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Operamundi

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Tout ce qui a été posté par Operamundi

  1. Operamundi

    Cinéphilie

    Pour le film, j'espère vraiment que le réal va quand-même améliorer certaines choses sur la suite. Pour le livre, j'ai vraiment eu du mal à commencer parce que j'ai été un peu déboussolé par l'écriture au présent (avouons que c'est peu fréquent), mais passé cette surprise c'est agréable à lire.
  2. Operamundi

    Cinéphilie

    C'est simple. Battle Royal, c'est une suite de tueries, extrêmement gore, avec autant de gerbes de sang que possible et des exécutions de toutes sortes. Le but est sans conteste l'avalanche de violence et de scènes trash. Dans Hunger Games, on envoie également des jeunes gens se faire tuer, mais c'est le seul point commun (d'autant que HG est plutôt inspiré du mythe de Thésée). Le contexte est différent, et cette histoire de "Jeux de la faim" sert une histoire complète sur plusieurs thèmes : la liberté, la révolution, la société. Constamment, on sent la lutte entre la nécessité de gagner le jeu et l'envie de se révolter contre le système qui les oblige à faire ça et qui rende la chose populaire. Les raisons qui poussent le gouvernement à organiser ces jeux sont aussi multiples, et on sens que de ce côté, les choses vont bouger également. Bref, il n'y a pas de préférence à avoir. Tu vas voir BR pour le gore, rien de plus. Et tu vas voir HG pour l'histoire et pour voir les débuts d'une étoile montante du cinéma .
  3. Operamundi

