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pcote

Minefieldien
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Messages posté(e)s par pcote

  1. C'est ce que j'ai voulu faire mais, comme on peut le voir sur le screen, il n'y a plus les petits onglets en haut. Je ne peux donc pas faire ce que tu me proposes. Aussi, avant que quelqu'un ne le propose, oui j'ai essaye de deinstaller et ensuite de reinstaller Mumble mais cela n'a pas marche.

  2. Bonjour,

    Je recontre actuellement un problème sur Mumble. Pour le rendre plus petit, j'avais cliqué sur je ne me rappelle pu trop quoi mais c'était pour rendre l'interface plus petite mais sans la partie qui est normalement à gauche. Résultat : c'est pratique sauf si j'ai besoin d'écrire. Mon problème est donc que je n'arrive pas à le remettre comme avant, si quelqu'un le sait, ce serait sympa de me le faire savoir.

     

    Screen:

    mumblebug.png

  3. Le CRISTAL

    Corporation de Revente Indépendente et de Services, de Terraforming, d'Aménagements Légalisée

     

    Le CRIMES

    Corporation de Revente Indépendente de Matériaux, d'Échanges et de Services

     

    L' ARMÉE

    Aménagements, Revente de Matériaux, Échanges et Efficacité

     

    La CRISE

    Corporation de Revente Indépendente et de Services Évolués

     

    Le SATIRE

    Société d'Aménagements, de Terraformings Internationale, de Revente et d'Échanges

     

    Le SÉISME

    Société d'Échanges Indépendente et de Services Monumentalement Évolués

     

    Certains se ressemblent mais bon...

  4. Quand Pcote s'est réveillé, tout son corps le faisait souffrir. Pourtant, il était sur quelque chose de plutôt mou, qui avait dû amortir sa chute. Oubliant les douleurs sourdes qui le taraudaient, Pcote s'est péniblement levé pour s'apercevoir qu'il gisait sur une corniche et que c'était sur le corps d'un lawolf qu'il était tombé.

     

    Levant son regard vers le ciel, il put entrevoir le soleil, une mince ligne de lumière entrant dans la faille par son ouverture. À cette profondeur, Pcote pouvait à présent voir le fond du gouffre, ainsi qu'une lueur ne provenant pas de l'astre de jour...

     

    Avant d'entamer sa descente vers cet endroit, Pcote essaya de réveiller le lawolf étendu à côté de lui, Keizan. Il le secoua en vain, ce dernier dormant à poings fermés. Il alla même jusqu'à passer un morceau de fromage moisi à l'odeur nauséabonde qui trainaît dans sa poche sous le nez de son compagnon à l'odorat très développé.

  5. Pcote courrait, vif comme le vent, agile comme un singe, évitant les obstacles avec aisance, accélérant sa cadence à chaque pas, usant de tout son potentiel à son maximum, son sang de Héllien bouillonnant dans ses veines.

     

    Il se trouvait à ce moment-là dans les marais situés juste à côté de Cairn. Armé d’une dague à la lame recourbée, il avançait en éliminant tous les monstres à portée de son arme. D’autres le poursuivaient, mais, ne pouvant tenir son rythme, ils abandonnaient leur chasse.

     

    Soudain, une araignée géante surgit d’un buisson et lui sauta au visage. Heureusement, d’un rapide mouvement du poignet, Pcote put transpercer de sa lame son corps jusqu’à son cœur, tout aussi noir que le sang qui jaillit de sa carcasse maintenant sans vie.

     

    À présent, le soleil était bientôt couché, ce qui signifiait que la nuit approchait, apportant avec elle des hordes de monstres. Il fallait qu’il se trouve un abri, un endroit où ils ne pourraient pas l’atteindre.

     

    Déjà, la quantité de créatures avait doublé, rendant sa recherche plus difficile. Pcote se frayait malgré tout un chemin parmi eux et la végétation. Maintenant, la nuit avait tombée, son cœur battait à la chamade, des monstres arrivaient de partout.

