Zifnabb

Alalala Que voulez vous, surement l'âge! Je me doutais bien qu'il manquait plein d'informations ! Alors pour vous répondre, nous souhaitons etre reliés à Boréalis, tout d'abord parce que les dirigeants sont d'une gentillesse incroyable, nous avons eu de tres bons contacts avec eux. Deuxièmement la gare se situera au niveau du futur village cela permettra un alignement Boréalis, Octarine, Aigen! Azur n'a besoin de personne, alors on essaye de se serrer les coudes nous autres pauvres bougres ! Enfin, bien évidement , cela serait une ligne secondaire d'environ 200 cubes (quant à la largeur, nous ne le savons point encore, il faudra en parler avec nos collègues de boréalis mais certainement dans la veine des autres lignes reliées a Boréalis pour conserver une certaine cohérence) Les détails c'est le mal ! Ca tue le rêve ! Namého ! La bise!

Depuis un certain temps, une masse continue d’êtres plus ou moins humains ne cessaient de s’agglutiner aux frontières de la Principauté. Tous n’avaient qu’une seule obsession : avoir la chance d’entre-apercevoir la délicieuse Reine de l’Octarine et d’obtenir l’autorisation de profiter des malices de son royaume. Certains avaient quitté patries, foyers et familles pour ce pèlerinage !! Bon à vrai dire, il se peut que cela soit un tantinet exagéré, tout au mieux au mieux, leurs tavernes ou leurs belles-mères… Mais les conséquences n’en restaient pas moins désastreuses ! En effet, il est bien connu et reconnu qu’un afflux d’aventuriers, voyageurs et accessoirement de doux rêveurs va furieusement à l’encontre du bien être des autochtones , de la faune et de la flore (et des nerfs !). La Principauté était un véritable lieu de villégiature, de repos, de tourisme et de cholestérol, elle ne pouvait satisfaire un tel nombre de badauds et de visiteurs aussi presque charmants soient-ils. Cela amusait follement le ménestrel cela dit, il y avait toujours quelques attractions qui valaient le coup d’œil et certains des voyageurs étaient aussi fascinants qu’une pelle, mais la friponnerie n’avait qu’un temps. Il était hors de question de laisser en l’état cette situation. Sa bien aimée Reine QueenNounours lui avait confié une mission de la plus haute importance, il devait en effet s’en aller quérir un de ces gouverneurs pour lui demander l’autorisation impériale de lancier le grand chantier de voie ferrée. Axe qui devait relier la Principauté de son Altesse Oursissime à l’Archipel de Boréalis… Après maintes discussions et rencontres diplomatiques, les feux étaient tous au vert, seul manquait le sceau impérial. Le ménestrel courrait entre les tentes et autres chapiteaux les bras chargés en lançant des coups d’œil paniqué derrière lui. Il n’était plus aussi agile qu’autrefois, mais encore suffisamment vif pour crapahuter hors de portée de tout danger potentiel. En l’occurrence, il semblait manifeste que le danger en question s’avérait ne pas être plus haut qu’un mètre quarante. Et visiblement, la taille comptait peu eu égard à l’intensité de la fureur qui animait la femme d’un maitre brasseur. Zifnabb n’avait pas cru commettre crime bien grave en délestant la vielle rombière de quelques bouteilles de Prune dont il était si friand. Cela lui rappelait les jours heureux de tribulations et de spectacles. Il avait cependant peut être négligé un des aspects du caractère majeur de ces femmes qui ont passé leur vie entouré de gredins avinés et roublards. Peu importait le fruit du larcin, on ne la faisait pas à une maitresse de taverne ! Le troubadour déboula entre les tentes et à défaut de sauver son précieux chargement, se sauva les miches en laissant choir au sol la demi-douzaine de bouteille qu’il transportait. Malheureusement, il se trouvait toujours dans l’Univers, un dieu quelconque dont le sens de l’humour était aussi tranchant qu’une crêpe. Il existait, c’était certain, et pour le prouver, il fit alors son apparition. Pour être plus exact, il fit apparaitre une vieille souche qui, bien ancrée au sol soutenait une minuscule cahute faite de bric et de broc, où s’entassaient quelques outils et autre matériau. Ce dieu en question devait vraiment être aussi chafouin qu’une gonade de gnoll puisqu’il sembla à Zifnabb qu’au moment où sa bottine heurta ladite souche, le temps stoppa son court pour profiter du spectacle à venir. Malencontreusement pour l’illuminé et fort heureusement pour ce filou de barde, il était furieusement préparé à toutes éventualités. En effet, il s’étala de tout son long en pensant à ôter son couvre-chef à temps pour éviter qu’il ne se froisse… Les réalités des lois de la physique ont toujours été un mystère pour Zifnabb. Il ne leurs avait jamais porté préjudice, pourtant elles, lui rappelaient au bon souvenir de la gravité dès qu’elles le pouvaient. Sans pour autant en paraitre décontenancé, il se releva prestement et avec une certaine adresse et s’épousseta sa pauvre défroque. C’est alors qu’il remarqua qu’il se trouvait en plein milieu de tables et de rondins, au cœur d’un colossal attroupement. Il se décida donc de se parer de la mine de circonstance, c'est-à-dire de l’individu qui maitrise parfaitement la situation et qui avait bien évidemment planifié sa venue en ces lieux. Dans une cabriole, le ménestrel se porta à hauteur de la foule en envoyant tant qu’il put œillades et sourires malicieux ; il s’apprêtait alors à déclamer une de ses envolées lyriques dont il avait le secret lorsqu’il aperçut, attablé seul comme une andouillette sur sa broche au dessus du feu, un individu dont le charisme n’avait rien à envier à celui d’une huitre. S’approchant d’un pas nonchalant, Zifnabb laissa un sourire espiègle prendre possession de son visage lorsqu’il reconnu cet invité peu ordinaire… -Par les Saintes Ratiches de Dame Ivresse ! Serait-ce ma vue qui me jouerait de biens vilains tours ! Ne serait-ce point là ce cher fripon de Gouverneur ?! *éclate de rire et se rapproche dans une cabriole * Quel plaisir de vous retrouver par ici ! Je n’attendais plus votre venue ! Un Seigneur de nos Terres en tribulation dans notre modeste Principauté ! Gencives de Névain! Si l’on m’avait prédit un tel attroupement, j’aurais fait manger à ces augures une livre de savon ! Vous arrivez furieusement à point nommé, j’ai tant de choses à voir avec votre auguste personne! Regardez moi ça ! Mais regardez-moi ca ! Le ménestrel s’empressa de passer en revue les curieux qui bayaient aux corneilles, pratiquement aussi indifférents à ce qu’il se tramait ici qu’un homme d’église pouvait l’être devant un établissement de Joie. Ahem… Mauvais exemple… Avec énergie et espièglerie il se planta devant un vieil homme qui ne tentait non sans bravoure de se curer un de ses orifices nasals tout en tentant de poursuivre ses explications au Gouverneur. -Non mais prenez donc ce grouilleux ! Non mais jetez y un œil vous dis-je ! Voir même un seau d’eau ! Chaude qui plus est ! Savonneuse je dirais même plus ! Mon brave ami, par pitié, ne mangez point ce caillou, vous n’avez plus que deux ratiches ! Par la Sainte Grace de Dame Dignité, vous ne fleurez point la fraicheur ! Et vous là ! Cessez immédiatement ! Seigneur regardez moi ça ! Comment leur expliquer clairement que le bon sens ne peut pousser les gens à se bâtir une cahute en chiure de bovidés ! …. Zifnabb cabriolait entre la foule démontrant à chacune de ses interventions qu’il avait aussi raison qu’il était intenable. Entre les vieux qui gueurmeulaient, les gamins qui braillaient, les effluves méphitiques et l’envie d’aller se brosser les dents avec un cactus, la démonstration tournait au carnaval. Malheureusement pour Zifnabb, heureusement pour l’homme de loi, la fatigue se fit rapidement sentir, avec héroïsme et hardiesse elle se fraya un chemin entre les différentes odeurs pour se planter bien comme il se doit dans le dos fourbu du ménestrel. Non sans regret, il rejoignit le gouverneur, lui ôta la bouteille de Prune des mains et en préleva une rasade avec théâtralité. Puis, s’épongeant le front avec un mouchoir d’aspect plus ou moins douteux, il se laissa choir au côté de son invité. -Voyez en quoi se mu notre quotidien ! Quel malheur, quel chagrin ! De grâce, ne laissez point le funeste dessein divin nous ôter tout espoir ! L’œil brillant et la moustache frisant de malice, Zifnabb se redressa avec célérité, les coudes bien calés sur la table (Ndlr : sur un tonneau crevé d’ où s’écoulait un liquide d’une couleur non encore découverte) et se pencha vers le gouverneur en prenant une mine conspiratrice… - Mon cher Seigneur, comme vous êtes bon, comme vous êtes grand ! Voyez déjà comme le soleil vous cède la place ô astre de lumière ! J’aurais tout de même bien ma petite idée pour nous sortir de tout ce barnum ! Voyez la Reine QueenNounours a été très claire là-dessus ! Elle est trop gentille voyez… Elle se refuse à bouter hors de nos terres ces péquenauds ! Elle m’a chargé de voir s’il était dans le domaine du potentiellement envisageable, grâce à l’excellence de votre talent, la magnificence de votre esprit vif et pertinent ! Ahem, nous n’avons plus le choix, la Reine le souhaite ! Je ne puis que me soumettre à ses désirs d’égalité et de partage toussa toussa ! Nous faut donc étendre nos frontières pour permettre à ces grouillauds de s’installer comme il se doit dans un cadre furieusement en adéquation avec les désidératas de la Reine et du bon sens ! Se radossant la mine satisfaite, Zifnabb laissa sa main glisser dans l’intérieur de sa veste pour en ressortir un parchemin portant le sceau de son altesse oursissime QueenNounours. Puis dans un petit sifflement audacieux, laissa glisser le document vers le Gouverneur. -Tout est là ! Je suis furieusement ravi de vous avoir croisé en ce jour ! Notre demande est toute simple, autorisez nous à bâtir cette cité et cette voie ferrée pour ces braves gens! Notre Reine a déjà contacté nos augustes voisins qui, je vous l’assure, sont tous enchantés par un tel projet ! ************************************************************************************************************************ Hors Roleplay Bonjour à tous ! Comme vous l’aurez très certainement compris, nous venons, QueenNounours et moi-même vous demander l’autorisation d’étendre les frontières de la Principauté de l’Octarine. Nous sommes désormais presque parés pour l’ouverture officielle de notre petite presqu’ile et après discussion avec maintes parties, il nous est apparu évident que notre projet purement touristique et plaisancier ne se suffirait pas à lui-même et qu’il nous fallait un moteur à tout cela. En l’occurrence la fondation d’une petite bourgade, la création d’une communauté et naturellement la rencontre et l’ouverture. Rôlistes et autres amoureux de la langue de Molière seront les bienvenue ! Nous avons deux grands projets pour ce futur village dont les habitants devront se charger *tire la langue* Nous avons dans l’idée de laisser la majeure partie du territoire en l’état naturel, en créant une sorte de forêt domaniale. Le village se situant juste à coté. Rassurez vous chers amis, il n’y aura point de mégalopole ou autre création outrancière, nous tenterons de respecter surtout la topographie des lieux et surtout, surtout, restaurer le littoral et le desert qui ont subit funestement les facéties de certains aventuriers. Plan des frontières souhaitées: Enfin, L’obtention de tout cela nous permettra enfin, de pouvoir bénéficier d’une section forum sans laquelle nous ne pourrions point remplir nos objectifs ! A savoir, exposer les œuvres des visiteurs et poursuivre l’exposition In Game sur le forum ! Tout ceci , n’est qu’un furieux résumé de tout ce que nous souhaiterions réalisé dans ce coin du monde, sachez que nous sommes vraiment dispo sur mumble ou en jeu , n’hésitez pas a venir nous voir pour plus de détails si le cœur vous en dit ! Au plaisir !

