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Ghideon

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Tout ce qui a été posté par Ghideon

  1. Bonjour o/ J'en profite pour rajouter que la prochaine update sera une naval update. On ne sait pas encore précisément ce qui sera rajouté, mais on va avoir des nouveaux calibres de navires, bien plus gros, comme des frégates (voir image). Les serveurs seront sans doute bien plus grand (actuellement à 40 personnes pour les batailles navales). Côté terrestre, avant la mise à jour de la cavalerie il va y avoir une mise à jour "destruction". Les bâtiments étaient jusqu'à présent (et contrairement au murailles) indestructibles via l'artillerie. Une v1 de destruction va donc être ajoutée, avec des rendus semblables à l'image. A noter également qu'une nouvelle classe sera bientôt ajoutée : les sapeurs. L'idée pour eux est de leur donner la possibilité de créer des barricades / obstacles (pieux etc). Cela permettra sans doute d'équilibrer le jeu pour l'arrivée de la cavalerie. C'est tout pour les gros ajouts, mais en ce moment quatre nouvelles maps ont été ajoutées, et les évents de bataille roleplay de ligne / navale s’enchaînent (une par jour / tous les deux jours en ce moment, sur une durée d'une heure). A noter que pour plus de réalisme, les armes seront bientôt différentes entre les factions (le modèle de fusil n'était par exemple pas le même côté français que anglais). Globalement, beaucoup de choses vont arriver cette année o/ La beta de la naval update arrivera elle sous peu (dans quelques semaines grand max).
  2. Salut ! Comme vu avec toi in-game, tu es propriétaire de la chambre 101 sur New-Stendel jusqu'au 28/05/2019. Si besoin, cette date peut-être allongée. Bon jeu à toi !
  3. -&- BATAILLON D'EXPLORATION DE LA GARDE -&- ___________________________ Description : - Le bataillon d'exploration est à part des autres troupes de la Garde. Il est chargé de mener des expéditions par delà les frontières impériales. Il y recense la faune, la flore, et les civilisations qu'il rencontre ou aperçoit. Une fois en expédition, il est seul dans un milieu pouvant être parfois très hostile. C'est pourquoi il est composé de gardes expérimentés au courage inégalable et aux talents multiples. Ces hommes sont capables de survivre seuls pendant des semaines, ou des mois. Pour autant, les pertes à chaque expédition peuvent varier de très peu à bien trop. Le premier ennemi du bataillon reste, avant les créatures qu'il rencontre, la soif, la faim et la maladie. Les objectifs précis du bataillon d'exploration, s'il en a, sont gardés privés par l'état-major. Cependant, les découvertes que celui-ci a pu faire sont pour la plupart rendues publiques. Le bataillon est à l'origine composé de trois compagnies de chasseurs, d'une de voltigeurs, de sapeurs et de dragons, soit de six compagnies. Plus tard, un deuxième bataillon chargé d'explorer d'autres régions a été formé par la Garde. En l'an 289, la composition du bataillon d'exploration est remaniée, avec une augmentation des effectifs. La composition hétérogène du bataillon lui vaut alors le nom de demi-brigade. Les demi-brigades d'exploration gardent cependant la dénomination de 'bataillons d'exploration". Histoire et création - La création du bataillon d'exploration date de la bataille contre Pryftan, dragon remonté du Sud ayant ravagé la moitié du Fort Herobrine. L'état-major envisagea alors que certaines créatures ayant disparues sur les terres impériales pouvaient avoir subsistées au-delà des frontières et du monde connu. Une première expédition fût donc organisée en l'an 170, composée d'une centaine de volontaires, qui partirent des ruines du Port-Sud à bord d'un brick, vers les territoires inexplorés. Aucun d'entre eux n'en revint. L'hypothèse était confirmée, le bataillon d'exploration de la Garde s'officialisait. Par la suite, d'autres expéditions furent menées, plus ou moins couronnées de succès, et avec plus ou moins de survivants. En vue du danger, les effectifs du bataillon se composèrent de vieux gardes, parmi les plus indisciplinés, encadrés par des sous-officiers et officiers expérimentés. Aujourd'hui encore, le bataillon d'exploration s'aventure dans des régions plus lointaines les unes que les autres. Étant donné le prix matériel et humain que représente la moindre expédition, il est rare que le bataillon ne mène plus de deux expéditions par an. Aujourd'hui, alors que le bataillon existe depuis plus de cent ans, l'une des conclusions ayant été faite sur ses expéditions est que les territoires extérieurs à l'Empire en sont bien plus dangereux et hostiles. Si l'Empire d'une manière générale couvre des régions à présent sures, la plupart des territoires du Sud semblent eux encore sous le contrôle de la nature, et de créatures et entités insoupçonnées. Formations d'exploration - Le déploiement : Le déploiement est une formation visant à couvrir une grande distance et espacer les troupes au maximum. La formation prend alors une forme de demi-cercle. A son avant, l'état-major du bataillon utilise des tirs de fusées à fumée pour guider l'ensemble des troupes. Les bataillonnaires les plus extérieurs jouent eux le rôle des yeux : s'ils apperçoivent ou rencontrent une menace, ils tirent une fusée à fumée rouge pour l'indiquer à l'état-major, qui change alors la route du bataillon pour éviter le contact. Cette formation permet ainsi de progresser sur de longues distances tout en minimisant les pertes humaines. Elle fût mise en place lors de 4e expédition pour éviter la même débandade que lors de la 3e (se référer aux notes sur la 3e expédition). Détails sur la formation : La colonne : La formation en colonne, aussi appelée "la flèche" est utilisée lorsque le bataillon se retrouve face à une menace qu'il ne peut esquiver, et qu'il n'a d'autre choix que de traverser. L'ensemble des troupes se regroupe en une longue colonne pourvue en son bout d'une formation en triangle de dragons. La colonne s'engage alors, et n'a de but que d'avancer tout en essayant de limiter les pertes (qui sont elles inévitables). Le principe est donc de permettre à l'expédition de continuer peu importe le prix à payer. La formation en colonne fût mise en place lors de la 7e expédition face à "La Nuée" (se référer aux notes sur la 7e expédition) et permit d'éviter l’annihilation du bataillon. Détails sur la formation : Équipement : - Équipement de la troupe : Chasseurs à pieds : - Mousquet Giberne