     

    Pcote était maintenant encerclé par eux, dos à une faille dont il ne pouvait voir le fond. Il était submergé par le nombre, il ne lui restait qu’une seule solution. Peut-être allait-elle être fatale, mais, il en était bien obligé.

     

    Il a donc fait un pas à reculons et il est tombé dans l’abime…

  6. Je serais malheureusement disponible tout le week-end pour cause d'empêchement IRL.

    Disponible ou indisponible? :ugeek:

     

    Pour ma part, je joue autant que je peux, mais, la semaine, je suis évidamment connecté aux heures québecoises.

  7. C'est justement parce que je suis travailleur que j'ai des lames "cachées", si j'aurais un grosse épée à deux mains dans un énorme fourreau, là on se poserait des questions. Pour le loyal bon, ce n'est pas parce que j'ai un petit attirail de combat que je suis nécéssairement un asssassin sans scrupule qui ne pense qu'à tuer et pattati et pattata...

     

    D'ailleurs, voici la défénition d'Aelfyr.

    Un loyal bon fait ce que l’on attend des défenseurs de l’ordre et du Directoire. Luttant contre l'ennemi, il est également discipliné, ne ment pas, fidèle à sa parole, aide les gens dans le besoin et s’élève contre l’injustice.

     

    Preuve qu'il combat :)

  8. Pcote était un larbin zélé très connu pour son endurance physique, et beaucoup demandaient son aide pour des travaux de tous genres, même ce fameux laboratoire...

     

    Pcote arriva quelques minutes après l'étrange discussion qui avait eu lieu à l'endroit même. Je vis l'Archi-Technomage et je l'abordai.

    "J'ai entendu dire que l'Empereur était passé, se douterait-il de quelque chose?"

    "Il sait malheureusement qu'il se trame des choses, mais rien de plus"

    "En êtes vous sûr? S'il venait à l'apprendre avant que ce soit fini... Non, je ne veux même pas imaginer"

    "Ne craint rien, si un tel cas survenait, nous ne te mêlerons pas à cette histoire. Par contre, si le plan fonctionne, nous ne nierons en aucun cas ton aide très précieuse"

    Marmonant que je n'aurais jamais dû m'engager dans ce plan, je repartis du laboratoire sous le regard soucieux de l'Archi-Technomage.

  9. Nom/Prénom : Pcote

     

    Âge : 69 ans

     

    Sexe : Masculin

     

    Race : Hellien

     

    Ordre : Hereticus

     

    Grade: Larbin zélé

     

    Particularité : Ne se fatigue jamais, ne connais pas l'épuisement

     

    Alignement : Loyal bon

     

    Métier : N/A

     

    Classe d'arme : Corps à corps / Magie (faible)

     

    Possession/Équipement : Poignard à lame recourbée et son fourreau que je garde toujours attaché à ma taille. Deux lames cachėes (une dans chaque manche) et finalement, mon grand secret, une dague pourtant simple mais enduite de sang de dragon (qui agit comme de l'acide sur les humains et leurs cousins) que je conserve attachée à ma jambe. J'ai comme "équipement" une toge assez ample de couleur sombre et aux motifs étranges brodée rouge. Par contre, j'ai en ma possession une armure d'un matériau résistant, souple mais léger. Cela fait pourtant bien longtemps que je ne l'ai pas mise.

     

    Description physique : Ayant la peau rouge, le corps musclé et ferme, je mesure environ 2,90 mètres. Plutôt agile, je suis doué d'une grande force physique et d'une endurance à toute épreuve. Mon dos porte de nombreuses marques rouge et cicatrices, me rappelant tous les coups de fouets et les brûlures subient il y a plusieurs années. Mes cornes sont recourbées telles celles d'un bouc mais mesurent au total une soixantaine de centimètres. Mes dents sont terriblement affutées et peuvent fendre un os en deux d'un seul coup.