Joueur agréable et surtout posé et respectueux ! Hein ?? Ah oui ca se fait rare ! Mettons donc vite cette perle dans un écrin!!! J'appuie avec délice cette candidature pour un joueur qui relèvera le niveau ! Bon courage l'ami pour la suite et bon jeu à toi et aux tiens ! La bise.

Gauchiste, moi aussi je t'aime !!

Allons allons ! Pourquoi avoir besoin de plussoyer une personne de cette qualité ? Alors que ce bon vieil Osyris est simplement le fruit de l'union entre le talent et l'excellence! Bon camarade et joyeux drille, toujours agréable et de délicieuse compagnie, Osyris mérite largement ce titre. Bon gars, skin avec une moustache et bon compagnon! Oui chers amis, je soutiens cette vieille barrique! *traffic d'influence* Merci pour les tarifs !

Bonsoir à tous ! On va faire monter la moyenne d'age! Vous pouvez compter sur ma chère QueenNounours et moi même, nous serons de la partie avec grand plaisir ! Y aurait il cependant une âme charitable et strasbourgeoise pour nous donner quelques petits renseignements pratiques et utiles (par MP) concernant cette belle cité où nous comptons rester quelques jours !! A votre bon coeur m'sieurs dames ! Et attention à vos oreilles!! On va veiller au grain!

Merci pour vos commentaires, cela est furieusement appréciable! Cela fait un ptit moment que j'arpente les communautés avec ma vieille plume et il m'est apparu évident au fil des lectures qu'un texte se doit d'etre simple et surtout plaisant à lire. J'adore dévorer des textes aérés , avec une pointe d'humour, et surtout sans descriptions de soixante quinze pages On propose assez de textes tres sérieux où le risque de s'endormir plane au dessus de chaque ligne! Le plus beau compliment : Texte simple avec du bon francais Le pari est gagné ! Amusez vous, prenez plaisir et marrez vous un coup! C'est ca la langue française ! Au plaisir pour la presque suite !