Apôtres Glaive Havresac (contenant couverture, nourriture (pour cinq jours), briquet, petite réserve de balles, poudre et corde) Pistolet à signaux Sacoche de munitions pour signaux (rouge (4), vert (4), noir (4)) Les sous-officiers disposent d'un sabre-briquet à la place du glaive. Les officiers sont équipés d'un pistolet à silex et d'un sabre légèrement courbé. Ils ont également deux munitions vertes en plus par grade. Les capitaines disposent de quatre munitions bleues. Voltigeurs : - Mousquet Giberne Apôtres Glaive Havresac (contenant couverture, nourriture (pour cinq jours), briquet, petite réserve de balles, poudre et corde) Pistolet à signaux Sacoche de munitions pour signaux (rouge (4), vert (4), noir (4)) Les sous-officiers disposent d'un sabre-briquet à la place du glaive. Les officiers sont équipés d'un pistolet à silex et d'un sabre légèrement courbé. Ils ont également deux munitions vertes en plus par grade. Les capitaines disposent de quatre munitions bleues. Dragons : - Sabre de cavalerie lourde Mousquet (porté dans le dos) Giberne Apôtres Casque en acier Havresac attaché à l'arrière du cheval (contenant couverture, nourriture (pour cinq jours), briquet, petite réserve de balles, poudre et corde) Pistolet à signaux Sacoche de munitions pour signaux (rouge (4), vert (4), noir (4)) Les sous-officiers disposent d'un sabre de cavalerie lourde. Les officiers sont équipés d'un pistolet à silex et d'un sabre cavalerie lourde. Ils ont également deux munitions vertes en plus par grade. Les capitaines disposent de quatre munitions bleues. Sapeurs : - Pistolet à silex Giberne Apôtres Glaive Hache Petite pelle attachée au havresac Havresac (contenant couverture, nourriture (pour cinq jours), briquet, petite réserve de balles, poudre et corde) Pistolet à signaux Sacoche de munitions pour signaux (rouge (4), vert (4), noir (4)) Les sous-officiers disposent d'un sabre-briquet à la place du glaive. Les officiers sont équipés d'un sabre légèrement courbé. Ils ont également deux munitions vertes en plus par grade. Les capitaines disposent de quatre munitions bleues. Équipement emporté par le bataillon : Le bataillon d'exploration emmène toujours avec lui vingt-quatre chariots. Quatre chariots d'arcs-lances - Les chariots transportant des arcs-lances sont portés par un attelage de six chevaux, permettant une excellente mobilité. Chaque chariot est équipé d'une arc-lance fixée sur un axe de rotation. Si à l'origine les arcs-lances sont utilisées par le bataillon pour abattre de potentiels dragons, elles sont également utilisées contre toutes sortes de grands monstres. Deux chariots de matériel pour les arcs-lances - Les chariots de matériel transportent les munitions des arcs-lances. En plus de simples grandes flèches, ils contiennent également des cordes à grappin. Tirées par les arcs-lances, elles peuvent permettre l'escalade de falaises ou murailles. Certaines des flèches transportées sont aussi enchantées, et peuvent s'avérer utiles dans certaines situations. Six chariots de provisions - Les chariots de provisions sont chargés au départ du bataillon de pain, viande séchée, oignons, eau et alcool. Tout au long d'une expédition, les chariots de provisions sont réapprovisionnés. Le bataillon ne peut se permettre leur perte, la soif et la faim étant un danger permanent en dehors des frontières, et les protège à tous les prix. Six chariots de matériel de campagne - Les chariots de matériel de campagne transportent tout le matériel des troupes. Ils contiennent principalement de la poudre et des balles. On y trouve aussi des munitions de pistolets à signaux, des mousquets et sabres de rechange, ainsi que des outils et du matériel d'escalade. Un chariot de forge mobile - Le chariot de forge mobile est utilisé pour entretenir et réparer tout ce qui est touche à la métallurgie dans le matériel du bataillon. Ainsi, cela peut s'agir d'armes, mécanismes de mousquets, pièces d'arcs-lances, etc ... Un chariot d'atelier mobile - Le chariot d'atelier mobile est utilisé pour entretenir et réparer tout ce qui touche au bois , tissus et cuirs dans le matériel du bataillon. Ainsi, cela peut s'agir de roues de charrettes, pièces en bois des arcs-lances ou mousquets, havresacs, etc ... Quatre chariots vides - Le bataillon d'exploration part toujours en expédition avec quatre chariots vides. Ceux-ci sont utilisés pour ramener toutes sortes d'éléments et échantillons des contrées extérieures. Bestiaire des créatures recensées : - ~ en cours ~ Civilisations intelligentes recensées : - ~ en cours ~ La Route du Sud : - La route du Sud est un terme retrouvé au contact de plusieurs civilisations des territoires extérieurs. Il désignerait une route cachée, dont personne ne connait l'accès ni le passage et qui traverserait le Sud entier. Les territoires hors empire au Sud sont pour beaucoup sujets au danger permanent. Les bestiaires y sont bien plus remplis que dans l'Empire, et y progresser représente une tâche plus que compliquée. Lors de ses expéditions, le bataillon d'exploration perd presque à chaque fois un tiers à la moitié de ses effectifs face à cette faune particulière. Si les détails sur l'apparence et l'emplacement de cette route restent inconnus, son existence revient dans de nombreux contes et légendes de peuplades du Sud, pourtant éloignées les unes des autres, aussi bien physiquement que culturellement. Une hypothèse fût même avancée que, la première expédition du bataillon ayant disparue sans jamais laisser de trace aurait trouvé à l'accès à cette route et l'aurait emprunté. Liste des expéditions menées : - Expédition du 29 Démévent de l'an 170 : Expédition du 7 Fifrelune de l'an 171 :
  4. Rajout du bataillon d'exploration dans les effectifs.
  5. Bonsoir Draganthyr ! :p Je suis désolé de t'annoncer que tu ne peux pas faire une présentation ici en étant vagabond. Pour rejoindre pleinement l'aventure Minefield, il faut être paysan, grade que tu obtiens en passant notre quizz, en ayant lu nos règles. Pour répondre cependant à ta question, non, Minefield n'a pas eu d'autre nom. Quant à ton soucis de connexion, il faut que tu lances le launcher minefield, qui va t'ouvrir le minecraft. A côté de "jouer", tu as une flèche, et en cliquant dessus tu peux choisir ton profil, tu devrais en avoir un nommé minefield. Bonne chance à toi et bon jeu ! (je me permets de lock ce sujet du coup, et t'invite à reposter une présentation une fois devenu paysan) Ghideon, ambassadeur de l'ANA.