     

    Description mentale : Loyal jusqu'au bout des griffes envers le Directoire et ses membres, je n'hésiterais jamais à donner la vie pour cette Empire. Je suis grandement courageux mais pas téméraire ni intrépide. Jamais personne ne me verra agir sur un coup de tête, malgré mon tempérament colérique. J'ai un esprit plutôt stratégique et le combat ne me fais pas peur. Par contre, je ne choisis de me battre qu'en dernier recours, préférant régler des problèmes à l'amiable. Je ne n'apprécie pas la compagnie des humains, ces menteurs sans scrupule qui ne pensent qu'à l'argent et à tuer sans la moindre raison.

     

    Histoires : Elles arrivent...

    Mes débuts au Directoire : ordo-hereticus-f860/novice-t44261.html#_thread

     

    Depuis toujours, je suis au Directoire, du moins, d'après mes souvenirs... Depuis que j'y suis, je m'y suis toujours investi à fond, accumulant mes heures de travaille comme un nain avec ses minerais. J'y ai rencontré des gens formidables, que ce sois des helliens, des lawolfs, des wyrmides ou même des exodus. J'ai, par contre, il y a plusieurs années, été esclave sous le joug de sbires démoniaques. Cette triste époque est par contre révolue. J'ai réussi à les défaire et, par ce fait, libérer plusieurs dizaines d'autres esclaves. Peu à peu, j'ai commencé à monter de rangs. Passant de simple habitant à ouvrier qualifié, puis augmentant jusqu'à larbin zélé.

     

    À l'occasion, je fais quelques combats amicals contre d'autres membres du Directoire et je me retrouve souvent vainqueur, mais il m'en reste tout de même pas mal à apprendre. Je possède une maison à Pandémonium ainsi qu'une petite fortune amassé à la sueur de mon front.

  10. Nom: Pcote

     

    Rang actuel: Novice

     

    Voie choisie: Obéissance

     

    Réputation actuelle: Exalté

     

    Rangs demandés: Larbin zélé -> Serviteur du Malin -> Sbire démoniaque

     

    (Les rangs sont demandés en plusieurs fois, mais sont intégrés au même RP, vu sa taille)

     

    Motivation: À ma connaissance, je suis (avec barbo) le membre le plus travaillant au Directoire. Je me suis donc dit que ça serait une bonne idée de rejoindre cet ordre, pour avoir plus de liberté et de responsabilités dans les travaux.

     

    RP

     

    Comme vous le savez, le Directoire existe depuis déjà plusieurs dizaines d’années. Les dirigeants de cette nation regrettent certains passages de son histoire, mais, je crois qu’ils doivent rester dans notre mémoire afin que l’erreur qui s’est produite il y a bien longtemps, pour laquelle des gens et des amis sont morts ne se reproduisent plus. Le Directoire a voulu modifier ce récit afin qu’il ne nuise pas à son image mais, j’ai insisté afin qu’il reste tel quel, comme cela s’est produit. Voici donc un passage oublié de l’histoire de cet Empire.

     

    _______________________

    31 avril

     

    Cher journal,

     

    Je t’écris aujourd’hui pour que je reste dans les mémoires dans le cas où je mourais dans les prochains jours.

     

    Miner… Encore et toujours miner… Ne jamais s’arrêter…

     

    Je minais alors depuis plus d’une dizaine d’heures d’affilée, comme un vulgaire esclave, fouetté par des sbires démoniaques. Cherchant encore et constamment des diamants, du fer, de l’or ou bien d’autres matières précieuses pour l’Empire.

     

    Cela faisait déjà plusieurs mois qu’ils m’avaient trouvé, m’assurant une vie paisible et sans soucis. J’avais bien voulu les croire, moi pauvre paysan que j’étais, recherchant une communauté où je pourrais vivre dans la simplicité…

     

    Ce fut la pire erreur de mon existence. Habituellement, je suis dur à la tâche mais, là, c’est clairement de l’esclavagisme. Je n’en peux plus. Et je n’étais pas le seul dans cette fâcheuse position, nous étions plusieurs dizaines, tout ça pour avoir cru à un meilleur avenir.

     

    Les dirigeants du Directoire ignoraient tout de ce qui se tramaient dans les mines, tout ce dont ils se souciaient était l’avancement de cette dernière, et ils en était grandement satisfaits. Rien d’étonnant vu la quantité de minerais et autres ressources précieuses qu’on leur apportait.