Bonsoir à tous ! De retour aux affaires après une longue période de furieuse glandouille, je suis au regret d'annoncer un petit revirement rolistique qui n'engage en rien le contenu, mais plutôt la forme et la structure de mes récits !! J'avais besoin d'un peu plus de liberté pour aller encore plus loin dans la démence!! En espérant que la lecture sera aussi bonne et agréable que l'ecriture, à très vite !! Voici la presque suite !!!! -C’est par là j’vous dis ! Mais ! Puisque je vous dis que c’est par là ! Aussi sûr qu’une limande est une plante aromatique ! Faites-moi donc confiance… Oui oui oui, je reconnais tout à fait ce lieu, admirez donc ce paysage, furieusement pittoresque ! Il était évident qu’ils étaient perdus depuis bien plus de temps qu’il n’en faut pour perdre définitivement toute trace, même infime, de raison et de presque santé mentale. La défroque du ménestrel était passée depuis des lustres d’une rutilante excellence à une obscure anarchie, le temps avait fait son œuvre, et la perfide transformation de perdreau de l’année à vieux pintadeau suranné, était saisissante. Il était pourtant sur et certain d’avoir suivi méticuleusement les instructions que lui avait donné l’autochtone de la petite bourgade où ils avaient fait halte quelques jours de cela. Un homme charmant, sans nul doute ! Ce genre de type qui a une peau fragile et qui doit s’emmitoufler dans des torchons sales, qui crache sur les bambins et qui mastique des oiseaux morts. A bien y réfléchir, il était follement incongru de le voir agiter ce qu’il appelait sa « mandoline ». De mémoire d’homme il était formellement reconnu qu’il n’existait nul instrument en tendon de porc… Quelques semaines avant ces évènements des plus mystiques, Zifnabb avait reçu un pigeon postal, cela va sans dire, en plein dans sa mouille,d’une rare urgence de la part Son Altesse Ourssissime QueenNounours . Elle lui signifiait qu’elle avait du quitté la cité de Minar avec précipitation et qu’elle réclamait impérativement et dans les plus brefs délais sa présence à la Principauté de l’Octarine où l’y attendait une sacrée surprise. Il n’en fallait pas tant pour lui défriser la moustache et le lancer sur le champ en direction de sa bien aimée. Le ménestrel avait rencontré sur la route maints hardis aventuriers qui partaient s’aventurer en quête d’aventures, épées, gourde d’eau tiède et carte du routard sous le bras. Après avoir compris qu’il valait mieux partager pitance et nuitée plutôt que cercueil et coups de hache, le menestrel avait vu d’un bon œil de se greffer à cette caravane afin de poursuivre son périple sans perdre en route la moindre partie de son anatomie. Ses acolytes se dirigeaient, semblait-il, vers la fière cité de New Azur et leur compagnie n’était pas désagréable, mais certainement éreintante. En effet, ils n’avaient de cesse de s’esclaffer et de s’enquérir dans une prose absolument navrante , entre des « cé ou azure » et des « jveux allé ché asur ». Il avait cru bon de s’introniser guide et éclaireur afin de prouver son utilité au groupe, mais tout portait à croire qu’il aurait mieux fallut tenter d’acheter une brique à un boulanger. Ce n’était pas qu’il y mettait de la mauvaise volonté, pour ça non . Il n’y avait pas plus dévoué et loyal (et forcement un peu roublard) que lui (oui, faut pas pousser non plus) et après avoir reçu la missive de sa reine QueenNounours, il n’avait pas hésité un instant (Enfin, vous savez les récits, il a toujours été autorisé d’occulter certains détails pour le bien fondé de l’épopée). Bref, il s’était porté volontaire pour ramener sa petite troupe de joyeux drilles dans la bonne direction et il fallait bien l’admettre, tout ne se déroulait pas selon ses plus folles estimations. Pourtant, comme il aimait à le rappeler : à foie vaillant, pas grand-chose de pas possible ou presque ! Il avait stoppé le décompte des heures depuis que celui-ci avait atteint les quatre chiffres et n’osait plus se retourner…. Autant, prendre une semelle dans les gencives ne le dérangeait pas le moins du monde (il avait reçu un entrainement des plus audacieux à l’université musicale lors de l'obtention de son diplôme de Maitrise de l’Emotion du Public) , autant apercevoir du dédain et de la moquerie dans le regard de ses compagnons aurait été un déchirement pour son cœur, son honneur et sa virilité exemplaire. Cependant il était clair qu’il tournait en rond depuis une sacrée paye. La soif le tiraillait et il aurait vendu une dent de sa mère pour un bain, une rose et un sourire féminin (une bière, du pâté et une femme à l’affection négociable. Ndlr). Maudissant tout bas le vieux barbu, il poursuivait avec tout l’entêtement seyant à un homme aussi buté qu’une barrique. Mes chers amis, ne sentez vous point venir à vos naseaux d’exquises effluves ? ! Mais oui mais c’est bien sûr !! On y est, nous y voila ! Merci m’sieurs dames bonne soirée bon dimanche , une chopine et l’adition ! Ah Aaaaah !! Ne vous avais-je point dit qu’une petite tribulation bucolique nous serait furieusement profitable ? Nous allons enfin pouvoir nous détendre le gosier ! Nous sommes tout proche, j’en fiche mon mouchoir ! Hauts les cœurs ! *** Scène hautement héroïque entre un ménestrel et un buisson épais*** Nous y voilaaa ! Tadaaaaam..Ahem…Teuf teuf… Oui…ahem…C’est sur que cela à un peu changé….. Je dirais même que l’odeur méphitique typique indique une audacieuse présence de macchabés… Ahem… Lorsqu’il se risqua (enfin !!! ) à tourner la tête en direction de ses compagnons d’infortune, il fut subitement pris d’un terrible pressentiment…. S’en suivit un de ces moment où l’univers, tel un poing vengeur, décide de vous ôter toute pitié, humanité, dignité, empathie et autres fromages à pates molles (liste non exhaustive) Un de ces moments donc, où les oiseaux suspendent leurs chants, où le vent cesse de faire frissonner les feuilles des arbres, où toute la faune retient sa respiration dans l’attente de la chute d’une bonne blague… Un de ces instants qui, mis bout à bout forme une parfaite grosse tranche de l’existence de Zifnabb. Il était seul. Totalement seul, fanatiquement seul. (Seul quoi) Après un magnifique moment de solitude (comique de répétition . Ndlr), il se décida à refermer la bouche qui, béate, commençait à servir de niche écologique à un bataillon de mouches vertes. D’un geste savamment nonchalant, il s’épousseta le revers de la manche, passa la main dans sa tignasse et sifflota un petit air en regardant autour de lui…. M’est avis qu’ils se sont arrêtés satisfaire un de ces besoins naturels qu’il arrive de partager dans une franche et urophile camaraderie! Tsss Des bouts en train vous dis je ! Bon bon bon…..Oh tiens ! Quelle jolie fleur !! Se baissant avec élégance il cueillit la renonculacée et huma son délicieux parfum. La journée commençait sous les meilleurs hospices, vraiment . Il y aurait surement dans les environs des bestioles en tout genre prêts à servir de collation ou reciproquement. Il y aurait bien une grotte sombre et humide prête à lui servir d’abris… Le soleil ne se coucherait pas et bien sur, cette fichue créature sauvage cesserait immédiatement son funeste hurlement…. La fleur bien calée sur l’oreille, les mains sur les hanches, il se hâta d’aller subvenir à ses instincts primaires…. Me laissez pas seuuuuuuuuuuuuuuuuuuls !

Marty tu as tout mon soutient, Puisses tu vivre ton histoire avec Nabreus avec toute la passion qui te caractértise ! +¨1!!!!!!!

Superbe présentation aussi originale qu'efficace!! une seule et unique chose me vient à l'esprit quand tant de talent à mes yeux apparait; Rouchka le pêcheur, mon cher et tendre ami remplis moi donc prestement mon triste godet, Il faut penser à l'assechement de mon foie! Bah oui mon gars, c'est pas gratuit, mais je plussoie!! Bon Courage à toi !!!