  6. Ghideon

    [La Garde] Annonces

    Fort Herobrine, commandement, 34 Mérolia de l'an 216, Par Ghideon Zorn, Général de Corps d'Armée, Aux capitaines en second du 5e et 2e d'infanterie, - A dater de ce jour, le capitaine Oudinot est promu commandant et remplace Lamarque à la tête du 5e d'infanterie. Celui-ci est muté à la tête du 2e à Kel'Daer pour y soulager le commandant Lannes. Lannes est nommé colonel et assigné au commandement du Fort Herobrine pour y servir de conseiller militaire. - Chaque bataillon d'infanterie légère devra être constitué d'une compagnie d'élite de carabiniers. Le nombre de compagnies de chasseurs dans un bataillon est donc réduit de quatre à trois. Les carabiniers seront utilisés pour de la reconnaissance, du déploiement en tirailleurs et de l'escarmouche en première ligne. Ghideon Zorn, Général de la Garde
  7. Identité : Basile Vauthier Age : 90 ans Sexe : Homme Espèce : Humain Gentilité : Stendelien - Orphelin État : Vivant Profession : Garde volontaire - Général de Brigade - Directeur du Purgatoire de Terre-Morne Passe-temps : Traque des mages noirs - Gestion de Terre-Morne - Histoire Caractère : Sombre, peu social, sadique, renferme une haine pour la magie en tout genre Médailles : Ordre des Patrouilleurs, Légion d'obsidienne Description : Le commandant Basile Vauthier est sans doute l'une des personnes les plus cruels qu'il vous soit donné de rencontrer dans la Garde. Retrouvé seul survivant d'un village mis à sac par un groupe de mages à l'âge de onze ans, il est recueilli par la Garde, qui vient alors tout juste d'être créée. Malgré son jeune âge, il fait preuve de capacités exceptionnelles au maniement des armes. Sabre, hache, épée, rapière, masse, aucune ne lui fait défaut. Il est fait soldat à l'âge de quinze ans, puis sergent à dix-sept ans. Il participe activement à la traque des mages noirs à partir de l'an 143, et ce pendant des années. Il sera par ailleurs accusé de torturer et exécuter certains de ses prisonniers au lieu de les livrer à Terre-Morne, accusations qui ne donneront pas de suite. Il gravit au fils des années les échelons, jusqu'à devenir officier, mais ne reçoit pas un réel poste de commandement. Seul un petit groupe d'hommes est placé sous ses ordres pour continuer à débusquer des mages noirs dans les confins de l'Empire. En plusieurs années, il fera prisonnier des dizaines voir centaines de mages, et en tuera bien d'autres. Il participe à l'installation de feu grégeois dans les sous-sols de Terre-Morne, comme ultime défense de la prison, et aide le Général Zorn à organiser "l'ultime peine" de l'an 203, ayant mené à la destruction de l'île. Lors de la reconstruction de Terre-Morne en un Purgatoire, il en est nommé le Directeur et fait commandant. Les installations les plus sadiques de la prison sortent sans doute tout droit de son imagination, et la plupart ne sont pas rendues publiques. Vauthier monte plus tard en grade, jusqu'à être nommé général de Brigade. Roleplay :
  8. Personnages créés par Ghideon : Colonel Lannes Lieutenant Dorsenne (aide de camp - Grenadier de la Vieille Garde) Adjudant Leon (aide de camp - grenadier) Pryftan, l'Affamé La "Créature", Murmures
  9. Bien le bonjour, Tout comme mes prédécesseurs, il y a de cela quelques temps, je n'aurais jamais pu penser un jour venir plussoyer Nafiros. C'est un joueur que je connaissais peu, et dont je n'ai pas toujours entendu parler en bien. Hors, j'ai pu mieux faire sa connaissance depuis son retour. C'est avant tout quelqu'un de chaleureux, je m'explique. Il rit tout le temps (bon avec un rire assez spécial certe, m'enfin), parle tout le temps, en bref, on ne s'ennuie pas avec lui et on passe d'excellents moments. Son humour assez ""décalé"" fait également toujours plaisir à entendre et est le bienvenu. Sa motivation est à pointer du doigt. J'ai eu l'occasion de voir quelques screens de la confrérie d'obsidienne avant qu'il ne rénove le projet. En comparant l'ancien projet et ce qu'il est maintenant, on se rend vraiment compte du travail qu'il a accompli. Il est le dirigeant d'un projet qui n'est pas encore fini, mais que je qualifierais d'abouti et de très joli. J'ai de plus pu voir récemment son implication au Fort depuis son intégration au projet. Il nous a dès ses premiers jours aidé sur la reconstruction de Sandstown, se montrant actif et motivé à tout moment. Je lui dois de grands remerciements. Mais, Nafiros est aussi un joueur qui a assumé ses erreurs passées et qui a réussi à en passer outre, à se remotiver, et à continuer son aventure Minefieldienne sur un chemin désormais exemplaire. Ce n'est pas tout le monde qui l'aurait fait. Et cet élément final est pour moi l'argument majeur qui justifie son passage au rang de citoyen. Pour finir, Nafiros est la preuve qu'il ne faut pas juger quelqu'un par ses erreurs passées mais par son parcours et qui il est devenu. Un gros +1 pour toi ! Ghid'
  10. Fort Herobrine, commandement, 41 Fifrelune de l'an 216, Par Ghideon Zorn, Général de Corps d'Armée, Aux gardes volontaires, Ce cachet officialise le passage de l'aspirant Nafiros au grade de sous-lieutenant. Il a su montrer, par ses aptitudes physiques et psychiques, ainsi que par ses connaissances architecturales, être digne du rang d'officier. Il prend le commandement de la 1ère section du 2e escadron de hussards du 1er de cavalerie. Une chambre et un bureau lui seront attribués à sa forteresse, et une maison de son choix pourra lui être attribuée sur Sandstown. Félicitations à lui. Vive l'Empire et vive la Garde. Ghideon Zorn, général de la Garde Masquer le contenu Comme ta promotion sur la place d'arme en témoigne, tu fais désormais parti de nos rangs. Bienvenue à toi ! J'ajoute sur le titre de candidature la balise [Acceptée]. A bientôt en jeu !
  11. Fort Herobrine, commandement, 41 Fifrelune de l'an 216, Par Ghideon Zorn, Général de Corps d'Armée, Aux gardes volontaires, Cette lettre officialise le passage de l'aspirant TheThomas au grade de sous-lieutenant. Il a su montrer, par ses aptitudes physiques et psychiques, ainsi que par ses connaissances historiques, être digne du rang d'officier. Il prend le commandement de la 1ère section de la 2e compagnie de carabiniers du 5e d'infanterie. Une chambre et un bureau lui seront attribués à sa forteresse, et une maison de son choix pourra lui être attribuée sur Sandstown. Félicitations à lui. Vive l'Empire et vive la Garde. Ghideon Zorn, général de la Garde
  12. Petit rappel : réunion demain à 14h30, et promotion vers 14h. @The-Darkalne @Suljii @SkyKKou
  13. Bien le bonsoir ! J'accepte ta candidature et te nomme aspirant de la Garde pour la durée de ta formation au grade sous-lieutenant. A la fin de ta formation, tu pourras intégrer le corps d'arme de ton choix, le régiment, le bataillon, et la compagnie. Voici ton uniforme d'aspirant : https://www.needcoolshoes.com/skin/ubHQw/fh-aspirant Vive l'Empire, Vive la Garde, et bienvenue parmi nous !
  14. Bonsoir ! Pas de soucis pour le poste de tout à l'heure. Je t'ai attribué la chambre 12 de l'ambassade de Stendel (à côté du spawn) pour une durée d'un mois. Bon séjour et bon jeu !
  15. Bonsoir \o/ Pour la journée du premier Avril, L'Amiral James Wariow a laissé entendre lors d'une réunion au sein de la Garde Volontaire qu'il y aurait une réduction sur le lot de poissons dans la taverne T.C.M du quartier forgeron. Le lot passerai à 2 Pa's au lieu de 3. Fake ou réalité ? Il vous appartient d'aller vérifier. Ne sera disponible que pour la journée du 1er Avril. Jamais vos quêtes sur BDM n'aura été aussi rentable sans avoir à aller pêcher. Message posté à la suite de nombreuses menaces.