     

    Par contre, aujourd’hui j’ai eu une idée, un peu simpliste mais qui pourrait fonctionner. Lorsque la fin de journée arriva, et qu’on nous « relâcha » dans les dortoirs –je dirais plutôt des taules sales et miteuses-, j’exposai mon plan aux autres prisonniers. Il était risqué mais, nous n’avions plus le choix. Nous mourrions bien assez tôt si nous restions ici, que ça soit d’épuisement, de douleur ou de faim…

     

    _______________________

    1 avril

     

    Cher journal,

     

    En me levant, tôt à l’aube pour retourner miner, excellente nouvelle, les geôliers annoncent une journée de congé. Ils déclarent qu’une nouvelle loi a été mise en place qui interdit l’esclavage. Puis, ils ajoutent que nous seront maintenant traité convenablement et que nous pourront quitter cet endroit.

     

    Grande a été notre joie suite à cette nouvelle. Nous avons oublié nos douleurs, notre peine, nos malheurs, laissant place à un sentiment de liberté. Enfin!! Être respecté comme on le mérite, quel beau cadeau qui nous est offert. Je ne suis même plus obligé de mettre mon plan à exécution.

     

    J’ai alors repensé à mes rêves, qui me paraissaient jusqu’alors si loin, inaccessibles. Faire le tour du monde, visiter les plus grandes villes, devenir un petit commerçant…

     

    C’est à ce moment là que j’ai tout compris, leurs machinations pour nous rendre la vie impossible, faire d’elle un enfer. Si la personne qui lit ce journal se demande de quoi je parle, elle n’a qu’à lire la date.

     

    Lorsque j’ai fait part de ma découverte aux autres, ils ont, pour la plupart fondu en larmes, ce n’était qu’un vulgaire poisson d’avril. Comment ne pas être désespéré, si près de la liberté. Plus rien ne comptais à certains de nous, pas même la vie. Pourtant, il le fallait, oui, je devais le faire, j’allais accomplir mon plan, peut importe les risques.

     

    _______________________

    5 avril

     

    Cher journal,

     

    Cela fait maintenant quatre jours que j’assemble le matériel dont j’aurai besoin : pioches, réserves de nourritures, quelques petites barres en fer –de quoi crocheter des serrures- et des informations.

     

    Ce que je compte faire? M’échapper, prévenir l’Empereur de ce qui se trame dans les mines et libérer mes confrères si le dirigeant suprême du Directoire n’adhère pas à ma cause.

     

    Donc, faisons l’inventaire : une portes en aciers bloque la sortie et deux gardes se trouvent derrière pour empêcher une révolte. Des chiens tout droit sortis des enfers se promènent à travers la mine à la recherche d’un amuse-gueule. À ce qu’il parait, ils auraient au odorat dix fois plus développé qu’un chien normal.

     

    Les sbires démoniaques –personne ne sait ce qu’ils sont réellement- dorment qu’en à eux, à la sortie de la mine, dans leur tente disposées autour de l’entrée. Point plus positif, un de mes compatriotes affirme avoir repéré lors de son arrivée, une armurerie contenant plusieurs armes qui pourraient s’avérer utiles.

     

    Bon, récapitulons. Je dois crocheter une serrure en silence afin d’attaquer les gardes par surprises. Lorsque je serai sorti, ce ne sera plus qu’une question de temps. Je devrai ensuite m’envelopper de boue afin de couvrir mon odeur à l’odorat des chiens. Après, il va me falloir trouver la sortie dans plusieurs kilomètres de dédales souterrains puis, repérer l’armurerie pour m’armer, en cas de mauvaises rencontres.

     

    Je vais par la suite devoir trouver le palais impérial et y pénétrer afin de parler à l’Empereur. Ça ne va pas être du gâteau.

