuilles ressemblant de loin à celles des fougères. La falaise, tout comme les énormes blocs jonchant le sol qui devaient s’en être détachés, était recouverte d’une espèce de lichen qui dégageait une étrange lueur violette. La féérie des lieux ne changeant malheureusement rien au danger qui nous menaçait, je renonçais donc à m’arrêter pour étudier ces curieuses plantes dont la bioluminescence m’intriguait. Après quelques centaines de mètres au fond de la crevasse, cette dernière commença à s’élargir progressivement formant une sorte de grotte ovale, bien qu’une faille la parcourait sur toute sa longueur, laissant entrevoir parfois une faible lumière provenant de la surface. Tout le long de la paroi avaient été creusées de petites cavités dont la hauteur correspondait à la taille d’un homme moyen. Bon sang, cet endroit avait été habité jadis. Nous entrâmes dans l’une d’entre elles. Elle se composait d’abord d’une pièce à vivre, où se trouvait une grande table en son centre entouré de quelques tabourets. Aux murs étaient accrochés des tentures, ou du moins ce que les mites et le temps avaient laissé intact, c’est-à-dire seulement quelques lambeaux de tissus délavés par endroit. Dans un coin de cette pièce trônait également un poêle, dont l’âtre n’avait sans doute plus pu réchauffer quiconque depuis bien longtemps. Un couloir partait à l’opposé de la paroi et desservait plusieurs autres salles. La première d’entre elles était ce que l’on pourrait qualifier chez nous de cuisine. Il y avait un point d’eau ainsi qu’un foyer où l’on aurait pu faire rôtir sans problème tout un bœuf d’un seul tenant. Sur les étagères murales restaient quelques galettes, mais celle-ci tombèrent en poussière lorsque Protolet, avec sa gourmandise légendaire tenta de s’en emparer. Les pièces suivantes devaient être les différentes chambres de l’habitation. Dans la plupart d’entre elles étaient posé au sol les restes d’une paillasse, sans doute faite de lin tressé, et la décoration murale était plutôt sommaire. Étant au cœur de la falaise et donc dépourvues de fenêtres, ces salles étaient éclairées par de gros cailloux sphériques, enduits du même lichen qui recouvrait la paroi à l’extérieur, dégageant une bioluminescence naturelle. Ces boules étaient accrochées aux murs par d’épais arceaux en fer forgé plantés dans la roche. Enfin, tout au fond du couloir se trouvait une pièce vraisemblablement utilisée comme sanitaire. Assez spacieuse, on y avait taillé un bassin à même le roc.Une source d’eau chaude et cristalline s’y déversait. L’ambiance était feutrée, le temps comme suspendu. Les questions se bousculaient dans ma tête. Qui avait donc pu vivre dans cette grotte aussi reculée ? Pourquoi l’avaient-ils abandonnée ? Depuis quand était-elle inoccupée ? L’inspection de cette habitation étant terminée, nous continuâmes d’avancer au milieu de ce qui nous semblait de plus en plus être les restes d’une civilisation antique aujourd’hui disparue. Au fond de la grotte se dressait un énorme édifice fortifié lui aussi en partie troglodyte. Une enceinte, d’une dizaine de mètres de haut, surmontée de créneaux et ponctuée de quelques meurtrières disposées à intervalle régulier, se dressait en demi-cercle devant la paroi. Ces fortifications n’avaient rien à envier à celles que nous avions l’habitude de voir dans nos contrées. Mais les effets du temps semblaient ne pas avoir épargné la structure qui, sans entretien, tombait en ruine. De plus, je décelai des traces d’impacts tout le long du mur, laissant à penser qu’avant d’être abandonnée, la cité avait dû subir un siège. Nous traversâmes le pont en pierre qui enjambait les douves asséchées de la citadelle et passâmes sous le porche d’entrée. D’immenses portes en fer devaient normalement bloquer le chemin, mais l’une d’entre elles gisait une dizaine de mètres plus loin, au milieu de la cour comme si une force surhumaine l’avait subitement éjectée là. Tout autour de cette cour se tenaient les restes de quelques échoppes dont les enseignes qui n’étaient pas tombées se balançaient dans un sinistre grincement au gré d’une légère