  16. Salut Allygallota ! Tu es actuellement vagabond. Ce grade ne te permet que de visiter Minefield, et non d'avoir accès à son contenu. Si tu veux pouvoir joueur sur Minefield, et louer un appartement, il te faut passer le quizz paysan en ayant lu les règles du serveur. Il te faudra ensuite faire ta présentation. Je lock ton topic, si tu deviens paysan, n'hésite pas à en recréer un, et se sera avec plaisir qu'une chambre te sera attribuée Bon jeu et bonne soirée. Ghideon, ambassadeur de l'ANA
  17. -&- Terre-Morne, feu et cendres -&- Republication du roleplay de la destruction du Pénitencier de Terre-Morne. Roleplay écrit par Pencroff en 2018. Terre-Morne. Un bâtiment gris, grossier, fait de grosses pierres carrées posées en un damier strictement symétrique. Des barreaux de fer, froids... et un toit de tuiles noires. Pas d'ornement, pas de décoration... Pas de bruit non plus, sinon le faible clapotis des flaques dans lesquelles la pluie tombe, et le tintement des havresacs des quelques gardes en patrouille sur les créneaux. Un ciel gris et maussade, une brume froide rasant les eaux du lac... et au milieu du tableau, cette grande bâtisse sans charme qui se dresse comme une île dans toute sa solitude. Cette grande bâtisse, sinistre; qui ne s'ouvre sur le reste du monde que par sa grande porte-herse, au dessus de laquelle on peut lire "pénitencier". Voilà comment un spectateur, un curieux, aurait sans doute décrit la prison pour mages noirs de Terre-Morne. Mais en ces lieux si reculés de l'empire, dans cette contrée si éloignée de toute vie... de spectateurs il n'y eut jamais eu. En dehors de gardes, muets comme des tombes et graves dans l'accomplissement de leur besogne; rares sont ceux qui quittent un jour Terre-Morne, et jamais aucun de ces quelques chanceux ne s'était décidé à faire le récit de la vie sur place. Peut-être était-ce, simplement, parce qu'au fond il n'y avait pas grand chose à dire. Les jours y passent, se suivent et se ressemblent; la même routine, froide et étouffante, se répète inlassablement; comme si le temps avait cessé de s'écouler... Comme si, en fait, le temps n'avait jamais existé. C'est par un jour comme ceux-ci que commence notre histoire. Un jour sans véritable début, mais qui, pour la première fois dans l'histoire de la prison, allait connaitre une fin. La pluie tombait, encore une fois, inondant la cour de la prison et interdisant toute sortie et toute promenade. Les prisonniers, des mages noirs arrêtés pour la sauvegarde de l'empire, étaient cantonnés dans leurs cellules. On comptait parmi eux divers niveaux de dangerosité, allant des très puissants mages nécromanciens et autres chefs de cultes démoniaques, aux petits guérisseurs locaux qui avaient été arrêtés au nom du salut publique, injustement dira-t-on plus tard. On avait, pour les empêcher de déployer leurs pouvoirs, couvert la prison d'un puissant sortilège qui interdisait toute magie dans l'enceinte du bâtiment, et dans un certain rayon autour de ses murs extérieurs. Les mages, privés de leurs enchantements, étaient réduits à la plus profonde impuissance. Quand à la possibilité d'un intervention extérieure visant à les faire évader, elle avait été balayée par la situation insulaire du pénitencier, qui, siégeant au milieux d'un lac, était pensait-on facilement défendable. Les mages étaient donc cloîtrés dans leurs cellules respectives, les plus chanceux d'entre eux observant la pluie tomber depuis leur fenêtres, tandis que les plus endurcis moisissaient dans les caves humides, où l'eau de pluie venait se perdre à travers les fissures des plafonds. Les gardes, eux, poursuivaient leurs rondes, imperturbables; comme des automates parcourant les coursives et les créneaux, à l’affût de la moindre anomalie. La pluie glissait sur eux comme une simple bruine, ils ne s'abritaient ni des vents, ni du froid glacial, ni des trombes d'eau... Ils marchaient d'un pas lent et strictement cadencé, réglés comme des horloges... Une fois leur tour fini, ils rejoignaient le poste de commandement pour y faire leur rapport au sous-lieutenant de la compagnie, et repartaient, inlassablement, parcourir les chemins de ronde. Le jour passa ainsi, encore une fois, sous la grisaille et les bourrasques; et la nuit n'allait pas tarder à obscurcir l'horizon. Dans le poste de commandement où il avait siégé toute la journée pour recevoir les rapports de ses hommes, le sous-lieutenant Fauche, officier commandant la 4e compagnie du 2e bataillon de chasseurs du 1er régiment d'infanterie; faisait les cent pas. Ses documents étaient soigneusement triés, et il s'affairait lui même à préparer la place pour le sous-lieutenant qui allait le relever dans quelques minutes. Lorsque son camarade allait arriver, il n'aurait qu'à lui remettre les horaires de patrouille de son quart, et ils pourraient enfin, ses hommes et lui, aller se coucher. Du moins, c'est ainsi qu'il aurait aimé que les choses se passent. Un bruit étrange attira l'attention de Fauche. Un bruissement feutré, presque inaudible... Mais qui sortait de l'ordinaire monotone des lieux. Fauche s'approcha de la fenêtre, depuis laquelle il pouvait observer les murailles et les chemins de rondes. Il s'arrêta un instant pour observer, malgré la pluie battante qui réduisait drastiquement la visibilité. Sur le chemin de ronde, en contrebas, il décela alors une forme opaque, sombre, couchée sous la pluie... Il s'approcha du carreau de verre, essuya d'une main la buée que opacifiait son champ de vision, et comprit alors qu'il s'agissait du corps inerte d'un des gardes. Il fit un pas en arrière, esquissa un mouvement pour s'éloigner de la vitre; quand une formidable explosion lui souffla le verre au visage, et le projeta en arrière. En une demi-seconde, la pièce fut remplie d'éclats de bois, de verre et de pierre en suspension dans l'espace. Le corps de Fauche traversa la pièce et vint s'écraser lourdement sur son bureau. Les charpentes craquèrent, les murs de la pièce se décelèrent, et le plancher céda sous le choc; effondrant l'étage au moment où les combles se remplirent de flammes monstrueuses. Quand Fauche ouvrit les yeux, il était allongé, les bras en croix, sur les restes brisés de son bureau. Tout en lui était endolori, ses deux oreilles sifflaient et il lui fallut plusieurs longues secondes pour que sa vision s'éclaircisse. D'épaisses volutes de fumée remplissaient la pièce, et lui brûlaient la gorge et les poumons; mais il lui semblait ne pas être plus blessé que cela. Il parvint, tant bien que mal, à se mettre debout sur ses jambes, et se dirigea en titubant vers un trou béant qui avait été ouvert dans le mur par l'explosion. Il se traîna sur les pierres, escalada l'enchevêtrement de poutres brisées et de planches; et acheva de s'extraire des ruines. Il se retrouva dans la cour principale, toujours plus ou moins assourdi par le sifflement aigu des acouphènes; et s'arrêta un instant pour observer ce qui l'entourait. Le mur d'enceinte principal, celui qui isolait la prison du reste du monde, avait été éventré. Les corps de plusieurs gardes gisaient dans les débris, la plupart visiblement sans vie... parmi eux, Fauche reconnut celui de l'officier qui était chargé de le relever. Il tituba, perdu, au milieu des décombres. Le sifflement qui résonnait dans ses oreilles était devenu un vrombissement infernal, de plus en plus fort, comme si ses tympans allaient entrer en éruption. Puis, petit à petit, l'ouïe commença à lui revenir. Par bribes, d'abord, puis complètement, il se mit à entendre les cris des gardes et de la clameur des prisonniers. Un soldat, le visage maculé de sang, se mit à courir dans sa direction; suivi de plusieurs autres. - Mon lieutenant ! Qu'est ce qu'on fait mon lieutenant ? Fauche se tenait la tête, comme pour l'empêcher de rompre. Le bourdonnement cessa, et il se redressa au milieu du petit groupe de soldats qui s'était rassemblé