     

    _______________________

    6 avril

     

    Cher journal,

     

    Il est temps de mettre mon plan à exécution. Il est minuit passé et je n’entends pas le moindre son. Si vous retrouvez ce journal, vous saurez que j’aurai tout tenté pour réduire à néant l’esclavagisme, pour la liberté. Je ne vais pas faire un long discours, il y a des choses que j’ai fait dans la vie dont je suis fier et d’autres dont je le suis moins. Mais, jamais je n’aurai fait de gestes aussi braves que ceux que je vais faire ce matin. Je ne vais peut-être pas survivre à cet élan passionné qui fait que je pars aujourd’hui me battre pour un avenir meilleur, où tout le monde est délivré du malheur que je vis en ce jour, mais, je le fait parce que JE le veux, parce que JE le peux et parce qu’IL LE FAUT.

     

    À présent, je dois partir, le devoir m’appelle. J’espère que mon sacrifice ne sera pas vain. C’est maintenant ou jamais…

     

    _______________________

     

    Ceci était un extrait de mon journal, mes écrits, mes dires. Cette période de ma vie ne peut être effacé. Même si je le pouvais, je ne le ferais pas. Pendant ces longs mois de travail, j’ai beaucoup appris, sur la vie, la valeur des choses et de celle de l’amitié. C’est ce qui m’a permis de tenir durant tout ce temps. Ils étaient mes amis, mes confidents, ils étaient devenus mes frères, ma famille.

     

    Ils étaient prêts à donner leur vie pour moi, tout comme je l’ai fait pour eux. Voici donc ce qui s’est passé ensuite, ce que s’est réellement passé…

     

    _______________________

     

    Mon plan ne s’est pas déroulé exactement comme prévu. Crocheter la serrure n’a pas été bien difficile, ils aimaient bien trop leur argent pour en acheter une bonne. Par contre, lorsque j’ai ouvert la porte, vu son âge, elle a grincée et les gardes se sont retournés.

     

    Dans un élan d’adrénaline, j’ai empoigné ma pioche à deux mains et me suis propulsé sur le premier. Sous l’effet de la stupeur, il n’a pas bougé et j’ai facilement pu l’assommer du plat de la pioche.

     

    Je me suis alors retourner et ai frapper le deuxième geôlier à l’aide du manche et il s’est effondré au sol, telle une poupée de chiffon. Je me suis ensuite roulé au sol, me maculant de boue, fier de mon exploit.

     

    Maintenant, trouver la sortie, voilà qui devrait me prendre plus de temps…

     

    _______________________

     

    C’est maintenant l’aube. Dans les dortoirs, les autres prisonniers ont remarqué ma soudaine disparition. Mais, en voyant la porte ouverte, ils ont tout de suite su ce qui s’était produit. Ça leur a fait un véritable choc.

     

    Moi, un simple paysan, risquant ma vie et tout ça pour quoi? Pour eux. Tous des paysans sans avenir. Il y a alors eu un déclic et, ils se sont dit : la porte est ouvert vers notre liberté, ou vers une mort certaine. Nous avons donc le choix entre une vie qui ne vaut pas la peine d’être vécu ou sortir d’ici et aller prêter main forte à Pcote, qui lui, a eu le courage de quitter cet endroit dans l’espoir de nous délivrer.

     

    Nous allons donc prendre notre volonté à deux mains et quitter cet endroit maudit, qui sait ce qui a pu lui arriver. On va le faire pour lui, et pour nous. Alors!! En avant vers notre affranchissement!!!

     

    Ils se sont rués vers la sortie en criant comme des déchaînés. Les chiens des enfers, pris de panique, ont fondu vers l’issue de la mine suivi par mes compatriotes. Ils ont ensuite commencé à remonter les escaliers en direction de la surface…

     

    _______________________

     

    Plus tôt dans la journée, après une ou deux heures de recherches, j’avais finalement trouvé la sortie, péniblement, j’ai escaladé les marches les yeux larmoyants tellement l’émotion était forte. J’allais enfin revoir la lumière du soleil, sentir l’air frais du monde tel je l’avais toujours connu.