Chers concitoyens ! Je suis vivant ! Homme de l’art et de lettres, je suis vivant ! Qui l’eut cru ? Je vous le demande ! Entre regards pervers et lueurs sadiques, censures artistiques et jets de lave, les premiers pas furent aussi difficiles pour moi que pour un nain à qui on demande d’enfiler un collant ! Mais qu’importe ! La Musique est ma plus fidèle compagne et l’Inspiration ma plus délicieuse amante ! Non môssieur on ne fera pas taire la créativité ! Même si la vie de paysan à ruiné mes frêles paluches dans des travaux colossaux, même si les fragrances du quotidien m’ont brulé les sinus, je ne me découragerai pas ! Aussi vrai que le monde est un cube, j’accuse ! Oui j’accuse ! *chuchotement & brouhaha * Hein ? Quoi ? J’vous d’mande pardon ? Plaît-il ? Gné ? *brouhaha & chuchotement* Je ne suis pas à mon procès pour le …ahem… Avec le … Hum hum, cornemuse là ? Ahem… Oui bon… *cabriole* A la bonne heure ! Quel ennui toute cette paperasse ! L’administratif, la procédure toussa toussa, non mais quel désœuvrement ! Autant jouer de la flûte avec une brique ! Quel bonheur et quelle joie ! Quel ravissement de venir devant vous pour … *chuchotement : on est bien dans les demandes de titre hein ? Ahem * Mais oui ! Pour ébahir les sentiers de notre monde ! Absolument ! Je suis certains que les pavés de nos routes se languissent de cabrioles ! Et que dire de notre bonne vieille populace ! Aussi molle que des derrières de gorets vous dis-je ! Un peu d’entrain et de malice ne feraient pas le moindre mal à leurs bedaines flasques ! *sautille* Oh mais quel manquement à la bienséance ! Aurais-je omis de me présenter devant vous ! Par les Saintes Ratiches de Dame Fortune ! Mais voyons l’auriez vous oublié ? Ménestrel de mon état, conseiller, charcutier-traiteur, sociologue et bien évidemment amant de son altesse oursissime QueenNounours ! *révérence théâtrale* Qu’ouïe-je ? Ah je vois… Eh bien oui, paysan, ca manque de vernis n’est il pas ? Non pas que la gadoue à la semelle me dérange ou que l’anonymat me porte sur les nerfs. Ne croyez surtout pas que je me présente à vous pour dénigrer la vie dure, éreintante et odorante de cette belle communauté de braves gens de la terre ! Serais-je un peu sarcastique ? Allons allons ! Trêve de galéjades voyons ! Me voila désormais investi d’une mission de la plus haute importance ! Vous là bas, passez moi cet escabeau, oui vous là ! Je vous dis que l’importance est fichtrement haute ! En effet, ma récente prise de fonction auprès de la délicieuse et royale QueenNounours ne me permet plus d’œuvrer dans l’ombre ! La principauté à besoin de mes modestes talents et je ne saurais refuser d’épauler ou d’enlacer ma princesse ! La tartine ne tombera jamais plus du coté beurré ! Par la Sainte Barbe de Dame Fortune ! L’histoire est en marche, il est bien entendu question de ne pas en louper une , ma vieille tante Jaelle m’a toujours mis en garde sur les problèmes de gencives après une chute dans un escalier ! Mais je m’égare ! Recentrons un tant soit peu les débats égocentriquement autour de moi-même ! Attention tout de même cet auguste fessier est réservé , recentrez un peu plus haut ! Namého ! Pour résumer un brin la liste non exhaustive des évènements passés, que dire, la splendide cité de Minar nous a accueilli à bras ouverts, j’entends déjà la foule gronder , je vous rassure, j’ai veillé à ce qu’il n’en soit point de même pour les braguettes ! Entre gentlemen et filous j’ai pu rencontrer de fieffés coquins avec qui j’eus le plaisir de m’encanailler ! Mais déjà, les sirènes de la principauté sonnaient à mes oreilles et Dame Fortune seule sait à quel point on ne badine pas avec les sirènes (surtout celles prénommées Ariel) Mais bien sur, et cela va sans dire, mais je vais outrepasser ce vieil adage et le déclamer tout de même ! Comment voulez vous que je m’acquitte des tâches que ma QueenNounours m’a investi si mon statut n’est furieusement pas en adéquation avec ses aspirations ? ! Mes braves gouverneurs, l’émergence de la Principauté de l’Octarine me pousse à venir me présenter devant vous pour vous enjoindre à faire de moi un voyageur ! La gestion des affaires courantes de son altesse oursissime ne saurait tolérer les bottines crottées et l’anonymat communautaire ! Je vous fiche mon billet que je saurais m’en montrer digne ! Peut être même que j’en viendrais à chanter vos louanges ! Aie ma langue ! Je ne saurais que trop vous conseiller de vous rendre sur notre presqu’ile afin de donner à vos yeux le spectacle qu’ils méritent ! Un accueil chaleureux , mais pas trop tout de même, vous y sera réservé ! Les Cercles des Arts qui ouvrira prochainement ses portes saura laisser à votre créativité le loisir de vous révéler ! Un petit coin de paradis vous dis-je ! Il est grand temps pour moi de troquer la pioche pour la plume ! ************* Hrp ! Je me permets donc de venir postuler au titre de voyageur, après avoir erré de longues semaines sur ces terres, après avoir rencontré des gens formidables et truculents ! En effet j’estime qu’il est temps pour moi de passer la vitesse supérieur, ne serait ce que pour montrer mon attachement à Minefield et à participer encore plus activement au quotidien du serveur. Coté IRL, j’ai 28 ans, compagnon épris de QueenNounours avec qui je m’éclate à creuser, piocher, bâtir et a tenter de comprendre la signification de « lol » ! Coté ingame, je souhaiterais poursuivre le développement notre presqu’ile en compagnie de ma délicieuse femme et poursuivre de façon rolistique notre projet commun de la Principauté de l’Octarine. Nous avons déjà aménagé pas mal de chose, n’hésitez pas à venir visiter, nous sommes toujours à l’écoute de conseils suggestions et jets de gravier ! (coordonnées : 1000 , -1000 environ) En outre, la réalisation de mon projet culturel : les cercles des arts, la plage, l’architecture générale, bref, faut se sentir bien à la maison , j’ai apporté mon petit coup de plume pour la présentation de la ville de Minar (Quelle ville !) dont vous pouvez juger de la bête ici : Minar !! Si je souhaite passer voyageur , c’est également pour porter un peu plus haut ma voix, regrettant parfois le manque d’exposition du statut de paysan (nous ne sommes pas tous des neuneus ^^) mais surtout pour amener avec QueenNounours notre presqu’ile au sommet du bon gout et de la malice ! J’aspire egalement à participer activement à la facette RP du forum, appréciant grandement la taquinerie rhétorique !! Je vous invite du reste à découvrir ou redécouvrir les presque Chronique de l’Octarine (dont la suite arrivera prochainement chez tout les bons libraires ! Chroniques ICI Et bien sur ma candidature Paysan ICI Et comme il est de bon ton de clore un post avec des couleurs et des images , voila une série d’iconographies ! Soyez indulgents ! N’hesitez pas à me MP, je suis très bavard ^^ La Cornemuse refuge du Ménestrel Le Moulin de Queen Vue bucolique de la plage Les Cercles des Arts Le Cercle de Sculpture Le Cercle Littéraire

Super pack. Rien à redire. J'espère que nous sommes enfin arrivés à convaincre ceux qui au départ restaient réticents au thème "jolicraft". La sandstone est tout simplement splendide et tes petits réajustements sont impecs. Mon cher Dokmixer, je lève ce verre à ta santé! Prost !

Bonjour à tous ! Etant grand amateur de vie communautaire associée à cette petite touche rôlistique qui me tient tant à cœur, me voila devant vous pour vous présenter mon modeste projet (après avoir lu avec plaisir le post ci-dessus de Larian ) : Les Cercles des Arts. Etabli sur une simple presqu’ile (x=1000 ; z= -1000),Vue map ici! il s’agirait d’une bâtisse totalement Rôle Play et surtout, furieusement interactive ! En effet, constituée de trois secteurs bien distincts : musique, sculpture et écrits, elle laissera la possibilité aux visiteurs de donner libre court à leur créativité ! Contre une entrée symbolique, les droits seront accordés aux visiteurs afin qu’ils puissent préparer leurs œuvres et ainsi les y exposer pendant une période donnée. Conjointement à cet aspect ingame, j’aimerais animer un peu la partie RP de notre forum en y présentant les œuvres avec malice et envolées lyriques ! Concrètement, la bâtisse serait de proportion modeste (50 x 30) divisée en plusieurs annexes de forme circulaire. Implantée directement sur la petite presqu’ile où nous nous sommes installés, elle ne dépasserait pas 25 de hauteurs et la zone consacrée à la musique se situerait au sous sol. Pour entrer un peu plus dans le détail voici comment s’articuleraient les différentes parties : Musicothèque : Pas de circuit redstone, uniquement des notes blocs fournis afin de composer sur diverses surfaces mises à disposition. Sculptothèque : A partir d’une estrade, le visiteur pourra créer la sculpture de son choix. Bibliothèque : Au cœur de celle-ci, un large écriteau sera mis à disposition pour les écrivains désirant publier leurs œuvres. Je le répète, l’ingame et l’activité sur forum seront étroitement liés afin de mêler avec délice, plaisir ludique et rolistique ! Au même titre que mon prédécesseur, je tiens à garder un peu de mystère sur l'aspect général de ce projet afin de préserver la magie ! A vot'e bon coeur ! En espérant une réponse positive, je reste à votre disposition pour toutes remarques ! Au plaisir ! Projet accepté : Bonne construction