autour de lui. - Le Capitaine ? Où est-il ? - Il est mort, mon lieutenant ! - L'Officier en second, où il est ? - J'en sais rien mon lieutenant ! Et le sous-lieutenant Martineau a été tué en venant vous trouver ! Une seconde explosion coupa net la conversation. Un boulet d'obusier, chargé de mitraille, venait d'atteindre la façade de la prison. Les éclats de métal vinrent ricocher dans la cour, fauchant deux soldats qui tentaient de se mettre à couvert. Plus rien n'isolait le pénitencier du monde extérieur, et il était à craindre que l'on ne tente de l'envahir pour en libérer les prisonniers. Le sous-lieutenant, comprenant qu'il était sans doute le dernier officier en vie, compta alors les hommes autour de lui. Puis, constatant qu'ils n'étaient, à eux tous, plus que vingt-cinq; il se tourna vers la brèche qui avait été faite dans le mur d'enceinte. - Ils ont fait une percée ! Ils vont tenter de l'exploiter, prenez position là bas ! - Bien mon lieutenant ! répondirent les soldats en chœur. Fauche dégaina son sabre, et courut en direction du trou béant qui fendait le mur. Un tas de gravats et de roches en fermait partiellement l'accès, et protégeait les défenseurs qui pouvaient se déployer en contrebas. Un autre boulet d'obusier éclata sur la prison, mais les soldats s'étaient éloignés du bâtiment principal et se préparaient maintenant à recevoir leurs visiteurs. Fauche, qui se tenait en face de l'ouverture, en bas du tas de débris; attendait fébrilement, tendant l'oreille. - Préparez vous à vous défendre ! Pour la gloire ! Hurla-t-il à ses hommes, qui achevaient de visser leurs baïonnettes à leurs mousquets. Pendant une minute, plusieurs boulets tombèrent encore dans la cour, sans faire de victime parmi les gardes qui s'étaient mis à couvert le long du mur. Collés aux barreaux de leurs fenêtres, les prisonniers hurlaient, appelant de tout leur souffle; exaltant leurs libérateurs à venir les chercher. Pour toute réponse, un dernier boulet vint s'écraser sur le mur; effondrant une partie de la façade en emportant deux détenus qui vinrent s'écraser lourdement dans la cour. Les hurlements cessèrent... Pour reprendre, une seconde plus tard, du coté extérieur de la muraille. Puis, du haut de la clameur, comme si il était né des cris de ses partisans, un homme se dressa sur le tas de décombres qui obstruait la brèche vers la prison. Du sommet de sa montagne de gravats et de pierres enchevêtrées, dominant ce qui allait devenir son champ de bataille; l'homme semblait jauger ses adversaires. Tournant le dos au soleil qui, se couchant, l'enlaçait d'un halo rouge; il n'apparaissant aux soldats que comme une ombre aux formes étranges, aux contours abstraits. D'un geste lent, il leva son bras; déclenchant immédiatement de vifs cris de guerre autour de lui. Puis, tendant une main libératrice vers les prisonniers; il prit une grande inspiration et assura ses appuis pour pousser un dernier hurlement martial... Une balle lui traversa le crane, et son corps sans vie dégringola de la pile de pierres. Au pied des décombres, un soldat rechargeait nonchalamment son mousquet. - Il était là depuis une minute et j'en avais déjà marre de lui. Allons tuer cette bande de sacs, dit-il. - En avant ! Hurla Fauche. - En avant ! Hurla une voix de l'autre coté du mur Et les deux groupes, assaillants et assaillis, se ruèrent les uns sur les autres dans une mêlée sans merci, pour le contrôle de ce monticule de débris qui représentait le seul accès praticable vers la prison. Fauche, en tête, sabre au clair; fut le premier arrivé en haut. À son grand malheur, il ne put que constater l'écrasante supériorité numérique de ses ennemis. Devant lui, une marée demi-humaine se ruait vers la brèche, chargeant vers la prison. Lui et ses hommes étaient le dernier obstacle sur leur route, un obstacle fait d'une vingtaine d'humains, un obstacle fait de chaire et d'os... Mais ce maigre obstacle, si dérisoire qu'il fut, était le dépositaire d'une mission. La garde lui était confiée de cette petite parcelle de terre, et ils seraient tous morts avant d'avoir jamais cédé. En serrant les dents, Fauche enfonça son sabre dans le torse du premier assaillant à sa portée. Tournant sa lame d'une main, il dégaina son pistolet à silex de l'autre, et fit sauter le crâne d'un de ses adversaires. Il posa son pied sur le visage de l'homme dans lequel son sabre était encore enfoncé, et tira de toutes ses forces pour l'en dégager. À l'instant ou la lame quitta le corps sans vie, un assaillant se jeta sur lui, levant une lourde masse au dessus de sa tête. In Extremis, un des soldats enfonça sa baïonnette dans le flanc de l'homme qui se replia immédiatement en poussant un soupir de douleur. Les coups de mousquets claquaient autour du sous-lieutenant qui faisait danser sa lame, dont le fil venait ouvrir les peaux et fendre les veines de tous ceux qui avaient le mauvais goût de s'approcher. Bien qu'encore très nombreux à l'extérieur des murs, les rangs des assaillants qui avaient entrepris l'ascension des décombres commençaient à s'éclaircir. La première vague, gênée dans sa progression par la chute des cadavres qui dévalaient la pente, avait été refoulée. L'ennemi se rassembla en contrebas, et Fauche, qui s'était lui même reculé; entrevit dans la cour un salut inespéré. En effet, récupéré parmi les débris des créneaux et remis en batterie par deux artilleurs; un canon de huit livres avait été disposé face à la brèche. La pièce, chargée à la grenaille; n'allait pouvoir tirer qu'un coup, Fauche le savait. Aussi allait-il falloir l'utiliser avec réserve. - Attendez mon ordre ! Vous autres, sur les cotés, ne tirez que quand ils sont à portée ! cria-t-il. Et déjà, sur le monticule, de nouveaux cris se faisaient entendre. Fauche rechargea son pistolet, salua ses hommes, et se mit en position. Il savait, au fond de lui, que la prison ne pourrait pas être tenue... Mais il savait que dans ce cas précis, il lui resterait une disposition à prendre; il avait encore un joker dans la manche. Les premiers assaillants firent leur apparition dans l'ouverture des murailles, bientôt suivis de dizaines d'autres. Arrivés au sommet, voyant que l'autre versant leur était libre, ils se ruèrent en bas en hurlant sans prêter la moindre attention à ce qui les attendait dans la cour. Grave erreur, et grand mal leur en fit car ils se retrouvèrent sous un feu de salve nourrie, qui coucha d'un seul souffle la moitié d'entre eux comme de vulgaires quilles. Les survivants, étourdis, ne tardèrent pas à sentir le métal froid des baïonnettes leur chatouiller les flancs... métaphore feutrée pour dire qu'ils se firent émonder comme de vulgaires poissons. Mais alors que les soldats, qui venaient de décharger leurs fusils, étaient encore affairés à embrocher cette seconde vague d'adversaires; une troisième vague apparaissait déjà au sommet du monticule. Les gardes eurent tout juste le temps de se retirer sur les cotés du mur, dégageant ainsi la voie aux nouveaux attaquants, qui se ruèrent à leur tour dans l'enceinte des murailles. Les mousquets n'ayant pus être rechargés à temps, c'est le canon qui commença sa besogne. - Feu ! Hurla Fauche. Et un bruyant coup de tonnerre résonna dans toute la cour, tandis qu'une gerbe de feu et d'étincelles illumina la bouche du canon; vomissant d'un seul coup un essaim mortel de billes de plomb incandescentes sur les malheureux attaquants. Tout ce qui se trouva face à la pièce fut réduit en charpie, coupé en deux... en trois parfois. Des billes de plomb ricochèrent sur les pierres des murailles en fusèrent dans le ciel en sifflant, laissant derrière elles une fine traînée rougeâtre. En haut du mur, déjà, une quatrième vague s'était formée. La mort brutale de leurs camarades sembla refroidir un instant leurs ardeurs, mais ils comprirent rapidement que le canon avait poussé son chant du cygne. Les soldats avaient pu recharger, mais