     

    Plus que quelques marches… Je vois déjà plus clair… Je sens l’air pur… Enfin! La liberté, à ma porté… Et j’ai monté les dernières marches de l’escalier en colimaçon… La lumière du jour… si puissante… si, étourdissante…

     

    _______________________

     

    L’Empereur, dans son palais impérial, alerté par les cris de guerre, souleva le rideau qui voilait à ses yeux l’extérieur. Il vit un homme, torse nu sur la place, enchaîné à un poteau, les mains dans le dos. Plus loin, dans une charrette scellée par des barreaux de fer, plusieurs dizaines de personnes étaient emprisonnées.

     

    S’interrogeant sur ce qu’il se tramait là-bas, il descendit jusqu’au rez-de-chaussée pour sortir. Ses sbires l’arrêtèrent. Ils lui dirent de rester au palais, que c’était des traîtres à la communauté et qu’ils méritaient le supplice d’Hell.

     

    Aelfyr ne voulu rien entendre, il allait faire à sa tête, comme d’habitude. Il marcha jusqu’à la place et m’interpella. Malgré la lumière vive du soleil et les douleurs qu’on m’avait causé, je pu lui expliquer clairement ce qui s’était passé, et ce qui se passait depuis plusieurs années.

     

    Ceux qui m’avaient si longtemps torturé essayèrent bien de me faire taire, mais c’était inutile, toute la rage accumulée au fil des mois précédents ressortie d’un coup, c’était une époque révolue.

     

    J’usai de toute ma colère et de toute la force de mes muscles et me libérai de mes chaînes. Muni d’une énergie nouvelle, j’ai foncé sur les sbires démoniaques qui s’étaient rassemblés pour quitter l’endroit afin de ne pas subir la colère de l’Empereur.

     

    Au passage, j’ai pris un couteau du fourreau de quelqu’un et j’ai tendu les muscles. J’ai bondit sur mes proies. L’instant semblait irréel. J’allais enfin en finir avec ces bourreaux, qui avaient tué tant de personnes. À cette pensée, mon regard s’est voilé de rouge, tous les muscles de mon corps se sont contractés et j’ai attaqué.

     

    Aucun ne résistait, aucun ne m’atteignait, aucun ne me voyait… C’était fou. Comme si Hell m’avait accordé sa force. Je pourfendais ces psychopathes, coups après coups. J’utilisais des feintes et des techniques de combat que je n’aurais jamais imaginé. J’étais invincible.

     

    Puis, lorsqu’il ne resta plus un seul ennemi debout parmi eux, toute mon énergie me quitta et je m’effondrai au sol. Tout colère m’ayant quitté, face à la puissance destructrice qui m’avait habitée.

     

    _______________________

     

    Lorsque je me réveillai, l’Empereur lui-même se tenait près de moi. Il dit qu’il avait relâché les anciens esclaves en leurs fournissant nourriture et argent. Il me dit que je pourrais rester tout aussi longtemps ici que je le voudrais, et que si je voulais rejoindre leur Empire, j’étais le bienvenu.

     

    Le temps passa et je finis par me rétablir. L’idée de rallier le Directoire me séduisait, maintenant que j’y connaissais les gens. C’est donc ce que je fis. Les mois passèrent et je restais dur à la tâche malgré mon passé souterrain. On me proposa donc de devenir un larbin zélé puis, comme j’accomplissais bien mon travail, on m’offrit le titre de serviteur du Malin. Au fil des années, je devint le plus autonome et travaillant des serviteurs du Malin. Et, à mon tour, j'ai reçu le même grade que ceux qui m’avaient autrefois torturé. Celui de sbire démoniaque.

     

    _______________________

     

    J’espère que vous n’oublierez jamais cette triste période.

     

    Pcote

  11. Moi je préfère le système des impôts. Comme l'a dit sayls, ça rapporterait des revenus fixes mois après mois et finirais par rapporter plus qu'acheter la maison dès le début. De plus, (personnellement) je préfère payer beaucoup de points de réputation (je suis exalté :D) que des PAs. Par contre, plus le rang est élevé, moins ça rapporte de PAs au Directoire. L'achat de la maison apporte donc mieux au Directoire que les impôts. Il faudrait donc un système pour combiner les deux.

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