    Cinéphilie

    Hier, je suis allé voir le fameux Hunger Games, dont on entend parler un peu partout, et qui fut annoncé par la presse comme la relève à des séries comme Harry Potter ou Twighlight (c'est pas moi qui le dit, et je m'en garderai bien). Bref, Hunger Games est un film adapté du livre éponyme de Suzanne Collins, qui est une trilogie, mais la série cinoche comptera quatre épisodes. Alors, véritables adaptation honnête ou énième boîte à fric ? On verra bien Synopsis : On y découvre l'histoire de Katniss Everdeen, une jeune adolescente de 16 ans, qui vit dans une Amérique post-apocalyptique, connue sous le nom de Panem. Un puissant gouvernement répressif, le Capitole, qui s'est formé après une période de troubles et de destruction, contrôle les treize districts qui forment le Panem. Après la rébellion du 13e district, qui sera complètement rasé, le Capitole crée un jeu télévisé appelé Hunger Games, qui consiste à choisir deux enfants entre 12 et 18 ans dans chacun des 12 districts (soit 24 participants) et de les faire se battre à mort dans une arène où il ne peut y avoir qu'un seul gagnant. Lors de la 74e édition, la jeune sœur de Katniss, Primrose, est choisie pour participer aux Hunger Games. Mais Katniss se porte volontaire afin de la sauver. Mon avis (garanti sans spoil) Il faut savoir que j'ai le premier tome en main depuis longtemps, et que je ne l'ai commencé que récemment, et donc avant d'aller le voir au ciné, je n'avais lu que quelques chapitres. C'est donc en total néophyte que j'ai découvert le film. Réalisation : Je ne sais absolument pas quel fut le niveau des dépenses engendrées pour ce film, mais je dirai que quelle que soit le budget, il a été bien mal disposé. Parce qu'on croirait que tout l'argent du film a servi au maquillage des acteurs et au casting. Il faut avouer que l'esthétique du film, entre les nobles maquillés au pot de peinture et l'architecture très épurée du Capitole, pousse à l’extrême le clivage entre les districts et le capitole. A dessein. D'un autre côté, reconnaissons que le casting est à la hauteur. Ainsi on profitera de Woody Harrelson (Bienvenue à Zombie Land) en mentor alcoolique, Elizabeth Banks (Scrubs) en présentatrice histérique, ainsi que Stanley Tucci et Donald Sutherland qui ne sont plus à présenter, mais aussi Lenny Kravitz. Rien que ça. Le film est donc porté par une palette d'acteurs talentueux, et même la jeune nouvelle (Jennifer Lawrence) qui prends le rôle de Katniss et très bonne (oui, bonne actrice, oui, aussi). Le problème, c'est qu'une fois payé tout ça, il n'y a plus un rond pour le reste. On aura donc droit à des décors en carton pâte ou en image de synthèse très mal fichues (le Capitole tout entier aurait été plus convainquant avec des legos, heureusement que le reste se passe dans la forêt), et surtout on se contentera d'une simple caméra à l'épaule pour quasiment tout le film. Alors si pendant les scènes de dialogue, ça n'est pas dérangeant, dès qu'il y a un peu de mouvement, je vous conseillerai de préparer les sacs en plastique en cas de nausée. Les scènes de combat en deviennent d'ailleurs très difficiles à suivre. Scénario : Si certains verront dans cette idée de combat à mort obligatoire, une référence (voire un plagiat) au très gore Battle Royal, sachez qu'il n'en est rien. Là où BR joue la surenchère de tueries gratuites et les hectolitres hémoglobine, Hunger Games distribue la violence avec intelligence, une violence qui n'est d’ailleurs jamais sans conséquence, physique ou morale. L'histoire et les éventements servent surtout un message, de plus en plus fort à mesure que le "jeu" se déroule. Le film est une satyre sociale qui utilise le thème de la TV-réalité pour pointer du doigt le système et la société de différentes manières. Au niveau de la narration en elle-même, il faut savoir qu'il y a beaucoup de passage assez longs (pas en terme de temps, mais en terme d'ennui) ou il ne se passe pas grand grand chose. Des passages importants pour l'histoire, mais qui ne sont pas servi avec assez de mise en scène pour réellement intéresser. On déplorera que certaines explications soient un peu bâclées. N'ayant lu que quelques chapitres, j'ai trouvé dès le début qu'il manquait beaucoup de choses. Mais bon, on ne peut pas tout mettre dans un film (il dure déjà 2h30 !). On dénote également plusieurs incohérences qui font parfois tiquer, et là encore je pense que c'est dû aux contraintes de format du film. Sachant que c'est l'auteure du livre elle-même qui a écrit l'adaptation, le tout me donne envie de finir l'ouvrage, pour savoir si on aura droit à plus d'explications. Sinon, l'histoire est intéressante et donne envie de lire le livre. Le final laisse planer le doute sur la suite tout en évitant le Cliffhanger, ce qui est appréciable. Conclusion : Si vous hésitez en ce moment sur le choix d'une salle, entre Cloclo, John Carter et autres fruits et légumes, sachez que vous passerez un bon moment si vous choisissez Hunger Games. Entre mon ami d'un côté qui regardait sa montre et soupirait pendant les moments un peu longuets, et ma copine de l'autre qui me demandait des explications par rapport au livre (et moi lui expliquant que, bon dieu, je n'en ai lu que quatre ou cinq chapitres, comment veux-tu ?), le film a quand-même réussi à m'intéresser et à me tirer quelque émotion par moment. Un film intelligent (rien à voir avec Twighlight donc ), qui ne sert pas du spectacle pour du spectacle, mais qui dirige le spectateur vers de vraies réflexions. Le scénario est prometteur et annonce des surprises, et le tout est porté par un jeu d'acteur convainquant. Dommage qu'en sortant de la salle, l'on ai plus parlé entre nous des défauts du film que de son histoire. On espérera que la suite parvienne à nous captiver en corrigeant ses défauts, parce que je pense que cette série le mérite et que le film promet de belles choses.
  4. Ahah, j'avais même pas vu, effectivement ! Faut fêter ça. Femme ! Apporte-moi une bière ! [/HS] Sinon, vous pouvez toujours refaire une chaine, mais dans laquelle vous ne mettrez que les vidéos relatives à la commu des Rives d'Or. Comme ça il y a toujours Larivedor pour les délires et autres, mais aussi une chaine réservée à Minefield
  5. No souci, mais comme j'avais lu sur ce topic que c'était impossible, j'ai préféré le préciser
  6. Hello ! Vous pouvez changer le nom de la chaine. C'est tout simple, il suffit de cliquer sur "modifier ma chaine", puis d'aller sur l'onglet "infos et paramètres".
  7. Operamundi

