DomFulmen

Dammit, qu'on donne un grade noble à cet homme.

Après, dans n'importe quel jeu si je joue pas pendant six mois ça me change rien, je le lance et j'y joue. Witcher 3 ils sont plus malins que ça par exemple : les extensions ont un niveau très élevé, certes, mais tu peux refaire une partie avec un petit Geralt déjà au bon niveau pour directement jouer à ladite extension. Pas besoin de farmer les niveaux pour en profiter quand même. ^^

Call of Juarez. Au suivaaaaaant ! o/

Ehehe, content que ça te plaise. :3 Le meilleur est à venir ! o/ Et puis les musiques. *-*

T'avais pas un peu plus obvious en stock ?

Yup, à toi. (Après, longtemps, longtemps, il date de 2013 hein )

Alors, en gros... Tu prends de la bouffe en bretagne, c'est du far. Tu prends un bestiau bizarre en Allemagne, c'est un volpertinger. C'est très brut ce que je dis, mais c'est l'idée. ^^ Mais vous aviez déjà compris ça, du coup je vois pas trop comment vous expliquer mieux le pourquoi de je vois ce qu'il veut dire x)

Alors, d'une part, c'est un film super connu, et en plus une citation avec 5 V dedans, dans un film qui tourne autour du V, du 5, et du E, c'était un peu obvious Allez, une un peu longue : « My ears hear what others cannot hear; small faraway things people cannot normally see are visible to me. These senses are the fruits of a lifetime of longing, longing to be rescued, to be completed. Just as the skirt needs the wind to billow, I'm not formed by things that are of myself alone. I wear my father's belt tied around my mother's blouse, and shoes which are from my uncle. This is me. Just as a flower does not choose its color, we are not responsible for what we have come to be. Only once you realize this do you become free, and to become adult is to become free. » Et la trad pour les flemmards/hérétiques « Mes oreilles entendent ce que les autres ne peuvent pas entendre. Je peux voir des choses imperceptibles pour la plupart des gens. Ces qualités sont le fruit d’une vie entière faite de désir. Le désir d’être secourue, de s’accomplir. Tout comme la jupe a besoin du vent pour la faire tournoyer, je ne suis pas définie uniquement par les choses qui m’appartiennent. Je porte la ceinture de mon père autour du chemisier de ma mère, et les chaussures qui me viennent de mon oncle. C’est moi. Tout comme une fleur ne choisit par sa couleur, nous ne sommes pas responsables de ce que nous sommes, ce n’est qu’ne prenant conscience de cela qu’on se libère. Et devenir adulte, c’est être libre. »

Bah, en vrai, je vois fort ce qu'il veut dire ^^

V pour Vendetta ?

Je vais jouer le personnage de ma fille de mes RP, dont j'écris les chroniques en ce moment, en alternance du mien, grosso modo. ^^

Dooooooooonc Je vais m'essayer à une petite expérience que je prépare depuis quelques temps déjà niveau RP IG. :3 En conséquence, je vais changer de pseudo tous les mois jusqu'à ce que j'en aie marre, grosso modo ^^ Donc jusqu'à nouvel ordre, ça donnera ça d'un coup sur l'autre : DomFulmen -> SeiraFulmen SeiraFulmen -> DomFulmen Voilà voilà :3

Justement, sauf que j'avais pas eu le temps de check le fofo entre-temps, tu coup tu as up et j'ai mis 12 minutes pour répondre à la relance.

Je... Je... ._. *brain explosion*

Mon 12 min après le up de Kefka d'au-dessus ne compte pas ? Sachant que je crois que j'ai fait de bons temps plus tôt dans le topic.

Fouah, un vieux vieux Bienvenue parmi tes confrères vieux, vieux ! (Ouais, je mettrai ce post et cette carte à jour. Un jour.)

Sous peu, le dénommé Black apparut et s'étala au sol. « Je te le rends. » Dis-je à Ciel. Puis d'ajouter à l'intention du musicien. « Je passerai quand j'aurai le temps. Prends garde à ce qui rôde dans le néant. Tu pourrais avoir de bien mauvaises surprises les concernant. »

Encore eut-il fallut qu'il m'ait tué.

Oooow, non, my bad, j'avais pas compris ça. x) Aucune idée du coup. x)

La limite sous l'eau jusqu'à la surface est délimité par les laines. Au-dessus de l'eau, on peut dépasser. ^^ Ouip, si j'ai bien compris, le topic a l'air de dire ça en tout cas.