Chers bels gens de ces terres ! A voir vos faciès ingrats infliger une véritable épidémie de sinistrose, il semble furieusement évident que votre existence fade et triste vous pousse tout doucement vers la folie douce ! Comment ? Qu’ouïe-je ? Allons allons mes bons amis, avant de succomber à une définitive déprime, laissez vos adipeuses babines se retrousser dans un sourire extatique. En effet, Se pourrait il que pour une fois, Dame Fortune ait daigné poser sur vous un regard bienveillant ? Furieusement ! Vous pouvez d’ors et déjà commencer à vous friser les moustaches et à réajuster vos bas-résilles ! En effet, chers amis, petits et grands, moches ou laids, élégants et gracieux, l’heure est venue pour vous de vous laissez, pour un temps du moins, porter par les mains du rêve et de la malice ! Nous avons l’insigne honneur, la plus grande joie et accessoirement une petite envie de terrine de sanglier, de vous annoncer l’ouverture d’une délicieuse période de fête, de gourmandises et autres réjouissances . Non vous ne rêvez pas, la ville de Minar ouvre enfin ses portes après presque trois mois d'existence officieuse!! Le vent soufflait avec une violence inouïe, entrainant les nuages grisonnants dans une valse menaçante, annonciatrice d’une sinistre tempête… A vrai dire, il se put que le vent souffla avec entrain, ballotant les nuages dans un ballet avant coureur d’un léger refroidissement. Cela dit, il serait tout à fait probable et furieusement crédible qu’un vent gentillet et courtois, s’escrimait avec toute la bienséance qu’on lui connaissait, à chasser les braves et mignonnets petits nuages qui constellaient le ciel, empêchant l’obtention du titre honorifique de « Temps parfait pour un méchouis ». Cela faisait déjà de nombreuses lunes que la cité lumière de New Stendel trônait fièrement dans le ciel du monde de Minefield, prospérant dans une constante évolution créative, s’embourgeoisant avec gourmandise derrière ses murs. Le temps était donc au délice et à la flânerie. Comble de pertinence ou de concordance narrative, c’est donc en ce temps-là que d’hardis amateurs de tribulations bucoliques se décidèrent à s’aventurer hors de l’enceinte de la majestueuse citadelle avides de liberté et épris de leurs bourses (ou inversement et réciproquement). S’orientant par divers moyens ésotériques que d’aucuns nommèrent le petit bonheur la chance, ils filèrent vers l’est, la jambe légère et l’œil polisson. Ces vaillants premiers colons, Julcity et Hanachi atteignirent, non sans moult péripéties délibérément omises, l’endroit rêvé pour assouvir leur désir d’évasion : le littoral. Que dire ! Les embruns, l’air vivifiant, la marée basse ! Tout était réuni en ces lieux pour laisser l’esprit et le corps vagabonder le long de cette luxuriante côte encore vierge de toute présence (presque) humaine. Rapidement, après d’innombrables scènes d’une vie de couple, passant par une pioche en pierre, un lancer de four et autres larcins de moitiés de couverture d’un lit conjugal , il devint promptement limpide dans leur esprit que cet endroit, entre terre et mer, représentait en tout point , ce petit coin de paradis qui leur faisait tant défaut au sein la grande capitale. L’idée germant comme la plus belle plante du jardin de leurs vies, ils se décidèrent, (enfin !) à s’installer ici. L’histoire était en marche, pour ainsi dire, en course. En effet, après avoir sué …ahem…sueur voyons ! La première bâtisse de cette contrée sembla, tel un phare, attirer à elle, de nouveaux et bien évidemment totalement intrépides voyageurs. Les uns après les autres, ils arrivèrent, surgissant d’un bosquet, débarquant d’un petit chemin qui sentait la noix de cajou (ou la noisette, les archives ne sont pas très précises à ce sujet !) ou tout bien entendu par voies maritimes (cf marée basse). En effet, de grands noms désormais célèbres foulèrent pour la première fois le sol de cette région, en profitant également pour se fouler la cheville : Masterofcz et Balustik. L’entraide allait bon train, ces premiers pionniers s’étant mis d’accord dès le début qu’un coup de main valait furieusement mieux qu’un coup de hache et déjà, la révolution architecturale semblait inarrêtable. D’autant plus que très vite ils furent rejoints par un grand bâtisseur, Loga avec lequel il accélérèrent le développement de ce qui ne pouvait plus rester très longtemps un avant-poste champêtre. Les blocs de pierre volaient et les rires rivalisaient avec l’incessant travail d’édification en parallèle de celui de l’amphithéâtre de New Stendel. Les lieux-mêmes semblaient frémir de cette agitation dans un frémissement de délectation. Il n’en fallut pas moins pour qu’un petit groupe de joyeux drilles aux tendances sociopathiques ne se résolvent à déposer le baluchon du nomade et à investir les vertes vallées de la région. Septicflesh, Altox, Barbasix et Sablette, pourfendeur de cobble devant l’eternel et concubins du seau de lave se joignirent à l’ensemble, habités par un sentiment commun quasi surnaturel qui les poussaient à tailler, piocher, pelleter déblayer, boire un coup quand même, couper du bois ou encore planter des arbustes sur des toits, mus par une force qui les dépassait… Axes routiers, toitures en cobble, demeures, ponts ou petits vergers délicieux, rien ne paraissait étancher leur soif de créativité. Le frémissement évolua en frisson puis en tressaillement puis … puis, Septicflesh éternua, emportant avec lui deux douzaines de vagabonds attirés par la lueur de son seau. Enfin Dans un élan de génie, bien qu’il ne fut que de quelques pas, ils accueillirent une nouvelles fois d’extrêmes exquises personnes, QueenNounours en tête, Djorak, Kyo, Marty, Osyris, Nabreus et Bayaba. Cette contrée revêtait un aspect unique par l’ambiance qui y régnait, fraternité solidarité et malice ne cessaient de flirter avec l’audace, la passion et ces andouilles de moutons ! Désormais trop unis pour repartir chacun de leurs côtés, mais tout de même pas assez pour dormir chez Septicflesh, cette bourgade, création de leur talent, se devait d’arborer fièrement le nom qui résonnerait au-delà de la première à droite quand vous sortez du pont, un peu sur votre gauche, pas plus loin que le troisième chêne . Les mines de Kraz’azak ? Trop poilu ! Le hameau vert de Loderiel ? Trop de rouge à lèvres ! La Cité Royale de Blancheflamme ? Blablabla ! New Azur ? Ses ou new asur stp ? Namého ! Voyez plutôt chers visiteurs, quand la malice rencontre l’art ; c’est toujours avec bonheur, que vous serez les bienvenue à Minar. HRP: Nom: Minar Emplacement: à l'est de New Stendel proche du hall des héros et de l'amphi de New Stendel, entre Nevah et le Hâmeau doré Plan global des frontières de la ville de Minar: Mise à jour Novembre 2012: http://i.imgur.com/wdP4k.jpg Que dire, que déclamer, que discourir à propos de cette délicieuse bourgade ? Minar , cité de lumière s’il en est, ville où le bon goût côtoie le bon de réduction ! La ville ouvre enfin ses portes au yeux de monde dans un déferlement de passion, d’audace et de malice ! La ville s’organise de façon furieusement efficace, menée par son conseil Minarien, lui-même composé des plus illustres et séniles représentants . Entre autres, ne soyons pas avares d’un listage absolument exhaustif et pertinemment alphabétique : Al7ox, Balustik, Bayaba, Djorak, Hanachi, Icemancap, Julcity, Kadavror, Kyo916, Le-Pierre , Loga, Marty2011, Masterofcz, Nabreus, Osyris60, QueenNounours, Septicflesh, Smile_T ! Etant de joyeux drilles mais tout de même point des sauvages, le conseil, suite à une multitude d’heures de travail effréné, rigoureux et éthylique, a tout de même élaboré un de ces règlements absolument adéquat , pierre angulaire d’un code d’honneur et de bonne entente entre personnes presque civilisées ! Permettez l’énonciation de quelques unes des règles les plus évidentes ! -Tu ne tueras point -Tu ne mangeras pas sans couverts -Tu ne feras point de toits en cobble On me chuchote à l’oreille qu’il s’agissait là d’un gribouillage apposé sur un dessous de verre ! Mille excuses , je me reprends ! 1 : Les griefs sont fortement déconseillés sous peine de retrait anatomique de votre personne. 2 :La construction sur le territoire est furieusement soumise à l’approbation des sages. 3 : Il est contre-indiqué de chaparder dans les coffres d'autre joueur, parce que zut ! Pirate ! 4 : Si vous coupez un arbre vous devez le replanter (Mais pas sur les toits) ! 5 : Si vous vous lancez dans la règle 4, merci d’aller jusqu’au bout, car les arbres volants sont symboles de carence mentale. 6 : Il est interdit de modifier l’aspect du territoire sauf chantier prevu par la communauté. 7 : QueenNounours est ma femme, elle a toujours raison De plus notre forum est dispo à cette adresse: http://minar.jdrforum.net/