brise que je n’avais remarquée jusqu’à présent. Des auvents au-dessus des étals ne restaient que quelques lambeaux de tissus délavés par le temps ainsi qu’une partie des armatures en bois qui les soutenaient autrefois. Un peu plus loin, à moitié cachée dans la brume, se dressait une deuxième enceinte, collée contre la paroi cette fois-ci. En nous approchant, nous remarquâmes que les portes avaient une fois de plus été enfoncées, nous laissant penser que l’issue du siège avait été fatale aux défenseurs de la citadelle. Nous nous introduisîmes dans ce que l’on pourrait qualifier de « hall d’entrée » de l’édifice. Tout ici était démesuré ! La nef culminait à plusieurs dizaines de mètres de haut, et l’on pouvait apercevoir sur ces flancs de multiples balcons, ainsi que moult sculptures finement taillées. Au sommet, un imposant dôme recouvert de dorures couronnait le tout avec splendeur. Au centre de la salle se trouvait une magnifique fontaine — qui aurait même, je pense, impressionné le « fontianier » Xaxicouzoulou s’il avait pu être avec nous — ornée de statues très probablement à la gloire de dieux oubliés. Devant l’immensité et la majesté des lieux, mes compagnons et moi-même nous tûmes quelques instants comme pour rendre hommage à ceux qui avaient réussi à accomplir une telle prouesse architecturale, mais qui n’avaient pu résister à un ennemi inconnu qui avait sonné le glas de leur civilisation. À l’opposé de l’entrée commençait une grande galerie semblant s’enfoncer dans les profondeurs de la Terre. Elle était vaguement circulaire et la finition grossière des parois du tunnel tranchait nettement avec le reste de l’édifice, comme si elle n’avait pas été l’œuvre des bâtisseurs de la cité, mais d’une entité autre. D’un diamètre d’environ huit mètres, le boyau était impressionnant. Pourquoi ce tunnel avait-il été creusé ? Le mystère m’intriguait, mais après une journée harassante, nous décidâmes de ne pas continuer notre exploration jusque dans ce boyau pour le moment. Nous retournâmes donc dans la cour devant la paroi pour y établir un camp de fortune. Pour éviter toute mauvaise surprise, puisque nos poursuivants pouvaient toujours être sur notre piste, et grâce à la force surhumaine de Croûton, le battant manquant de la porte fut tant bien que mal remis en place. Il fut convenu que Protolet prendrait le premier tour de garde, Croûton s’occuperait du deuxième tandis que je devrais assurer le troisième. Après un sommaire repas, je m’allongeai au coin du feu et plongeai dans un sommeil agité. Il devait être aux alentours de quatre heures du matin lorsque je me réveillai en sursaut. Ce n’était pas encore à mon tour de monter la garde, mais un étrange sentiment m’habitait. Croûton était assis un peu plus loin, à la lueur des flammes. Je m’approchai de lui et m’installai à ses côtés sans un mot. Soudain, nous entendîmes un bruit derrière la muraille. Je me précipitai sur le chemin de ronde tandis que mon compagnon alla réveiller Protolet en vitesse. Par delà l’enceinte, je vis devant la citadelle que les créatures qui nous poursuivaient avaient fini par retrouver notre trace. Nos assaillants bien qu’en supériorité numérique écrasante, ne coordonnaient pas leurs offensives, essayant tant bien que mal de traverser le fossé entre la ville et la muraille, mais — et ça, n’importe qui aurait pu le prévoir tant les zombies sont idiots — restaient immanquablement coincé au fond de la fosse. Quant aux quelques rares individus qui avaient eu la brillante idée — pour un zombie tout du moins — de passer par le pont croulant qui enjambait ledit fossé. Mais, arrivés à la porte, ils ne faisaient que la gratter avec des ongles inexistants chez leur espèce. Des creepers participaient également à l’attaque, mais au lieu de saper nos fortifications en explosant contre la porte, ils nous regardaient béatement, se demandant sans doute comment passer ce fossé ainsi que la muraille. Sans le côté tragique, en y repensant bien, cette situation aurait presque pu être d’un comique certain. Mais l’heure n’était pas à l’amusement, car il nous fallait un moyen