cela ne découragea pas les assaillants qui se lancèrent à nouveau à l'assaut de la cour. Cette fois, seulement, ce fut un flot continu d'hommes et de femmes qui descendit le monticule. Si le feu des mousquets suffit à faire tomber les premiers rangs; la lutte s'engagea rapidement au corps à corps, à corps perdu. Les baïonnettes jouèrent leur rôle à merveille, tenant à distance une partie des attaquants; mais cela ne pouvait plus suffirent. Les soldats en vinrent rapidement à se battre à coups de crosse, de poing, de pavés... Et les premiers défenseurs commencèrent à tomber. Fauche et ses hommes reculaient vers le bâtiment, faisant volte-face à leurs adversaires, qui les pressaient de plus en plus. Bientôt, ils se retrouvèrent dos au mur, à quinze, ils se battaient alors à un contre dix. Les soldats se replièrent, à reculons, vers la seule porte qui s'ouvrait sur l'intérieur de la prison. Un sergent ouvrit la porte, laissa passer le sous-lieutenant, et referma derrière lui sans même chercher à se sauver. Les deux hommes, muets, échangèrent un regard à travers les barreaux; et Fauche disparut dans dans l'ombre, laissant à ses hommes la charge de retarder les assaillants. Bientôt, les rares soldats encore en vie qui faisaient bouclier de leurs corps pour défendre cette petite porte furent massacrés. Les assaillants, enragés, arrivèrent donc devant cette petite ouverture sur l'intérieur de la prison; but de leur attaque. A force de pieds de biche, de pics et d'un peu d'explosifs; ils firent sauter les verrous; et s'élancèrent dans le bâtiment. Devant eux, un long couloir vide s'étendait vers un escalier à leur droite, et le bâtiment principal à leur gauche. Se formèrent alors deux groupes: les uns accourant à gauche vers les cellules pour libérer, enfin, les prisonniers; les autres dévalant, à droite, les escaliers pour atteindre les sous-sols de la prison. Si dans le bâtiment principal, on entendit rapidement les premiers hourras et les premiers cris des prisonniers acclamant leurs libérateurs; la progression des attaquants partis reconnaître les caves fut bien plus silencieuse. S'enfonçant toujours plus profond dans le sol, descendant par cet interminable escalier, le groupe se fragmentait à chaque étage qu'il croisait, laissant des hommes sur place en fouiller les moindres recoins. La descente fut longue, et lorsque la colonne arriva en bas de l'escalier, il se fit un silence complet pendant lequel ils restèrent immobiles, laissant leur yeux s'habituer à l'obscurité. Un long couloir, sombre, humide, froid et silencieux s'ouvrait devant eux. Une vision infernale d'oubliettes sales, aux murs jalonnés de portes de métal rouillées aux barreaux tordus. Les assaillants, bien que refroidis par le spectacle, reprirent leur progression. Ils marchaient, lentement maintenant, prenant le temps de s'arrêter à chaque porte, ne trouvant à chaque fois que le corps décrépi d'un pauvre damné que l'on avait envoyé mourir dans ce purgatoire. Soudain, au bout du couloir, une faible lueur attira leur attention. Une maigre flamme, mourante, semblait projeter sur un mur son rougeoiement las. Puis, dans l'encadrement d'une porte ouverte qui leur était restée invisible dans le noir, ils aperçurent une silhouette, farouche, qui semblait les fuir; s'enfonçant un peu plus dans les entrailles de la prison. Comme un seul homme, la troupe se lança à la poursuite de cette apparition. Tous prirent le pas de course, et plus aucun d'entre eux ne s'attarda plus à lorgner dans les portes rouillées. Plus personne, du reste, ne couvrait plus leurs arrières. Et si il y en eut un, qui, par hasard, l'avait fait; il aurait pu constater que la petite porte par laquelle tout le groupe s'était engouffré était désormais fermée... Ils passèrent ainsi plusieurs lourdes portes, croyant à chaque fois se rapprocher de la lueur, s'enfonçant à chaque fois un peu plus vers le centre de la prison. Enfin, ils se trouvèrent devant une dernière porte, différente; plus lourde et plus grande que les précédentes... Dans l'encadrement de cette porte, ils purent apercevoir une grande pièce au centre de laquelle se tenait un homme, entouré du halo rouge que sa torche presque éteinte projetait sur lui. Les plus hardis d'entre eux, les moins prudents peut-être; ne s'arrêtèrent pas et entrèrent en trombe dans la salle. Dix hommes passèrent par l'embrasure; quand le son métallique d'un mécanisme grinçant se fit entendre. Derrière eux, une lourde plaque de plomb, retenue par des poulies, retomba d'un coup pour clore l'accès à la pièce, écrasant au passage un des pauvres bougres qui se trouvait sous le chambranle. L'homme fut broyé dans un craquement sinistre qui résonna dans les oreilles de ses camarades, qui, s'étant retournés pour voir d'où venait le bruit, assistèrent impuissants au spectacle. Ils devinrent livides, de voir leur ami mourir de manière si brutale d'abord, et de comprendre ensuite qu'ils venaient d'être bernés; et qu'ils étaient tous tombés dans un piège mortel. Un rire bruyant résonna derrière eux... Fauche, tenant la torche rougeoyante d'une main, riait aux éclats. Son visage, couvert de sang et déchiré d'une balafre atroce; était illuminé par un sourire sinistre qui laissait paraître ses dents blanches. Ses yeux étaient noirs tant ses pupilles étaient dilatées. Il n'était pas désemparé de se trouver seul face à dix hommes, il n'était pas abattu, il n'était pas terrorisé... il était euphorique. le plus éclairé des assaillants comprit alors qu'ils n'avaient été que les acteurs involontaires d'un scénario terrible : celui de leur propre perte. Voulant sauver les prisonniers de Terre-Morne, la plupart des mages noirs et des criminels en fuite s'étaient portés volontaires pour cette attaque... En somme, la plupart des mages noirs qui avaient échappé à terre-morne s'y étaient finalement tous rendus d'eux mêmes... et ils se trouvaient à présent devant leur bourreau. A l'étage, les cris de joie continuaient de résonner dans toute la prison. Tous les mages noirs réunis riaient et criaient leur joie de se voir libérés de leurs chaines... Ils ne savaient pas. Sous le bâtiment principal, dans une immense salle souterraine dont la voûte montait jusque sous les cellules, plusieurs centaines de barils étaient empilés... des barils de poudre bien sûr, mais aussi d'étranges récipients qui contenaient les éléments nécessaires à la confection d'un feu grégeois. Une étrange vapeur monta aux narines des assaillants, et ils comprirent trop tard que le sol sur lequel ils marchaient ne luisait pas de l'humidité régnant dans les lieux mais était en vérité couvert d'alcool pur. Tous les regards, craintifs cette fois; se tournèrent vers le maître des lieux, celui qui s'était joué d'eux depuis le début et qui allait, fatalement, décider de leur destin commun. Fauche les toisait, il ne riait plus, il avait une mission... La torche toucha le sol, et la petite flamme mourante, au contacte de l'alcool; embrasa toute la pièce. Depuis le sommet d'une colline, à cinq cent cubes de la prison; trois hommes observaient la bataille à la jumelle. Devant eux, en lieux et place du pénitencier; une boule de feu immense embrasa la ligne d'horizon. Un nuage incandescent monta dans le ciel, comme si l'air ambiant était entré en fusion. D'immenses blocs de roche et de pierre volèrent en éclat et retombèrent lourdement; des débris en flammes virent incendier les forets autour de la prison... le chaos s'empara des abords de terre-morne; et de l'épaisse fumée noire qui émanait des ruines en flammes; la nuit se fit sur la région. - Mission accomplie, Maréchal. - J'ai des yeux, général Zorn... Je dois reconnaître que votre idée a présenté des résultats plus que satisfaisants. - Que fait-on des survivants ? Dois-je lancer les dragons les prendre en chasse ? - Je doute que ce soit nécessaire, Général Thalkion... Messieurs, en selle ! Nous avons du travail.