Je tiens tout de même à vous remercier pour ces éloges qui me font chaud au coeur ! J'espère vous apporter autant de plaisir lors de vos lectures que j'en ai eu à l'écriture! Cela est un puissant stimulant pour poursuivre les épiques épopées du ménestrel ! Merci encore à tous et à tres vite pour de nouvelles tribulations ! ps: j'en profite au passage pour lancer un appel aux fans de Pratchett et autre délire burlesque, je recherche du monde pour une petite communauté minefieldienne de vieux dans un monde de jeunes ! Amen .

Suite.... Cher moi –New Stendel Cela fait maintenant plus d’une semaine que j’erre dans les rues de la capitale. La ville est ravissante et propice à l’inspiration, partout où je pose mon regard cela fleure bon la fantaisie et je me sens investi de taquiner la masse ! J’ai désormais acquis assez de fonds, de manière tout à fait louable et furieusement noble, pour me décider à franchir le pas. En effet, je me dois de changer de statut social ! Il est absolument inconvenant que Dame Fortune me laisse passer mes nuits entre laine et plumes ! A croire qu’on me prenne pour un vagabond ! Après m’être dûment renseigné, il semblerait que la coutume locale soit de rejoindre l’Ambassade afin de s’inscrire sur les listes de candidatures ! Par les gencives de Dame Malice ! Une folle tribulation administrative ! Advienne que pourra ! -Extrait : Carnet de Voyage de Zifnabb- Haletant et affalé contre un pan de mur décrépi, le ménestrel tentait de reprendre son souffle. La journée avait pourtant très bien débuté, sans omettre toute fois cette course effrénée à travers les quatre coins de la vaste cité. Il faut dire que cet étrange phénomène se répétait avec une furieuse constance. Cette recrue d’essence de maris jaloux était fichtrement pénalisante pour les affaires du musicien. Pourtant –et cela est une des joies de la vie d’artiste- il avait un certain don pour immédiatement rebondir ; au loin se faisait entendre une formidable clameur. Rien de tel pour oublier ses tracas que d’aller fourrer son nez au milieu d’une populace en émoi ! Le cœur léger, après s’être correctement apprêté, Zifnabb se faufila entre plusieurs badauds qui meuglaient comme des vaches folles dans un couloir d’abattoir afin de percer le mystère de cette soudaine hystérie collective. Au centre de cette étonnante cohue, on avait placardé sur un écriteau une large affiche où il était question d’ascension sociale dans le charmant monde de la paysannerie et autre ravissements olfactifs qui en découlent… -Nianiania…mhnmhn… Ne pas écrire comme une moule, blablabla, jongler entre créativité et audace et cætera et cætera ! Par la Sainte Culotte de Dame Fortune ! En voila une riche idée ! Une file d’attente s’allongeait tout au long de cette petite ruelle, la fièvre de l’or gagnant tout un chacun. Mais Zifnabb avait autant de patience qu’un manchot a des mains. Il n’avait après tout pas que ça à faire, il devait y avoir assez de monde en ces lieux pour un léger spectacle improvisé et donc une bonne chance de trouver pour la soirée tout du moins, le gite, le couvert et accessoirement la femme du foyer ! C’était comme de lever son coude pour se délecter d’un breuvage, l’idée fusa en plein cœur de sa bouillante cervelle… Un Mec si Quint !!! Sans défense !! Choppez le les gars !!!! Ce petit moment lattant où le plus intellige… euh … le moins abruti du troupeau intègre l’information, la fait voyager dans un complexe réseau synaptique, la traite puis la digère, avait toujours été pour Zifnabb une profonde source d’extrême jouissance ! L’effet fut tout de fois plus prompt qu’il ne l’aurait cru, à croire que l’instinct de délectable cruauté est franchement un concept basique et intégré depuis belle lurette. Le premier individu hurla, suivit d’une demi douzaine d’autres, puis ce fut une formidable farandole humaine qui vit ses protagonistes se disperser hâtivement, prétextant un repas à base de paté de gencive à préparer, une toiture à examiner voire même des poireaux à faire pousser, tout en ne perdant pas une seconde des yeux, ce brave et innocent moustachu désœuvré, une lueur malsaine de sadisme dans les yeux. La place était enfin vide de toute âme qui vive, le sourit aux lèvres le troubadour s’avança au premier guichet et lança une petite bourse replète, fruit de son harassant labeur de la semaine. Ma bonne amie, vous seriez aussi délicieuse que votre regard est vide de bien avoir l’extrême obligeance de me permettre d’apposer mon audacieuse signature sur cette liste de candidature ! M’est avis que la vie au grand air sera cette muse qui donnera libre cours à ma débordante inspiration ! Ravi de cette petite farce, le ménestrel attendit non sans impatience qu’un chargé d’affaire dédaigne bien s’occuper de son cas… -Candidature Paysan, Zifnabb- Je valide. Bienvenue sur minefield. Thorgrin -Extrait du jargon administratif minefieldien – Mon délicieux amour, Je suis au comble du bonheur, de la joie et de la félicité ! Même si je m’interroge encore si ceux-ci en possèdent. Me voila enfin paysan ! Quel drôle de dénomination ne trouves-tu pas ? Moi paysan ? Autant prendre son slip pour un cruchon d’hydromel ! Mais je m’égare et un homme de l’Art de doit point s’attarder sur de telles considérations administratives . Qu’importe, ta lettre a définitivement comblé le néant affectif dans lequel la solitude m’avait plongé ! Il n’y a que toi en ce bas monde qui saches trouver les mots qui, telle une flèche de tendresse, transpercent la pomme de mon cœur. Ton enthousiasme et ta passion flamboyante ont eu raison de mes études sociologiques. C’est décidé, je pars te rejoindre. Je sais d’ors et déjà que la route sera longue mais je saurais surmonter tous les obstacles que cette friponne de Dame Fortune aura semer sur les pavés de la renommée. Mon périple sera chanté par les générations futures ! A cœur vaillant rien d’impossible ou presque ! Je frétille déjà à l’idée de vivre de nouvelles épopées bucoliques ! Minar, me voila ! J’espère que cette présente te trouvera en bonne santé, il me tarde tant de te retrouver, délicieuse muse de mon existence ! Avec tout mon amour, Bien à toi, ton Zif. -Extrait de Correspondance de Zifnabb- Suis à Minar -stop- Bonne santé - stop- t’attends -stop- affection -stop- Signé : Queen Nounours -Extrait de correspondance enflammée de QueenNounours- A suivre…