d’échapper à nouveau à ces hordes maléfiques. Après quelques assauts infructueux, nos adversaires — dans un soudain élan de génie — se replièrent un peu plus loin sur la place centrale de la cité à l’abri de nos flèches, prêt à tenir le siège. Nous étions en sécurité, au sein de la forteresse, du moins, tant que dureraient les quelques vivres qui nous restaient. ————— Dans les heures qui suivirent, nous entreprîmes d’explorer un peu plus soigneusement la citadelle dans l’espoir de découvrir une quelconque sortie cachée, ou quelque chose du même genre. Méticuleusement, nous fouillâmes toutes les pièces adjacentes au dôme. Alors que nous nous approchions du sommet, je repérai un petit carnet gisant sur le sol. Après un rapide survol de ce qu’il contenait, j’en conclus qu’il était l’œuvre de l’un des défenseurs des lieux lors du dernier siège. Dans les dernières lignes, il y avait marqué dans une langue proche de la nôtre : « 139e jour de siège. Nous sommes tous épuisés, et beaucoup d’entre nous ont déjà péri à cause des attaques incessantes de ces hordes maléfiques et de la faim. Il ne reste guère d’espoir si ce n’est celui que les mages ont de réveiller la créature de l’au-delà qui séjournerait dans les entrailles de la Terre et dont toutes les légendes parlent en tant que Destructeur des Mondes. Je pense personnellement que libérer un tel fléau est un remède bien pire que le mal qui nous frappe actuellement. Qui sait ce que cette créature pourrait nous faire une fois en liberté ? C’est de la folie pure. 142e jour de siège. Le réveil de la Bête est prévu pour ce soir, en espérant que tout se passe bien. 142e jour de siège bis. C’est horrible, la... » La suite du carnet était totalement illisible du fait des taches de sang séché qui couvraient les deux pages suivantes. Quoiqu’il se fut passé, l’issue du siège avait dû être tragique pour les défenseurs terrassés de l’intérieur par une entité que nulle muraille n’aurait empêchée de passer. Un peu plus loin de l’endroit où nous avions découvert ce carnet gisaient quelques fragments d’os brisés. Nous redescendîmes pour aller regarder de plus près l’ouverture qui avait été faite, nous en étions maintenant sûrs, par une antique créature. La roche avait été littéralement broyée, des morceaux entiers de montagne pulvérisés. Quelle créature était assez forte pour excaver tel un tunnelier un trou de cette taille ? Il était clair que les défenseurs n’avaient eu aucune chance face à un tel monstre ! Justement, ce monstre était-il encore en vie, malgré les siècles, voire les millénaires qui s’étaient écoulés ? Si oui, logeait-il encore dans les entrailles de la Terre ? Curieux par nature, je proposai d’aller voir ce qu’il en était. Protolet étant contre — la décision la plus sage, en y repensant maintenant —, il resta dans la citadelle alors que je m’engageai accompagné de Qdejatte dans le boyau créé par la créature antique. La pente était relativement régulière, mais assez abrupte. Heureusement, elle était agrémentée de saillies placées régulièrement, comme des marches, facilitant grandement notre descente. Au bout des quelques centaines de mètres, nous aperçûmes une lueur au loin. Nous avançâmes lentement jusqu’à découvrir une cabane faite de planches vermoulues et dont la solidité ne nous disait rien qui vaille. Au petit appentis sur la devanture était accrochée une lanterne dont la lueur nous avait conduits jusque là. Croûton fit le tour par l’arrière et quant à moi je rentrai par la porte à demi ouverte du cabanon. L’intérieur était on ne peut plus sommaire. Le mobilier se composait en effet d’une modeste table avec un tabouret, d’une étagère où se trouvaient quelques vivres et d’une paillasse, en lin probablement, dans le fond de la pièce. Au plafond pendait une lanterne qui tout comme à l’extérieur était également allumée. Étrange... Les lanternes et les vivres indiquaient que quelqu’un devait vivre — ou plutôt survivre — ici en dépit de la stérilité apparente de l’endroit. Tout à coup, je sentis une vive douleur à l’arrière de mon crâne et sombrai dans l’inconscience... « Glieps ? Glieeeps ! » Hein, quoi ? On m’appelle ? Que s’est-il passé ? « Glieeeeeeeeeeps ! » Je commençais à émerger de ma torpeur. J’avais l’impression qu’un troupeau de creepers avait explosé à proximité tant mon mal de tête était fort. — Ah, vous voyez, il ouvre les yeux, il revient à lui, dit une voix inconnue. Il semble aller plutôt bien ! — Ce n’est pas grâce à vous en tout cas, dit une voix d’un ton sarcastique que j’aurais reconnu entre mille avec son accent caractéristique, c’était Croûton à coups sûrs. L’image des deux silhouettes devint un peu plus nette et je reconnus effectivement Qdejatte. Un vieillard que je n’avais jamais vu se tenait à côté de lui. — Voyez, il se porte du feu de Dieu, dit le vieillard. L’image devint plus nette, mais le mal de crâne persistait. — Où suis-je ? — Dans la cabane de ce... eh ben, vieil homme, répondit Croûton. C’est lui qui t’a assommé. J’ai pu arriver à temps avant qu’il n’essaye de t’achever avec son gourdin. — Simple mesure défensive, rétorqua le vieillard. Dans le coin, la venue d’étrangers n’est jamais bon signe. — Vous, taisez-vous, dit simplement Qdejatte. Depuis avant vous n’arrêtez pas de me casser les oreilles avec ces histoires de bêtes. — C’est la stricte vérité ! Vous courrez un grand danger, la Bête sait que vous êtes ici et elle vous traque, dit l’inconnu, soudain blafard. Fuyez ! — Mais quelle est cette bête que vous semblez tant craindre ? dis-je. — C’est une bien longue histoire et nous n’avons que très peu de temps... Il y a près de trois mille ans, une cité dont le nom a été perdu avec les âges prospérait, là-haut près de la surface. Puis un conflit d’une ampleur sans précédent éclata, opposant les hommes aux créatures venues tout droit des tréfonds de ce monde. Les hommes se replièrent dans l’antique forteresse et le siège dura de longs mois. La citadelle allait tomber, lorsque les mages, ayant entendu parler d’anciennes légendes concernant un monstre qui aurait élu domicile il y a des temps immémoriaux sous terre, près de leur cité. Ils décidèrent de le rechercher, certains que ce serait la solution à leurs problèmes. Ils entreprirent tels des nains de forer la montagne toujours plus profondément lorsqu’ils tombèrent sur ce monde souterrain. Oui, oui, il y a un véritable monde sous terre, et nous en sommes à la lisière. Ce monde est doté d’une végétation on ne peut plus luxuriante. Des fougères de plusieurs dizaines de mètres de haut, des arbres gigantesques, et surtout, des créatures monstrueuses qui dépassent l’entendement humain. Il est totalement impossible de s’imaginer la taille des créatures qui peuplent cet endroit. Mais la plus terrible de toutes, c’est la Bête. Personne ne peut lui échapper, elle fait la loi ici, elle sait tout. Elle ne devrait d’ailleurs pas tarder à venir ici. — Dites-nous ce qui est arrivé aux défenseurs de la forteresse ! — Bon, si vous insistez, après avoir découvert ce monde enchanteur, ils sont tombés sur la Bête justement. Elle fit des ravages parmi les membres de l’expédition de recherche, la décimant en grande partie. Certains survivants arrivèrent néanmoins à revenir à la citadelle pour prévenir les défenseurs, mais c’était déjà trop tard. En quelques minutes, tout fut fini, il ne restait plus personne en vie dans les environs. Seuls une poignée de mages survécurent, mais ils sombrèrent eux aussi dans l’oubli et nul ne sait aujourd’hui ce qu’il en est advenu. — Mais, quelle est cette « Bête » dont vous parlez tout le temps ? demandai-je. — Elle est totalement indescriptible, elle n’a pas d’apparence fixe, et possède une puissance titanesque, répondit le vieil homme. Ne m’en demandez pas plus, je ne pourrais pas vous répondre à ce sujet. — Et comment pouvez-vous savoir ce qui s’est exactement passé, il y a de cela trois mille ans ? demanda Qdejatte. Et comment faites-vous pour survivre ici ? — Voyez-vous, mes jeunes amis, certaines histoires ne peuvent être transmises que si on les a vécus. Et cette histoire en fait partie... Avant que nous n’ayons eu le temps de dire quoi que ce soit, le mur arrière du cabanon vola en éclat et