  18. -&- Terre-Morne, les origines -&- Republication du premier roleplay de Terre-Morne, menant à la construction de la première prison. Roleplay écrit par Pencroff en 2016. Il fût un temps où toutes les formes de magie étaient autorisées. La magie blanche comme la magie noire. Dans un soucis de garantir aux individus une liberté individuelle sans limite, les dirigeants avaient longtemps refusé de brider l’usage de la magie. Ainsi mages, sorciers et magiciens pouvaient laisser libre court à leur imagination, avec pour seule limite celle que leur morale leur dictait dans une certaine forme d’éthique professionnelle. Chaque "espèce" qui vivait sur les terres de Stendel comptait dans ses rangs des magiciens et chaque communauté leur donnait une place presque semblable. On les appelait tantôt "guérisseurs", tantôt "Sorciers" ou encore "enchanteurs". En somme ils formait une sorte de cause sociale que l'on retrouvait presque partout. Mais comme dans tout groupe constitué il existe des moutons noirs et la caste des magiciens ne faisait pas exception à la règle. Si la plupart d’entre eux étaient de vieux sages savants et pacifistes, d’autres étaient de vrais démons utilisant leurs pouvoirs pour des desseins bien moins louables. Tant que cette part des mages restait minoritaire, et que les dégâts qu’ils causaient restaient matériels, aucune mesure n’était prise. Cette réticence des pouvoirs en place de s’interposer face aux mages venait également du fait qu'ils tenaient une place très importante dans la société ; notamment celle de médecins. Mais il en résultait que les mages étaient exempts de devoirs envers la justice et ils étaient presque intouchables. Cette inégalité profitait à ceux qui avaient renié tout code moral et contre qui on ne pouvait prendre de mesures. Heureusement ils se contentaient généralement de voler, le meurtre n’apportant que peu de bénéfices personnels. Face à la justice des hommes, un crime est un crime. Mais comment appliquer une justice à des êtres presque tout-puissants ? Jusqu'alors, la question ne se posait pas et on semblait avoir fait une croix sur une forme d'égalité. Seulement un jour, un groupe de ces mages sans foi ni loi se réunirent avec pour ambition d'accroître leur puissance respective. Pour ce faire, ils croisèrent leurs forces pour ouvrir un portail vers une dimension démonique. L’ouverture d’une telle porte est très coûteuse en magie et il leur fallut un certain temps pour stabiliser le passage entre notre monde et celui des enfers. Dans leur ignorance, ils avaient cru que s'ils ouvraient la route à un démon, celui-ci leur serait dévoué. Mais une fois le portail ouvert, ils se retrouvèrent face à un être si horrible, si atroce, si fondamentalement méchant qu’ils ne purent le contrôler. Le fruit de leurs mauvaises intentions se retourna contre eux et dévora leurs âmes, se nourrissant du mal qu’il y avait en eux. Ce montre sorti tout droit des pires cauchemars des mortels referma derrière lui la porte qui l’avait laissé passer et s’évanouit dans la nature. Le lendemain matin, on retrouva les corps sans vie des mages renégats dans la cave où ils avaient ouvert le portail, avec toutes les preuves de leur méfait. Quand on apprit la nouvelle, tous les gardes furent mobilisés. Les réservistes furent appelés à rejoindre leur régiment et des volontaires se joignirent aux soldats pour retrouver et appréhender la bête. La plus grande battue jamais vue de mémoire d’homme fut organisée dans tout Stendel. On fouilla les champs, on fouilla les forêts, on fouilla les villes durant des jours entiers. Des colonnes de centaines d’hommes espacés de cinq mètres avançaient d’un même pas les uns à coté des autres. Tout avait été fait mais rien ne fût trouvé. Il fallut se rendre à l’évidence, on ne mettra la main sur la bête que lorsque celle ci aura décidée de se montrer. Pour la première fois, un sentiment de méfiance grandit dans la population à l’égard des mages. Malgré l’augmentation des patrouilles de la Garde sur les chemins, et l’assurance des dirigeants que les risques étaient minimes, un sentiment d’insécurité grandit dans une partie de la population. Ce sentiment les poussa à exiger que des mesures soient prises et deux semaines après les faits qui avaient déclenché cette psychose collective, la Garde Volontaire et son état-major décrétèrent l’utilisation de la magie noire interdite et passible d’emprisonnement. Un mandat d’arrêt fût émis à l’encontre de tous les mages, magiciens et sorciers qui utiliseraient encore d’une manière ou d’une autre à cette magie ou aux autres maléfices s’y apparentant. Bien entendu tous les mages furent notifiés de cette nouvelle règle car l’objectif était surtout préventif. Dans les jours qui suivirent, des dizaines voir centaines d’arrestations eurent lieu dans tout l’Empire. Les gardes frappèrent aux portes de tous les praticiens concernés munis de leur mandat, et les mirent aux fers. Tout le matériel relatif à la magie noire était confisqué et détruit et les maisons des suspects étaient placées sous scellés. Les gardes le savaient, ils allaient s’attirer la foudre d’une partie de la population qui ne voyait pas d’un bon oeil qu’on les prive de ceux qui faisaient office de médecin ou de pharmacien. Cependant les dangers relatifs à la magie noire étaient bien réels et il était nécessaire de marquer le coup. Cependant une petite partie des mages qui avaient été arrêtés refusa de renoncer à la magie noire. Celle-ci leur procurait fortune et jeunesse éternelle et un grand nombre d’avantages personnels auxquels ils ne voulaient pas renoncer. Il fallait l’avouer, la tentation était forte. Devant leur refus catégorique, ils furent condamnés à des travaux forcés. L'état-major de la Garde, avec l'aide de mages dévoués à l'Empire, leur retira leurs pouvoirs pour éviter qu’ils ne se soustraient trop facilement aux sanctions. Dans un premier temps, on les envoya dans le désert du Fort Herobrine pour y travailler soit dans les mines soit dans la carrière en surface. Le travail était rude et durait durant de longues heures. Les minerais ainsi extraits étaient acheminés par bateau dans les quatre coins