    Cinéphilie

    Hey ! Hier soir, au cours de mes pérégrinations pour trouver de nouveaux films sympas, on a découvert entre autres, "Crazy, stupid, love". Assez sympa à voir, et plutôt intéressant, le sujet c'est bien sûr l'amour. Avec un grand A. Mais attention, le film ne traite pas ce thème avec du gnangnan et de la guimauve. Il aborde de nombreux sujets, de nombreuses situations et sentiments, le tout avec beaucoup d'humour (le personnage principal est joué par Steve Carell, c'est vous dire !). Des scènes parfois émouvantes, souvent très drôles, mais toujours honnêtes, et jamais prévisibles. En bref, le film fait passer un message qui, à la fin, est assez évident, mais il le fait avec intelligence et humour, sans jamais tomber dans l'eau de rose. Je le conseille à ceux qui cherchent un film qui plaira à tous.
  8. Toutafay, vous avez le droit de râler, alors n'hésitez pas
  9. Avé ! Après discutions au sein du Conseil et après certaines remarques, nous aimerions savoir ce que vous pensez du forum actuel. Est-ce qu-il vous plait ? Est-il clair ? Pas assez ? Arrivez-vous à retrouver les choses ? Y a-t-il des choses à rajouter, à améliorer ? Dites-nous tout ici ! S'il nous faut modifier le forum pour le rendre plus accessible et mieux organiser, il est possible d'ajouter des sous-sections, mais ce ne sera pas sans menue monnaie.
  10. Piètre tentative de ta part que de justifier ta bêtise en essayant de faire croire qu'il y a un message derrière tout ça Personne n'est dupe. Non monsieur, cette médiocrité touche déjà bien trop nos chères têtes blondes comme ça. Je me battrai contre ça jusqu'à mon dernier souffle.
  11. N'ai pas peur, n'ai pas peur, euh, faut voir hein. Ici, y a des spécimens qui méritent qu'on prenne garde à ses arrières. Enfin bienvenue à toi de toute façon, et n'oublie pas de te protéger. Les nuits sont dangereuses ici.
  12. Non mon Dom, il est inutile de se battre. Lui comme ses fidèles ne valent même pas le peu d'énergie et d'attention que nous pourrions accorder à ses frêles personnages et leur foie naïve. N'oublie pas qu'ils vouent là un culte à la médiocrité, puisque c'est à l'aune des bêtises que Nazgrelx profère qu'ils l'idolâtrent. Et Nazgrelx, en acceptant d'être leur guide, se parodie lui-même puisque ce faisant, il accepte qu'on le définisse comme médiocre. Si je dois vouer un culte à une divinité, je préfère que celle-ci me confère autre chose que des fails et des blagues moisies. Mais bon, vous faites ce que vous voulez Au fait, super promo sur les figurines du grand Chickenderpig, n'hésitez pas !
  13. Si tel est le choix de l'Auror, j'accepte ce choix et suis certain que Neilmims saura gérer ce poste le temps qu'il faudra. Alea jacta est.
  14. Deux hommes isolés mais puissants. "corrompre" ne porte pas de "s" à l'infinitif. Abdique petite chose insignifiante et disgracieuse, tu ne peux rien contre un grammar nazi.
  15. Majooo revieeent, Maajooo revieeeent, Majooo revient parmi le sieeeens !
  16. Operamundi

    SL Chronicles

    And some suspens again !
  17. C'est laid. Merci, au revoir (remarque du coup, c'est au diapason de Nazgrelx...)
  18. Le premier qui fait un temple en l'honneur de Nazgrelx, je le noie dans ses propres entrailles. Arrêtez donc de l’idolâtrer, sa tête en devient tellement grosse que la glande qui retient sa puérilité va bientôt exploser. On avait réussi à l'enfermer, mais elle fuit déjà, il n'y a qu'à voir les fautes qu'ils (re)commence à faire. Ayez pitié de lui, sauvez-le, pourrissez-le. C'est pour son bien
  19. Et sinon les filles, on vous laisse tranquilles gérer le truc, mais on espère bien que vous penserez à nous en créant ce quartier des plaisirs
  20. Autant pour moi les gars. Keep cool
  21. Hello ! Honnêtement, je pense que si un joueur est bon, mais que ça candidature est refusée, il sera sans doute assez motivé pour la refaire en bonne et due forme. Je ne pense pas que les critères actuels empêchent les bon joueurs de s'intégrer, tant qu'ils sont motivés
  22. Scrogneugneu ! De toute façon, au point où on en est, on pourra pas faire pire alors...
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