un puissant rugissement se fit entendre à travers le mur de poussière. Croûton fut plus réactif que moi, me saisit par la taille et commença à courir vers l’embouchure de la galerie. Derrière nous, les planches étaient en feu, et je ne voyais plus aucune trace du vieil homme. Mais mon attention revint vite à la priorité actuelle, à savoir la fuite ! Dans un rythme effréné, nous gravîmes les marches improvisées qui conduisaient à la citadelle. Épaulé par moment par Qdejatte, qui lui étant propulsé à la Redstone n’avait aucun problème de souffle, je parvins à atteindre le hall où nous avions laissé Protolet avant notre descente, mais ce dernier était vide. Bon sang, mais où se cachait donc Protolet ? Il fallait quitter cet endroit le plus rapidement possible, bien que nous étions assiégés de tous les côtés. Après un bref regard derrière mon épaule, je vis que la Bête était toujours à nos trousses. Et m*****. Nous reprîmes notre course et sortîmes en trombes dans la cour. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je vis tout un bataillon de Gallinacéen, commandé par Sir Joandre lui-même ! Il était épaulé par ce cher Lowie ainsi que moult Icariens venus porter secours à notre expédition, qui attendait dans la cour en compagnie de Protolet — pour ceux qui ne le savent pas, la Confrérie des Gallinacéens est la milice montée icarienne chevauchant fièrement nos chers amis à plumes, j’ai nommé les poulets ! Mais je m’égare, reprenons notre histoire... Devant l’urgence de la situation, Qdejatte prit la parole : « Il faut partir tout de suite, nous vous expliquerons tout en chemin » Juste après que nous ayons pris notre envol, toute la façade de l’édifice se mit à trembler, des fissures lézardèrent le mur et quelques blocs encadrant les ouvertures tombèrent dans la cour. Puis d’un coup, dans un énorme fracas toute la façade s’effondra, laissant le hall à la fontaine à nu. Au milieu des décombres et de la poussière, je distinguai une ombre gigantesque qui sembla nous regarder un instant puis fit demi-tour et disparu dans l’obscurité qui était sienne. Nous montâmes le long de la crevasse jusqu’à émerger au niveau du plateau, puis nous mîmes le cap sur des contrées un peu plus hospitalières. Et voilà toute l’histoire... Glieps vida le reste de sa chope de bière d’un trait, salua ses compagnons de tablée et laissa en partant une pièce d’or sur le comptoir du barman. C’était déjà le crépuscule et le soleil descendait lentement entre les bateaux de la flotte impériale de Stendel. En marchant sur les quais, Glieps se ressassa une énième fois son aventure... Et voilà toute l’histoire... Non, ce n’était pas toute l’histoire en vérité. Pourquoi s’était-il aventuré aussi loin dans les Contrées sauvages ? Ce n’était surement pas le fait du hasard... Quoique, si en fait... Le hasard qui avait conduit les recherches d’Enkanel à localiser ce vieil artefact. Le hasard qui l’avait poussé à se proposer avec Protolet et Qdejatte pour monter une expédition pour le récupérer. Ce même hasard qui avait conditionné la brusque attaque au milieu de ces collines hostiles. Toujours le hasard qui avait poussé Croûton à emporter la balise Redstone qu’il avait mis au point quelques jours auparavant et qui avait du coup permis à un bataillon de Gallinacéen de retrouver leur trace et de venir à leur secours. Et puis ce vieillard était-il vraiment... ? Non, ce n’était pas possible, personne ne pouvait vivre plus de trois mille ans ! Il devait être en plein délire... Bien que... son histoire était tellement tirée par les cheveux que le doute était permis. Et puis, il y avait la Bête, dont personne n’avait pu voir autre chose qu’une ombre informe. Cela n’avait plus d’importance maintenant... La cité perdue était à mille milles de là et l’artefact trônait de manière sinistre dans les tréfonds de l’Enkastel, avant de rejoindre le centre de la structure secrète qui se trouvait près des frontières icariennes. Glieps esquissa un sourire face aux embruns. Il s’assit au bout de l’une des jetées, prit un morceau de parchemin ainsi que l’une de ses plus belles plumes et