de l’empire pour y être vendu. Mais face au nombre croissant de détenus et d’évasions il devint évident qu’il fallait à ces prisonniers hors-normes un lieu de détention aussi hors-normes qu’eux. Le Commandant Pencroff, qui gérait et gère toujours la garnison, fut vite dépassé par cette nouvelle population. Certes le désert était grand et les soldats nombreux pour surveiller ces détenus, mais les familles de militaires commencèrent vite à se plaindre de la proximité avec les prisonniers qui pouvaient être dangereux. De plus, en cas d’évasion il y avait toujours le risque qu’un fugitif s’en prenne à des civils dans les villes aux alentours, d’autant plus que le le Fort était situé prêt d'une académie. Il devint urgent de trouver un nouveau pénitencier pour les mages. C’est ainsi qu’en réponse à cette nouvelle « demande », Maitre Zayhr et le Commandant Pencroff se réunirent pour fonder le premier centre pénitencier pour mages renégats. Il fut décidé qu’il serait construit au sud des terres de Stendel, sur une petite île. La prison serait gardée par la Garde et les détenus y purgeraient leur peine de prison. Afin de prévenir tout risque d’évasion, les mages les plus sages et les plus expérimentés unirent leurs forces pour créer un puissant sortilège qui privait les pensionnaires de leur magie et par extension, tous ceux qui entraient dans la prison. En soi, cette dernière était constituée d’un bâtiment de forme circulaire haut de trois grands étages auxquels s’ajoutait un donjon. Le donjon en question devait accueillir le plus puissant et le plus dangereux des prisonniers ; que nous ne pouvons citer ici pour des raisons évidentes de sécurité. Autour du bâtiment s’étendait une petite cour carrée scindée en deux parties : la première était réservée au casernement des gardes et la seconde était la cour de travail et de promenade des détenus. Ils pourraient s’y déplacer librement, pratiquer le jeu de paumes ou casser des cailloux et de l’obsidienne. La magie étant écartée, ils devraient apprendre à manier la pioche et le marteau. Tout était également fait pour limiter les risques d’évasions dites « classiques ». Les murs seraient hauts et bien gardés, des canons seraient pointés sur les extérieurs de la muraille et comme il a déjà été dit, la prison allait être construite sur une île qui était accessible par un unique pont, lui aussi fort bien gardé. La rivière ferait office de douves qui rendraient toute tentative de fuite vaine ou très dangereuse. Dans ces dispositions, il semblait que le problème serait vite résolu.
  19. Ghideon

    [La Garde] Annonces

    Fort Herobrine, commandement, 37 Lérolia de l'an 215, Par Ghideon Zorn, Général de Corps d'Armée, Aux gardes volontaires, Pour services rendus à la Garde et à l'Empire, seront sous peu promus les officiers suivants : - le Colonel Suljii au grade de Général de Brigade d'artillerie - le Commandant Darkalne au grade de Colonel - le sous-lieutenant Skykkou au grade de lieutenant La promotion aura lieu le 21 Pénavard de l'an 215. EDIT : - TheThomas1805 promu au grade de sous-lieutenant - Nafiros promu au grade de sous-lieutenant - Promotion de Skykkou décalée (absent)
  20. J'observais le jeune sous-lieutenant quitter à cheval la caserne. Il était devenu une habitude pour lui d'alterner entre le Fort et Ronceltiq. Comme habituellement, je le faisais discrètement suivre par quelques hussards. Il était hors de question de laisser d'anciens nivemis lui corrompre son juvénile esprit impérial. Malgré le défaut qu'il avait de côtoyer des personnes aussi peu amicales, il restait un officier dévoué à la cause -impériale bien-sûr-, et d'une grande aide dans nos chantiers. S'il venait à trop se rapprocher de ces pourritures de celtes, j'attendrai donc qu'il finisse les travaux en cours avant de le faire fusiller dans une ruelle sombre. -=-=-=- Bien l'bonjour ! Je viens enfin plussoyer Skykkou \o/ Ancien membre de la Garde devenu inactif, il est revenu d'entre les morts il y quelques semaines. Dès son retour, il s'est montré disponible et motivé pour aider la Garde dans ses chantiers, mais aussi Roncetliq. Son plus gros boulot a je pense été sur ce projet. Il y a beaucoup aidé Thalkion, et lui a permis de mener à bien un certain nombre de rénovations, destructions, et nouvelles constructions. En bref, c'est quelqu'un de sympathique, de généreux, et surtout d'une grande aide pour deux communautés. Skykkou est un joueur qui mérite largement le titre de citoyen. Un gros +1 pour toi ! Ghid'
  21. Je participe en duo avec El moustacho Pencroff \o/
  22. Bonsoir, Petite demande de spawns de 12 destriers pour Terre-Morne. -10 destriers gagnés par Pencroff lors de la tambola de Minefield -2 destriers (100 Pa's) payés par moi-même, argent à prendre sur mon crédit cubo (Pencroff s'en occupe) Vu avec Pencroff pour les cos et le spawn. Merci !
  23. Bonsoir ! Fort Herobrine, Terre-Morne et Tolwhig se dotent de nouveaux PNJs : - 40 créations de PNJs (40x300 soit 12 000PAs) - 140 Spawns (140x100 soit 14 000PAs) Pour un total de 26 000PAs Paiement effectué par GhideonZorn de 25 000 PA's ce Vendredi 15 Mars à 23h14. Les 1000 autres sont à prendre sur mon crédit cubo. Vu in-game avec Pencroff pour la gestion de la commande. Ci-dessous, le Gdoc regroupant toutes les informations relatives à la pose des PNJs. Tout n'est pas encore rempli (vu avec Pencroff également). https://docs.google.com/spreadsheets/d/1hI4MCoKsIyCERp7WSGoSCtcO3MHNuzodxPB6y7YCe04/edit#gid=0 Bonne soirée !
  24. Ghideon

    [GV] La Garde en images

    Ahah x) Bon j'avoue que j'y suis allé zéro sur la modestie puisque j'ai pris Napoleon au niveau de la campagne d'Italie / d'Egypte. Pour ce qui est des sources, je les noterai en effet, prochainement, ça peut-être bien pour montrer d'où ça vient. Surtout que certains tableaux viennent d’événements historiques importants, comme la campagne de Russie. Pour ce qui est de scènes in-game, en soit ça serait possible, on devrait bientôt avoir 360 pnj's au total, plus les membres du projet. Ca pourrait être drôle en effet, je vais voir pour faire quelques essais :p
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