... Suite... ...New Stendel©™, un air nouveau, une ère nouvelle ! Bienvenue au cœur de notre capitale. Laissez vous transporter par le charme de ce haut lieu de l’excellence et du charme de la vie minefieldienne ! New Stendel©™ vous accueille pour un séjour fantastique où vous vous laisserez succomber aux délices gastronomiques et aux incroyables spécialités locales qui ont fait la renommée de la cité aux mille facettes ! N’attendez plus ! New Stendel©™ vous propose une large gamme de forfaits découverte afin de partir explorer les mystères et autres sensations culturelle de notre monde ! N’oubliez pas ! New Stendel©™ ! La capitale-pitale ! Un accueil chaleureux et courtois pour un séjour que vous n’oublierez jamais ! New Stendel©™, en voila une cité qu’elle est belle !... New Stendel©™ décline toute responsabilité en cas de perte, vol, tortures, équarrissage, décuboïdage facial et grief sentimental. New Stendel©™-ville à but lucratif. -Extrait : Brochure Touristique de New Stendel©™- Mon tendre amour, Dame Fortune seule sait à quel point je me languis de toi. Mon arrivée ici fut pour le moins déconcertante car en effet, après avoir saisit les subtilités locales en matière d’intégration et assimilé le fonctionnement des latrines, il m’a semblé tout à fait à propos de m’essayer au tourisme de masse ! Malheureusement, leur système de visite guidée ne m’a point paru à la hauteur de ce que j’ai aperçu sur leur brochure. Alors que je tentais d’expliquer à une vieille rombière comment on découpait le creeper de par chez nous , le programmateur touristique a jugé bon d’interrompre ma brillante démonstration au point capital du scrotum ! Et que dire de la prise en charge qui s’en suivit … Par la Sainte Barbe de Dame Fortune ! Un jeu d’acteur déplorable et une finesse proche de la brique . Je compte bien me faire rembourser de l’attraction finale qui fut un peu trop exotique à mon gout ! Je n’arrive toujours pas à comprendre le rapport avec la cornemuse, mais je te raconterai plus en détail lors de nos retrouvailles. Quoi qu’il en soit, je pense de plus à plus à quitter cette cité et à me préparer à enfin, te rejoindre. Bien sur, avant toute chose, je dois épaissir un tant soit peu ma pauvre bourse qui est presque aussi inexistante que la libido d’une bonne sœur. Je pense pour se faire, accomplir quelques facéties et autres malices dont tu me sais friand afin de m’assurer un modeste capital de départ ! Mes nuits sont sans étoiles depuis que tu n’es plus dans le ciel de ma vie. Il me tarde de te retrouver. J’espère que cette présente te trouvera en bonne santé, il me tarde tant de te retrouver. Avec tout mon amour. Bien à toi, ton Zif. PS : L’inspiration me revient ! Une délicieuse histoire de bouteille ! Ci-joint une copie de ce poème. -Extrait de correspondance de Zifnabb- La Bouteille Ô ma si douce bouteille, A ta vue, je m’émerveille ; Comment chose si fragile, Fait de moi esclave docile ? Dès le matin près de moi, Jusqu’au soir dans mes bras ; Il n’y a nulle autre déesse, Pour laquelle vont mes caresses. Feu, diamant, ambre ou rubis, Tes couleurs chantent la vie ; Pour une seule de tes gorgées, Je serai prêt à me damner. Je suis à ton bon vouloir, Je t’en supplie laisse moi te boire ! Et pour ne jamais te quitter, Toi la reine de la tendresse ; Je te mettrai en mon gosier, M’abandonnant à ton ivresse. -Extrait : Répertoire du Ménestrel- Cher journal, Ce fut la plus belle journée de ma vie ! J’ai fait aujourd’hui la connaissance d’un garçon incroyable ! C’est un étranger, il vient d’arriver en ville et même que c’est un ménaistraile il a dit ! Il s’y connait en musique pour sur et il cause drôlement bien. On est allé dans le parc, il m’a invité à manger et même que c’est moi qu’ ai fait la cuisine ! Il était drôlement content de gouter à mon baba au slime et moi j’étais contente qu’il soit content ! En plus il fait des poèmes poétiques ! J’ai pas tout compris mais il a dit que j’avais un joli ramage ; je crois que c’est comme un fromage de son pays. Par contre je pense qu’il a du se tromper parce que je n’ai pas de plumage et ya pas de phœnix dans les bois. Mais j’ai quand même applaudit pour pas lui faire du chagrin ! Même qu’on va se revoir il a dit ! Il veut m’inviter encore et cette fois à l’amphithéâtre de New Stendel même ! Mais comme c’est trop dur d’avoir des places il va réserver avec mon argent ! Il est vraiment trop galant. En plus il est trop mignon parce qu’il est un peu bêta ! En partant il a gravé mon nom sur un arbre, mais il s’est trompé, il a écrit « Andouille » ! j’ai bien rigolé parce que je m’appelle pas comme ça ! A demain cher journal ! J’ai hâte ! -Extrait : Journal Intime d’Ondille- ...Après l’alerte donné par un voisinage solidaire et collaborateur, sommes intervenus dans la soirée suite à un tapage nocturne. Avons interpellé un individu violent qui s’apprêtait à incorporer dans la boite crânienne de sa compagne une hache de large dimension. D’après les témoins, il semblerait qu’il aurait reproché à sa femme d’avoir cédé la presque intégralité des économies du foyer à un étranger. L’individu a toute fois retrouvé son calme une fois placé en cellule... -Extrait du Rapport du Guet de New Stendel- … ‘Fait plaiz’ d’voir un n’veau copain ! J’ai cassé l’dernier en m’en servant d’ trompette…. -Instantané de convivialité carcérale II- A suivre...