commença à rédiger, sur le coin d’une caisse posée là, une lettre à l’attention des gouverneurs. Une fois celle-ci terminée et cachetée, il se dirigea vers l’Académie des Chevaliers de Stendel, fief des hommes les plus fidèles des Empereurs. Il coinça l’enveloppe sous la herse fermée de la bâtisse en prenant bien garde à ce que le vent ne vienne pas la déloger. Une fois cela fait, il s’en fut, le cœur léger. Les Icariens Enkanel — Pour ses morts à répétition Jbt54 — Toujours là, quoiqu-il arrive Qdejatte — Mon farmeur préféré Lowie232 — Pour toute ses râleries IG et Mumble Rafi1309 — Pour les débats sur Mumble TheGaudis — Ben, Gaudis quoi ... TheGrey642 — Ah, la lavathérapie... Protolet — Merci pour la relecture du RP =) JusticeH — Ben, du sang neuf, ça fait toujours plaisir... ... et j’en oublie plein, mais bon, impossible de citer tout le monde Les Kélares Raidentiger — Ai-je vraiment besoin de préciser pourquoi ? ^^ Nimaira — Pour sa gentillesse Xaxicouzoulou — Mon p’tit fermier préféré tonacs — Le larbin Kélare Benoks — Euh... toujours là ? Commando1238 — Ce fut un plaisir de te connaître imouff — Pour les bateaux, le larbinage, les délires Mumble ... etc... Le Delta en général Maximus360 — Bon, il saura de quoi je veux parler =) Dechoue — Toujours gentille et perdue (et merci pour la relecture du RP ^^) Mopitio — Pour sa disponibilité, sa gentillesse, sa sympathie, etc ... etruiaz — Ysera forever arawnmagnus — Cookies <3 Ruenruotel — 42,PI ! Dokhas — Te croiser IG est toujours un plaisir Le reste Khamelot — Donjons ... <3 Maiitoni — Ben, Maiito, quoi ... (non, pas Maiio, c'est autrement plus gras) Lilliee — Quebec <3 Zovsky — Pour m’avoir permis de travailler sur Antaris Nameloth — Ben, Nameloth quoi ... JMFaucher — Comment va ton dinosaure ? Dalyas — Toujours aussi gentille PILOUSHOOTER — Pour ses mèmes sur Facebook, son sens de l'humour *AHEM*, et ses monologues Mumble Kmairiaux — Pour son arbre de Netherrack et d'Obsi cubo à Icarus... Baldorien — Pour sa flemme... marieb73 — Crêpes ! Et un grand merci à toute l’équipe de Minefield... Louvinette — Pour les nuits blanches sur Mumble dokMixer — Pour avoir mis ce serveur en place avec Keps', Neymir et Pyrix Manamaxxx — À mon manchot préféré thorgrin — Pour toutes ces heures passées sur le CRASH d'Icarus ... Bon, j’ai oublié plein de monde (n’hésitez pas à râler/me harceler IG et Mumble/me menacer/etc. si tel est le cas). Glieps, Koiton Icarien, aspirant Chevalier[/justify] Modifications : 12.08.13 : Post initial 12.08.13 bis : Modifications diverses de la liste des remerciements 23.11.13 : Modifications diverses de présentation, corrections auhrtôgraficke, ajouts divers 30.12.13 : Réécriture de la partie intitulée "Motivations" avec divers rajouts + mise à jour des remerciements
  11. Totalement pour... Par contre, juste une question, seront-ils empilables ? Comme les vases actuels, ça pourrait être sympa pour servir de piliers...
  12. Mais ma parole, ils se sont passé le mot, c'pas possible *_* (Bienvenue à toi tete )
  13. Classer ça en bug, sérieusement ? (sauf si c'est sur New Stendel bien sur) Justement, il y en a sur NS
  14. Glieps

    HB JusticeH !

    Bon avec un peu de retard, permet moi de te souhaiter un joyeux anniversaire =)
  15. Glieps

    Best Pseudos vus IG

    Vu cette aprèm : ipadmini16 Et ce soir, tout chaud, tout nouveau : Stupid_Icecream
  16. Je me rend compte à l'instant que je n'ai pas encore soutenu Shalarana dans sa demande de licence commerçante, voilà qui est chose faite. Donc, que dire de Shalarana, c'est un joueur que j'apprécie particulièrement notamment lors de ses passage sur Mumble. En effet, il est très gentil, toujours prêt à rendre service quelle que soit l'heure, du moment qu'il est connecté, etc. Honnêtement, je pense que Shala sera un excellent commerçant de part son abnégation au travail et sa capacité à en faire toujours plus pour un client potentiel. Shalarana ira bien loin ! Glieps
  17. Glieps

    [Validé] Égéon

    Je rejoins l'avis de Meikah, l'architecture est magnifique Je soutiens donc le projet...
×
×
  • Créer...