C'est pas très gentil de taper sur des trucs aussi vieux Kefka, personne va connaître. Je ne donne pas la réponse au cas ou quelqu'un trouve cependant, je donne déjà beaucoup trop de réponses sur ce jeu. x)

(De rien Ciel )

Je désignai le sol au chevalier. « Ta sacoche n'a pas bougé de là où j'étais. » Je marquai une légère pause, le regardai en penchant la tête, l'air indécis. « Et tu peux arrêter, tu te déranges tout seul en pensant à ce bruit, je peux sans soucis passer outre. Si tu veux apprendre à te protéger contre les intrusions mentales, viens me trouver, je peux t'apprendre. Peut-être que je pourrais changer ta vision négative de la magie par la même occasion. Après tout, il existe aussi des mages dans ton royaume d'origine même... » Puis je m'empressai de reporter mon attention sur Ciel, sachant que ses deux entités m'entendraient. « Je n'ai rien contre eux du moment qu'ils ne font rien de stupide et qu'ils ne mettent personne en danger. Toi y compris. » Seïra m'intima de la main à ne pas en dire davantage. « Ce que mon père veut dire, c'est qu'il s'inquiète pour toi et pour ta sécurité, ainsi que pour la mienne, et ces deux personnages sont clairement énigmatiques, pour n'en dire que ça. Prends garde à toi, je t'en prie. » Elle me regarda un instant, sans rien ajouter. « Je repasserai dès que je peux. Tu trouveras le paiement pour le repas et les glaces sur le comptoir. À bientôt, Ciel. » Un signe de sa part, et nous disparûmes. Une fraction de seconde avant notre disparition, j'envoyai une pique mentale au musicien. « Viens me trouver si tu souhaites que l'on discute magie, et que je t'apprenne deux ou trois trucs. »

Les deux bêtes me bondirent dessus. Je soupirai. Avant même qu'ils soient au contact, je nous déplaçai, Ciel, Seïra et moi, quelques mètres derrière eux. Leurs mâchoires claquèrent dans le vent, leurs griffes lacérèrent l'air. Je les regardai de haut, du coin de l'œil. « Je ne sais pas à quoi vous jouez, tous les deux, mais il me semblait que j'avais été assez clair. » Je les foudroyai du regard. « Je peux jouer à ce petit jeu toute la journée, si vous voulez. C'est à vous de voir si vous voulez persévérer ou vous épuiser à mordre dans le vide pendant des heures. » Je regardai les deux jeunes à mes côtés. « L'un de vous a-t-il quelque chose à ajouter avant que l'on s'en aille ? »

« Perfectionner ? Pourquoi voudrais-je perfectionner ce qui est déjà parfait ? Je me déplace où je veux, quand je veux, instantanément et sans aucune dépense d'énergie. Je peux faire se déplacer une, deux personnes, une foule, ou une ville, si je le souhaite. » Sans un mouvement, je fis disparaître ma bulle, et la neige revint sous nos pieds. « Je le répète, il existe d'autres formes de magie qui font bien plus que ce que tu espères créer avec celle-ci. Je suis navré, mais je n'autoriserai pas quelqu'un s'amuser à modifier des forces sans le consentement des gens qu'il implique. Si tu veux faire ton expérience, fais-la avec toi, et ceux qui voudront bien y participer. » Je me retournai vers le reste des présents, m'assurant bien que tous avaient entendu mes derniers mots. D'un claquement de doigt, le dôme et le musicien furent à quelque cinq cent pieds de là, à l'écart de la taverne et de ses clients. « Vous m'avez compris, si vous voulez participer à ses tests ou lui poser des questions, c'est votre problème, et c'est à vous d'aller là-bas. Je n'en ai aucune envie, et je n'ai aucune envie d'impliquer cet établissement dans ce genre de choses. » Seïra réapparut près de moi avec le même sursaut de surprise qu'à son départ. Avant qu'elle ait pu esquisser une question, je lui envoyai les images des évènements. Je m'approchai de Ciel. « Je suis navré, je sais que tu voulais défier Seïra, mais nous devons partir, notre pause ici est terminée et nous avons des problèmes à régler ailleurs. » Seïra haussa les épaules. « C'est malheureusement vrai, être Reine ne me facilite pas la tâche. Néanmoins, j'essaierai de repasser dès que possible, avec assez de temps pour ton défis. » Elle s'inclina légèrement. Son maintien était impressionnant. J'avais décidément toutes les raisons d'être fier d'elle. Dès qu'elle m'en ferai le signe, nous partirions.