Les Presque Chroniques d’Octarine Presque Prologue : Permettez chers lecteurs, une modeste et non exhaustive introduction. Alors que vous vous apprêtez à sombrer dans les méandres les plus obscures d’une divagation littéraire, sachez une chose : Tout ceci a pour finalité et pour unique objectif de vous divertir. Zone à haute teneur en roleplayine 100% naturelle et presque garantie. Vous êtes sur le point de suivre, je l’espère avec plaisir, de folles tribulations sous la forme d’un carnet de voyage et autres extraits de journaux, d’archives, de correspondances et d’amandes douces, expressément composées à la gloire de Dame Malice ! Bonne lecture à tous ! Ou presque ! …Un machin employé à la place d’un truc, c’est souvent une drôle de chose… -Extrait : Mémoires du Grand Architecte de New Stendel- Mon précieux Amour, Je suis enfin bien arrivé à la Capitale. Par la Sainte Barbe de Dame Fortune ! Tu m’avais bien mis en garde contre les risques ophtalmo-presque-logiques encourus lorsque je foulerai pour la première fois les pavés de la grande cité de New Stendel ! Outre le fait que ma première foulée me fit trébucher sur un tendon de porc vicieusement incrusté dans le pavage, effectivement, j’en ai pris plein la vue ! La ville grouille furieusement d’activité ! Attention, pas de celle présente dans le fameux ragoût de ma vieille tante Jaelle il va sans dire, mais plutôt comme celle de ces mégalopoles sociales réduites d’insectoïdes à six pattes, tu sais, fortes comme des trucs, dans p’tits trous partout... Ah le brave homme ! Oui c’est cela, les fourmilières ! En effet, mon intimité, au moment où je te rédige cette missive, a depuis bien longtemps déposé le bilan face à l’affluence inouïe de ce lieu de débauche éthylique où je me trouve. Ces tavernes sont certes très bien pourvues en breuvages exotiques, mais il faut avouer que la place manque. Pour preuve je t’écris sur l’épaule de mon voisin qui eut l’extrême obligeance de m’épauler (bien trouvé n’est ce pas !) dans cette errance lexicale ! N’importe comment, je pense commencer mon excitant périple par le commencement, à savoir les latrines. Je ne sais point ce qui m’a valu cet élan de bonté, mais ces joyeux autochtones ont le cœur sur la main et m’offrent sans cesse quelques spécialités locales qui ma foi, dégraissent la tuyauterie ! J’avoue également ne point saisir certains de leurs codes ésotériques sociaux, il est souvent question de mec si Quint ! Va savoir ! Et à vrai dire, mis à part cette irrépressible envie intestinale qui m’assaille, je suis d’humeur aventureuse et curieuse ! Il me tarde de découvrir ce que cette cité a dans les tripes ! J’espère que cette présente te trouvera en bonne santé, il me tarde tant de te retrouver, délicieuse muse de mon existence ! Avec tout mon amour, Bien à toi, ton Zif. PS : Quelle farce ! Un pauvre bougre vient de rentrer dans la taverne, certainement un de ces benêts a l’intellect aussi défectueux qu’une rotule de grabataire. Les autochtones lui ont offert une chopine où ils avaient trempé un vieux rat mort ! Faut il être à ce point sot pour se faire avoir de la sorte ! Oh… Mec si Quint ? Morbleu…. -Extrait de Correspondance de Zifnabb- …Il s’avère que l’individu appréhendé, arpentait les couloirs le visage hagard et inexplicablement béat. Il a été surpris dans les cuisines du palais les mains dans le plat. Il est également fait mention d’un carnet de taille réduite où le suspect aurait apposé de nombreuses notes et moult croquis. Nos services sont en ce moment même en train de tenter de les déchiffrer. Il semblerait que nous soyons là en face d’un flagrant délit de tentative d’empoisonnement et de complot visant la sécurité de la cité… -Extrait du Rapport du Guet de New Stendel- Dans une profonde marmite, incorporer les restes de la semaine. Moelle de porc, pain rassis, vieilles tranches molles de gâteau ou trognons de pomme. Y ajouter un poulet, de préférence vivant, puis, refermer hermétiquement le récipient et réserver le tout en plein soleil. La semaine suivante, selon le volume sonore du dit volatile ou du vrombissement des mouches résultant du fascinant travail de Dame Nature, délier avec un slime puis laisser cuire à froid pendant une dizaine de jours. Pour les gourmets, un extrait de cactus peut apporter un peu de piquant et relèvera les saveurs. Parfait pour les longues journées de labeur. Tient au corps et aux gencives. -Préparation : 30 jours -Difficulté : l’odeur -Nbre de convives : bonne chance -Ingrédient : bon courage -Extrait de : Les Recettes de Tatie Jaelle : Le Ragoutue- …’Fait plaiz d’voir un n’veau copain ! J’ai cassé l’dernier en m’en servant d’cornemuse !... -Instantané de convivialité carcérale- Remise en liberté du détenu matricule : CR3T1N, Zifnabb. Il semblerait que cet individu soit simplement d’une inconsciente idiotie. Avons fourni plan détaillé de la capitale ainsi qu’un guide gastronomique afin d’éviter à l’avenir les dégustations touristiques intempestives. Sommes excusés pour son incapacité temporaire et provisoire à s’assoir. -Extrait du procès verbal- A suivre...

Bonjour à tous, Je me présente, Amaury, 28 ans, gémeaux, j'aime le rock and roll , les chocoBN et Terry Pratchett! J'habite actuellement en Allemagne à Hambourg où je profite de la charcuterie et des breuvages divers et variés ! Minecraft fut pour moi une bonne rigolade, ayant toujours rêvé qu'un jour un tel jeu serait en ma possession, laissant libre court à mon insatiable folie créatrice !! Mais après avoir passé des heures et des heures à faire le foufou, il était grand temps pour moi de me lancer dans le grand bain ! Ma délicieuse et ô combien charmante dame de ma vie, QueenNounours ,m'a enfin convaincu de tenter de rejoindre votre petite communauté qui, du peu que j'ai vu semble très sympathique et active ! Mais pour l'heure, trêve de balivernes et de galéjades, place à la lecture ! Au plaisir de vous recroiser, en espérant pouvoir faire partie des vôtres prochainement ! Bien à vous, et n'oubliez pas de vous munir de ChocoBN ! Zifnabb . RP! Haletant et affalé contre un pan de mur décrépi, le ménestrel tentait de reprendre son souffle. La journée avait pourtant très bien débuté, sans omettre toute fois cette course effrénée à travers les quatre coins de la vaste cité. Il faut dire que cet étrange phénomène se répétait avec une furieuse constance. Cette recrue d’essence de maris jaloux était fichtrement pénalisante pour les affaires du musicien. Pourtant –et cela est une des joies de la vie d’artiste- il avait un certain don pour immédiatement rebondir ; au loin se faisait entendre une formidable clameur. Rien de tel pour oublier ses tracas que d’aller fourrer son nez au milieu d’une populace en émoi ! Le cœur léger, après s’être correctement apprêté, Zifnabb se faufila entre plusieurs badauds qui meuglaient comme des vaches folles dans un couloir d’abattoir afin de percer le mystère de cette soudaine hystérie collective. Au centre de cette étonnante cohue, on avait placardé sur un écriteau une large affiche où il était question d’ascension sociale dans le charmant monde de la paysannerie et autre ravissements olfactifs qui en découlent… Nianiania…mhnmhn… Ne pas écrire comme une moule, blablabla, jongler entre créativité et audace et cætera et cætera ! Par la Sainte Culotte de Dame Fortune ! En voila une riche idée ! Une file d’attente s’allongeait tout au long de cette petite ruelle, la fièvre de l’or gagnant tout un chacun. Mais Zifnabb avait autant de patience qu’un manchot a des mains. Il n’avait après tout pas que ça à faire, il devait y avoir assez de monde en ces lieux pour un léger spectacle improvisé et donc une bonne chance de trouver pour la soirée tout du moins, le gite, le couvert et accessoirement la femme du foyer ! C’était comme de lever son coude pour se délecter d’un breuvage, l’idée fusa en plein cœur de sa bouillante cervelle… Un Mexicain !!! Sans défense !! Choppez le les gars !!!! Ce petit moment lattant où le plus intellige… euh … le moins abruti du troupeau intègre l’information, la fait voyager dans un complexe réseau synaptique, la traite puis la digère, avait toujours été pour Zifnabb une profonde source d’extrême jouissance ! L’effet fut tout de fois plus prompt qu’il ne l’aurait cru, à croire que l’instinct de délectable cruauté est franchement un concept basique et intégré depuis belle lurette. Le premier individu hurla, suivit d’une demi douzaine d’autres, puis ce fut une formidable farandole humaine qui vit ses protagonistes se disperser hâtivement, prétextant un repas à base de paté de gencive à préparer, une toiture à examiner voire même des poireaux à faire pousser, tout en ne perdant pas une seconde des yeux, ce brave et innocent moustachu désœuvré, une lueur malsaine de sadisme dans les yeux. La place était enfin vide de toute âme qui vive, le sourit aux lèvres le troubadour s’avança au premier guichet et lança une petite bourse replète, fruit de son harassant labeur de la semaine. Ma bonne amie, vous seriez aussi délicieuse que votre regard est vide de bien avoir l’extrême obligeance de me permettre d’apposer mon audacieuse signature sur cette liste de candidature ! M’est avis que la vie au grand air sera cette muse qui donnera libre cours à ma débordante inspiration ! Ravi de cette petite farce, le ménestrel s’en retourna vaquer à ses occupations qui cela va de soi, étaient d’un furieux raffinement …. Ou bien étaient elles éthyliques (les organisations chargées de la notifications sur la bienséance sociale restent encore assez floues pour définir la frontière entre délicatesse et comas ! )